Voilà une vérité qu’on devrait mettre en pratique
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Les problèmes
Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s’inquiéter. Mais s’il n’en a pas, alors s’inquiéter ne change rien.
Anonyme
Voilà une vérité qu’on devrait mettre en pratique
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Les problèmes
Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s’inquiéter. Mais s’il n’en a pas, alors s’inquiéter ne change rien.
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Les aurores boréales ressemblent a des rideaux dansant sous la voute céleste. Au au nord du Canada, ils sont vraiment magnifiques, mais on peut les voir aussi au nord de d’autres pays
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HotSpot Media/Colin Cameron / Via colincameronphotography.co.uk
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Quel lien avec les stylos à bille et Apollo 11 ? Si le concepteur du stylo a bille n’aurais pas eu l’idée de tester son produit dans l’espace, Apollo 11 n’aurait peut-être pas pu revenir sur Terre avec l’équipe de Neil Armstrong
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En cherchant à améliorer l’encre des stylos à bille, Paul Fisher, un américain spécialise dans les roulements à bille des moteurs de bombardiers, était loin d’imaginer qu’il viendrait un jour au secours des astronautes. Et pourtant…
Années 45 : a la fin de la seconde guerre mondiale, Paul Fisher, qui voit le chiffre d’affaires de son usine péricliter, se lance, à la demande dune grande firme américaine, dans l’amélioration de la qualité de la bille des stylos. En effet les stylos billes ne sont guerres fiables. A cause de leurs cartouches : soit l’encre coule trop, soit elle sèche, soit elle fuit. Difficile dans le telles conditions de mener un travail à bien sans s’énerver !
Années 50 : Paul Fisher se penche donc sur le problème et se pique a jeu. Très vite, il découvre qu’en mettant un gaz – de l’azote – dans la cartouche, l’encre s’écoule quelle que soit la position du stylo. Puis grâce à un système de valves à la pointe, il parvient à en régulariser le débit. Finies les poches de veste auréolées par une tache disgracieuse. Par la suite Paul Fisher améliorera la qualité de l’encre en modifiant complètement, sa composition afin de la rendre quasi-solide, visqueuse, et insoluble dans l’eau.
Années 60 : la conquête de l’espace à commence et Paul Fisher s’interroge : son stylo-bille écrit par froid et chaleur extrêmes et cela quelle que soit la position de la pointe, mais comment réagirait-il dans l’espace ?
Pour se savoir il suffit de le faire tester. Paul Fisher contacte la NASA qui accepte de l’essayer. Il est vrai qu’a l’époque, les astronautes ont bien des problèmes pour pendre des notes en état d’apesanteur. Aucun stylo n’écrit. En 1968, le stylo de Paul Fisher s’envole donc avec Apollo VII. Le succès est immédiat : l’encre réagit bien. Dés lors, le stylo prend le nom de » Fisher Space Pen « . Le stylo de l’espace est né, il ne quittera plus les astronautes.
21 Juillet 1969 : tous les habitants de la planète terre ont les yeux rivés sur les postes de télévision. Neil Armstrong, talonné par Edwin » Buzz » Aldrin, marche sur la lune. De retour dans le LEM les astronautes se préparent à revenir sur terre. Armstrong se rend alors compte qu’ils ne disposent plus que d’une faible quantité d’oxygène. Hors de question de rater la mise à feu. Il faut la réussir de Premier coup, sinon…
Alerte, Houston – siège des opérations en vol leur ordonne de laisser sur la lune tous les objets dont l’utilité n’est plus primordiale : Trousse à outils, Appareils – photo, nourriture, etc. Tout est abandonné sur la lune. Malheureusement à cause de l’exiguïté de module lunaire, en se retournant pour s’asseoir, Buzz Aldrin accroche la manette de mise à feu avec les tuyaux de sa combinaison et la casse nette. Catastrophe ! Impossible de réparer : la trousse à outils est sur la lune et, sous peine de perdre de l’oxygène, on ne peut pas rouvrir le LEM. Il faut trouver une solution rapidement.
