L’enfant au grand coeur.


Cela ne prend pas grand chose pour consoler, ni de grands discours, parfois le silence vaut mille mots et aussi milles câlins parfois. Cela un enfant le comprend facilement
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L’enfant au grand coeur.

 

Un jour, on demanda à l’écrivain Léo Buscaglia d’être juge dans un concours consistant à trouver l’enfant qui avait le plus grand coeur.

Le gagnant fut un petit garçon de 5 ans dont le voisin d’à côté était un vieux monsieur qui venait de perdre sa femme. Lorsque le garçonnet vit le vieil homme pleurer dans sa cour, il s’approcha de lui, s’assit sur ses genoux et resta là sans bouger.

Lorsque la mère demanda à son fils ce qu’il avait dit au voisin pour le consoler, l’enfant répondit:

« Rien…. je l’ai seulement aidé à pleurer ».

Vidéo : "Patch", le chiot qui ressemble à Hitler


C’est un beau petit chien tout mignon. Dommage qu’on lui a trouvé une ressemblance avec un des pires hommes que la terre a porté sur son sol
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Vidéo : « Patch », le chiot qui ressemble à Hitler

 

Un chien nommé « Patch » est récemment devenue une petite star sur les réseaux sociaux. La raison ? Sa drôle de ressemblance avec l’un des pires dictateurs du 20e siècle.

Patch n’est pas un chien comme les autres. Avec sa tache foncée couvrant le côté gauche de la tête, et une autre petite tache sur ses lèvres qui donne l’impression d’une moustache, son apparence ne passe pas inaperçue…

C’est la fille de sa maîtresse anglaise, Lynda Whitehead, qui a repéré son étrange ressemblance avec le fameux dirigeant nazi, en regardant sa photo sur Facebook.

D’après Lynda, tout le monde l’appelle désormais « Adolf », mais la ressemblance s’arrête là puisque ce dernier a un tempérament très doux !

« Il est absolument adorable, sans doute le plus gentil du monde », a-t-elle confié avec une grande tendresse au« Daily Mail ».

Le chiot âgé de 7 semaines seulement est un croisement entre un bouledogue français et un shih tzu. Il a deux frères, mais ces derniers ne ressemblent pas du tout à Mussolini et Staline.

http://actualite.portail.free.fr/

8 choses étonnantes qui vous font engraisser


Difficile à perdre du poids sans suivre un régime qui nous rendrait plus malades qu’autre chose. (faut dire que je suis anti-régime autre qu’une bonne alimentation et exercices) Il y a certaines habitudes qui sont tout simple tout en nous plus de facilités d’atteindre un but raisonnable
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8 choses étonnantes qui vous font engraisser

 

Vous essayez de perdre du poids, mais l’aiguille de votre pèse-personne s’obstine à grimper? Pour vous aider à relever votre défi minceur, voici 8 choses étonnantes qui vous font engraisser!

Par les éditeurs de Reader’s Digest, États-Unis

1. De l’information trompeuse?

Vous connaissez probablement une personne qui mange avec appétit sans compter les calories et qui, malgré tout, réussit à perdre du poids alors que vous vous efforcez de manger santé (salades, yogourts, etc.) sans arriver à diminuer voter tour de taille d’un demi-centimètre! Votre appétit ne serait pas la cause, mais plutôt votre difficulté à lire correctement les étiquettes nutritionnelles! Selon une étude du Journal of Consumer Research, l’information sur les étiquettes santé peut être trompeuse pour les consommateurs moins avisés!

2. Les boissons gazeuses diètes

Évitez d’en consommer! Les études montrent que le tour de taille des personnes qui boivent plus de deux boissons gazeuses diètes par jour augmente jusqu’à six fois plus que celui des personnes qui n’en consomment pas. Ces boissons sont peut-être sans calories, mais en boire régulièrement n’est pas sans conséquence!

