Oui c’est simple pourtant nous compliquons la vie a critiquer nos différences. On s’occupe plus a juger qu’à connaitre
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Vivre en paix
C’est simple de vivre en paix, on regarde l’autre et on l’accepte comme il est …
Patrick Lager
Une histoire qui s’est passée au mois de mai, mais quand même incroyable. Pendant trois jours ne sachant pas s’il allait vivre la minute d’après, comment il a dû passé par pas mal d’émotions et de pensées. J’imagine aussi le plongeur qui est va à la recherche des corps d’un naufrage et qu’une main lui attrape la sienne … De quoi à faire dresser les cheveux dans la tête
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INTERNATIONAL – À la fin du mois de mai 2013, un Nigérian de 29 ans avait passé près de trois jours coincé sous l’eau dans l’Atlantique après le naufrage du navire sur lequel il travaillait. La présence d’une poche d’air dans la pièce où il se trouvait au moment de l’accident avait permis sa survie inespérée.
Si l’histoire de son sauvetage, racontée à la BBC, était incroyable, la vidéo qui en a été faite l’est encore plus. Publiées sur YouTube lundi 2 décembre, ces images montrent un plongeur examinant l’épave pour y récupérer les corps des 12 marins que l’on pensait morts quand une main apparaît soudainement.
Alors que le plongeur fait signe aux techniciens qui coordonnent l’opération qu’il a bien vu le corps et attrape la main, la main l’attrape à son tour. Grosse frayeur pour le sauveteur qui ne s’attendait pas à retrouver une personne vivante, quatre corps ayant déjà été récupérés.
72h dans le noir complet sans nourriture
« Il est vivant ! Il est vivant ! » L’équipe qui supervise l’opération est sous le choc. Harrison Odjegba Okene, qui travaillait sur le navire en tant que cuisinier, a survécu 72 heures dans le noir le plus total, sans nourriture par 30 mètres de fond.
« Cela a été effrayant pour tout le monde », a raconté Tony Walker, de la société de plongé DCN Diving au Guardian. « Pour l’homme qui était coincé parce qu’il ne savait pas ce qui lui arrivait comme pour le plongeur à la recherche de cadavres qui nous a entendus crier quand la main l’a saisi ».
Un sauvetage miraculeux et in extremis d’après Walker:
« Il a eu énormément de chance de se trouver dans une poche d’air et il restait peu de temps avant qu’il ne puisse plus repirer ».
« J’ai prié »
Comme on peut le voir dans la vidéo complète du sauvetage (voir ci-dessous), une fois remis de ses émotions, le plongeur équipe l’homme d’un harnais et d’un masque de plongée et le prépare à évacuer l’épave en lui donnant toutes les consignes à respecter pour que l’opération se déroule sans heurt.
Harrison Odjegba Okene était parti en mer le 26 mai dernier et rapidement le navire s’était retourné. Aux toilettes au moment de l’accident, ce cuisinier avait réussi à trouver une poche d’air où se réfugier.
« Je n’arrêtais pas de me dire que l’eau allait remplir tout l’espace, mais ça ne s’est pas passé », avait-il raconté à la BBC après son sauvetage.
Les onze autres membres d’équipage étant décédés, Okene a vu dans sa survie l’intervention de Dieu:
« Ma femme m’avait envoyé pas sms avant que je ne me couche quelques versets de la Bible. J’ai donc prié « , a-t-il raconté au quotidien nigérian The Nation.
Il est important de savoir quelle plante est toxique pour les animaux domestiques qui sont dans la maison. L’hiver certain plante sont privilégiés, mais sont-elles vraiment sans danger pour les chats et les chiens ?
