La civilisation


C’est un fait que plus la ville est grande autant en superficie qu’en hauteur, il semble avoir plus de pauvres qui essaient de se faire une place. Et on appelle cela la civilisation
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La civilisation

 

Le degré de civilisation d’une société se mesure à la détresse de ses citoyens les plus pauvres, et non au nombre de ses gratte-ciel.

Nikki Gemmel

VIDÉO. Quand une fillette rencontre le frère jumeau de son père pour la première fois


Cette petite fille doit surement se poser des questions dans sa petite tête. Son langage corporel est éloquent, de quoi a faire sourire
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VIDÉO. Quand une fillette rencontre le frère jumeau de son père pour la première fois

 

Elle n’en croit pas ses yeux. La petite fille que vous allez découvrir dans la vidéo ci-dessus a cru voir double quand elle a rencontré pour la première fois le frère jumeau de son père.

Interloquée, elle promène son regard de papa à tonton et de tonton à papa, semblant se demander ce qui lui arrive. Publiée sur Leliveleak samedi, cette mignonne vidéo est parmi les sujets les plus discutés sur le réseau social Reddit.

 

 

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Le Saviez-vous ►Sourcils : ce qu’ils révèlent de votre personnalité !


Bon, je peux admettre que certains traits du visage peuvent annoncer notre personnalité, mais que les sourcils puissent aussi révéler certains points de notre caractère, j’en doute, mais bon …
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Sourcils : ce qu’ils révèlent de votre personnalité !

 

© Serg Zastavkin – Fotolia.com

Sarah Frise, rédactrice santé

Qu’ils soient fins, épais, longs, courts, incurvés,… vos sourcils en disent long sur votre caractère et votre façon d’être.

Vos sourcils en disent bien plus sur vous que ce que vous pensez ! Pour Jean Haner, experte en « lecture faciale » interrogée par le site Cosmopolitan.com, ils révèlent votre confiance en vous, votre logique, votre motivation ainsi que votre sens de l’organisation.

Ainsi, des sourcils courts traduisent des difficultés à gérer le stress. Les personnes en présentant n’aiment pas non plus être confrontées aux problèmes de leurs amis.

Les personnes ayant de longs sourcils n’ont, au contraire aucune difficulté à appréhender le stress, ni à écouter ou aider des amis en difficulté. Ce sont de très bons travailleurs, qui peuvent se révéler très compétiteurs.

Des sourcils naturellement fins, voire quasi inexistants, « symbolisent des personnes qui on tendance à douter d’eux-mêmes, qui croient ce qu’on dit sur elles », décrypte Jean Haner.

Si vous avez des sourcils épais, vous êtes particulièrement actif. Vous faites généralement preuve de confiance en vous. Vous pouvez facilement vous sentir frustré si on vous empêche de faire ce que vous voulez.

Si une personne présente des sourcils trop incurvés, elle peut être vu comme prétentieuse, alors qu’il ne lui faut qu’un peu plus de temps que les autres pour se sentir à l’aise. Perfectionniste, elle a généralement bon goût.

Des sourcils bas montrent que la personne est accessible et facile à vivre et tient ses promesses. Ces sourcils ont leur petit surnom, les « sourcils d’entraîneur », car ceux qui les ont resteront à vos côtés jusqu’à ce que vous réussissiez.

Les femmes aux sourcils arrondis sont aimables et pensent aux autres. « Elles ont aussi du tact et veulent toujours créer des situations gagnant-gagnant, explique l’experte. Ce ne sont pas des filles solitaires. »

Si vos sourcils sont droits, vous faites preuve de logique lorsqu’il s’agit de prendre une décision. Les émotions passent après.

Des sourcils plus pointus « représentent des personnes qui aiment s’amuser, qui pensent, parlent et décident vite », analyse Jean Haner. Dotées d’un bon sens de l’humour, elles ont besoin de stimulation et sont spontanées.

Enfin, les personnes aux sourcils très travaillés manquent de confiance en elles. Elles ont également plus de difficultés à prendre des décisions.