A Houston, les ingénieurs s’installent devant la reproduction du LEM grandeur nature installé dans leurs locaux et simulent la panne à l’identique afin de trouver la solution. La tension monte, le silence devient pesant. Seul, un » clic-clac » incessant résonne. Machinalement nerveusement les spécialistes jouent avec le mécanisme de leur stylo de l’espace. Les minutes s’écoulent, l’angoisse se croît quand soudain un ingénieur ayant remarque le » clic-clac » se précipite sur le LEM met son stylo à la place de la manette de mise à feu et réussi le contact. Le résultat laisse bouche bée ses confères : Les monteurs se sont mis à vrombir.
Après plusieurs essais, il n’y a plus de doute : le stylo de l’espace, dont la gaine est en laiton peut remplacer la manette. Sans plus attendre la NASA contacte les astronautes et leur demande d’effectuer la même manoeuvre. Armstrong n’hésite pas et le LEM décolle. Apollo XI revient sur terre.
Cet épisode heureux et méconnu de la conquête spatiale américaine fut caché quelques années avant d’être dévoilé par John McLeish un des responsables des relations publiques de la NASA, et rapporté par Carl W. Ritter dans le journal » The San Diego Union « .
Alors qu’en vieillissant, la vie généralement nous pousse moins dans le dos (travail, enfant, maison etc ….) nous sommes pour plusieurs moins actifs. Les écarts de nourriture, et être moins actif ont plus de conséquences sur notre corps. En vieillissant notre corps réagit donc différemment, il est plus lent pour éliminer la graisse qui nous enrobe et donc cela demande plus d’effort
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Plus le temps passe et plus les kilos superflus sont difficiles à déloger ! Selon des chercheurs japonais, c’est parce qu’un des deux types de graisse présents dans notre corps est moins actif, empêchant l’autre de brûler correctement.
Bedaine, hanches qui débordent… Avec le temps, les kilos ont tendance à s’amasser et sont de plus en plus difficiles à perdre !
Selon des chercheurs japonais, cela viendrait des types de graisses dont nous disposons dans notre corps : la graisse blanche et la graisse brune. Si la première localisée sous la peau du ventre et des cuisses est le résultat d’une alimentation trop riche, la seconde consiste à générer de la chaleur en boostant le métabolisme, permettant alors de brûler la graisse blanche. Cette graisse brune présente dès la naissance pour tenir chaud aux nourrissons persiste à l’âge adulte, surtout chez la femme. Les scientifiques japonais ont cependant observé qu’elle diminuait avec le vieillissement, devenant moins active et produisant moins de chaleur. Du coup, elle brûle moins de graisse blanche et les kilos persistent.
« Les personnes plus âgées doivent être deux fois plus strictes sur leur alimentation et leur exercice physique pour obtenir la moitié des résultats des plus jeunes » a commenté le Dr Gerald Weissmann, rédacteur en chef du journal Faseb où a été publié l’étude.
Courage !
Source : Dailymail.
Je crois que l’une des inventions qui va vraiment changer quelque chose dans pas mal de domaine est l’imprimante 3D. Bien sûr, il y a des côtés très négatifs, comme la fabrication d’armes, mais beaucoup de positif, nous avons qu’à penser sur le plan médical
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L’imprimante 3D, vue de face. La plaque bleue sert de base pour la « création ». Elle bouge de haut en bas. Photo : Ève Caron
Il n’est peut-être pas si lointain le jour où la médecine pourra fabriquer des pièces détachées pour le corps humain avec une imprimante 3D. En attendant, des chercheurs de l’Université de Toronto utilisent cette technologie pour aider des enfants amputés en Ouganda.
L’imprimante 3D qu’ils utilisent fabrique des « emboîtures de prothèse », qui se placent entre le moignon et la prothèse.
Le processus s’effectue en trois étapes : les mesures du moignon sont d’abord enregistrées à l’aide d’une caméra spéciale avant d’être compilées dans un logiciel qui, ensuite, crée le design utilisé par l’imprimante 3D.
« Notre objectif est de pouvoir produire une emboîture de prothèse en moins de 10 heures », explique le chercheur de l’Université de Toronto Matt Ratto.
Besoins criants
Mitchell Wilkie, de l’ONG Christian Blind Mission – qui est partenaire dans ce projet -, explique qu’il y a présentement 10 millions de personnes amputées dans le monde.
