La vie


Pour connaitre le positif d’un sentiment, de quelque chose, d’un évènement, d’une personne, il faut aussi connaitre son contraire
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La vie

 

 

La vie est tellement ironique :
Il faut avoir connu la tristesse afin de savourer le bonheur
Le bruit afin d’apprécier le silence
et l’absence afin de profiter de la présence

Auteur  inconnu

Un enfant se jette sur la route et sauve un chien


Un jeune garçon qui n’a pas hésité de se lancer dans la circulation pour sauver un chien qui était dans situation vraiment dangereuse
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Un enfant se jette sur la route et sauve un chien

 

Voilà une histoire qui finit bien et dont le jeune héros brésilien peut être fier !

Jean Fernandes, un garçon de 11 ans, a assisté à une scène qu’il n’oubliera pas de si tôt. Sous ses yeux, une voiture a percuté un chien avant de prendre lâchement la fuite.

Tout est bien qui finit bien

Sans même y réfléchir, le jeune garçon s’est jeté sur la route pour stopper le trafic et récupérer le chieni mmobile.

Rapidement emmené chez le vétérinaire, le chien nommé Honey s’est vite remis de cette rencontre renversante. Il est en forme et s’est fait un nouvel ami.

Par pur hasard, l’évènement s’est déroulé près du domicile de la photographe Rafaela Matins qui acapturé ce moment aussitôt devenu viral.

Regardez :

http://wamiz.com/

Le Saviez-Vous ►L’arbre albinos et vampire de la forêt de Redwood.


Connaissez-vous les arbres-fantôme ? Non ce ne sont pas des arbres qui hantent les forêts, mais c’est a cause de leur blancheur, ou si vous préférez des arbres albinos. Alors comment font-ils avec la photosynthèse ?
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L’arbre albinos et vampire de la forêt de Redwood.

 

Les organismes, avec des mutations génétiques entrainant L’albinisme, sont assez étranges en général, mais des plantes albinos sont encore beaucoup plus bizarres, surtout si en plus elles agissent comme des vampires suceurs de sève.

L’extrêmement rare arbre-sequoia albinos appartenant à la famille des séquoias à feuilles d’if, n’a pas de pigment vert chlorophylle qui, comme vous le savez, est vital pour les plantes dans le processus de la photosynthèse de la lumière. Ils sont tout blancs et se comportent comme des vampires en suçant la sève de leur congénère.

25 de ces arbres-fantômes ont été recensés à travers le monde, dont 8 se trouvent au parc de Henry Cowell en Californie, où des chercheurs de l’Université de Stanford et de l’UC Santa Cruz les étudient.

Ces scientifiques essayent de percer le mystère de cette modification génétique qui empêche cet arbre de transformer le soleil en énergie vitale. Pour pallier à ce manque, ils se nourrissent de la sève d’un arbre-hôte, celui-ci étant un parent sain qui par une reproduction asexuée fait bourgeonner de nouvelles pousses à partir de ces racines. Ces séquoias ont 66 chromosomes par rapport à l’humain qui n’en a que 23, ce qui rend leur tâche beaucoup plus compliquée.

Ce n’est pas les premières modifications que découvrent les chercheurs, sur ces grands arbres. Ils s’adaptent génétiquement rapidement et constamment, pour trouver la bonne combinaison afin de lutter contre les champignons et les virus qui pourraient les décimer. Cet albinisme ne serait qu’une de leurs nombreuses expériences évolutives et infructueuses.

Lorsque les temps sont durs, les hôtes de ses arbres-fantômes leur coupent les vivres, les semis périssent pour pousser à nouveau quand le temps est plus clément.

Cette modification génétique n’est pas la meilleure qu’est pu produire ces séquoias, mais elles démontrent les expérimentations effectuées par ces arbres, pour une adaption constante à leur environnement.

 

http://www.gurumed.org

Regarder les images d’un drame peut être pire que le vivre


Lors d’un drame, c’est normal de chercher de l’information, de savoir ce qui s’est passé, mais le temps qu’on regarde photos, vidéos, en plus de la lecture peut devenir un exercice très stressant
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Regarder les images d’un drame peut être pire que le vivre

 

Les images les plus crues de l’attentat du marathon de Boston ont été censurées ou édulcorées par les médias, mais de nombreux clichés bruts ont été mis en ligne sur les médias sociaux par des témoins.

PHOTO: AP

KERRY SHERIDAN
Agence France-Presse
Washington

Les personnes qui ont passé six heures par jour à éplucher les médias pour avoir des informations sur l’attentat du marathon de Boston ont été plus traumatisées que celles qui étaient sur place, affirme une étude américaine publiée lundi.