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Guerre aux virus: mythes et vérités sur le gel désinfectant


Le gel désinfectant est de plus en plus présent dans nos habitudes car il peut éliminer bien des bactéries sans pour autant délaisser le savon. Mais dans la réalité est-il vraiment utile de trainer avec nous une petite bouteille de désinfectant ?
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Guerre aux virus: mythes et vérités sur le gel désinfectant

 

Qui, aujourd'hui, ne traîne pas dans son sac à main ou dans la poche intérieure... (Photo La Presse)

 

PHOTO LA PRESSE

SOPHIE ALLARD
La Presse

Qui, aujourd’hui, ne traîne pas dans son sac à main ou dans la poche intérieure de son manteau une petite fiole de gel désinfectant? Depuis la pandémie de grippe (A) H1N1, on ne sort plus sans son flacon que l’on dégaine à toute occasion, toujours prêt à combattre une potentielle attaque de germes.

Une arme efficace qui a ses limites et ses risques. Voici quelques vérités et mensonges sur le gel désinfectant.

1. Plus le taux d’alcool est élevé, plus le gel désinfectant est efficace

Vrai et faux. L’Institut national de santé publique du Québec recommande fortement que, en milieux de soins, soient utilisées des solutions hydro-alcooliques (SHA) contenant de 60 à 80% d’éthanol ou d’isopropanol.

«Les experts sont d’avis que les SHA contenant de 60 à 80% d’alcool sont considérées comme les plus efficaces. Les solutions contenant plus de 80 à 90% d’alcool sont en général moins efficaces puisque l’alcool a besoin d’eau pour dénaturer les protéines», indique l’organisme dans un avis publié en 2009.

À noter: les solutions sans alcool ne sont d’aucune utilité contre les virus et les bactéries.

2. Le gel désinfectant gagne en efficacité s’il est frictionné pendant 20 secondes

Vrai.

«On recommande de laver les mains avec le savon pendant 40 à 60 secondes, alors qu’une friction de 15 à 30 secondes suffit avec un gel pour une efficacité optimale», note la docteure Renée Paré, médecin-conseil en santé publique à la Direction de la santé publique de Montréal.

Pour que cela soit vrai, il faut que la solution recouvre entièrement la surface des mains.

«Si on se lavait tous les mains, peu importe la façon et la durée du lavage, ce serait déjà un énorme pas de fait. C’est une habitude qui est loin d’être ancrée, même chez les professionnels de la santé», indique Karl Weiss, infectiologue à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont.

On se lave les mains (ou on applique du gel) surtout: avant de manger, de cuisiner, après avoir mangé et après son passage aux toilettes.

3. Contre les virus et les bactéries, le gel vaut mieux que le lavage des mains

Vrai.

«Ç’a été démontré dans plusieurs études: les solutions hydro-alcooliques sont plus efficaces que le lavage traditionnel des mains à l’eau et au savon pour éliminer la plupart des virus et des bactéries», indique le docteur Alex Carignan, professeur adjoint au département de microbiologie et d’infectiologie
 de faculté de médecine et des sciences de la santé
 de l’Université de Sherbrooke.

 «Ces solutions agissent en diminuant la quantité de plusieurs bactéries et virus et leur action est plus prolongée que celle du savon. Cela prendra donc plus de temps avant que les mains ne se contaminent de nouveau.»

Les virus du rhume et de la grippe sont notamment bien éliminés.

4. Le gel protège contre le virus de la gastroentérite

Faux. Les solutions hydro-alcoolisées vendues en commerce ont néanmoins certaines limites: elles ne viennent pas à bout du norovirus, virus le plus commun de la gastroentérite. La bactérie Clostrodium difficile résiste aussi bien aux solutions alcoolisées.

«Les bactéries qui produisent des spores forment une coquille et sont plus difficiles à déloger avec les gels. Par contre, l’action mécanique du lavage des mains sous l’eau nous débarrassera de ces bactéries», dit le docteur Alex Carignan.

