La bouleversante métamorphose de Davi, un Pit Bull sauvé de la mort


Comment peut-on abandonner un chien de cette façon ? L’ancien maître venait-il lui balancer quelques morceaux de viande pour ne pas avoir mauvaise conscience ? Quoiqu’il en soit, ce chien a été chanceux de trouver une personne qui a bien voulu le prendre en charge pour le nourrir, le soigner et l’adopter
Nuage

 

La bouleversante métamorphose de Davi, un Pit Bull sauvé de la mort

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Reddit – HeySupFrank

Il s’appelle Davi et vit au Brésil. Il est un chien heureux et épanoui au sein de sa famille. Mais la vie de ce Pit Bull n’a pas toujours été aussi belle, loin de là…

D’un animal proche de la mort à un chien comblé

Lorsque Wilson Coutinho l’a trouvé, abandonné sur un terrain vague dans un abri de fortune, il n’avait plus que la peau sur les os, et souffrait au niveau de son postérieur d’une abominable infection qui a bien failli lui coûter la vie.

Sauvé, soigné, choyé et aimé, il s’est véritablement métamorphosé. Sa queue a dû être amputée, mais il ne semble pas avoir d’autres séquelles.

D’un animal proche de la mort, n’ayant presque plus rien d’un chien, à un toutou à la bouille radieuse : son ange gardien, grand amoureux des animaux ayant consacré sa vie à la cause animale, a publié sur Reddit des clichés bouleversants, qui racontent bien mieux que des mots ce magnifique sauvetage.

C’est sur un terrain vague, sous une vieille affiche lui servant de toît, et avec quelques morceaux de viande pour subsister, que le malheureux chien a été découvert par Wilson Coutinho.

Davi n’avait plus que la peau sur les eaux, et souffrait d’une terrible infection au niveau du postérieur

sauvetage chien abandonné

Malgré sa souffrance, le Pit Bull s’est très vite laissé approcher et câliner par son ange gardien

Wilson l’a ramené chez lui où il l’a nourri, soigné et choyé

Au fil des jours et des semaines, Davi a repris du poids et du poil de la bête

Auprès de son ange gardien, il est aujourd’hui méconnaissable

http://wamiz.com

Le Saviez-vous ► 1967 : Congélation de James Bedford qui attend toujours d’être rappelé à la vie


Il est vrai que la science à évoluer pour soigner le cancer depuis les années 1960. Cependant, de la a se faire congeler. Sûrement, que le premier cryogénisé ne se réveillera jamais et même si cela arrivait, sur le plan psychologique comment il réagirait depuis le temps. Tous ceux qui connaissait ont changé et dont plusieurs sont morts. Personnellement, ce ne serait pas mon choix.
Nuage

 

1967 : Congélation de James Bedford qui attend toujours d’être rappelé à la vie 

Aujourd’hui, ils sont des centaines d’hommes et de femmes à attendre les progrès de la médecine pour se faire décongeler.

FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

Voilà quelques millénaires, les pharaons avaient cru pouvoir vaincre les outrages du temps en se faisant embaumer. Depuis quelques décennies, des désespérés veulent les imiter, mais en choisissant la méthode Picard, la cryogénisation.

Le premier à tenter le grand saut cryogénique, le 12 janvier 1967, est un Américain de 73 ans, professeur en psychologie, James Bedford. Depuis plusieurs années, il souffrait d’un cancer incurable, persuadé qu’un jour la médecine aurait fait suffisamment de progrès pour le soigner. Il avait donc demandé à son entourage de le congeler si jamais il venait à mourir, et de le réveiller quand un remède efficace serait prêt.

