Aveugle


Et c’est surement pour cela qu’il y autant de fraudes petites ou grandes, des gens qui sont victimes mais personnes ne voient, ni n’entendent .. cela peut-être d’ailleurs dans bien des domaines que ce soit dans l’environnement, au travail …..
Nuage

 

Aveugle

 

A force de fermer les yeux sur ce qui les entoure, certains sont devenus aveugles sans même le savoir …

Marc Lèvy

Ces lieux exceptionnels… qui n’existent pas


Nous sommes avides de belles images, de belles photographies, car nous ne voulons nous contenter du naturel. Sauf si c’est pour cacher un défaut ou un objet de trop dans une photographie, sommes, nous superficiel même dans l’image
Nuage

 

Ces lieux exceptionnels… qui n’existent pas !

 

Ces photographies exceptionnelles de la Terre font rêver. Mauvaise nouvelle : certains de ces lieux n’existent que grâce à Photoshop…

1. Le Mont Fuji au Japon et la Voie Lactée

Voici une jolie photo que vous avez peut-être croisée sur Twitter (par exemple ici, où elle est retweetée plus de 5 000 fois). Pas de chance, c’est une photo totalement retouchée.

On remarque que le soleil n’est pas totalement couché derrière le Mont Fuji. Aucune chance d’avoir un ciel aussi clair au niveau de l’horizon à cet instant de la journée (et donc d’observer aussi nettement notre galaxie).

D’autres photographies circulent. Il semble que la Voie Lactée soit particulièrement conciliante pour se placer avec autant de précision au-dessus de chacun de ces sommets.

2. « Gravity » le retour

Une navette Apollo de la NASA aurait été prise en photo depuis ISS (la station spatiale internationale).

Voici l’originale : on remarque que la photo a été croppée pour supprimer le hublot, et qu’un effet « tilt shift » lui a été ajouté.

Cette photo n’a pas été prise depuis ISS mais de beaucoup plus bas, par un avion de la NASA capable de voler à très haute altitude.

3. Une mystérieuse forêt mystique

Cette « forêt mystique » serait située aux Pays-Bas. Elle a été partagée un grand nombre de fois sur Twitter, comme par exemple ici.

Une belle pelouse rose, ça fait rêver bien sûr. Mais évidemment cette photo est totalement retouchée. Son auteur Sander Copier précise sur son compte Flickr qu’elle a été prise à Baarn dans le parc du palais de Soestdijk. Voici à quoi ressemble l’endroit :

4. Méfiez-vous des nuages lenticulaires…

Ces altocumulus (« lenticular clouds » en anglais) sont l’objet de nombreux détournements. La photo la plus connue est celle-ci du Mont Fuji (encore lui !) que l’on a pu voir par exemple ici.

Les nuages se rangent très rarement par ordre de taille décroissante au-dessus de sites exceptionnels. Voici la photographie originale (qui n’en reste pas moins étonnante !)

5. Les tempêtes de foudre

Les « tempêtes de foudre » sont des phénomènes naturels qui existent vraiment. Mais certains adeptes de Photoshop ont tendance à vouloir rendre les clichés encore plus impressionnants.

Cette photo a été partagée ici.

Voici l’originale, publiée par National Geographic, et prise par Francisco Negroni. Elle ne nécessitait pas forcément de retouches pour être impressionnante…

6. Le soleil a rendez-vous avec la lune

Cette photographie aurait été prise au Pôle Nord au lever du soleil, alors que la lune était encore présente dans le ciel. Elle a également été très partagée, par exemple ici.

Hélas, cette image est en réalité un dessin réalisé par l’artiste Inga Nielsen. Qui a également réalisé celui-ci.

 

http://www.linternaute.com

Le Saviez-vous ►Pourquoi sur les cartes géographiques le nord est-il toujours en haut ?


Avec le temps, les cartes géographiques ont changé de celle que nous connaissons aujourd’hui. D’ailleurs sur un autre billet, on peut voir des cartes du monde de différentes époques.
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Pourquoi sur les cartes géographiques le nord est-il toujours en haut ?

 

Carte de Ptolémée © Bibliothèque Royale de Belgique

. La question est moins anecdotique qu’il n’y parait. Tout d’abord, il faut une convention. Malgré le GPS, quelle pagaille ce serait si chacun choisissait son propre repère ! Une constante revient chez les cartographes : placer au centre ce qu’ils considèrent comme le plus important. Légitime.

Un des plus grands savants du monde antique, Ptolémée, n’agit pas autrement lorsqu’il fixa, vers 150 après J.-C., les règles qui devaient permettre à tout géographe de continuer la description du monde connu. Il plaça donc l’Égypte au milieu de ses cartes et, en scientifique, détermina certaines conventions –attribution de coordonnées à tous les points connus, par exemple, en choisissant l’équateur comme base de la latitude.