Dans ces travaux publiés dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, les chercheurs ont étudié les conséquences psychologiques d’une exposition répétée à la violence via les médias traditionnels et numériques, après cet attentat, le premier sur le sol américain depuis ceux du 11-Septembre.

Deux bombes fabriquées à partir de cocottes-minutes pressurisées ont explosé près de la ligne d’arrivée du marathon de Boston le 15 avril, faisant trois morts et 260 blessés, parmi lesquels plusieurs amputés.

Les images les plus crues de cette scène de violence ont été censurées ou édulcorées par les médias mais de nombreux clichés bruts ont été mis en ligne sur les médias sociaux par des témoins, a expliqué à l’AFP Roxane Cohen Silver, l’une des auteurs de cette recherche.

«Ce qui nous a frappé, c’est l’impact que ces images ont eu –y compris sur les personnes qui n’étaient pas présentes ce jour-là», a expliqué ce professeur de psychologie à l’université Irvine de Californie. «La couverture médiatique a suscité davantage de réactions aigües au stress que l’expérience même» de l’attentat, a-t-elle précisé.

Le stress aigu se définit par un ensemble de symptômes comme des pensées entêtantes, un état d’hyper-vigilance permanent ou encore des flashbacks.

Les chercheurs ont ainsi demandé aux 4675 participants à cette étude quelle avait été leur consommation des médias dans les deux à quatre semaines suivant l’attentat et quel avait été leur état psychologique.

Sans surprise, les témoins de l’attentat ou les personnes connaissant des gens qui étaient présents le 15 avril dernier ont montré plus de signes de stress que les personnes qui n’y étaient pas. Ils ont également été plus enclins à consulter les médias sur la question.

Responsabilité des médias

Mais la donne semble s’inverser pour les personnes qui ont consulté de la documentation sur l’attentat plus de six heures par jour, a expliqué Roxane Silver.

«Il ne s’agit pas de minimiser les conséquences de l’exposition directe à un drame mais plutôt de dire que la couverture médiatique a déclenché encore plus de stress aigu», a-t-elle ajouté.

Les personnes s’étant informées six heures par jour et plus ont été neuf fois plus sujettes au stress aigu que celles n’ayant consulté les médias qu’une heure par jour.

Dans l’étude, la consultation moyenne des médias a été de 4,7 heures par jour et comprenait la lecture d’articles, le visionnage de reportages télévisés et de vidéos de l’explosion des bombes et la consultation d’images et de témoignages sur les médias sociaux.

Cette étude soulève la question de la responsabilité morale des organes d’information, déjà soulevée par le passé par des recherches sur les traumatismes indirects, a expliqué Bruce Shapiro, directeur à l’université de Columbia d’un département spécialisé dans le traitement par les journalistes des conflits ou des attentats.

Il précise néanmoins qu’un état de stress aigu ne conduit pas nécessairement à un état de stress post-traumatique. Il faut pour cela que les symptômes perdurent au-delà de six semaines et modifient profondément la vie des personnes qui les expérimentent.

Roxane Silver fait valoir que le paysage médiatique contemporain offre un accès plus facile aux images qui peuvent être dérangeantes, surtout si elles sont visionnées plusieurs fois par des personnes livrées à elle-mêmes.

«Les gens devraient être conscients qu’il n’y a aucune retombée psychologique bénéfique à visionner des images horribles de manière répétée», a-t-elle mis en garde.

http://www.lapresse.ca

Peste : une épidémie persistante à Madagascar


Entendre parler de la peste, nous fait rappeler l’époque ou la peste bubonique a fait des millions de morts. On entend plus vraiment parler, mais cela ne veut pas dire qu’elle ne fait pas encore des victimes à travers le monde
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Peste : une épidémie persistante à Madagascar

 

Prélèvements de sang des rats noirs à Madagascar.©IRD/JM Duplantier

Une épidémie de peste bubonique frappe actuellement Madagascar. Au total, 39 cas mortels ont été recensés au cours des dernières semaines. Cette île est d’ailleurs l’un des pays les plus touchés par cette affection très contagieuse. Environ 200 cas y sont rapportés chaque année. En France, les derniers datent de 1945, en Corse.

Non, la peste n’a pas disparu de la surface de la planète. Au cours des 15 dernières années, près de 40 000 cas humains ont été déclarés à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). L’Afrique est le continent le plus touché avec des foyers à Madagascar, en République Démocratique du Congo et en Tanzanie. En Asie, la Chine, la Mongolie et le Vietnam sont les plus concernés.