En 1965, James Bedford répond à l’annonce d’un certain Cooper, fondateur de la Life Extension Society (LES), qui cherche un volontaire pour la cryogénisation dont il vient de mettre au point – croit-il – la technique. Bedford n’est pas le seul à se porter candidat. Avec d’autres volontaires, il signe un contrat de congélation. Le gagnant sera le premier à agoniser… Mais, finalement, c’est James Bedford qui rend, le premier, son dernier souffle. À peine le corps a-t-il eu le temps de refroidir que son médecin personnel, averti du voeu de son patient et aidé par les employés de la Cryonics Society of California, se met au boulot. D’abord, vider le sang, pour le remplacer par un fluide censé supprimer la cristallisation des cellules. En fait, les opérateurs ne parviennent pas totalement à leurs fins. Mais cela ne les empêche pas de poursuivre les opérations en refroidissant le corps jusqu’à – 200 °C avec de l’azote. Bedford, qui ne semble pas s’en offusquer, est alors enfourné dans une capsule isolante.

Puis commence une très longue attente. Notre professeur congelé séjourne d’abord dans le garage d’un certain Dr Robert Prehoda, mais la femme de celui-ci pique une crise d’hystérie à chaque fois qu’elle monte dans sa voiture. Aussi faut-il déménager le corps. On lui trouve un premier abri, puis un autre. Finalement, il migre vers un refuge définitif en Arizona, à l’Alcor Life Extension, qui abrite, aujourd’hui, une centaine d’autres patients congelés, et même une trentaine d’animaux de compagnie.

James Bedford y attend toujours sa résurrection, sans manifester le moindre signe d’impatience. Lors d’un changement de capsule, il a passé un check-up. Apparemment, il est en pleine forme.

http://www.lepoint.fr/

Tuer le mot de passe… d’un simple regard


Plus on peut protéger nos informations personnelles, mieux c’est pour tout le monde. Cependant, je me pose toujours des questions après l’annonce de telle avancée technologique. En cas de panne … Comment on joue ? Plus on avance en temps, en informatique, plus on délaisse les moyens conventionnels. Pourra-t-on revenir en arrière sans trop de mal ?
Nuage

 

Tuer le mot de passe… d’un simple regard

 

Photo Suren Manvelyan

Comment déverrouiller d’un simple regard son PC? Voxx International vient de dévoiler «Myris», un procédé substituant la reconnaissance oculaire au mot de passe pour réduire le niveau de risque de piratage à «un sur 2000 milliards».

La société américaine (ex-Audiovox) a présenté en marge du salon d’électronique grand public CES à Las Vegas un gadget pas plus grand qu’un palet de hockey permettant par un simple regard le déverrouillage de toute machine informatique qui jusqu’à présent nécessitait un mot de passe.

«À l’exception du test ADN, la reconnaissance oculaire est le procédé d’identification le plus fiable», a expliqué devant la presse Tom Malone, président de Voxx Electronics.

Myris, que l’on peut charger sur une clé USB pour ouvrir son compte sur tout support informatique (PC, tablette, téléphone, etc..), est doté d’une technologie capable de scanner l’iris de l’utilisateur et de crypter ses données d’identification personnelles.

Ce nouvel outil mis au point en collaboration avec la société spécialisée dans la biométrie EyeLock offre un risque d’erreur infime estimé à «un sur plus de 2000 milliards», selon M. Malone.

«C’est tout simplement la fin du mot de passe», a-t-il ajouté.

Voxx présente Myris comme la première version grand public de cette technologie de pointe, complexe et très coûteuse, jusqu’à présent uniquement utilisée par les administrations et les entreprises.

Tom Malone n’a pas révélé le prix de cet outil innovant, mais il a assuré que Myris serait abordable et accessible à tous les utilisateurs.

Cette nouvelle technologie permettra selon lui de sécuriser les données bancaires ou médicales ainsi que tous les services et transactions en ligne.

http://fr.canoe.ca

Décoration: les animaux empaillés, nouvelle tendance parisienne


Même si les animaux empaillés sont morts naturellement ou de maladie (mais probablement pas les insectes) je trouve un peu présomptueux qu’on les utilise comme décoration à la maison ou dans une entreprise. Qu’ils prétendent que c’est pour se rappeler de la fragilité de la vie, je ne crois pas que les riches acheteurs en soient vraiment conscients. Je crois plus que c’est de l’orgueil que seul l’homme peut penser être maitre de tout. Alors que dans un musée de science naturelle, me semblerait plus éducatif.
Nuage

 

Décoration: les animaux empaillés, nouvelle tendance parisienne

 

Paon, taureau, cheval, papillons, scarabées... à Paris, des grandes marques aux... (Photo archives La Presse)

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

SANDRA LACUT
Agence France-Presse
Paris

Paon, taureau, cheval, papillons, scarabées… à Paris, des grandes marques aux hôtels de luxe, salons de coiffure, concept stores ou boutiques de design, les animaux naturalisés sont partout, symboles d’un monde vivant devenu fragile, de tout temps cher aux créateurs.

