État d’esprit


C’est ce que je me dis quand l’hiver s’installe et que la noirceur vient plus tôt assombrir le jour. L’attitude positive peut aider à rendre cette saison moins pénible
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État d’esprit

 

De votre état d’esprit dépend votre bonheur … Vous pouvez regarder tomber la pluie avec une grimace ou un sourire …

Hervé Desbois

Un garçon apprend à son bébé husky à hurler comme un loup


Le plaisir d’avoir un chien pour lui apprendre plein de trucs qui font sourire …
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Un garçon apprend à son bébé husky à hurler comme un loup

 

 

MARLIE BEAUDIN

 

Qu’est-ce qui est plus adorable que de voir un petit garçon avec son bébé chien? Un petit garçon qui apprend à son bébé husky à hurler comme un loup. 

 

http://www.journaldequebec.com

Le Saviez-vous ►Les lapins et leurs petites queues blanches clignotantes chercheraient-ils à attirer le regard de leur prédateur ?


Certains animaux qui sont en bas de la chaine alimentaire dans la nature, ont une échappatoire grâce à leur queue blanche. Un avantage qui peut leur sauver la vie devant les prédateurs
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Les lapins et leurs petites queues blanches clignotantes chercheraient-ils à attirer le regard de leur prédateur ?

 

Certains animaux de proie, comme les lapins et les cerfs, disposent de queues blanches qui sont bien mises en évidence quand ils sont pourchassés par des prédateurs. Mais pourquoi un animal voudrait-il attirer l’attention sur lui-même dans une si dramatique situation ?

Selon le biologiste évolutionniste Dirk Semmann de l’Université de Göttingen en Allemagne, cela n’appartient pas à la sélection sexuelle, comme la subjuguant queue du paon par exemple, ni le signal à ces congénères qu’il a été repéré par un prédateur. Au contraire, c’est une façon de confondre les prédateurs pendant la chasse.

Parce que ces queues blanches sont très visibles, les prédateurs se focalisent sur ces points lumineux, oubliant qu’il y a un plus grand animal devant. Quand un lapin ou un cerf exécute une manœuvre d’évitement, comme un virage serré, le point disparait soudainement et le prédateur doit réajuster sa focalisation sur le manteau camouflé. Cela va lui prendre quelques 10e de seconde qui seront vitales à l’animal traqué, lui donnant une plus large opportunité de s’échapper.

Semmann a testé sa théorie en faisant jouer 24 cobayes humains à un jeu vidéo dans lequel ils devaient suivre un lapin virtuel avec et sans queue clignotante. Comme suspectée, la présence d’une queue a sensiblement réduit leur nombre de mouvements corrects.

Dirk Semmann a présenté sa recherche lors de la conférence 2013 sur le comportement animal, à Newcastle, Angleterre : BEHAVIOUR 2013 et décrite sur Nature : Why rabbits have white tails.

http://www.gurumed.org

Facebook plus fort que Big Brother : le réseau social sait quand vous écrivez et ne publiez pas


On dirait qu’il n’y a pas juste la NSA qui collecte des données sur Internet, via les réseaux sociaux. Facebook est capable de conserver ce que vous écrivez sans toute fois le publier sur votre statut. Jusqu’ou cela va aller ? Peut-on parler de violation de la vie privée, si une personne décide de censurer ce qu’il a écrit ? Qu’est-ce qu’il peut faire de ce que nous n’envoyons pas ?
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Facebook plus fort que Big Brother : le réseau social sait quand vous écrivez et ne publiez pas

 

En effet, le code qui alimente Facebook arrive à connaître ce que vous avez tapé sur votre clavier.

Dis-moi comment tu utilises Facebook et je saurais qui tu es (et même si tu ne publies pas tout ce que tu écris). C’est en somme ce que met à jour une récente étude menée par deux personnes salariés du réseau social dont Business Insider se fait l’écho. Ainsi Sauvik Das, un étudiant-chercheur ancien stagiaire chez Facebook, et Adam Kramer, scientifique au sein de l’entreprise de Mark Zuckerberg, ont mis en ligne un article présentant leur étude du comportement d’autocensure sur cinq millions d’utilisateurs. Et ils en concluent donc que Facebook collecte tous les statuts non publiés. En clair, il existe le code qui alimente le réseau social sait ce que vous avez tapé et ce même si vous décidez de ne pas le publier. Dès lors même ce que vous décidez de ne pas partager n’est pas entièrement privé.

