La vie est pourtant belle


J’ai la même impression que ceux qui pense que le bonheur n’est pas pour eux c’est qu’il le cherche dans le compliqué, dans la grandeur, la richesse etc …
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La vie  est pourtant belle

 

 

On a tendance à penser que la vie n’est pas belle, mais c’est parce qu’on a tendance à confondre belle et simple …

Proverbe Espagnol

Un garçon est complètement dévoué à sa sœur née avec l’amyotrophie spinale


Une belle leçon de vie que ces enfants peuvent nous donner. Même dans la grande difficulté de la vie, l’union fait la force. C’est certain que la maladie est toujours présente, mais la vie peut être belle avec l’amour inconditionnel, tout est possible
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Un garçon est complètement dévoué à sa sœur née avec l’amyotrophie spinale

 

MARLIE BEAUDIN

 

Cette vidéo, qui date du premier juin 2013, circule en ce moment sur le Web. La vidéo montre l’amour inconditionnel qui existe entre un frère et sa sœur atteinte d’une maladie rare qui l’oblige à rester dans son fauteuil roulant.

Lindsay Cochran est née avec l’amyotrophie spinale, une maladie qui affaiblie les muscles. Depuis qu’elle a deux ans, Lindsay est clouée dans une chaise roulante. Heureusement pour la fillette, son grand frère Trenton est toujours à ses côtés et se fait un devoir de faire tout ce qui est en son pouvoir pour que sa sœur soit heureuse. Écoutez le témoignage du garçon. 

http://www.journaldequebec.com/

Le Saviez-vous ►C’est dans le besoin que le paresseux reconnaît ses amis


Un vrai travail d’équipe, assez époustouflant qu’il aurait été difficile de deviner en voyant la lenteur du paresseux. Un travail d’équipe entre larves, papillons, algues et qui en plus lui donnerais une certaine protection au moment qu’il est le plus vulnérable
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C’est dans le besoin que le paresseux reconnaît ses amis

Paresseux

Photo :  © iStockphoto / vilainecrevette

Pourquoi l’aï, paresseux des forêts d’Amérique latine, quitte-t-il son arbre pour faire ses besoins, au péril de sa vie? C’est la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs dans une étude publiée mardi dans la revue Proceedings of the Royal Society B.

Environ une fois par semaine, l’animal aux trois doigts griffus quitte le sommet des arbres – où il passe l’essentiel de sa vie à manger et à dormir – pour déféquer. Il creuse un petit trou et y dépose sa crotte avant de retourner à l’abri en hauteur.

L’opération le rend pourtant vulnérable aux prédateurs, en plus de lui coûter environ 8 % de l’énergie qu’il ingurgite en une journée. Pourquoi ne défèque-t-il pas alors en hauteur?

Les chercheurs de l’Université du Wisconsin-Madison estiment que la réponse réside dans les papillons et les algues qui vivent – et s’accouplent dans le cas des papillons – dans la fourrure de l’animal.

Une fois écloses, les larves de papillons consomment la crotte d’aï. En retour, les papillons sur le pelage de l’aï augmentent sa concentration en azote.

C’est là que les algues entrent en jeu. Grâce à la structure unique des poils de l’aï, dont les fentes recueillent une grande quantité d’eau de pluie, les algues peuvent s’y installer et sont ensuite nourries par l’azote qui leur sert d’engrais.

Le paresseux ingère à son tour ces algues quand il lèche sa fourrure pour se nettoyer. Les algues riches en glucides et en lipides digestes viennent compléter son régime alimentaire de feuilles, peu nourrissantes.

Les auteurs de l’étude estiment que ce phénomène jusqu’ici inconnu explique pourquoi les animaux sont si difficiles à nourrir correctement en captivité.

Les paresseux à deux doigts, les unaus, mangent quant à eux un plus large éventail de produits végétaux, descendent des arbres plus régulièrement et défèquent n’importe où. Ils ne semblent pas avoir besoin de nutrition supplémentaire contrairement à leurs cousins, affirment les chercheurs.

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Facebook pourrait perdre 80% de ses membres d’ici 3 ans


Je pense aussi que Facebook va aller en déclinant, surtout avec les multiples changements qu’ils font, on finit par se lasser de toujours recommencer a pour mettre nos intérêts en évidence.
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Facebook pourrait perdre 80% de ses membres d’ici 3 ans

 

Selon les auteurs de l’étude, le réseau social le plus important du monde se dirige vers une chute brutale. – PHOTO AGENCE FRANCE PRESSE

Facebook n’est guère qu’une maladie infectieuse, finalement en voie de disparition, et pourrait perdre 80% de ses utilisateurs d’ici à 2017, à en croire une étude menée par deux étudiants en doctorat de la prestigieuse université américaine de Princeton.