Ces joyaux de la taxidermie n’ont plus grand-chose à voir avec les trophées de chasse: qu’il s’agisse d’un salon ou d’une vitrine des Champs-Élysées, ils trônent grandeur nature et comme surpris à l’état sauvage.

Dans son salon de coiffure parisien, l’Australien David Mallett, bien connu des stars de la planète, a installé une autruche, deux paons blancs et une panthère.

Nombre de décorateurs adorent aussi les chimères (animaux hybrides inspirés des légendes et de la mythologie), mais ce sont les insectes, les oiseaux et les grands mammifères qui ont le plus la cote.

«De plus en plus de gens sont conscients de la fragilité de la nature, de sa destruction  (…) Ils veulent observer le vivant comme jamais et se le réapproprier pour le comprendre», explique Louis Albert de Broglie, président de Deyrolle, temple parisien de la taxidermie et de l’entomologie, connu dans le monde entier.

«Les maisons de luxe comme Hermès ou Vuitton l’ont bien compris: il n’y a pas de matière première sans produits naturels et toute création vient du vivant», ajoute-t-il.

Ours polaire

Chez Deyrolle, un taureau, mort malencontreusement en rentrant dans l’arène, symbolise cette fragilité. Installé au premier étage, il a été transformé en pure oeuvre d’art à la demande d’un grand décorateur pour le groupe de luxe LVMH (Christian Dior, Céline…): une petite trappe s’ouvre sur son «coeur», une boîte dans laquelle volent des papillons jaunes.

Situé rive gauche, Deyrolle existe depuis 1831 et a été racheté en 2001 par ce philanthrope, petit neveu d’un prix Nobel de physique, à la tête de plusieurs sociétés et d’un célèbre «conservatoire de la tomate».

Américains, princes qataris, famille impériale du Japon ou royale du Maroc, écoles d’art et enfants de tous âges s’y pressent pour admirer les animaux naturalisés: ours, lion, girafe, zèbre, autruche, cheval, wallaby, paons, chouettes, mygales, serpents, scarabées, papillons, coquillages et minéraux du monde entier.

La «boutique-musée» regorge de trésors, des plus minuscules, vendus au prix de deux euros, aux plus grands, vendus 40 000 euros, tel un ours polaire acheté par le célèbre designer Philippe Starck.

«Tous les animaux, non domestiques, proviennent des zoos, cirques ou élevages où ils sont morts de vieillesse ou de maladie. Ils ont une traçabilité et les espèces protégées sont détenues et livrées dans le respect de la convention de Washington (CITES)», assure M. de Broglie.

Autre signe de cet engouement pour le vivant: le succès des planches pédagogiques et du papier peint tiré de ces mêmes planches.

«Le plus passionnant c’est la recherche, savoir comment on va pouvoir redonner à l’animal son aspect originel», commente Yves Ceretti, chargé de la restauration des pièces.

«Beaucoup de clients viennent pour la décoration, il y a de moins en moins de chasseurs. Les insectes ont beaucoup de succès, les oiseaux aussi», ajoute-t-il, en désignant une volée de papillons bleus, moirés.

Pour s’approvisionner, la maison fait appel à plusieurs ateliers de taxidermie spécialisés en France.