Plusieurs d’entre elles vivent en Ouganda. C’est là que les chercheurs espèrent implanter leur projet.
« Plus la mise au point du processus de fabrication avancera, plus les enfants pourront en profiter », plaide M. Ratto.
Le chercheur torontois et ses collègues doivent encore effectuer des tests pour perfectionner le produit, mais si tout va bien, les premières emboîtures de prothèse pourraient être distribuées en Ouganda d’ici deux ans.
D’après le reportage d’Ève Caron
Des fois, on pense que les temps anciens étaient plus faciles à vivre et pourtant, les archéologues découvrent dans des coins cachés ou des horreurs se sont passé.
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En 1988, lors de fouilles menées non loin de la muraille qui enserrait Londres à l’époque romaine, des archéologues tombent sur une série d’anciens fossés et dépotoirs dans lesquels les attendent les restes de 39 crânes décapités.
Les découvertes de ce genre ne sont pas rares dans le secteur, car on se trouve le long de la Walbrook, un affluent de la Tamise, aujourd’hui souterrain comme la Bièvre à Paris. Dans cette zone souvent inondée au cours de l’Antiquité, les restes osseux des corps démantibulés par leur passage dans la rivière sont fréquents. Mais, dans le cas présent, si l’on excepte un fémur, les chercheurs ne mettent au jour que des têtes qui, détail troublant supplémentaire, ne présentent pas les traces d’usure habituellement retrouvées sur les crânes transportés par les flots. Ici, on a de toute évidence affaire à des dépôts volontaires en pleine ville (alors que les morts devaient être enterrés dans des cimetières situés à l’extérieur de la cité). Mais dans quel but ? Et sur les épaules de qui ces têtes avaient-elles un jour été portées ? Malheureusement, la fouille ne donnera pas lieu à une analyse scientifique et le mystère des 39 crânes restera entier.
Jusqu’à ce que, un quart de siècle plus tard, deux chercheuses britanniques décident de mener l’enquête à leur sujet. Enquête est le mot juste, car Rebecca Redfern, du Museum of London, et Heather Bonney, du Muséum d’histoire naturelle de Londres, ont utilisé les méthodes de la police scientifique pour examiner les ossements. Leur étude, publiée en ligne le 10 janvier, paraîtra dans une prochaine livraison du Journal of Archaeological Science. Il leur est tout d’abord apparu que leur échantillon était loin d’être représentatif de la population. Sur les 39 individus, 36 ont été identifiés comme des hommes, le sexe n’ayant pu être déterminé pour les trois derniers. Dans tous les cas, il s’agissait d’adultes relativement jeunes : pas d’adolescent ni de vieillard dans le lot.
L’analyse des restes crâniens a montré que ces hommes avaient vécu et étaient morts dans la violence, pour l’essentiel au IIe siècle de notre ère. La majorité des os comportaient au moins une trace de traumatisme. Pour certains on repérait d’anciennes fractures guéries et, pour d’autres (qui représentaient plus de la moitié des cas), des blessures et la marque de coups infligés peri mortem. Soit ces violences avaient engendré la mort, soit elles lui avaient succédé… soit les deux à la fois. Les auteurs décrivent ainsi un crâne aux multiples traumatismes : une blessure au niveau de l’os frontal, une petite perforation du côté de la tempe droite, une blessure faite à l’aide d’un objet tranchant sur la tempe gauche, tandis que l’arrière du crâne, à gauche, a été enfoncé par un coup si violent qu’il a arraché un morceau du mastoïde (l’os situé derrière l’oreille). Et, pour conclure le tout, les chercheuses ont noté des traces de décapitation.
Suite à cette analyse, les questions se bousculent. Pourquoi autant de traces de violence ? Pourquoi ces hommes ont-ils été décapités ? Pourquoi ne leur a-t-on pas donné de sépulture ? Et pourquoi a-t-on exposé pendant quelque temps leurs têtes au vu de tous dans ces fosses ?