Ces deux aspirants docteurs en ingénierie mécanique et aérospatiale sont arrivés à ces conclusions dans une étude publiée en ligne, en cours d’évaluation par leurs pairs avant publication officielle.

Se basant sur la progression, puis la chute du précurseur de Facebook MySpace, John Cannarella et Joshua Spechlere affirment que le réseau social le plus important du monde, qui regroupe plus de 1,1 milliard d’usagers et fêtera le mois prochain ses dix ans d’existence, se dirige vers une chute brutale.

«Il a été montré que les idées, comme les maladies, se propagent de manière infectieuse entre les gens, avant de mourir, et cela a été décrit avec succès par les modèles épidémiologiques», ont écrit ces chercheurs.

Ils ont appliqué un modèle épidémiologique modifié pour décrire la dynamique des utilisateurs des réseaux sociaux, se servant de données Google qui sont du domaine public.

Et ils sont arrivés à la conclusion que Facebook, dont l’action a atteint un record mardi à 58,51 dollars, avait atteint son sommet en 2012, et allait «connaître un déclin rapide», corroborant des études selon lesquelles les plus jeunes usagers avaient commencé à quitter le réseau social en 2013.

«Facebook devrait connaître un déclin rapide dans les années à venir, diminuant de 20% de sa taille maximale d’ici à décembre 2014», écrivent les deux auteurs de l’étude publiée sur ArXiv.org, qui estiment aussi que le réseau social devrait perdre «80% de sa base d’utilisateurs maximale entre 2015 et 2017».

Jusqu’à présent, le réseau semble en bonne santé, et l’augmentation du prix des actions Facebook a fait de Sheryl Sandberg, sa directrice des opérations, une milliardaire. Mark Zuckerberg, 29 ans, son créateur et CEO, a lui une fortune estimée à 19 milliards de dollars.

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Epilepsie : l’alimentation pourrait réguler les crises


Il est de plus en plus mit en avant qu’une bonne alimentation puisse aider a mieux gérer certaines maladies dont l’épilepsie ou du moins diminuer les crises ..
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Epilepsie : l’alimentation pourrait réguler les crises

 

Une alimentation équilibrée permettrait aux cellules nerveuses de mieux communiquer avec le cerveau et donc d’interagir sur certaines maladies neurologiques, comme l’épilepsie, selon une nouvelle étude canadienne.

epilepsie_alimentation

© iStock

Une nouvelle étude canadienne de l’université McGill à Montréal publiée dans la revue spécialisée Nature Communication révèle que des cellules nerveuses bien nourries transmettent mieux les informations au cerveau et que l’alimentation influence son bon fonctionnement.

L’énergie de notre corps vient de notre alimentation qui tient un rôle essentiel dans notre état de santé.  En effet, de nombreuses études scientifiques s’accordent à dire qu’en mangeant sainement et de manière équilibrée il est possible de diminuer les risques de développer certaines maladies telles que la dépression, le diabète, l’asthme et les problèmes cardiovasculaires. La nourriture serait aussi capable de modifier le fonctionnement du cerveau. Ce pourquoi il a toujours été recommandéaux épileptiques de suivre un régime alimentaire particulier, le régime cétogène pauvre en glucides (sucres) et riches en lipides (matières grasses) pour éviter les crises et les  convulsions.

L’équipe de chercheurs dirigée par le neurologue Derek Bowie s’est interrogée sur ce phénomène. Ils ont analysé le métabolisme des neurones et la transmission des informations nerveuses et ont  découvert un lien entre le métabolisme des cellules nerveuses et leur capacité à transmettre les informations qui expliquerait comment une bonne alimentation contrôlerait l’activité cérébrale.

Si cette découverte scientifique doit être validée par de nouvelles recherches, elle permettrait de mettre en place de nouvelles thérapies pour soigner l‘épilepsie.

Aujourd’hui et depuis la mise à disposition de médicaments anticonvulsifs, les patients suivent de moins en moins ce type de régime.

« Cependant, ces médicaments entraînent souvent de nombreux effets secondaires et ne sont pas toujours efficaces, explique Derek Bowie, directeur de l’étude. J’espère que le régime cétogène sera réhabilité et deviendra de plus en plus populaire. »

Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (l’Inserm), l’épilepsie touche entre 500 et 750.000 personnes en France et 1 à 2% de la population mondiale. Elle est la maladie neurologique la plus fréquente après la migraine.

http://www.topsante.com/

Des rats cannibales en route vers les côtes de Grande-Bretagne


Je ne comprends pas pourquoi que ce bateau a pris la mer pour être démantelé dans un autre pays (probablement pour le cout de la main d’oeuvre qui doit être moins cher) sachant qu’il y avait des rats a bord ? N’a-t-il pas lieu de s’inquiéter pour une épidémie quelconque ou ce bateau accostera … ?
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Des rats cannibales en route vers les côtes de Grande-Bretagne

 

PHOTO D’ARCHIVES / AFP

Le bateau est réapparu sur les radars et l’on croit qu’il pourrait s’échouer sur les côtes britanniques.