«Nous exportons à travers le monde» explique Francine Campa, directrice générale de Deyrolle, qui cite un grand hôtel new-yorkais, nombre de boutiques et de marques de luxe comme Dior, Chanel ou Hermès parmi ses clients au même titre que plusieurs têtes couronnées.

http://www.lapresse.ca

Des médecins transplantent un nouvel utérus à neuf Suédoises


Et pourquoi pas ! Me semble que c’est mieux cette méthode que d’avoir recours à une mère porteuse qui risque de créer des liens affectifs avec un bébé qu’elle devrait donner par la suite ..
Nuage

 

Des médecins transplantent un nouvel utérus à neuf Suédoises

 

Ces femmes participent à la première grande expérience... (Photos.com)

 

Ces femmes participent à la première grande expérience jamais réalisée pour déterminer s’il est possible de transplanter des utérus à des femmes pour leur permettre de donner naissance à leurs propres enfants.

PHOTOS.COM

MALIN RISING, MARIA CHENG
Associated Press
STOCKHOLM, Suède

Neuf Suédoises ont reçu une transplantation d’utérus dans le cadre d’une procédure expérimentale qui soulève de nombreuses questions éthiques.

Les participantes ont reçu un utérus donné par des membres de leur entourage. Elles tenteront maintenant de devenir enceintes, a indiqué le médecin responsable du projet.

Les participantes sont nées sans utérus ou ont dû en subir l’ablation en raison d’un cancer. La plupart sont âgées d’une trentaine d’années et participent à la première grande expérience jamais réalisée pour déterminer s’il est possible de transplanter des utérus à des femmes pour leur permettre de donner naissance à leurs propres enfants.

Des chercheurs turcs et saoudiens avaient déjà tenté de transplanter des utérus, mais leurs essais n’avaient mené à la naissance d’aucun bébé. Des scientifiques britanniques, hongrois et autres prévoient eux aussi des opérations similaires, mais les efforts suédois sont nettement plus avancés.

«C’est un nouveau genre d’opération, a dit à l’Associated Press le docteur Mats Brannstrom, depuis Göteborg. Nous n’avons pas de manuel à suivre.»

Le docteur Brannstorm dirige le département d’obstétrique et de gynécologie de l’Université de Guthenburg.

Certains éthiciens se sont questionnés sur la pertinence d’utiliser des donateurs vivants dans le cadre d’une expérience qui ne sauvera pas de vies. D’autres ne s’en formalisent pas, tant que les donateurs sont bien informés, et comparent le tout à un don de rein.

«L’hémodialyse est disponible, mais nous acceptons et nous encourageons même les gens à courir un risque pour donner un rein», a dit John Harris de l’Université de Manchester.

Le docteur Brannstrom a indiqué que les neuf récipiendaires d’un utérus se portent bien. Plusieurs ont eu leurs règles six semaines après l’opération, ce qui démontre que les utérus sont en santé et fonctionnels. Une femme a souffert d’une infection et d’autres ont connu des épisodes mineurs de rejet, mais aucune participante n’a eu besoin de soins importants. Toutes ont pu quitter l’hôpital après quelques jours.

Les transplantations ont débuté en septembre 2012 et les donateurs incluent les mères ou d’autres proches des participantes.

Les récipiendaires seront incapables de tomber enceintes naturellement, puisque les nouveaux utérus ne sont pas reliés à leurs trompes de Fallope. Elles ont toutefois toutes leurs ovaires et peuvent produire des ovules qui ont été prélevés avant l’opération pour créer des embryons par fertilisation in vitro. Ces embryons seront éventuellement transplantés dans les nouveaux utérus pour voir si les femmes peuvent porter leurs propres enfants biologiques.

Le docteur Brannstrom et ses collègues espèrent commencer le transfert des embryons au cours des prochains mois. Les utérus seront retirés après un maximum de deux grossesses, pour permettre aux femmes de cesser de prendre des médicaments antirejet qui peuvent s’accompagner d’effets secondaires indésirables.

http://www.lapresse.ca

Les chiens aussi seraient physionomistes


Êtes-vous déjà demandé si les animaux pouvaient reconnaître des gens sur des photos, du moins son maître ? Chez les chiens, il semblerait qu’ils ne réagissent pas sur toutes les photos .. sauf celle de leur maître
Nuage

 

Les chiens aussi seraient physionomistes

 

Un chien face à son maître, accourt, saute, aboie… Mais comment le reconnaît-il ? Est-ce une question de physionomie, de contexte ou encore d’odeur ?