Pour arriver à ses fins, selon Slate, Facebook envoie du code à votre navigateur. Ce code analyse automatiquement ce que vous tapez dans un champ texte et renvoie les métadonnées à Facebook. Cette technologie n’est en soit pas nouvelle car Gmail s’en sert aussi. En effet, les mails sont automatiquement enregistrés dans les brouillons au moment où ils sont rédigés. Cela permet d’en conserver une copie en cas de bug technique par exemple. Mais si Google sauvegarde vos messages pour vous aider, Facebook de son côté ne prévient aucunement qu’il agit de la même manière.

http://www.atlantico.fr/

Une fan du Seigneur des Anneaux se fait opérer pour ressembler à un elfe


Je me demande pourquoi que des personnes qui veulent être autre chose que soi-même. Aimé un film, des personnages sont une chose, mais vouloir y ressembler me laisse perplexe.
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Une fan du Seigneur des Anneaux se fait opérer pour ressembler à un elfe

 

INSOLITE – Obsédée par tout ce qui se rapporte aux elfes et au Seigneur des Anneaux, une jeune Canadienne s’est fait tailler les oreilles, rapporte le site The Mirror.

 

Le mysticisme poussé à l’extrême, jusqu’au bout des oreilles. Cette jeune Canadienne âgée de 23 ans n’avait qu’une obsession, entrer dans la peau d’un elfe, personnage emblématique du Seigneur des Anneaux, la trilogie de Peter Jackson, qu’on retrouve actuellement dans les salles obscures avec le deuxième volet du Hobbit.

Pour toucher du bout des doigts son rêve, elle n’a pas hésité à se faire tailler les oreilles en pointe, à l’image de ses légendaires héros. Et pour ce faire, elle a déboursé – seulement – 250 livres (soit près de 300 euros, plus de 400 dollars cad), rapporte le site britannique The Mirror.

« Je ne reprendrai jamais ma forme humaine »

« J’ai toujours été très proche de la nature, a confié la bien-nommée Melynda Moon. Les oreilles pointues sont la chose la plus adorable qui soit et les habits elfiques sont tellement élégants ! »

« Quand j’ai découvert que je pouvais me faire tailler les oreilles, je n’ai jamais été aussi sûre de quelque chose de toute ma vie », poursuit-elle pour justifier son passage à l’acte.

La jeune femme s’est donc fait couper le cartilage du haut des oreilles en forme de triangle, comme le montre la photo.

Après l’opération qui n’a duré que deux heures, les oreilles ont mis deux semaines à cicatriser et la peau s’est parfaitement recollée, formant un triangle tout ce qu’il y a d’elfique.

« Je ne reprendrai jamais ma forme humaine, s’est-elle enthousiasmée. Maintenant, il ne me manque que l’éclat des elfes et les ailes pour voler. »

Sauf que les elfes ne volent pas, mais la jeune Canadienne n’est sans doute pas à une aberration près. On ignore ceci étant si elle a des velléités de vie éternelle, comme c’est le cas pour les elfes du Seigneur des Anneaux.

http://www.metronews.fr

Des « chirurgies » crâniennes il y a 1000 ans


Déjà qu’aujourd’hui se faire opérer au cerveau doit être drôlement stressant, malgré toutes les précautions d’hygiène et de précision aidée par la technologie, imaginez ce genre d’opération il y a 1000 ans.
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Des « chirurgies » crâniennes il y a 1000 ans

 

Un crâne 

Photo :  Danielle Kurin

Des ossements découverts au Pérou montrent que des guérisseurs pratiquaient la trépanation il y a plus de 1000 ans.

Ce procédé chirurgical consiste à enlever une partie de la voûte crânienne. Jusqu’au 16e sièce, il était utilisé pour traiter l’épilepsie, les convulsion, les blessures à la tête et les troubles mentaux. C’était aussi, dans certaines civilisations, un moyen de libérer le corps de mauvais esprits.

De nos jours, la chirurgie crânienne est parmi les plus délicates, malgré des conditions d’hygiène plus élevées, une plus grande précision des instruments et l’existence de puissants médicaments contre la douleur. La trépanation est toujours utilisée pour retirer  des tumeurs ou dans le cas des hématomes.