En pleine ère chrétienne, il fallait bien respecter les convenances et mettre le paradis en haut de carte !

Mais au Moyen Âge, la donne a changé. En pleine ère chrétienne, il fallait bien respecter les convenances et mettre le paradis en haut de carte ! Sauf que le Paradis était aussi traditionnellement censé se trouver à l’Est, vers cet Orient mystérieux. C’était également la grande époque des croisades et du commerce des épices. L’Est, placé en haut de carte, devint donc le nouveau repère ; c’est de là que vient l’expression « s’orienter ». Donc toutes les cartes ont été orientées ainsi.

Pourquoi cette tradition n’a-t-elle pas perduré ? Pour deux raisons. Tout d’abord, comme la terre tourne sur un axe est-ouest, la référence serait sans cesse en rotation. Et puis surtout, à cause d’une invention révolutionnaire, vers 1300 : la boussole. Le nord magnétique et le nord géographique (où convergent les méridiens) n’étant pas très éloignés, le Nord redevient la référence absolue et commune, notamment sous l’impulsion des navigateurs. L’aiguille de la boussole n’indique pas l’Est ou l’Ouest, mais le Nord ou le Sud. Ajoutez à cela qu’on avait un moyen très facile et sûr de retrouver le nord : l’étoile Polaire (sans oublier la mousse sur les arbres, mais c’est une autre histoire…). Bref, de très bonnes raisons de revenir au système de Ptolémée…

Sans oublier que les cartographes se trouvaient justement dans l’hémisphère nord. On n’est jamais mieux servi que par soi-même. Jusqu’à preuve du contraire… 

http://www.franceinfo.fr

LA PEAU SÈCHE : QUAND L’HIVER S’EN MÊLE !


L’hiver, le froid, le chauffage, l’eau chaude réussissent à briser la barrière protectrice de la peau et provoquer ainsi la sècheresse, craquelure, etc.
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LA PEAU SÈCHE : QUAND L’HIVER S’EN MÊLE !

 

Doudoune, écharpe, bonnet et gants sont désormais vos meilleures armes contre les températures hivernales.

Mais elles ne suffisent pas toujours pour faire face à ce grand ennemi qui accompagne souvent l’hiver : la peau sèche.

    La peau sèche, l’apanage de tous

    La peau sèche, c’est une manière plus simple de parler d’un manque de lipides sur la peau. Et plus précisément, d’un manque de céramides (une famille de lipides) sur la couche externe de notre épiderme. Métabolisés dans l’épiderme, les céramides s’associent aux autres lipides pour permettre une meilleure cohésion épidermique ; ils facilitent aussi la production par la peau de certains de ses propres lipides cutanés.

    Lorsqu’ils manquent, la barrière lipidique de la peau ne joue plus son rôle protecteur, elle n’est plus imperméable, et nous perdons de l’eau. Ce problème peut toucher à peu près tout le monde, à tout âge, à des degrés divers.

    Causes et symptômes de la sècheresse de la peau

    L’hiver est souvent une cause de sécheresse de la peau

    Elle touche sur tout le corps, en plus des mains qui gercent.

    D’autres facteurs – abus de bains chauds, de savon, exposition excessive au soleil ou au vent – favorisent la sécheresse de la peau ; tous altèrent la couche protectrice naturelle de la peau, composée de substances grasses (le sébum, sécrété par les glandes sébacées) et d’eau (produite par les glandes sudoripares).

    Le rôle des crèmes et des lotions hydratantes est justement de recréer cette barrière protectrice, en plus de réhydrater l’épiderme.

    Quant aux symptômes, ils se résument en 5 points :

  • Une sensation de peau « tendue », surtout après la douche, le bain ou une séance de natation, car une peau sèche perd de son élasticité. 

  • Une peau plus rugueuse que soyeuse. 

  • Des démangeaisons et des rougeurs. 

  • De la desquamation. 

  • De fines craquelures.

    Vade-mecum des ingrédients hydratants

    L’application de crème hydratante ou de lotion hydratante est un moyen efficace pour réhydrater la peau.

    La composition des crèmes s’inspire de celle du film d’eau et de substances grasses qui recouvrent la peau naturellement. Les crèmes contiennent donc une partie aqueuse et une partie huileuse.

    En plus d’hydrater la peau, l’huile d’origine végétale comme l’huile de cassis, l’huile d’olive ou encore l’huile d’avocat, empêchent l’eau de s’évaporer.