Voilà de bonnes raisons de ne pas délaisser le savon.

5. Le gel peut prendre feu

Vrai. Fumeurs, soyez prudents!

«Les solutions hydro-alcooliques sont inflammables», souligne le Dr Carignan.

Leur utilisation comporte donc des risques de brûlure si l’alcool enduit sur la peau n’est pas complètement évaporé. Par ailleurs, l’application de solution désinfectante- qu’elle soit sous forme de mousse, de gel ou de liquide – n’est pas indiquée sur une plaie ouverte ou sur les muqueuses. Le contact avec les yeux est à éviter.

6. Le gel agit comme un nettoyant

Faux. Le gel ne nettoie pas les mains, il agit plutôt pour détruire les bactéries, les virus et les champignons. Si nos mains sont souillées de terre ou de nourriture, par exemple, le gel sera donc très peu efficace. Il s’agit d’un désinfectant et non pas d’un nettoyant. Rien de mieux que du savon pour déloger la saleté!

À noter: on ne doit pas avoir les mains mouillées lorsqu’on applique un gel, l’agent actif en est dilué.

7. On peut s’intoxiquer avec le gel

Vrai. Au Québec, entre 2005 et 2011, le Centre antipoison du Québec a reçu près de 1000 appels concernant une intoxication au Purell, selon Protégez-vous.

«Dans la plupart des cas, ces intoxications sont accidentelles et surviennent chez de jeunes enfants», nous indique Anne Letarte, porte-parole du Centre antipoison du Québec.

Les gels, qui contiennent de l’alcool éthylique (parfois de l’iso-propanol), peuvent causer un état d’ébriété et, à fortes doses, un coma éthylique. Une bouteille de 60 ml correspond à 4 petits verres de vodka! Aussi, l’utilisation de gels est interdite dans plusieurs écoles et garderies, à moins d’exceptions comme des sorties.

«Dans les hôpitaux, les services de pédiatrie et de psychiatrie sont exempts de solutions hydro-alcooliques. Les bouteilles sont attirantes, parfumées. Il y a déjà eu des cas d’intoxication», indique Karl Weiss, infectiologue à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont.

L’automne dernier, Santé Canada a mis en garde la population après la mort de deux Ontariens qui avaient ingéré du désinfectant pour les mains de marque Bodico. On y a trouvé du méthanol (hautement toxique) non déclaré.

«Chez les adolescents et dans le milieu carcéral, l’ingestion de gels désinfectants, peu coûteux, est d’ailleurs un problème», note Anne Letarte.

Peut-on donner du gel à son enfant? Oui, mais on l’applique pour lui, on ne laisse jamais le flacon à sa portée et on frotte jusqu’à ce que les mains soient sèches.

8. Les gels éliminent 99% des germes

Faux. Les gels éliminent la majorité des germes uniquement là où ils sont appliqués.

«Ça ne nous protège pas des virus que l’on respire», souligne Renée Paré, médecin-conseil en santé publique.

 Si la transmission de virus se fait plus souvent par les mains que par inhalation (on porte nos mains à notre visage plusieurs fois par minute!), l’étiquette respiratoire demeure un outil préventif important.

«Pendant un éternuement, des gouttelettes du virus de la grippe sont dispersées dans un rayon d’un mètre ou deux, explique le Dr Carignan. Si quelqu’un tousse vers nous, on peut être contaminé. Il faut surtout savoir que le virus vit jusqu’à 48 heures sur les surfaces et reste actif pendant 5 minutes sur nos mains.»

Et qu’une personne malade est généralement contagieuse jusqu’à 48 heures avant les premiers symptômes et 5 à 10 jours après.

9. Le gel, plus que le savon, assèche les mains

Faux.

«Autrefois, les solutions étaient très irritantes, mais la plupart contiennent aujourd’hui de la glycérine, un agent barrière qui protège contre les fissures et les gerçures sur les mains, dit le Dr Carignan. Les irritations surviennent en cas de lavages des mains à l’eau répétés quotidiennement, pas avec les gels alcoolisés.»