La biologiste-archéologue Danielle Kurin et ses collègues de l’Université de la Californie à Santa Barbara ont mis au jour les restes de 32 personnes dans des grottes funéraires de la province andine d’Andahuaylas.

« Lorsque vous recevez un coup sur la tête qui cause un dangereux gonflement du cerveau, ou si vous avez une sorte de maladie neurologique, spirituelle ou psychosomatique, percer un trou dans la tête peut sembler une chose raisonnable à faire. »Danielle Kurin

Selon Mme Kurin, les premières trépanations ont fait leur apparition dans les hauts plateaux andins du centre-sud au cours de la période intermédiaire précoce (AD 200-600), bien que la technique n’était pas universellement pratiquée.

Le détail de cette découverte est publié dans l’American Journal of Physical Anthropology.

http://ici.radio-canada.ca/

Le cerveau des filles mûrit plus vite que celui des garçons


Ce n’est pas une nouvelle, mais il semble que les scientifiques ont mieux compris le processus du cerveau qui se réorganise plus tôt chez les filles
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Le cerveau des filles mûrit plus vite que celui des garçons

 

PHOTO FOTOLIA

Ce processus expliquerait pourquoi les filles gagneraient de la maturité plus rapidement que les garçons.

NEWCASTLE, Royaume-Uni – Le cerveau procède à une réorganisation majeure afin d’améliorer son fonctionnement, et ce changement s’effectue plus tôt chez les filles que chez les garçons.

Ce processus expliquerait pourquoi les filles gagneraient de la maturité plus rapidement que les garçons, selon l’étude menée par des chercheurs de l’Université de Newcastle.

Durant cette réorganisation, le cerveau réduit le nombre de ses connexions afin d’éliminer des données inutiles, pour se concentrer sur l’efficacité de sa fonction. Ce mécanisme d’élagage épargne toutefois les connexions neuronales permettant d’intégrer et de conserver l’information importante.

Pour parvenir à ces conclusions, les scientifiques ont examiné le fonctionnement du cerveau de 121 personnes en bonne santé, âgées de 4 à 40 ans.

Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Cerebral Cortex.

http://www.journaldemontreal.com

Que se passe-t-il quand…


Nous prenons de bonnes et de mauvaises habitudes, mais souvent les mauvaises habitudes prennent plus de places. Alors peut-être sachant plus en détails les conséquences sur le corps, comme ne pas déjeuner le matin, être toute la journée de la mauvaise humeur etc …
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Que se passe-t-il quand…

 

Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, mais la plupart des choix que vous faites au quotidien ont un effet immédiat et significatif sur votre corps et, par extension, votre santé. En voici sept qui peuvent augmenter – ou réduire – les risques de développer une grave affection comme le diabète ou une maladie cardiaque.

1. Que se passe-t-il quand… je saute le petit-déjeuner?

Crédit photo : Thinkstock

Au réveil, après une longue nuit de sommeil, votre corps a passé pas moins de 12 heures sans repas. Cela signifie que vous avez besoin de carburant. Plus précisément, votre système sanguin est sans doute à court de glucose. Si vous sautez le petit-déjeuner et quittez la maison avec une glycémie basse, votre cerveau, qui a besoin d’un taux constant de sucre dans le sang pour être efficace, ne fonctionnera pas à pleine capacité. Vous vous sentirez peut-être nauséeux, nerveux, ou bien moins alerte. On a relevé à plusieurs reprises que les élèves qui mangent le matin ont une meilleure mémoire et apprennent plus que ceux qui ne le font pas.

«Le petit-déjeuner est important pour rester maître de votre appétit le reste de la journée», affirme Suma Dronavalli, endocrinologue.

La plupart des gens compensent les kilojoules non absorbés au repas du matin en mangeant trop le midi et le soir, principalement des aliments riches en gras saturés – ceux qui obstruent les artères.

Ceux qui omettent le petit-­déjeuner ont aussi plus facilement tendance à mal s’alimenter entre les repas. Des chercheurs du Venezuela et des États-Unis ont découvert que les femmes obèses qui prenaient un bon petit-déjeuner riche en glucides et en protéines pendant un régime perdaient plus de poids – sans le reprendre – que celles qui ne mangeaient rien le matin. Faites donc honneur au petit-déjeuner et non seulement vous perdrez du poids, mais votre glycémie retrouvera la forme.