3. Manque de sommeil

Selon de nouvelles recherches, en plus de vous rendre d’une humeur massacrante le lendemain, le manque de sommeil altère aussi votre ligne. Des chercheurs du New York Obesity Nutrition Research Centre du St-Luke’s –Roosevelt Hospital ont découvert que les gens qui ne dorment pas suffisamment semblent brûler autant de calories que ceux qui dorment suffisamment, sauf qu’ils consomment environ 300 calories de plus par jour.

4. La température de la pièce

Vous tentez de perdre du poids? Baissez le thermostat! Selon des recherches publiées dans la revueObesity Reviews, un environnement « douillet » pourrait favoriser la prise de poids. Lorsqu’on a froid, on tremble, ce qui fait que nos muscles se contractent pour se réchauffer, brûlant ainsi des calories.

5. Vos amis!

Une étude menée par le New England Journal of Medicine a montré qu’on peut « attraper » l’obésité de nos amis. Après avoir suivi 12 067 personnes durant 32 ans, des chercheurs ont conclu que la probabilité de devenir obèse était 2,71 fois plus élevée chez ceux qui avaient des amis obèses que chez ceux qui n’en avaient pas. Voici la raison: le style de vie de nos amis influe sur nous; par exemple, s’ils mangent trop en général, nous aurons aussi tendance à plonger allègrement la fourchette dans notre assiette. Étonnamment, les couples ont moins d’influence sur l’un et l’autre que les amis du même sexe. La bonne nouvelle, c’est que l’inverse est aussi possible: si vos amis ont un poids santé, il y a des chances que vous perdiez du poids.

6. Trop manger

Si vous croyez qu’il suffit de consommer plusieurs petits repas dans la journée pour perdre des calories, vous pourriez vous tromper. Le fait est que nous croyons en général que les repas contiennent des protéines, des glucides et des matières grasses. Or, ça n’est pas le cas. Selon des études, les mini repas ressemblent plus à des petites collations.

7. Des composés chimiques toxiques

Vous connaissez peut-être les phtalates, un groupe de composés chimiques utilisés pour rendre le plastique flexible, or, de plus en plus d’études montrent que ces composés chimiques, ainsi que d’autres, dont l’action perturbe le système endocrinien, ont un lien avec l’obésité. En fait, des chercheurs ont même donné un nom à plusieurs d’entre eux : obésogènes (des composés chimiques qui favorisent l’obésité). Un système immunitaire en santé peut combattre leurs effets nuisibles, mais vous le pouvez aussi, en évitant d’emballer vos fruits et légumes dans des sacs en plastique.

8. Votre niveau de stress

Lorsque vous souffrez de stress chronique, votre corps produit davantage de cortisol et d’insuline. Par conséquent, votre appétit augmente et, pour satisfaire ce dernier, vous aurez tendance à vous gaver d’aliments riches en calories (sucre et matière grasse). Et si vous mangez pour tenter de combattre le stress, vous activez la partie du cerveau associée à la récompense. Une fois le premier sentiment de bien-être dissipé, vous recherchez de nouveau la même sensation de plaisir, de calme et de détente. Résultat ? Vous mangerez encore plus.

http://selection.readersdigest.ca

Hubert Reeves : la nature ne fait pas de déchets


On doit considéré la planète Terre comme notre maison, mais malheureusement, quel mauvais locataire que nous sommes. Et pourtant, notre maison a porté des dinosaures, a survécu aux multiples catastrophes et surmonté les millénaires, mais l’homme avec le temps est venu l’affaiblir. Qu’est-ce que nous laissons en héritage ?
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Hubert Reeves : la nature ne fait pas de déchets

 

Photo d’illustration. © Floris Van Breugel / EBPhoto / Naturepl/ Fr

Face aux problèmes qui se posent à nous au cours de la crise environnementale présente, nous cherchons des solutions dans les leçons que nous pouvons tirer du comportement de la nature (pour les besoins de la discussion, je distingue artificiellement les activités humaines des activités naturelles).