Des chercheurs de l’Université d’Helsinki (Finlande) viennent de montrer que nos compagnons à quatre pattes seraient en mesure de reconnaitre visuellement notre visage. En revanche, ils préfèreraient la bobine de leurs congénères à celle des humains…

Pour réaliser leur travail (très sérieux faut-il le préciser), les équipes du Pr Outi Vainio ont « recruté » une trentaine de chiens. Condition sine qua non au bon déroulement des opérations, tous les canidés avaient été entraînés à rester immobiles. Ainsi ont-ils été exposés à des photographies représentant soit des personnes de leur entourage (comme leur maître par exemple), soit des « étrangers ». Parallèlement, les mouvements de leurs yeux étaient enregistrés.

Résultat,  lorsque la photo du propriétaire apparaissait, le chien avait tendance à le regarder directement dans les yeux, suggérant ainsi qu’il le reconnaissait.

Face à un étranger en revanche, le regard se déplaçait sur l’image, le chien ignorant ce qu’il regardait.

 Pour Outi Vainio, « cela suggère que nos compagnons à quatre pattes sont capables d’identifier des visages familiers, comme le font les hommes. »

Autre conclusion, en leur laissant le choix entre une photo d’un autre toutou et une représentation humaine, les animaux ont présenté davantage d’intérêt pour leurs congénères, au dépend de leur maître. Voilà comment nos compagnons nous traitent vraiment… comme des chiens….

Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : David Picot

http://destinationsante.com

Une «maman» électronique pour les objets connectés


Il y a des gadgets qui ne sont pas vraiment utiles, mais celui-là me semble très intéressant par sa capacité de pouvoir rendre intelligent n’importe quel objet conventionnel
Nuage

 

Une «maman» électronique pour les objets connectés

 

«Mother», d’une hauteur de 16 centimètres, a l’allure d’une poupée russe blanche. – PHOTO FOURNIE PAR SES.SE

Agence France-Presse (LAS VEGAS)

Il ressemble à une poupée russe et surveille le brossage des dents comme l’arrosage des plantes: la société française Sen.se a présenté dimanche à Las Vegas un appareil décrit comme «la mère de tous les objets connectés» à internet.

«C’est un système très simple qui permet de transformer n’importe quel objet de la vie quotidienne en objet connecté», explique à l’AFP Rafi Haladjian, patron-fondateur de la société française Sen.se, lors d’une avant-première pour la presse dimanche du salon d’électronique grand public International CES de Las Vegas.

Une brosse à dents, une boîte de médicaments ou encore une porte tout à fait ordinaire peuvent ainsi devenir «intelligentes» et signaler si les dents sont bien lavées, les pilules prises régulièrement, ou des gens rentrés dans la maison à une heure imprévue.

L’appareil principal a l’allure d’une poupée russe blanche. Haut de 16 centimètres et baptisé «mother» (mère), il permet une fois branché sur le réseau internet du domicile de gérer jusqu’à 24 objets par l’intermédiaire de petits capteurs baptisés «cookies».

Les cookies, sensibles notamment au mouvement ou à la température, «sont versatiles: on peut changer l’usage selon ses besoins du moment», souligne M. Haladjian. Ils tiennent également jusqu’à un an sans changer la batterie.

«La vie avec les cookies est assez banale, ce n’est pas du tout de la science fiction, ce ne sont pas des gens qui font des gestes spécifiques pour communiquer avec des machines, mais des gens qui se brossent les dents normalement, qui ont des boîtes en carton pour leurs médicaments, sauf qu’il y a un cookie dedans qui rend les objets utiles sans qu’il y ait besoin d’apprendre des gestes nouveaux, des applications nouvelles, une façon de parler à des machines», indique M. Haladjian.

Sen.se prévoit de démarrer les expéditions au printemps, mais des pré-commandes sont déjà possibles sur son site internet, avec des prix annoncés de 222 dollars pour la mother et 4 cookies, et de 99 dollars pour un lot de 4 cookies supplémentaires.

http://techno.lapresse.ca