10. Certaines études remettent en cause l’utilité des gels

Vrai. Mais attention, plusieurs de ces études comportent des lacunes, note le Dr Carignan. Par exemple, des chercheurs américains ont avancé que, dans les maisons où il y a de jeunes enfants, les désinfectants ont peu d’impact pour prévenir les infections respiratoires, tandis qu’ils seraient assez efficaces contre la propagation du virus de la gastroentérite.

«Si l’on regarde les habitudes d’hygiène globalement, on remarque que les parents ont tendance à se désinfecter les mains après avoir changé une couche, ce qu’ils font peu après avoir mouché le nez de leur enfant. En milieu contrôlé, on sait que les gels sont efficaces.»

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Les premiers colons anglais se seraient entredévorés pour survivre


L’Amérique du Nord aurait pu avoir une tout autre histoire. Alors qu’à l’école, on nous parle de nos glorieux ancêtres, ont combattu les soi-disant sauvages, il semble que leur réussite ne soit pas si élogieuse
Les amérindiens auraient pu réussir à garder leurs terres contre les envahisseurs. Je suis toujours étonnée de voir que si certains évènements n’auraient pas eu lieu, cela aurait été une situation complètement différente aujourd’hui, pour le mieux ou le pire
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Les premiers colons anglais se seraient entredévorés pour survivre

 

Le Dr William Keslo présente le crâne servant... (Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve)

Le Dr William Keslo présente le crâne servant de preuve qu’un épisode cannibaliste a eu lieu à Jamestown.

LE SOLEIL, JEAN-MARIE VILLENEUVE

BAPTISTE RICARD-CHÂTELAIN
Le Soleil

(Québec) N’eût été le cannibalisme de certains colons anglais du XVIIe siècle, toute l’Amérique du Nord aurait pu être française, ou espagnole!

Jane. C’est le nom que les spécialistes d’archéologie de Jamestown en Virgine lui ont donné, faute d’avoir été en mesure de retrouver sa véritable identité. Donc Jane, ou plutôt son crâne, est la preuve «indiscutable» que des compatriotes affamés du premier fort anglais permanent des États-Unis ont mangé du prochain, s’enthousiasme William Kelso, directeur de la recherche et de l’interprétation au sein du Jamestown Rediscovery Archaeology, le groupe mandaté pour enquêter sur les vestiges.

M. Kelso est à Québec. Il participe au 47e Colloque sur l’archéologie historique et subaquatique organisé par la Society for Historical Archaeology. Plus de 1000 autres spécialistes du monde entier participent à la fête.

Notre interlocuteur explique donc qu’il logeait dans le camp des sceptiques avant que les restes de Jane soient déterrés. Les historiens avaient certes retracé cinq témoignages écrits de cannibalisme à Jamestown (à deux pas de Williamsburg) durant la grande famine de 1609-1610. Mais l’archéologue pensait que les ancêtres avaient romancé leurs récits à des fins politiques; peut-être pour obtenir plus de la mère patrie.

«Ça m’a convaincu hors de tout doute.»

Qu’ont-ils trouvé de si concluant?

«C’est un crâne très endommagé et mutilé ainsi qu’une partie d’un os de la jambe d’une fille anglaise de 14 ans. Ils n’étaient pas dans une sépulture […] plutôt dans un tas de poubelles.»

Une équipe d’historiens, d’archéologues et d’experts en sciences judiciaires ont reconstitué la tête et l’ont analysée.

«C’est très clair qu’une personne avec un couteau et un hachoir a enlevé les tissus mous sur le crâne, qu’il a ensuite cassé la boîte crânienne et a retiré le cerveau.»

D’autres témoignages historiques font référence à des épisodes de cannibalisme à la même période, relate Bill Kelso. Pas en Nouvelle-France, toutefois. Mais un récit de repas de chair humaine se déroule sur un navire français. D’autres documents évoquent le cannibalisme dans un camp espagnol de la Floride. Les ossements de Jane sont toutefois les seules preuves matérielles d’un épisode cannibale.