Comment est-elle arrivée à gérer aussi habilement, depuis plusieurs milliards d’années, l’ensemble des activités infiniment diverses qui se passent sur la Terre. A-t-elle des secrets que nous pourrions lui emprunter ?

Elle en a à coup sûr ! Il en est un que nous pouvons résumer ainsi : la nature ne fait pas de déchets. Elle utilise et recycle tout. Par exemple, dans la forêt, les animaux morts deviennent la nourriture de charognards et de nombreux insectes. Les feuilles mortes sont happées dans le sol par les vers de terre qui les mangent et restituent à la terre ce que nous qualifions d’excréments et qui sont de fait des éléments fertilisants. Celles qui restent en surface se décomposent sous l’action de bactéries et se transforment en humus qui nourrit les plantes mangées par les herbivores, eux-mêmes mangés par les carnivores … La chaîne est sans fin.

 

Chez les économistes, cet idéal s’appelle « économie circulaire ». Et notre ami Emmanuel Delannoy en est un grand partisan, lui qui dirige l’Institut Inspire pour « réconcilier développement économique et biosphère ». C’est un allié d’Humanité & Biodiversité dans les tables rondes qui abordent ce dossier. L’expression parfois utilisée « cradle to cradle » (du berceau au berceau) indique que rien ne se perd, il n’y a pas de matière inutilisée. Telle n’est pas, et de loin, la situation chez les humains.

Mexico et Rio génèrent plus dix mille tonnes de déchets par jour

La masse des déchets qu’ils accumulent atteint des proportions gigantesques et s’accroît à une vitesse telle que de nombreuses villes sont largement dépassées par la situation. Mexico et Rio de Janeiro en génèrent aujourd’hui plus dix mille tonnes par jour, ce qui représente une file de camions longue de dix kilomètres. Des décharges immenses sont souvent déjà débordantes dans plusieurs pays d’Asie et d’Afrique. Elles constituent des lieux de grande insalubrité. Ces paysages de désolation illustrent dramatiquement les difficultés des humains à gérer leur planète.

À l’échelle mondiale, la quantité de déchets a été multipliée par dix par rapport au siècle dernier et, avec la hausse du niveau de vie dans les pays asiatiques, elle pourrait augmenter d’un facteur cinq avant la fin de ce siècle si des mesures drastiques ne sont pas prises.

Plusieurs villes ont déjà décidé de s’attaquer à la situation. En Californie, San Francisco s’est imposé un objectif de zéro déchet en 2020 par réduction et recyclage. Elle a déjà atteint la moitié de son objectif. Les échanges et la réutilisation des matériaux comme le papier, le verre, le ciment et l’acier sont déjà effectifs. Mais ces activités sont encore relativement peu présentes dans les pays défavorisés qui ont la plus grande augmentation du niveau de déchets.

Ces propos ont pour but de porter l’attention sur un des aspects généralement peu connus de la crise écologique contemporaine. Le mot « écologie » se réfère à la tenue de la maison (Oikos en grec est la maison). C’est bien de notre tenue de la maison terrestre qu’il s’agit ici.

Référence de la lecture qui m’a inspiré ce billet: « Waste production must peak this century  » : Nature vol 502 – oct 2013 – page 615.

http://www.lepoint.fr/

Les reptiles, pionniers dans l’art de déféquer dans des latrines


Ceux qui pensent que c’est juste l’être humain et le chat qui utilise un endroit pour faire leur besoin se trompent. Beaucoup d’animaux trouvent un avantage de faire leurs étrons au même endroit, et ce, depuis des millénaires
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Les reptiles, pionniers dans l’art de déféquer dans des latrines

 

Et d’après l’analyse minutieuse effectuée par Lucas Fiorelli et son équipe, des bouses préhistoriques ont été produites par de grands reptiles dans des zones communes.