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Par Sophie Le Roux
Crédits photo : Sakurako Kitsa – Flickr
On pense facilement aux intoxications par les plantes au printemps, lorsque la vie refait surface au jardin, mais l’hiver n’est pas sans risques pour nos animaux de compagnie. Il est courant d’offrir de jolies plantes pleines de couleurs pour égayer nos intérieurs par ces temps frisquets, mais attention, malgré leur aspect chaleureux, elles peuvent représenter un réel danger pour votre chien ou votre chat.
Voici les 5 plus représentées dans nos maisons :
1. La bruyère
Partie toxique : Toute la plante.
Symptômes : Troubles digestifs intenses (vomissements, diarrhées), troubles cardiaques et nerveux.
Toxicité : Importante.
2. Le gui
Partie toxique : Toute la plante, mais surtout les baies (attention lorsqu’elles tombent au sol, votre animal pourrait jouer avec et les avaler).
Symptômes : Salivation importante, troubles digestifs (vomissements et diarrhées), troubles nerveux : dilatation des pupilles, démarche anormale, convulsions.
Toxicité : Très toxique, surtout chez le chat. Une ingestion massive de gui peut entraîner le décès de l’animal.
3. Le houx
Partie toxique : Toute la plante. Ce sont surtout les baies qui sont toxiques, mais les feuilles le sont aussi ; elles sont moins souvent ingérées du fait des piquants. Attention tout de même, il existe des rameaux présentant des feuilles lisses.
Symptômes : Salivation importante, troubles digestifs intenses (vomissements et diarrhées).
Toxicité : non négligeable. Les cas de mortalité sont rares.
4. L’Hellébore noir ou Rose de Noël
Partie toxique : Toute la plante.
Symptômes : Salivation importante, troubles digestifs (vomissements, diarrhées), troubles nerveux (dilatation des pupilles, excitation, paralysies)
Toxicité : Très toxique.
5. Poinsettia ou Etoile de Noël
Partie toxique : Tige et feuilles (vertes et colorées).
Symptômes : Vomissements, douleurs abdominales, ulcères buccaux, œdème de la gorge (difficultés à respirer), troubles cardiaques, troubles nerveux (excitation, tremblements), hémolyse (destruction des globules rouges).
Toxicité : Très toxique. Une ingestion massive peut entraîner le décès de l’animal.
Que faire en cas d’ingestion ?
Si vous voyez votre animal en train d’ingérer une de ces plantes, la première chose à faire est d’éloigner votre animal de la plante.
Vous pouvez essayer de le faire vomir, uniquement si l’ingestion est très récente. Pour faire vomir un chien ou un chat, vous pouvez lui faire avaler une cuillère à soupe de sel diluée dans un demi-verre d’eau ou lui faire avaler de l’eau oxygénée (concentrée à 20 volumes). L’administration de ces solutions n’étant pas facile, il est plus sage d’aller consulter votre vétérinaire dans les plus brefs délais.
Dans le cas ou l’ingestion remonte à plusieurs heures, vous ne pourrez malheureusement plus rien faire vous-même, il vous faudra alors consulter au plus vite.
Il n’existe pas d’antidote pour les intoxications aux plantes citées ci-dessus. Il est donc très important d’emmener votre animal chez son vétérinaire afin qu’il puisse pallier aux symptômes présents et anticiper la possible aggravation de son état.
> Si vous ne connaissez pas la toxicité de vos plantes, vous pouvez vous renseigner auprès de votre vétérinaire. Ou appeler un centre antipoison vétérinaire, celui de l’Ecole Vétérinaire de Lyon est ouvert 24h/24, toute l’année : 04.78.87.10.40. ( Au Québec, informez vous au près du vétérinaire (nuage))
Malgré plusieurs facteurs qui mènent à l’obésité, il semble que les filles soient plus a risque lors d’une variante d’un certain gène. Une chose qui démontre par contre, qu’il est nécessaire de donner une bonne éducation alimentaire et les encourager a bouger dès le jeune âge
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Certaines femmes seraient plus attirées que les hommes par les aliments gras et sucrés. Une cause génétique selon une étude scientifique internationale.