« Sur le continent américain, le principal foyer se trouve au Pérou mais les Etats-Unis ne sont pas épargnés : des cas autochtones de peste humaine sont rapportés chaque année dans ce pays », précise l’Institut Pasteur de Paris.

Découverte en 1894 par Alexandre Yersin, la bactérie Yersinia pestis est à l’origine des deux formes de la peste, bubonique et pulmonaire.  On lui attribue plus de 200 millions de morts dans l’histoire de l’humanité. La peste bubonique, autrement appelée ‘Peste noire’, a notamment fait des dizaines de millions de victimes en Europe au XIVe siècle.

La peste est principalement véhiculée par le rat. Elle est transmise à l’homme par piqûres de puces de rongeurs infectés. Elle se manifeste par une forte fièvre et la présence de ganglions très enflés au niveau du cou et des aisselles. Sa prise en charge repose sur une antibiothérapie.

Le rat noir…

« Cette pathologie – généralement associée à des conditions de vie précaire – sévit encore aujourd’hui dans des zones souvent reculées où les systèmes de détection ne sont pas ou peu performants », rappelait l’Institut de Veille sanitaire (InVS) dans un état les lieux effectué en 2008.

A Madagascar, le réservoir serait une espèce de rongeur : le rat noir. Des travaux réalisés à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) ont montré que ce dernier a colonisé l’île à la faveur des migrations humaines, il y a plus de 1 000 ans.

La peste quant à elle, serait arrivée bien plus tard, vers 1898. « Elle se maintient depuis grâce au rongeur dans les Hautes Terres », explique l’IRD. « En effet, bien que connu pour être sensible à la maladie, les rats noirs de cette région ont développé une résistance génétique. Ces travaux, combinant histoire, biologie des populations et écologie, expliquent la persistance de l’infection à Madagascar ».

Ecrit par : David Picot – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

Source : Institut Pasteur, site consulté le 13 décembre 2013 – Institut de Recherche pour le Développement (IRD), fiche d’avril 2010 sur la peste – Institut de Veille sanitaire (InVS), 8 janvier 2008

http://destinationsante.com/

CORRUPTION ET COLLUSION Un jeu suscite la controverse


Un jeu de société pour les plus de 12 ans ou le but est de corrompre pour avoir plus de contrats. Une situation bien connue dans la réalité, mais en faire un jeu ?? Est-ce moralement acceptable ? Personnellement, je trouve cela absurde !!!
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CORRUPTION ET COLLUSION 1Un jeu suscite la controverse

PHOTO FOTOLIA

Distribuer des enveloppes brunes et gonfler des contrats de bon cœur? C’est possible, grâce à un nouveau jeu de société, basé exclusivement sur les scandales québécois de corruption et de collusion.

Arrivé sur les tablettes des commerçants juste à temps pour Noël, le concept ne fait toutefois pas l’unanimité.

Intitulé «Passe-moi un contrat», le but du jeu est simple: mener ses adversaires en bateau, se débarrasser de son enveloppe brune et obtenir le plus de contrats possible.

Édité par la compagnie Ludik Québec, le jeu de stratégie est destiné aux personnes de 12 ans et plus et jusqu’à 50 peuvent y prendre part.

Décrit comme un jeu «hilarant» et vendu dans les grands magasins en ville, «Passe-moi un contrat» n’a toutefois pas séduit les personnes interrogées.

«Ça n’a pas d’allure, c’est à cause de gens malhonnêtes que le Québec n’a pas bonne presse à l’international, a partagé Nathalie Laplante en faisant ses emplettes de Noël. Ce n’est pas en vendant des jeux de société comme ceux-là qu’on fait avancer le débat ou qu’on redore notre image. C’est vraiment décevant.»

«Si ce devait être une blague, désolée, mais je ne ris pas», a mentionné pour sa part Julie Deguise.

Une porte-parole de l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) a pouffé de rire lorsque notre journaliste lui a expliqué le but du jeu.

«Ça n’a pas l’air bien sérieux cette affaire-là», a-t-elle dit, en riant.

L’OIQ n’a toutefois pas voulu faire de commentaires.

«Vous m’apprenez l’existence du jeu, on va se renseigner avant», a dit la porte-parole.

Banaliser la corruption

L’éditeur de «Passe-moi un contrat», Ludik Québec, se défend d’avoir créé un jeu controversé. L’objectif était surtout de s’inspirer des sujets chauds de l’actualité et de banaliser la corruption.

