En tirer des leçons


C’est dur des fois de s’apercevoir qu’on a eu tort … Et plus difficile de faire marche arrière de le reconnaitre vers d’autres personnes. Mais pourtant avoir tort permet d’apprendre en espérant que la leçon soit retenue
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En tirer des leçons

 

L’incapacité à reconnaître ses propres erreurs est le signe qu’on ne sait pas en tirer les leçons …

Jack Campbell

Les lacs éphémères peuvent donner un spectacle saisissant


Comme l’hiver s’installe, on peut quand même rêver au printemps. Il y a en Autriche, justement, la monté des eaux peut donner un spectacle vraiment unique
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Les lacs éphémères peuvent donner un spectacle saisissant

 

 

Les lacs éphémères se créent et se vident au gré des saisons. C’est le cas du « Lac Vert » en Autriche où une plaine se transforme au printemps en lac sous l’effet de la fonte des neiges. Celle-ci est si forte qu’en seulement 2 semaines, la plaine est engloutie sous des dizaines de mètres d’eau. Des plongeurs profitent alors de l’exceptionnelle clarté de l’eau, dans laquelle il est possible de voir jusqu’à 40 mètres.

http://secouchermoinsbete.fr/

http://www.dailymail.co.uk/

Ces 10 choses qui nous énervent le plus au quotidien !


Nous avons tous des limites, des trucs qui nous énervent. Probablement ce qui énerve une personne, énerve aussi la plus part des gens
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Ces 10 choses qui nous énervent le plus au quotidien !

Une enquête réalisée en Angleterre a listé les 50 choses qui énervent le plus les gens dans leur vie quotidienne. Medisite vous donne le top 10 des réponses. C’est sûr, vous allez vous y reconnaître !

enervep©Fotolia.com

Parce que le quotidien est fait de petites choses bonnes et mauvaises, une étude a été menée en Angleterre pour savoir par quoi les gens étaient le plus agacés dans leur vie.

Voici le top 10 des 2000 personnes interrogées :

1. Les gens qui dépassent dans une file d’attente
2. L’impolitesse en général
3. Les gens qui n’écoutent pas
4. Voir quelqu’un cracher en public
5. Etre mis en attente
6. Les profiteurs
7. Ceux qui pensent que les règles ne s’appliquent pas à eux
8. L’utilisation des téléphones portables au volant
9. Ceux qui ne disent ni s’il vous plaît ni merci
10. Les hypocrites

Parmi les 40 autres choses relevées, on trouve notamment nos comportements personnels accidentels : rater son train, renverser de l’eau de Javel sur ses vêtements préférés, laisser un mouchoir dans la machine à laver…

Il y a aussi tout ce qui concerne les manies insupportables des autres : ceux qui connaissent tout sur tout, ceux qui prennent deux sièges dans le train, les vieilles dames qui font leurs courses à l’heure de pointe, les gens en retard…

Et puis il y aura toujours ces choses contre lesquelles on ne peut rien : les trains annulés, le fait qu’on supprime les biscuits avec la tasse de thé, les embouteillages, payer ses impôts…

http://sante.planet.fr/

 

Les bonobos accros à la télé ?


 

Je ne sais pas ce que vous en pensez… Le fait d’étudier le comportement animal dans son milieu naturel est une chose, mais observé des animaux dans un zoo en prenant des habitudes humaines pas sur que cela puisse être vraiment enrichissant pour la connaissance. En fait, je me demande ce que cela donne de plus a la science
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Les bonobos accros à la télé ?

 

Des téléviseurs ont été installés dans la cage aux singes du zoo de Stuttgart. Les animaux pourront eux-mêmes choisir leur programme !

Photo d’illustration. © Guillaume Souvant / Sipa

 CORRESPONDANT À MUNICH, FRÉDERIC THERIN

Les bières et les chips ne seront pas fournies. Et le suspense reste entier quant à savoir si ces dames parviendront à regarder leurs programmes familiaux favoris aux dépens de ces messieurs qui auraient préféré se détendre devant un film d’action ou une séquence coquine. Des chercheurs vont installer dans une cage du zoo de Stuttgart, en Allemagne, une télévision équipée de boutons qui permettront à un groupe de singes de choisir la séquence qu’ils souhaitent visionner.