Les femmes porteuses d’un gène particulier consomment plus d’aliments gras et sucrés que les autres.
Les chercheurs de plusieurs universités du Canada, du Brésil, de la Brown University (Etats-Unis) et d’un institut de Singapour ont étudié une variante de ce gène (le 7R) et analysé comment il augmentait le plaisir à consommer les aliments gras et sucrés.
Les scientifiques de l’étude ont étudié 150 enfants de 4 ans suivis de leur naissance à leurs dix ans par un protocole médical canadien. Ils ont analysé leur choix alors que diffèrent type de nourriture leur était proposé et étudié le carnet de leur alimentation habituelle.
Les filles porteuses du gène modifié mangent plus
Les chercheurs ont ensuite examiné le lien entre la présence de la variation génétique « 7R » du gène de la dopamine, l’indice de masse corporel (IMC), et le sexe de l’enfant.
Ils ont constaté que les filles porteuses de cette variante du gène mangent plus d’aliments gras et sucrés et de protéines et consomment moins de légumes, d’œufs, de pain, d’oléagineux et de légumineuses que les filles non porteuses. En revanche, cette variation du gène ne bouleverse pas le comportement alimentaire des jeunes garçons. La variation « 7r » du gène de la dopamine modifierait donc les choix alimentaires des filles dès l’âge de 4 ans.
Même si le comportement alimentaire des enfants est aussi influencé par l’éducation, l’environnement socio-culturel, les chercheurs concluent que cette découverte permettrait de mieux comprendre le développement de l’obésité. Pour établir la pertinence de cette étude, les scientifiques continueront de suivre ces enfants et analyser l’évolution de leur comportement alimentaire et leur poids.
Cette étude a été publiée dans la revue spécialisée sur l’obésité « Appetite ».
Intéressant comme étude, surtout qu’on peut le prouver chez l’animal et cette mémoire génétique semble se transmettre par le mâle. Est-ce la même chose pour l’être humain ? Ce qui peut-être expliquerais certaines peurs irrationnelles de quelque chose auquel nous ne pouvons être confronté dans l’environnement que l’on vit
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Photo : iStockphoto
Existerait-il une forme de mémoire génétique qui se transmet d’une génération à l’autre?
Les résultats d’une recherche réalisée aux États-Unis sur un modèle animal laissent à penser que les comportements peuvent être influencés par des émotions ressenties lors de situations vécues par des générations précédentes, et qui seraient transmises par ce qui peut être décrit comme une mémoire génétique.
Les expériences menées par le Dr Brian Dias et ses collègues de l’Université Emory tendent à montrer qu’un événement traumatique affecte l’ADN dans le sperme et modifie le cerveau et le comportement des générations suivantes.
Dans leurs travaux, les chercheurs ont constaté que des souris entraînées à éviter une odeur transmettaient leurs aversions jusqu’à leurs « petits-enfants » .
Ces résultats, publiés dans la revue Nature Neuroscience, pourraient avoir d’importantes retombées dans le traitement de phobies ou de l’anxiété.
Les rongeurs étaient entraînés à craindre une odeur similaire à celui des cerisiers.
Les chercheurs ont ensuite observé les changements survenus à l’intérieur des spermatozoïdes.
Ils ont découvert qu’une partie de l’ADN impliquée dans la sensibilité de l’odorat aux cerises était plus active dans le sperme des souris.
Ainsi, les rejetons et leurs petits étaient par la suite très sensibles à cette odeur et l’évitaient, et ce, malgré le fait qu’ils n’aient jamais vécu d’expériences traumatisantes qui étaient liées à cette odeur.
Certains changements dans la structure cérébrale ont également été observés.
« Les expériences d’un parent, même avant la conception, influencent fortement la structure et la fonction du système nerveux des générations futures. » — Auteurs
Cette découverte montre donc l’existence d’une hérédité épigénétique transgénérationnelle, affirment les chercheurs.