    Petit tour d’horizon sur quelques ingrédients et leurs bienfaits :

  • Le glycérol ou glycérine : 

    Il s’agit de l’agent d’hydratation le plus couramment utilisé. On le synthétise artificiellement pour l’inclure dans les produits hydratants, car cette substance « retient » l’eau. En plus d’hydrater, il agit comme lubrifiant et émollient.

  • L’urée :

    L’urée est issue de la dégradation des protéines. Sous forme synthétique, elle hydrate et adoucit la peau. Des crèmes contenant jusqu’à 10 % d’urée permettent de soulager la peau sèche liée aux troubles cutanés (eczéma, psoriasis, ichtyose, etc.).

  • Le beurre de karité :

    Tiré d’une noix qui pousse à l’état sauvage en Afrique de l’Ouest, le beurre de karité a des propriétés émollientes et hydratantes

par Marion Garteiser, journaliste santé
Créé initialement par Valériane Munoz, journaliste santé

http://www.e-sante.fr/

Dyslexie : le cerveau mal connecté?


Comprendre mieux la dyslexie, connaître la façon que le cerveau prend l’information pour la traiter pourrait sûrement aider à une méthode d’apprentissage plus ciblé. Les dernières études sont peut-être une piste qui devra être confirmée
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Dyslexie : le cerveau mal connecté?

 

Photo :  Découverte

La difficulté à lire et à saisir le langage, appelée dyslexie, résulterait d’une mauvaise connectivité entre certaines régions du cerveau, affirment des chercheurs belges.

Ces travaux, menés par l’équipe du psychologue clinicien Bart Boets de l’Université catholique de Louvain, jettent un éclairage sur l’origine de ce trouble neurologique.

Contexte
De 8 % à 12 % de la population éprouve de la difficulté avec l’alphabet, la lecture, l’écriture et l’épellation, en dépit de méthodes d’enseignement traditionnelles, d’une influence positive du milieu socioculturel et d’une intelligence moyenne à supérieure. La dyslexie est probablement d’origine génétique et représente plus de 80 % de l’ensemble des troubles de l’apprentissage.

Depuis plusieurs décennies, la majorité des chercheurs dans le domaine attribuent ce trouble à une représentation mentale défectueuse des mots, notamment des phonèmes, les éléments sonores distinctifs du langage. D’autres pensent que les personnes dyslexiques présentent dest roubles de l’attention visuelle.

Pour confirmer la première hypothèse, l’équipe belge a observé 45 étudiants, dont 23 étaient sérieusement dyslexiques, à l’aide d’un système d’imagerie par résonance magnétique. L’objectif était de réaliser des images en 3D de leur cerveau lorsqu’ils écoutaient différentes séries de sons.

Ainsi, il a été possible pour les chercheurs d’obtenir une bonne signature neuronale des représentations phonétiques des sons écoutés.

Les participants devaient écouter une série de différents sons, par exemple ba-ba-ba-ba et da-da-da-da. Ils devaient ensuite trouver ce qui était différent. Cet exercice demande une bonne représentation mentale des différents phonèmes, estiment les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Science.

Résultats

Les réponses du groupe des dyslexiques et l’intensité de leurs réactions neuronales étaient parfaitement semblables à celles du groupe témoin.

De plus, leurs représentations phonétiques mentales étaient parfaitement intactes.

Seule différence notable : les participants dyslexiques étaient environ 50 % plus lents à répondre que les autres.

Après l’analyse de l’ensemble de leur activité cérébrale, les chercheurs ont constaté que les dyslexiques avaient une moins grande coordination entre 13 régions du cerveau qui traitent les sons élémentaires et l’aire de Broca.

Cette zone cérébrale est en grande partie responsable du traitement du langage.

D’autres analyses ont révélé que plus la coordination entre ces régions du cerveau était faible, plus lente était la réponse des participants.

« Cela montre que la cause de la dyslexie ne réside pas dans une mauvaise représentation mentale des phonèmes, mais bien par un accès défectueux à ces sons de la zone du cerveau qui assure le traitement des sons. »— Auteurs

L’expert français Frank Ramus, qui n’a pas participé à ces travaux, pense que cette recherche est la plus concluante depuis cinq ans sur la dyslexie. Il pense que si ces résultats se confirment, ils modifieront profondément notre compréhension de la dyslexie.

D’autres spécialistes sont plus critiques. Certains ne sont pas convaincus que les activités neuronales mesurées dans l’étude représentent bien les différents phonèmes entendus.

Pour d’autres, les différences dans les sons utilisés dans cette étude étaient trop évidentes.