Conclusion

Plus des trois quarts des personnes qui perdent du poids et gardent la ligne prennent un petit-déjeuner tous les jours. S’asseoir pour manger le matin peut aussi diminuer de moitié le risque de développer une résistance à l’insuline, responsable du diabète de type 2.

2. Que se passe-t-il quand… je mange du chocolat entre les repas?

Crédit photo : Thinkstock

Le sucre est le principal ingrédient de toutes les friandises. Lorsque vous savourez des jujubes, de la réglisse ou des sucreries qui ne contiennent pratiquement rien d’autre, votre glycémie monte en flèche immédiatement (et parfois dangereusement). L’effet du chocolat sur la glycémie n’est pas aussi mauvais : le gras qu’il contient ralentit légèrement la digestion. Cela signifie que le sucre présent dans une barre chocolatée augmentera votre glycémie, mais jamais autant que des glucides simples comme les bonbons, le pain blanc, les pâtes ou les pommes de terre.

Cela dit, les collations au chocolat présentent tout de même beaucoup d’inconvénients. Pour commencer, le chocolat au lait – celui des barres les plus populaires – contient beaucoup de gras saturés qui obstruent les artères. Certes, une partie de ces gras est une forme appelée acide stéarique, qui n’augmente pas beaucoup le cholestérol. Mais une grande quantité de lipides signifie beaucoup de calories ; quel que soit l’angle sous lequel vous le croquez, le chocolat au lait fait grossir votre ventre et n’a que peu de nutriments. Sauf si vous optez pour le chocolat noir – contenant des antioxydants qui diminuent la tension artérielle. Si vous en mangez un carré par jour (ou une petite barre par semaine), votre tension pourrait baisser de quelques degrés.

Conclusion

Certes, le chocolat est attirant, mais considérez-le comme un plaisir occasionnel, ou votre ligne en paiera le prix.

3. Que se passe-t-il quand… je mange une pomme en collation ?

Crédit photo : Thinkstock

Chaque bouchée d’une pomme juteuse fournit des nutriments essentiels et d’autres éléments qui gardent votre métabolisme sur les rails, modèrent l’appétit et alimentent le cœur. Les fibres en sont les principales sources, en particulier les fibres solubles. Toutes les formes de fibres sont bonnes pour la santé, mais les solubles ont une particularité indispensable pour contrôler la glycémie : elles deviennent gluantes dans vos intestins. Cela ralentit la digestion, ce qui veut dire que le sucre contenu dans une pomme – et il y en a beaucoup – est absorbé lentement ; en manger une provoque à peine un changement dans votre glycémie.

Les pommes possèdent aussi un antioxydant appelé quercétine. Ce composé très puissant (également présent dans le thé vert et les oignons) permet de réduire les risques d’asthme, de maladie cardiaque et peut-être même de certaines formes de cancer.

Conclusion

Des études à grande échelle ont prouvé que les amateurs de pommes courent moins de risques de développer le diabète ou de faire un infarctus que les autres. Et que manger une pomme par jour permet aussi de perdre du poids. Oh, et les pommes sont délicieuses – comment ne pas les apprécier? Croquez-en une dès aujourd’hui.

4. Que se passe-t-il quand… je passe la journée assis?

Crédit photo : Thinkstock

Passer une journée à paresser sur un canapé n’est peut-être pas si terrible à vos yeux, mais votre corps trouve toutes sortes de façons de semer la pagaille avec le glucose qui flâne dans votre système sanguin. Faire une promenade ou n’importe quel autre type d’activité physique force les cellules musculaires à absorber le glucose, qu’elles utilisent pour produire de l’énergie. Lors d’une journée où vous ne donnez pas à vos muscles assez de travail, le glucose n’est pas utilisé. Avec le temps, un mode de vie trop sédentaire expose à deux problèmes majeurs : votre corps convertit une partie du sucre non utilisé en graisse ; et le glucose qui reste présent dans le sang peut augmenter les taux de dangereux composés appelés PTG, qui endommagent les nerfs et les cellules sanguines. C’est pourquoi une glycémie élevée peut entraîner des complications liées au diabète, comme des insuffisances rénales, des lésions nerveuses et la cécité.

Sortir marcher peut vous permettre de les éviter. L’exercice est un excellent brûleur de graisses sans compter que l’activité physique diminue aussi les taux de PTG – entre autres avantages.