PHOTO AFP

Agence France-Presse

Chez de nombreux mammifères, déféquer dans des latrines communes est de la plus haute importance, non seulement d’un point de vue biologique mais aussi social. Certains reptiles l’avaient déjà compris voici 240 millions d’années en Argentine, révèle une étude.

La définition scientifique des latrines communes?

«Des lieux où des individus multiples défèquent à maintes reprises et de façon répétée, produisant des amas de crottin», rappelle cette étude, publiée jeudi dans la revue britannique Scientific Reports.

Les biologistes ont constaté de telles pratiques chez de nombreux mammifères actuels – carnivores, primates, rongeurs – et même des marsupiaux. L’usage des latrines communes est particulièrement fréquent dans les troupeaux de grands herbivores (d’un poids supérieur à 100 kg), comme les équidés, les antilopes, les rhinocéros, les éléphants et les camélidés d’Amérique du Sud.

Pour ces animaux sociaux, un tel comportement est une affaire d’hygiène ainsi qu’un moyen de promouvoir la communication au sein du groupe et donc aussi la reproduction. Il permet également une meilleure défense contre les prédateurs .

Il s’agit d’une pratique ancestrale, comme en témoignent les crottes minéralisées («coprolithes») découvertes dans certains gisements fossiles, chez les hyènes préhistoriques notamment. Une mine de renseignements sur les habitudes des auteurs de ces crottes et sur le milieu dans lequel ils vivaient.

Les plus vieilles latrines identifiées à ce jour étaient datées de 220 millions d’années et toutes avaient été fréquentées par des mammifères.

Jusqu’à ce que des chercheurs exhument, dans le nord-ouest de l’Argentine, un trésor jonché de crottes fossiles, jusqu’à une centaine d’étrons par mètre carré à certains endroits.

 

 

De formes et de tailles variées (0,5 à 35 cm de diamètre), les 30 000 coprolithes, répartis sur plusieurs sites, ne laissent aucun doute sur le fait qu’il s’agissait bien de latrines communes, vieilles de quelque 240 millions d’années.

Et d’après l’analyse minutieuse effectuée par Lucas Fiorelli et son équipe, ces bouses préhistoriques ont été produites par de grands reptiles de la famille des Dicynodontes, des herbivores géants («mégaherbivores») qui côtoyaient les premiers dinosaures.

«Cela indique que ce comportement complexe, typique des mammifères, était déjà présent chez une espèce qui précède de beaucoup les mammifères», dont les premiers seraient apparus voici environ 225 millions d’années, conclut l’étude.

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Pérou: découverte de 35 sarcophages préhispaniques


Une belle découverte pour mettre a jour l’histoire d’un peuple qui ont disparus
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Pérou: découverte de 35 sarcophages préhispaniques

 

PHOTO ARCHIVES AFP

Agence France-Presse
Lima, Pérou

Trente-cinq sarcophages contenant des momies de la culture des Chachapoyas (700 à 1500 après J-C.) ont été découverts par des habitants dans la forêt amazonienne au nord du Pérou, a indiqué jeudi le ministère du Commerce extérieur et du Tourisme.

«La découverte des 35 sarcophages a été faite par des habitants qui passaient par la montagne El Tigre, dans le district de Jazán, dans la province de Bongará», a déclaré Manuel Cabañas, directeur régional de ce ministère, cité par l’agence de presse officielle Andina.

La découverte remonte à juillet «mais elle n’a pas été divulguée jusque-là pour éviter que les tombes soient pillées et que des personnes étrangères n’accèdent à l’endroit où se trouvent les sarcophages», a-t-il dit.

Selon le directeur régional, les tombes contenaient des «ballots funéraires» où les momies embaumées sont restées en très bon état. D’après les premières recherches, il s’agirait des dépouilles d’enfants de la haute hiérarchie des Chachapoyas, une population indienne dont le nom signifie «guerriers des nuages», et qui a été conquise par les Incas.