Le télescope Hubble est toujours et encore très fort pour transmettre les images et données de ce qu’il capture lors de son périple dans l’espace
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Représentation artistique de l’atmosphère d’une exoplanète. Photo : NASA
Des traces d’eau ont été détectées dans l’atmosphère de cinq exoplanètes, grâce aux observations du télescope spatial Hubble de la NASA.
Ce n’est pas la première fois que la présence d’eau est observée dans l’atmosphère des planètes hors de notre système solaire, mais ces travaux sont les premiers à la mesurer plus précisément et à en comparer les profils et les intensités entre exoplanètes.
La signature de l’eau varie d’une planète à l’autre. Deux d’entre elles semblent en posséder plus, mais les trois autres en possèderaient en moindre quantité.
« Analyser l’atmosphère d’une exoplanète est extraordinairement difficile, mais nous avons réussi à sortir un signal très clair, et c’est de l’eau. »— Avi Mandell, NASA
Ces travaux sont réalisés dans le cadre d’un recensement des atmosphères d’exoplanètes menées par des astrophysiciens de l’Université du Maryland.
Les scientifiques ont utilisé l’une des caméras de Hubble pour explorer les détails de l’absorption de la lumière par les atmosphères de différentes exoplanètes.
Les observations ont été réalisées dans le rayonnement infrarouge où la signature de l’eau, si elle est présente, apparaît clairement.
Les différences dans les formes et les intensités des profils d’absorption permettent aux chercheurs de penser à la présence d’eau dans les cinq atmosphères.
La signature de la présence d’eau est moins prononcée que les chercheurs ne le pensaient au départ, probablement en raison de couches de brume ou de poussière qui recouvrent les planètes.
Ces couches peuvent réduire l’intensité de tous les signaux provenant de l’atmosphère, un peu comme le brouillard masque la couleur réelle d’un paysage.
Ces planètes sont de type « Jupiter chaude », en référence à la planète gazeuse Jupiter de notre système solaire. Elles sont en orbite rapprochées autour de leurs étoiles.
Le saviez-vous?
Les astrophysiciens ont détecté plus de 1009 planètes dans 800 systèmes autres que le nôtre depuis le milieu des années 90.
Dans la vidéo qui suit, les scientifiques de la NASA expliquent en anglais les détails de cette étude.
La différence entre et la femme va bien au-delà du physique, mais aussi dans le cerveau qui font réagir différent dépendant du sexe de la personne. En fait, ce n’est pas vraiment la femme ou l’homme qui est le meilleur, car les deux se complète que ce soit en couple ou dans une société
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PHOTO ARCHIVES LA PRESS
JEAN-LOUIS SANTINI
Agence France-Presse
Washington
Les cerveaux des hommes et des femmes sont branchés de façon très différente révèle lundi une recherche menée avec un scanner qui paraît conforter de vieux stéréotypes quant aux aptitudes et comportements propres à chacun des deux sexes.
«Ces cartes de la connectivité cérébrale montrent des différences frappantes et aussi complémentaires dans l’architecture du cerveau humain, qui aident à fournir une base neuronale potentielle expliquant pourquoi les hommes excellent dans certaines tâches et les femmes dans d’autres», relève Ragini Verma, professeur de radiologie à la faculté de médecine de l’Université de Pennsylvanie, principal auteur de ces travaux publiés dans les Comptes-rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).
Cette étude, qui a porté sur 949 personnes en bonne santé (521 femmes et 428 hommes) âgés de neuf à 22 ans, montre chez l’homme une plus grande connectivité neuronale entre le devant du cerveau, siège de la coordination de l’action, et l’arrière où se trouve le cervelet, important pour l’intuition. Les images indiquent aussi un grand nombre de branchements dans chacun des deux hémisphères cérébraux.
Une telle connectivité suggère que le cerveau masculin est structuré pour faciliter les échanges d’informations entre le centre de la perception et celui de l’action, selon Ragini Verma.