Qu’est-ce qui a poussé ces humains à se découper entre eux? En 1607, les Anglais s’étaient installés, notamment pour commercer avec les Amérindiens. Deux ans plus tard, les locaux ont compris que les visiteurs n’étaient pas des visiteurs, qu’ils étaient plus des envahisseurs. Alors, ils ont enfermé les Anglais dans leur camp. Les 200 colons commençaient à manquer de vivres quand 300 autres sont débarqués sans provisions, ayant tout perdu en mer au cours d’un ouragan. Donc, 500 colons affamés dans un camp, les nobles et les dirigeants gardant pour eux les réserves. Imaginez la suite. En 1610, quand le navire de ravitaillement est arrivé, Jamestown comptait environ 60 habitants, souligne M. Kelso.

Marquant pour l’histoire

Le cannibalisme de survie a en partie sauvé l’Amérique britannique, selon le professeur. Si Jamestown n’avait pas survécu, les Anglais auraient probablement abandonné le Nouveau-Monde pour se concentrer sur les «Indes» de l’est beaucoup plus lucratives, évalue-t-il.

«L’Amérique du Nord aurait été colonisée par un autre pays européen comme la France. […] L’histoire des États-Unis comme colonie anglaise aurait été bien différente s’ils avaient échoué.»

Votre curiosité est piquée. «Venez nous voir!» invite William Kelso. Si vous ne pouvez faire le voyage chez l’Oncle Sam, en Virginie, vous pourrez toujours en apprendre plus ici (en anglais): http://historicjamestowne.org.

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Et si une bonne santé tenait à la rapidité de votre ordi?


Je trouve que les réponses des participants américains au sondage ressemblent plus aux fameuses résolutions de début d’années. Je conçois qu’un ordinateur lent peut amener un stress et fatigue, mais de là que cela empêche les gens à faire du sport ou a mieux se nourrir est un peu exagéré. Je crois plus que nous ne savons plus attendre, nous voulons tout et ce tout de suite,
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Et si une bonne santé tenait à la rapidité de votre ordi?

 

Un sondage montre que les Américains perdent en moyenne deux heures par semaine à cause de la lenteur de leur ordinateur, ce qui les fatigue et pourrait même avoir des conséquences sur leur santé, comme le notent les chercheurs.

Si vous avez travaillé sur un ordinateur peu puissant pendant toute l’année dernière, vous avez peut-être perdu plus d’un mois de votre temps à attendre qu’il se mette en route, qu’il ouvre certains programmes, ou réalisent des tâches habituellement rapides, comme le montrent les résultats de cette étude.

Lorsqu’on demanda comment les personnes choisiraient d’utiliser ce temps s’ils n’avaient pas à attendre devant leur ordi, 31% des adultes interrogés ont confié qu’ils feraient plus d’exercice, et 26% dormiraient plus.

Le manque de temps empêche aussi certains de manger de façon équilibrée, car 37% ont répondu qu’ils prendraient plus le temps à planifier leurs repas et/ou à plus cuisiner, plutôt que de manger des plats préparés ou du fast-food.

«Un ordinateur lent entraîne non seulement une perte de temps précieux qui pourrait être utilisé à améliorer sa santé, mais c’est aussi une source immense de frustration et de stress constant, deux choses mauvaises à la santé», a noté le coach Kathy Kaehler à propos de ces résultats.

Lors de ce sondage, 45% des adultes âgés de 18 à 34 ans ont reconnu que le fait de rester planter devant un ordinateur trop lent épuisait plus qu’une séance soutenue de sport


Ce sondage a été mené en ligne par Harris Interactive, en octobre dernier, auprès de 2.025 adultes américains. C’est le fournisseur de mémoire informatique Crucial.com qui a l’a commandé.