Conclusion

Rester assis est l’assurance d’une mauvaise glycémie, d’une prise de poids et de tous les problèmes que cela entraîne.

5. Que se passe-t-il quand… je passe la journée en colère ?

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Il n’y a rien de mal à se mettre occasionnellement en colère – c’est parfaitement normal d’être furieux de temps en temps. Mais rester en colère est autre chose : c’est mauvais pour la santé. En plus de ruiner votre humeur et d’éloigner les autres, passer toute la journée à fulminer peut augmenter les risques de problèmes de santé comme la prise de poids et le diabète. La colère est une forme de stress émotionnel, qui entraîne une libération d’adrénaline et d’autres hormones liées au stress. L’un des effets de ces « hormones du stress » est d’augmenter votre glycémie. De plus, le stress peut vous rendre plus enclin à céder aux mauvaises habitudes, comme la malbouffe.

Laisser bouillir votre colère toute la journée peut aussi endommager votre cœur. Une étude récente de l’Université Yale a découvert que les gens portés à ruminer ont aussi des taux élevés d’une substance appelée endothéline, connue pour déclencher des crises cardiaques en provoquant un éclatement des plaques dans les artères (des amas de graisse, cholestérol et autres déchets) qui vont ensuite former des caillots de sang. D’autres recherches ont démontré qu’une colère intense et prolongée peut provoquer une arythmie, des battements de cœur erratiques pouvant mener à un arrêt cardiaque – définitif.

Conclusion

La colère prolongée peut devenir toxique. Alors si la moutarde vous monte au nez, trouvez un moyen d’extérioriser. Couchez votre rage sur le papier. Si un ami ou un parent vous irrite, dites-le-lui. Ou sortez et hurlez – tout ce qui peut vous permettre de relâcher la pression.

6. Que se passe-t-il quand… je passe une bonne journée ?

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Quand vous êtes joyeux, votre corps se prédispose au calme et semble plus apte à prendre soin de lui. Puisque vous êtes en paix avec le monde, il n’y a aucune raison de libérer des hormones du stress, qui non seulement augmentent votre glycémie, mais également votre tension artérielle et votre rythme cardiaque.

De fascinantes recherches suggèrent aussi que les gens heureux développeraient moins facilement des infections et d’autres maladies. Des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon ont exposé des hommes et des femmes à divers virus. Ils ont découvert que ceux qui étaient enjoués et positifs produisaient un nombre significativement plus élevé de protéines de lutte contre les infections, appelées cytokines – des substances sécrétées par le système immunitaire et transportant des signaux entre les cellules.

Ce que vous éprouvez peut aussi affecter votre comportement. D’autres études ont révélé que les personnes optimistes sont plus enclines à bien manger et à faire de l’exercice – et possèdent une glycémie plus basse pour le prouver.

Conclusion

Vous souvenez-vous du dicton : un sourire fait travailler plus de muscles faciaux qu’un froncement de sourcils ? Eh bien, il semble qu’un beau sourire aide aussi à combattre la glycémie élevée.

7. Que se passe-t-il quand… je ne dors que cinq heures ?

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Le manque de sommeil peut saboter votre corps. Des recherches montrent que cela réduit le taux de leptine, une hormone qui permet de contrôler l’appétit. Conséquence : si vous ne dormez pas assez, vous risquez fort de trop manger. Cela augmente également le taux d’hormones du stress, qui poussent votre organisme à libérer plus de glucose dans le système sanguin. Trop peu de sommeil rend votre corps moins sensible à l’insuline.

Mais ce n’est qu’un début. Une courte période de sommeil empêche la production de certains composés du système immunitaire qui défendent le corps contre les bactéries. Une étude de 2009 a découvert que les gens qui dorment moins de sept heures par nuit ont trois fois plus de chances d’attraper un rhume.

Enfin, il y a les effets immédiats. Lorsque la sonnerie du réveil vous arrache douloureusement à un sommeil profond, vous risquez de commencer la journée de mauvaise humeur. Au cours de cette journée, vous pourrez aussi sentir que votre esprit est engourdi et brumeux. Les personnes bien reposées assimilent plus vite de nouvelles informations et possèdent une mémoire plus précise. Les nuits trop courtes ralentissent aussi le temps de réaction.

Conclusion

Bien que certaines personnes puissent fonctionner avec relativement peu de sommeil, la plupart des gens ont besoin de dormir sept ou huit heures par nuit.

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