Quant aux femmes, les branchements relient l’hémisphère droit, où siège la capacité d’analyse et de traitement de l’information, à l’hémisphère gauche, centre de l’intuition, explique-t-elle.
Cette chercheuse explique que les hommes sont en moyenne plus aptes à apprendre et à exécuter une seule tâche, comme faire du vélo, du ski ou la navigation. Les femmes ont une mémoire supérieure et une plus grande intelligence sociale qui les rendent plus aptes à exécuter de multiples tâches et à trouver des solutions pour le groupe, selon elle.
Des cerveaux «vraiment complémentaires»
Des études dans le passé avaient déjà montré des différences dans les cerveaux masculin et féminin, notent les auteurs. Mais, soulignent-ils, cette connectivité neuronale de régions cérébrales dans l’ensemble du cerveau n’avait jamais été liée auparavant à de telles aptitudes cognitives dans un aussi grand groupe.
«Il est aussi frappant de constater combien les cerveaux de la femme et de l’homme sont vraiment complémentaires», relève Ruben Gur, professeur de psychologie à la faculté de médecine de l’Université de Pennsylvanie, un des principaux co-auteur de ces travaux.
«Les cartes détaillées du connectome (plan complet des branchements cérébraux, ndlr) dans le cerveau vont non seulement nous aider à mieux comprendre les différences dans la manière dont les hommes et les femmes pensent, mais aussi nous donner un plus grand éclairage sur les causes des troubles neurologiques souvent liés au sexe de la personne», espère-t-il.
Les prochaines recherches devront identifier plus précisément quelles connexions neuronales sont spécifiques à un sexe et communes aux deux, explique le psychologue.
Les auteurs ont observé peu de différences de connectivité cérébrale entre les sexes chez des enfants de moins de 13 ans. En revanche les différences étaient plus prononcées chez les adolescents de 14 à 17 ans et les jeunes adultes de plus de 17 ans.
Les observations faites dans cette recherche correspondent aux résultats d’une étude sur les comportements effectuée par l’Université de Pennsylvanie qui a mis en évidence des différences prononcées entre les deux sexes.
Cette recherche a ainsi montré que les femmes sont supérieures aux hommes pour la capacité d’attention, la mémoire des mots et des visages ainsi qu’aux tests d’intelligence sociale, mais les hommes les surpassent en capacité et vitesse de traitement de l’information.
Me semble que cela doit aller avec la logique, un genre de loi non écrite qu’il y a une limite pour avoir certains animaux dans une appartement et surtout s’il est petit. De plus comment une personne sensée peut avoir des animaux exotiques dangereux dans son appartement et vivre parmi eux … Non, je ne comprends vraiment pas
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Un boa constrictor.
PHOTO CARLOS JASSO, ARCHIVES REUTERS
Agence France-Presse
Tokyo
La police japonaise a découvert pas moins de 80 reptiles, dont un serpent de trois mètres de long et des lézards venimeux, dans un appartement d’une pièce à Osaka, dans l’ouest du pays.
Des policiers avaient été alertés par un voisin en panique qui venait de voir un gros serpent en train de ramper sur un mur juste à l’extérieur de son propre appartement, a indiqué la police.
Quand ils ont pénétré dans l’appartement de 10 mètres carrés, les agents ont découvert les reptiles, dont un boa constrictor de 3 mètres, dans des cages individuelles.
Le propriétaire de cette incroyable ménagerie, un homme de 40 ans, n’a pas été arrêté mais le dossier a été transmis à la justice, la police estimant qu’il avait pu contrevenir à la loi sur le bien-être des animaux.
«Il nous a dit qu’il gardait ces reptiles comme animaux de compagnie et les nourrissait avec des souris congelées. Nous enquêtons pour savoir comment il s’est procuré tous ces animaux», a indiqué un policier.