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Une lettre écrite en Alberta en 1919 retrouvée en Australie


Aujourd’hui, avec l’informatique, on envoie un courriel à un ami et s’il n’a pas de réponse on envoie d’autre et si possible on s’informe par des amis en communs, Mais, il fut un temps, qu’envoyer une simple lettre n’avait pas le garanti que le destinataire l’ai reçu
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Une lettre écrite en Alberta en 1919 retrouvée en Australie

 

Victoria Collier a écrit cette lettre le 15... (PHOTO LA PRESSE CANADIENNE)

Victoria Collier a écrit cette lettre le 15 novembre 1919 sur du papier en-tête de la compagnie Vulcan Supply, dans la petite ville située au sud-est de Calgary.

PHOTO LA PRESSE CANADIENNE

La Presse Canadienne
CALGARY

Une lettre jaunie retrouvée dans un vieux camion a donné aux résidants de la petite ville albertaine de Vulcan un aperçu de la vie dans les Prairies après la Première Guerre mondiale.

Victoria Collier a écrit cette lettre le 15 novembre 1919, peu après la fin de la guerre, sur du papier en-tête de la compagnie Vulcan Supply, dans la petite ville située au sud-est de Calgary.

La lettre est restée cachée dans un camion durant 94 ans, jusqu’à ce que Tim Lacey n’achète le véhicule à Balaklava, en Australie, il y a quelques années.

Une fois la lettre retrouvée, il l’a renvoyée à Vulcan.

La missive est adressée à une certaine Mlle Scholz.

Le petit-fils de Mme Collier, Dave Collier, a affirmé que sa grand-mère est décédée lorsqu’il avait 19 ans, il y a 51 ans.

«On dirait que les choses ne seront plus jamais comme avant, depuis cette guerre, tout est sens dessus-dessous, dit la lettre. Les États-Unis sont dans un état effroyable. Cela leur rend bien service toutefois, ils n’arrêtent pas de dire « comment ils ont gagné la guerre » en réduisant les autres « nations », ils croient qu’ils dirigent le monde, vous devriez être reconnaissante de ne pas les avoir pour voisins.»

Mme Collier parle ensuite météo à sa correspondante.

«Nous avons eu une année de sécheresse, la troisième d’affilée, cela empire les choses. Un hiver hâtif s’est installé, nous avons eu deux pieds de neige (60 centimètres) le 15 octobre (…) le bétail meurt de faim, le foin est horriblement cher, on peut à peine s’en procurer. Le gouvernement parle d’aider un peu plus qu’il ne l’a fait.»

Dave Collier a été surpris du ton de la lettre, qui lui a montré un aspect différent de la personnalité de sa grand-mère.

«Elle y est très jasante et elle n’était pas comme ça, à ma connaissance, avec nous. C’était une femme très gentille mais totalement réservée», s’est-il souvenu.

La dame était âgée dans la fin vingtaine lorsqu’elle a écrit cette lettre.

M. Collier a raconté qu’elle est née en Tasmanie et a perdu ses parents lorsqu’elle avait neuf ans. Elle a été adoptée par d’autres membres de sa famille et est allée à l’école en Nouvelle-Zélande, en Australie et en Angleterre.

«(Sa correspondante) était probablement une personne avec qui elle était allée à l’école ou un membre de la famille avec qui elle a vécu, de toute évidence quelqu’un de qui elle était très proche.»

M. Collier, 70 ans, a aussi raconté que ses grands-parents s’étaient rencontrés en Angleterre avant que sa grand-mère n’arrive au Canada en 1908. Il croit qu’il s’agissait probablement d’un mariage arrangé.

La lettre de la dame parle également des loisirs qu’elle pouvait pratiquer en hiver dans cette petite ville.

«Les jeux sur la glace sont au menu du jour maintenant, le curling, le hockey et le patinage.»

La lettre a été offerte à la famille, mais M. Collier a affirmé qu’elle serait remise au musée de Vulcan.