Des archéologues du ministère de la Culture se sont rendus sur place pour effectuer des relevés cadastraux et rechercher s’il existe éventuellement d’autres tombes.

La culture Chachapoyas avait un grand respect pour ses défunts, qui étaient enterrés soit individuellement dans des sarcophages, soit collectivement dans des mausolées. Les tombeaux étaient construits dans des cavernes naturelles, ou bien excavés dans des falaises verticales inaccessibles.

Les Chachapoyas ont laissé de nombreux vestiges dont le plus connu est la grande forteresse de Kuélap, un ensemble architectonique en pierre de grande dimension avec une plate-forme artificielle, située sur la cime du Cerro Barreta, à 3000 mètres d’altitude.

http://www.lapresse.ca

Un fragment d’ISON toujours visible


Il semble que la comète ISON va encore faire parler d’elle !! Les astronomes pensent qu’il reste quelque chose de son passage près du soleil. Alors la question est pour combien de temps. Car il fait chaud dans cette partie de l’espace
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Un fragment d’ISON toujours visible

 

La comète ISON n’aurait pas complètement été détruite lors de son passage près du Soleil, comme l’avaient pourtant rapporté certains astronomes jeudi.

Certaines photos montrent un éclaircissement dans cette zone du ciel qui pourrait être un petit fragment du noyau de la comète.

Les astronomes en viennent à cette conclusion après avoir examiné les images transmises par plusieurs satellites d’observation solaire.

Ils avouent être surpris et ravi, mais avertissent que l’observation pourrait être de courte durée puisque ces restes pourraient fondre dans les prochains jours.

Depuis quelques mois, le passage de cet astre arrivé des confins glacés du système solaire suscitait l’espoir d’un spectacle céleste grandiose. Si la comète constituée de glace et de poussière avait survécu à la chaleur solaire, elle serait devenue très brillante.

Pour qu’une comète devienne visible, il faut qu’elle soit exposée à la chaleur du Soleil afin que l’eau et les gaz surgelés se subliment et libèrent les poussières qu’ils emprisonnent, explique Marc Jobin, astronome au Planétarium Rio Tinto Alcan .

« C’est ainsi que se forme la chevelure de la comète, une immense enveloppe gazeuse qui entoure le noyau et brille au Soleil. La queue de gaz et de poussière peut s’étirer quant à elle sur des centaines de milliers, voire des millions de kilomètres dans l’espace. »— Marc Jobin

Au départ, le noyau de la comète ISON mesurait de 1 à 4 kilomètres de diamètre. Certains scientifiques pensent qu’il est trop gros pour s’être évaporé complètement lors de son passage à proximité du Soleil, et ce, malgré des températures dépassant les 2500 degrés.

Le saviez-vous?

  • La comète a été découverte en septembre 2012 par les astronomes russes Vitali Nevski et Artyom Novichonok.
  • Elle porte le nom du programme de surveillance du ciel de ses découvreurs, l’International Scientific Optical Network, qui regroupe des observatoires dans 10 pays.
  • Selon les mesures prises par le télescope Hubble, la tête de la comète faisait 1,2 fois la taille de l’Australie. Quant à sa queue, on estime qu’elle s’étendait sur 92 000 kilomètres, soit plus de deux fois la circonférence de la Terre.
  • La dernière « comète du siècle » s’était avérée bien décevante en 1973.

 

http://www.radio-canada.ca

THETFORD MINES Autre phénomène inexpliqué


Un autre phénomène est apparu dans le ciel québécois. Nul ne sait l’origine. Espérons que nous aurons des réponses bientôt
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THETFORD MINES Autre phénomène inexpliqué

 

La Sûreté du Québec a confirmé à l’Agence QMI qu’un citoyen a dit avoir vu une boule tomber du ciel dans le secteur de Thetford Mines.