Pour The Guardian, Rebecca Redfern a résumé les trois hypothèses qu’Heather Bonney et elle ont échafaudées à partir de leurs résultats :
« Nous pensons que certaines des têtes pouvaient appartenir à des personnes qui ont été tuées dans l’amphithéâtre (de Londres, qui se trouvait à quelques hectomètres du lieu où les crânes ont été découverts, NDLR). La décapitation était une manière d’achever les gladiateurs, mais tous ceux qui sont morts dans l’amphithéâtre romain n’étaient pas des gladiateurs. C’était aussi l’endroit où les criminels étaient exécutés ou bien, parfois, pour se divertir, on donnait une épée à deux d’entre eux et on les faisait s’entretuer. D’autres têtes peuvent avoir été prises par des soldats à la suite d’escarmouches, probablement sur les murs d’Hadrien et d’Antonin », qui furent édifiés au IIe siècle au nord de la province pour la protéger des incursions pictes.
Il est bien difficile de privilégier une hypothèse plutôt qu’une autre. Dans le cas des gladiateurs, les chercheuses soulignent que les blessures ressemblent beaucoup à celles trouvées à Ephèse (actuelle Turquie), dans le seul cimetière de gladiateurs où une analyse ostéologique a été menée. Malgré leur popularité, les combattants du cirque étaient en effet considérés comme porteurs d’une sorte de souillure et leur exclusion sociale les poursuivait en général jusque dans la mort. Les fossés du nord de la Londres romaine pourraient donc avoir été une zone réservée aux personnes tuées dans l’amphithéâtre, qu’elles aient été gladiateurs ou condamnés à mort.
L’hypothèse des têtes comme trophées de légionnaires tient également la route car ces pratiques ont été représentées sur plusieurs tombes de soldats. Rebecca Redfern et Heather Bonney précisent que, même si les Romains les voyaient comme des comportements non civilisés, les démembrements et décapitations de barbares vaincus n’étaient pas rares en temps de conflit, en particulier dans cette province, probablement parce que les armées de Rome avaient absorbé en leur sein des soldats locaux pour qui récolter le crâne de l’adversaire faisait partie des coutumes de la guerre. Bien loin des gentilles bagarres et batailles d’Astérix chez les Pictes !
Pierre Barthélémy
Une colle qui pourrait remplacer les agrafes et point de suture en chirurgie serait une belle avancée médicale. Ce qui serait quand même impressionnant qu’il pourrait être utilisé sur des organes tels que le cœur
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Une limace rose géante d’Australie Photo : AFP/MICHAEL MURPHY
Une équipe de chercheurs de Boston a mis au point un adhésif médical qui peut boucher les trous du coeur et d’autres tissus de l’organisme, une avancée qui pourrait remplacer l’utilisation d’agrafes et de sutures pour refermer les plaies.
Inventé par un professeur agrégé à l’Université Harvard, le Canadien Jeffrey Karp, le nouvel adhésif est résistant à l’eau. Il a été inspiré des propriétés colloïdales du mucus de la limace, l’adhésif étant capable de s’étirer quand le cœur se dilate et se contracte.
Dans un entretien à la radio du réseau anglais de Radio-Canada, le professeur Karp a expliqué que la colle ne devient active que lorsque des rayons ultraviolets brillent sur elle, permettant ainsi aux chirurgiens de relier l’adhésif avec plus de précision .
L’application de la colle sur un coeur Photo : Karp Laboratory
Il y a plusieurs avantages à avoir de la colle biodégradable dans le corps, par opposition à des agrafes ou des sutures à base de métal, selon lui.
« Les sutures et les agrafes ne sont pas vraiment mécaniquement similaires aux tissus de l’organisme, de sorte qu’elles peuvent induire un stress sur le tissu au fil du temps », explique le professeur.
« [L’adhésif] est fait à partir de glycérol et d’acide sébacique, qui existent dans le corps et peuvent être facilement métabolisés. Ce qui se passe au fil du temps est que ce matériau se dégrade. Les cellules l’envahissent et, idéalement, le trou restera fermé et le patient ne nécessitera pas d’autres opérations », ajoute-t-il.
Des chercheurs d’hôpitaux de la région de Boston et du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont contribué au développement de la substance non toxique.
L’adhésif a été testé avec succès sur le cœur d’un cochon, d’un lapin et de rats. Les chercheurs espèrent que ce produit sera sur le marché dans les deux à trois prochaines années.