Un paquebot abandonné rempli de rats cannibales est en route vers les côtes de Grande-Bretagne, et ce par la faute du Canada.

Le Lyubov Orlova dérive dans l’Atlantique Nord depuis un an. Saisi en septembre 2010 en raison de dettes impayées, il a ensuite été abandonné dans le port de Saint-Jean, à Halifax. Au bout de quelques mois, les autorités portuaires ont réclamé sa mise en vente pour droits de port non acquittés.

Le bateau est finalement acheté par une compagnie de transport maritime, qui a décidé de l’envoyer à la casse afin qu’il soit démantelé et vendu au prix des matériaux. Le Lyubov Orlova devait être remorqué à cette fin vers un chantier situé en République dominicaine.

Des mécaniciens montés à bord pour remettre le navire en état avant qu’il ne soit remorqué le quittent très vite, disant qu’il est infesté de rats.

Le 16 janvier 2013, un remorqueur quitte le port avec le paquebot à sa suite, au grand soulagement des autorités portuaires. Mais dès le lendemain, le remorqueur tombe en panne et le paquebot part à la dérive, les gardes-côtes canadiens étant incapables de le récupérer.

Après plusieurs autres péripéties où le Lyubov Orlova est retrouvé puis perdu à nouveau à cause des intempéries, il est finalement abandonné à son sort par les autorités canadiennes et dérive au hasard dans l’Atlantique Nord.

Récemment, le bateau est réapparu sur les radars et l’on croit qu’il pourrait s’échouer sur les côtes britanniques, avec à son bord des centaines de rats qui se sont dévorés les uns les autres pour survivre.

«Il flotte quelque part par là…», a déclaré le chasseur d’épaves Pim de Rhoodes au journal «The Sun», en Grande-Bretagne. «Si je monte à bord, il va falloir que je mette du poison partout», a-t-il ajouté.

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Les troubles bipolaires, c’est quoi exactement ?


Seul un médecin peut diagnostiquer une maladie mentale, cependant savoir reconnaitre les symptômes peut permettre une diagnostique plus rapide et une meilleur prise en charge. Ce qui est important autant pour la personne souffrant de troubles que pour son entourage
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Les troubles bipolaires, c’est quoi exactement ?

 

Les troubles bipolaires, c'est quoi exactement ?

Egalement connus sous le nom de « maladie maniaco-dépressive », les troubles bipolaires se caractérisent par des fluctuations extrêmes de l’humeur, avec une alternance de périodes d’excitation et de dépression, entrecoupées de périodes normales.

Les conséquences d’une telle oscillation peuvent être particulièrement graves dans tous les domaines, financier, social, professionnel, familial, etc.

Troubles bipolaires : alternance d’excitation et de dépression

Il nous est tous arrivé de passer de l’euphorie à la colère, c’est-à-dire d’une humeur extrême à une autre. Cette alternance n’a eu aucune conséquence. En revanche, chez les personnes atteintes de troubles bipolaires, cette fluctuation est persistante, douloureuse et invalidante.

Cette maladie touche 1% de la population et se déclare généralement entre 15 et 24 ans, autant chez les hommes que chez les femmes. Par extrapolation aux Français de plus de 15 ans, cela fait 500.000 personnes.

Les sujets qui souffrent de cette maladie psychique oscillent perpétuellement entre trois états plus ou moins fréquemment et plus ou moins intensément :

1) L’état maniaque

Euphorie ou irritabilité, augmentation de l’estime de soi, idées de grandeur, accélération des pensées, fuites des idées, forte augmentation des activités, diminution du besoin de sommeil, etc. Or cet état d’hyperactivité peut avoir des conséquences fortement dommageables, comme par exemple des dépenses inconsidérées d’argent. À noter que le terme « maniaque » ou « manie » au sens psychiatrique désigne un état d’excitation anormal et non pas les manies au sens populaire désignant des habitudes stéréotypées.

2) L’état dépressif

Tristesse, perte d’intérêt, fatigue, ralentissement psychique et moteur, modification de l’appétit et du sommeil. Cette humeur dépressive peut avoir de fortes répercussions dans le domaine social et professionnel, sans oublier un risque suicidaire.