«On a voulu faire un clin d’œil à ce qui se passait au Québec avec la corruption. C’est vraiment pour rire, pour désamorcer la situation. C’est un jeu de blagues, si on veut, a réagi Andrée-Anne C. Tétreault, porte-parole de Ludik Québec. On est étonné de voir que des gens dénoncent le jeu.»

Selon Mathieu Bock-Côté, chroniqueur et chargé de cours au Département de sociologie à l’UQAM, il ne s’agit pas là d’un scandale, mais d’un exemple de la régression éthique de notre société.

«Nous vivons dans une société où la moindre occasion d’affaires est saisie et il suffit qu’une réalité soit médiatisée pour qu’elle devienne une  »occasion d’affaires », a-t-il déploré. Il n’y a plus d’interdits moraux, seulement des interdits légaux.»

M. Bock-Côté voit tout de même du positif avec «Passe-moi un contrat». Avec la commission Charbonneau et les scandales à n’en plus finir, il est bien de vouloir banaliser la corruption.

«Pour plusieurs, elle représente non plus d’abord une pathologie à combattre, mais une fatalité inévitable, avec laquelle il faut non seulement composer, mais dont on doit finalement rire et s’amuser, a-t-il ajouté. On peut y voir un émoussement des vertus civiques.»

http://www.journaldequebec.com

Kiwi, Panda, Anibal, Sida : découvrez les prénoms étonnants de 2013


Il y a des prénoms de bébé qui sont originaux, mais d’autres sont vraiment de très mauvais goût. Je n’arrive pas a croire qu’on puisse nommer Sida, Kiwi, Anibal entre autres sans penser aux conséquences dans leur relation social
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Kiwi, Panda, Anibal, Sida : découvrez les prénoms étonnants de 2013

 

Le site BabyCenter a dévoilé une liste des prénoms les plus surprenants donnés à des bébés en 2013. Du côté des filles, on peut par exemple trouver Blip, Kiwi ou Sida. Côté garçon, les parents ne manquent pas d’idées saugrenues, avec entre autres Panda, Tintin ou Legend.

BabyCenter explique que cette liste de prénoms provient des informations partagées par les membres du site, soit « plus d’un million de parents », et que « chacun de ces prénoms a été donné à au moins trois bébés ».

Les prénoms surprenants pour les filles :

Blip

Elektra

Eternity

Feline

Green

Kiwi

Nyx

Pippin

Sida

Tulip

Xaviera

Zabrina

Zona

Les prénoms surprenants pour les garçons :

Ajax

Anibal

Apollo

Baobao

Cadence

Cheese

Hurricane

Kashmere

Legend

Panda

Rocket

Tintin

Zion

http://www.ladepeche.fr/

Quand la Terre perdra ses océans


En attendant, et même si ces pronostiques sont a des millions d’années de notre temps, on devrait craindre plus la pollution que nous causons et le dommage avec les guerres
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Quand la Terre perdra ses océans

 

Photo :  iStockphoto

L’augmentation de la luminosité du Soleil, un phénomène très lent sans lien avec le réchauffement climatique actuel, mènera à l’augmentation des températures terrestres dans les futures centaines de millions d’années.

Conséquence : les océans se seront évaporés dans près d’un milliard d’années, prédit un modèle mis au point par une équipe française du Laboratoire de météorologie dynamique.

Selon les estimations des auteurs de ces travaux publiés dans la revue Nature, le basculement devrait se produire lorsque le flux solaire moyen atteindra environ 375 W/m2, contre 341 W/m2 actuellement, ce qui correspond à près d’un milliard d’années.

Le nouveau modèle repousse des estimations antérieures de plusieurs centaines de millions d’années.

En effet certains modèles précédents prédisaient que la Terre se transformerait en une nouvelle Vénus d’ici seulement 150 millions d’années.

Ces nouveaux résultats permettent par ailleurs de préciser la valeur de la zone « habitable » autour du Soleil. Ainsi, une planète peut s’approcher à moins de 0,95 unité astronomique d’une étoile équivalente au Soleil d’aujourd’hui avant de perdre toute son eau, une unité astronomique étant la distance moyenne de la Terre au Soleil.

Ces résultats permettent de mieux appréhender l’évolution de notre planète, mais aussi de préciser les conditions nécessaires à la présence d’eau liquide sur d’autres planètes similaires à la nôtre.

Le saviez-vous?
Plus
tôt cette semaine, une équipe internationale de chercheurs annonçait la détection d’énormes réserves d’eau douce sous le plancher océanique à des kilomètres des rives par des équipes internationales de chercheurs.

http://www.radio-canada.ca