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De nouveaux ossements découverts durant les travaux du train léger à Ottawa


Dans les cimetières on voit souvent de vieilles tombes d’une époque très anciennes avec chacun leur histoire mais il arrive que d’autres cimetières disparaissent et refassent surface mais avec des noms inconnus dont eux leurs histoires est avait été mit aux oubliettes
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De nouveaux ossements découverts durant les travaux du train léger à Ottawa

 

Les ossements humains, provenant problablement d’un ancien cimetière, ont été retrouvés à proximité du Parlement (archives).

Pour la troisième fois depuis septembre, des ossements humains ont été retrouvés lors de travaux précédant la construction du tunnel du train léger au centre-ville d’Ottawa.

Des travailleurs de la construction creusant une section de la rue Queen sont tombés sur un autre ancien cimetière sous l’artère achalandée.

Les archéologues croient qu’il s’agit d’un vieux cimetière méthodiste faisant partie d’un complexe funéraire construit au début du 19e siècle, lorsque cette partie d’Ottawa était appelée Upper Bytown, bien avant que la ville ne devienne la capitale du Canada.

Le chantier vise à moderniser de vieilles conduites d’eau avant la construction de tunnels pour le train léger, qui circulera sous le centre-ville sur une distance de 2,5 kilomètres. Selon des responsables municipaux, cette découverte ne devrait pas retarder les travaux.

Autres découvertes

Les travaux ont été interrompus une première fois le 19 septembre lorsque des ossements ont été identifiés à l’intersection des rues Queen et Melcalfe.

Des ossements avaient été retrouvés en septembre, durant les travaux (archives). Photo :  Amanda Pfeffet / CBC

Les restes humains ont été retrouvés à seulement quelques mètres du sol, au-dessus des conduites.

La police médicale a confirmé que ces os étaient d’origine humaine. Ces derniers ont éventuellement été remis au ministère ontarien du Tourisme, de la Culture et du Sport.

Depuis, deux autres tombes ont été découvertes dans le cadre des travaux, dont l’une à plusieurs mètres à l’est, le long de la rue Queen.

Au moins trois anciennes cartes indiquent clairement l’emplacement d’un cimetière à proximité, construit en 1828 pour les militaires et les civils. Cet endroit a été fermé dans les années 1850.

Les premiers os retrouvés semblaient avoir déjà été déplacés, peut-être lors de travaux de construction dans le secteur durant les années 1970.

Un premier examen des lieux, effectué cette année en prévision des travaux d’aqueduc, n’avait pas permis de soulever la possibilité de trouver des ossements dans des tombes

http://www.radio-canada.ca/

Urgences animales Des secouristes pour nos bêtes à poils


Je trouve que c’est une bonne idée et la cotisation n’est vraiment pas exorbitante et surement que c’est un service qui sera en pleine expansion
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Urgences animales

Des secouristes pour nos bêtes à poils

 

TVA Nouvelles

Les animaux ont maintenant accès à leurs propres services ambulanciers. Urgences animales, qui œuvre dans la région montréalaise, est d’ailleurs un organisme unique au pays.

L’initiative vient d’un petit groupe d’hommes et de femmes qui travaillaient déjà dans les services d’urgence et qui partagent tous un amour pour nos compagnons à quatre pattes.

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Le gentil Réflex, un springer anglais, a participé à la démonstration à laquelle l’équipe de Coup de chapeau a eu droit. (Crédit: TVA Nouvelles)

L’équipe compte des ambulanciers, des pompiers, et même des policiers. Son directeur, Eric Dussault, trouvait malgré tout qu’il manquait une expertise essentielle…

 «On s’est donc fait amis avec des techniciennes en santé animale», raconte le pompier de formation, pour combler les besoins.

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Eric Dussault, directeur d’Urgences animales. (Crédit: TVA Nouvelles)

Les secouristes se servent d’une ancienne ambulance qui a été adaptée pour le transport animalier.

Mais pour mener à bien leurs activités, il faut des sous. Leur financement se fait à travers leurs membres, qui paient une cotisation annuelle de 35$. Une somme modeste qui donne droit, 24 heures sur 24, aux services d’urgence, «que ce soit le sauvetage ou le secours en ambulance», précise M. Dussault.

L’équipe répond également aux services d’urgence à domicile. Nos amis les animaux sont ensuite redirigés vers une ressource appropriée, que ce soit un vétérinaire ou bien un service animalier.

Il s’agit généralement d’un travail de l’ombre, mais ceux le font se disent comblés.

«C’est un travail stimulant et motivant, et on sait qu’on sert à quelque chose. C’est le plus beau cadeau que la vie peut nous faire», s’enthousiasme Eric Dussault.

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(Crédit: TVA Nouvelles)

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(Crédit: TVA Nouvelles)

http://tvanouvelles.ca