3) L’état normal

Des conséquences dramatiques

Comme indiqué ci-dessus, la période d’excitation extrême, tout comme celle de la dépression, peuvent entraîner des comportements à risques dans tous les domaines.

En plus de la souffrance personnelle et du risque de suicide (qui peut aussi survenir durant l’état maniaque), les conséquences professionnelles des troubles bipolaires peuvent être sérieuses : démission irréfléchie, conflits, instabilité professionnelle, comportement agité, licenciement……

Au niveau familial, les conflits conjugaux sont fréquents : divorce, séparation, répercussion sur les enfants, mais aussi perte d’amis…, etc.

Les prises de risque sont parfois inconsidérées : rapports sexuels non protégés, excès de vitesse, défis dangereux, délits, agression physique, consommation d’alcool, de drogues……

Les troubles bipolaires se soignent

Il est possible de stabiliser l’évolution des troubles bipolaires en régulant l’humeur à l’aide de traitements pharmacologiques (psychotropes), d’une psychothérapie (psychanalyse, thérapie cognitive et comportementale) et d’une psychoéducation.

Les médicaments

Episodes maniaques et dépressifs : thymorégulateur (lithium), anticonvulsivants (divalproate de sodium), antipsychotiques atypiques (olanzapine, rispéridone, aripiprazole), voire antidépresseurs.

Traitement de fond : normothymique (régulateur de l’humeur), soit lithium ou antipsychotique atypique (olanzapine, rispéridone, aripiprazole).

Les psychothérapies

La psychothérapie tient une place importante dans la prise en charge du patient souffrant de troubles bipolaires. Et les mesures psychothérapeutiques sont spécifiques à chaque patient.

La psychoéducation

Informer le malade et son entourage (psychoéducation), fait également partie du traitement. L’action personnelle du malade est au moins aussi importante que les médicaments et l’aide psychothérapeutique.

Hélas, la prise en charge est souvent trop tardive avec des retards de diagnostic. D’où l’importance de connaître cette maladie et de savoir la reconnaître.

par Isabelle Eustache
Sources : Dossier de presse Lilly, mars 2004. HAS, Guide, « La prise en charge d’un trouble bipolaire », décembre 2010. HAS, troubles bipolaires, mai 2009,
http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2009-09/ald_23__gm_troubles_bipolaires_web.pdf

http://www.e-sante.fr/

Pour les chats, l’être humain n’est qu’un gros matou stupide


Est-ce que tous mes chats ont cette idée que l’être humain est stupide. Bon, disons que les éléments auxquels l’auteur se base peuvent en effet penser que nous sommes de bien drôle d’énergumène, mais de là à savoir ce qu’il pense, on a du chemin à faire
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Pour les chats, l’être humain n’est qu’un gros matou stupide

 

Les chats verraient les êtres humains comme un gros félin un peu débile. Un point du vue dû à son instinct resté sauvage.

Selon John Bradshaw, biologiste britannique à l’université de Bristol et auteur de « Cat sense », ces félins devenus domestiques, omniprésents sur le web avec les « lolcats » et dans nos maisons, voient leur maître comme un gros chat naïf et facilement manipulable. Nous sommes aussi « une combinaison des mères de substitution et plus largement, de chats non hostiles », ajoute le biologiste.

Mais pourquoi ces chats que nous trouvons si majestueux ont-ils une telle vision des êtres humains ? Ces animaux solitaires par nature se comportent avec nous comme avec leurs semblables : ils dressent la queue à la verticale quand ils voient leur maître, signe de respect qu’ils adoptent également avec leurs congénères. Pour les chats, l’homme n’est qu’un gros matou, mais en plus stupide. En effet, l’homme ne cherche pas à lui chiper sa nourriture. Au contraire, il se plie en quatre pour répondre à tous ses besoins. De plus, l’homme ne sait pas chasser, à l’inverse du félin, ce qui nous rend assez débile à ses yeux. D’ailleurs, le fait que l’on ne s’intéresse pas à ses trophées est quelque chose d’incompréhensible pour lui. Il ne comprend pas non plus notre façon de lui parler, qu’il considère comme un babillage.

« Le chien a des maîtres, le chat des esclaves »

John Bradshaw rappelle que « le chien a des maîtres, le chat des esclaves ». Encore très sauvage, le félin est habitué à la relation dominant/dominé. Il ne comprend pas les caresses, ces gestes affectueux que nous lui offrons. Souvent, il donne un coup de tête à son propriétaire, simplement pour marquer « son territoire » avec ses phéromones. Totalement incompatible avec notre monde social, il ignore avec dédain son maître lorsque celui-ci l’appelle par son nom.

LaDépêche.fr

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