Il est vrai que la science à évoluer pour soigner le cancer depuis les années 1960. Cependant, de la a se faire congeler. Sûrement, que le premier cryogénisé ne se réveillera jamais et même si cela arrivait, sur le plan psychologique comment il réagirait depuis le temps. Tous ceux qui connaissait ont changé et dont plusieurs sont morts. Personnellement, ce ne serait pas mon choix.
Nuage
1967 : Congélation de James Bedford qui attend toujours d’être rappelé à la vie
Aujourd’hui, ils sont des centaines d’hommes et de femmes à attendre les progrès de la médecine pour se faire décongeler.
FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS
Voilà quelques millénaires, les pharaons avaient cru pouvoir vaincre les outrages du temps en se faisant embaumer. Depuis quelques décennies, des désespérés veulent les imiter, mais en choisissant la méthode Picard, la cryogénisation.
Le premier à tenter le grand saut cryogénique, le 12 janvier 1967, est un Américain de 73 ans, professeur en psychologie, James Bedford. Depuis plusieurs années, il souffrait d’un cancer incurable, persuadé qu’un jour la médecine aurait fait suffisamment de progrès pour le soigner. Il avait donc demandé à son entourage de le congeler si jamais il venait à mourir, et de le réveiller quand un remède efficace serait prêt.
En 1965, James Bedford répond à l’annonce d’un certain Cooper, fondateur de la Life Extension Society (LES), qui cherche un volontaire pour la cryogénisation dont il vient de mettre au point – croit-il – la technique. Bedford n’est pas le seul à se porter candidat. Avec d’autres volontaires, il signe un contrat de congélation. Le gagnant sera le premier à agoniser… Mais, finalement, c’est James Bedford qui rend, le premier, son dernier souffle. À peine le corps a-t-il eu le temps de refroidir que son médecin personnel, averti du voeu de son patient et aidé par les employés de la Cryonics Society of California, se met au boulot. D’abord, vider le sang, pour le remplacer par un fluide censé supprimer la cristallisation des cellules. En fait, les opérateurs ne parviennent pas totalement à leurs fins. Mais cela ne les empêche pas de poursuivre les opérations en refroidissant le corps jusqu’à – 200 °C avec de l’azote. Bedford, qui ne semble pas s’en offusquer, est alors enfourné dans une capsule isolante.
Puis commence une très longue attente. Notre professeur congelé séjourne d’abord dans le garage d’un certain Dr Robert Prehoda, mais la femme de celui-ci pique une crise d’hystérie à chaque fois qu’elle monte dans sa voiture. Aussi faut-il déménager le corps. On lui trouve un premier abri, puis un autre. Finalement, il migre vers un refuge définitif en Arizona, à l’Alcor Life Extension, qui abrite, aujourd’hui, une centaine d’autres patients congelés, et même une trentaine d’animaux de compagnie.
James Bedford y attend toujours sa résurrection, sans manifester le moindre signe d’impatience. Lors d’un changement de capsule, il a passé un check-up. Apparemment, il est en pleine forme.
Je ne sais pas si un jour on pourra refaire vivre ces gens ce qui m’étonnerais, mais avec la sciences il faut dire que rien n’est impossible quand on voit les progrès qu’ils font, mais là…
au moins il est mort avec l’espoir, peut etre que maintenant il se dit autre chose
En tous cas , si il s’en sort , il ne faudra pas le » congelé » à nouveau car il est noté sur tous les produits congelés : « Ne jamais recongeler un produit décongeler » heuuuu ….O.K , je me sauve !
c’est vrai !!!! et c’est bien écrit mdr
Erreur de frappe à corriger S.T.P : » Un produit décongelé , pas décongel ER é