Quelques jours après l’observation par plusieurs citoyens d’un phénomène inusité dans le ciel en Montérégie, mardi, une «grosse boule verte» aurait été aperçue, jeudi en soirée, dans la région Chaudière-Appalaches.

La Sûreté du Québec a confirmé à l’Agence QMI qu’un citoyen a communiqué avec le service 911 disant avoir vu la boule tomber du ciel dans le secteur de Thetford Mines.

La SQ dit n’avoir rien constaté d’anormal au sol dans cette région, ni incendie, ni déflagration importante. L’aéroport local n’a été informé d’aucun appel de détresse provenant d’un aéronef, a précisé la porte-parole de la SQ, Ann Mathieu, ajoutant qu’il pourrait s’agir d’un phénomène intersolaire.

La boule lumineuse aurait aussi été vue dans le ciel à Laval jeudi soir, selon un message transmis sur Facebook par une internaute.

Mardi soir, dans le secteur de Salaberry-de-Valleyfield, des citoyens ont dit avoir entendu une explosion accompagnée d’une lumière bleutée dans le ciel. Le lendemain, certains experts ont avancé l’hypothèse qu’un météorite entrant dans l’atmosphère pourrait avoir été à l’origine de ce phénomène, une hypothèse qui n’a pas été validée par l’Agence spatiale canadienne.

http://www.journaldemontreal.com

Le chat d’intérieur en hiver : quelques conseils


Mes chats ont toujours été libres de sortir dehors et ils sortaient été comme hiver. Mais Fripouille est, un tantinet, plus frileuse. Elle n’aime déjà pas trop sortir et que la porte de la maison se ferme alors l’hiver, c’est pire. Donc, a cette époque de l’année ma Fripouille commence à avoir trop de poils
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Le chat d’intérieur en hiver : quelques conseils

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : schmeis – Flickr

L’hiver n’est pas encore tout à fait de la partie, mais il approche à grands pas, et même lorsqu’ils vivent à l’intérieur, nos chats en subissent les conséquences.

Chauffage, et perte de poils

Les températures chutent, les radiateurs sont en marche, et la chaleur du foyer a un réel impact sur nos matous.

Pendant l’automne, le chat mue pour revêtir son pelage d’hiver plus épais.

Mais lorsque nos maisons sont bien chauffées, ces poils ont tendance à tomber. Il est donc important de brosser plus souvent son chat pendant cette période.

Vous éviterez de voir vos moquettes, tapis, canapés et autres tissus couverts de poils, mais surtout, vous préviendrez la formation de boules de poils

En se léchant, une activité qui occupe 30% de son temps, le chat ingurgite des poils qui s’agglomèrent dans son estomac. Ces boules sont souvent régurgitées par le félin, mais il arrive aussi qu’elles voyagent le long de son tube digestif, et engendrent alors des troubles du système digestif.

En brossant régulièrement et longuement votre chat, vous limitez ces risques.

Les parasites

Il ne faut pas cesser de traiter son chat contre les parasites pendant l’hiver, bien au contraire. Le chauffage favorise en effet le développement et la prolifération des puces.

Même si votre chat ne sort pas, ou très peu, il n’est pas à l’abri. Les puces peuvent entrer dans nos maisons en passant sous la porte d’entrée, ou par le balcon.

Et ces indésirables insectes, lorsqu’ils sont avalés par le chat, peuvent en outre amener avec eux des parasites internes, et notamment des vers.

Il est donc très important de vermifuger son chat deux fois par an.

Limitez les sorties

Si vous avez un balcon ou une terrasse, et laissez votre chat y accéder, il est préférable de ne pas lui accorder de trop longues sorties lorsqu’il fait vraiment froid. Les chats d’intérieur ne sont pas habitués aux faibles températures et risquent de tomber malades.

Préférez donc des sorties plus brèves, mais plus régulières.

L’hiver, c’est aussi le moment de cocooner, de passer plus de temps avec son chat, en partageant plus de jeux, ou de siestes !

http://wamiz.com