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Des masques à oxygène pour animaux de compagnie


Bien que le premier devoir des pompiers soit sauvé des vies humaines, quand l’occasion ne se présente pourquoi pas les animaux de compagnie surtout si l’équipe est équipée de masque d’oxygène spécialement conçu pour les animaux …
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Des masques à oxygène pour animaux de compagnie

 

Le masque à oxygène pour animaux est un... (Photo fournie par RéanimO2)

 

Le masque à oxygène pour animaux est un accessoire indispensable pour sauver les chiens et les chats ayant inhalé des fumées toxiques.

PHOTO FOURNIE PAR RÉANIMO2

STÉPHANIE VALLET
La Presse

Soixante-dix-sept postes de pompiers sont équipés de masques à oxygène pour animaux de compagnie au Québec. Une initiative lancée il y a maintenant huit ans par le docteur Michel Pépin qui, malgré sa popularité et son efficacité, n’a pas encore été mise en place dans la plupart des postes de Montréal.

En cas d’incendie, l’inhalation de fumée est extrêmement toxique pour les personnes, mais aussi pour leurs animaux de compagnie. Bien que la mission des pompiers soit avant tout de sauver des vies humaines, ils n’hésitent pas, quand c’est possible, à prendre soin de nos compagnons à quatre pattes en détresse.

Les animaux ont en effet tendance à se cacher en cas d’incendie. Ils peuvent alors inhaler de la fumée et être en difficulté respiratoire. Les résultats de l’utilisation d’un masque à oxygène sont alors spectaculaires.

C’est en 2004 qu’une chaîne américaine de boutiques pour animaux a eu l’idée d’équiper les pompiers de masques à oxygène pour leur clientèle. Le Dr Pépin, directeur de l’Association des médecins vétérinaires du Québec, a repris l’initiative dans la Belle Province en 2006 en lançant le projet RéanimO2. Des Îles-de-la-Madeleine à la Gaspésie en passant par Laval et Longueuil, 226 masques ont ainsi été distribués dans 77 postes couvrant totalement ou en partie 60 municipalités. Les pompiers y sont maintenant équipés de masques à oxygène de fabrication québécoise, offerts en trois tailles et spécialement conçus pour les museaux des chiens et des chats.

«Le plus dur a été de convaincre les syndicats de pompiers, qui ne voulaient pas que leurs membres aient à suivre une formation supplémentaire ou à assumer une responsabilité supplémentaire. Il faut se rappeler que sauver les animaux n’est pas la fonction première des pompiers. Mais quand ils en ont l’occasion, autant qu’ils soient bien équipés. Les masques pour humains sont plats pour recouvrir la bouche et le nez. Ils ne sont donc pas adaptés aux museaux. Les masques pour animaux étaient autrefois utilisés pour des interventions chirurgicales. Avec le temps, on a commencé plutôt à les intuber pendant les opérations. On les utilise encore parfois pour les petits rongeurs, les oiseaux et certains chats», explique le Dr Pépin.

C’est grâce aux collectes de fonds et à de généreux donateurs que les postes se sont vu offrir les masques à oxygène. L’ensemble de trois masques de tailles différentes ne coûte que 100$. Mais la grande majorité des postes des arrondissements de Montréal n’en sont pas encore équipés. Si vous désirez changer la donne, il est possible de communiquer avec le Dr Pépin par l’adresse courriel veterinet@videotron.ca. Il sera en mesure de vous fournir une lettre type de demande à la direction du poste de votre quartier ou tout autre renseignement pertinent à ce sujet.

Éviter le drame

Si, après avoir été en contact avec de la fumée, votre animal a perdu connaissance, qu’il titube, qu’il vomit, que ses yeux sont rouges ou que ses muqueuses sont bleutées ou plus pâles, rendez-vous dès que possible chez votre vétérinaire. Sachez d’ailleurs que, dans une telle situation, votre assurance habitation couvrira les frais. C’est bien la première fois que l’on pourra tirer avantage du fait que les animaux de compagnie sont considérés comme des biens!

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