Les bonobos, qui possèdent un patrimoine génétique très proche du nôtre, pourront ainsi décider s’ils veulent observer leurs congénères durant « l’acte » ou lors d’un repas. Les autres films, d’une durée de cinq à sept minutes, montreront deux primates en pleine bagarre ainsi qu’une mère prenant soin de son petit et une scène de la « vie de tous les jours ».

Des chercheurs avaient déjà étudié en Angleterre les réactions de ces petits chimpanzés originaires du Congo devant un téléviseur. Les experts avaient ainsi découvert que leurs « cobayes » préféraient les dessins animés et les documentaires… animaliers. L’apparition d’un serpent sur le petit écran avait également provoqué une panique générale dans la cage du zoo de Twycross et un technicien venu réparer la télé en panne avait été accueilli par les applaudissements des téléphages amateurs de bananes.

Filmés pendant qu’ils regardent la télé

La recherche lancée en Allemagne est encore plus intéressante, car les bonobos vont avoir la possibilité de choisir eux-mêmes le programme qu’ils souhaitent regarder. Les scientifiques viennent pour cela d’achever la longue et fastidieuse phase d’apprentissage durant laquelle les « téléspectateurs » ont dû comprendre que les boutons sur lesquels ils pouvaient appuyer leur permettaient de sélectionner telle ou telle séquence filmée.

Les singes vont désormais être filmés vingt-quatre heures sur vingt-quatre afin de tenter de comprendre leur « consommation télévisuelle ». Les femelles, qui sont dominantes dans cette espèce, décident-elles du programme ? Les mâles aiment-ils se détendre devant leur poste lors des repas ou en fin de soirée ? Pour ne pas transformer ces animaux en d’adipeux primates, le poste ne sera allumé que quelques heures par jour. Ainsi, le bonobo ne pourra pas copier complètement le bedonnant accro à sa télécommande…

http://www.lepoint.fr

Pour bien vieillir, il n’est jamais trop tard pour se bouger


En vieillissant on est moins actif et cela est moins tentant de faire des activités physiques. Pourtant, c’est un atout précieux pour vivre dans des meilleurs conditions
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Pour bien vieillir, il n’est jamais trop tard pour se bouger

 

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Agence France-Presse
Paris

Même entamée tardivement par des personnes âgées, une activité physique régulière multiplierait par trois leurs chances de mener «une vieillesse en bonne santé», selon une étude parue mardi.

En étudiant pendant huit ans un échantillon de 3500 personnes dont l’âge moyen était de 64 ans, des chercheurs britanniques ont montré que ceux qui avaient eu une activité physique régulière modérée ou vigoureuse avaient sept fois plus de chances de bien vieillir que les personnes inactives.

Les chances étaient encore trois fois supérieures chez les 10% d’anciens inactifs ayant repris une activité physique entre 2002 et 2010, selon l’étude publiée dans la revue British Journal of Sports Medicine, qui fait partie du groupe du British Medical journal (BMJ).

À la fin de la période étudiée, une personne sur cinq était considérée comme en «bonne santé, tandis que 4 sur 10 avaient développé une pathologie chronique, un sur cinq souffrait d’une dépression ou d’un déficit cognitif et un tiers d’une incapacité au moins partielle.

Pour arriver à leurs résultats, les chercheurs dirigés par le Dr Mark Hamer, un épidémiologiste de l’University College de Londres, ont tenu compte des principaux autres facteurs susceptibles d’avoir un effet sur le vieillissement comme le tabagisme, la consommation d’alcool, le statut marital ou les ressources financières.

Alors qu’il n’existe pas de consensus sur le sujet, ils ont estimé que le «vieillissement en bonne santé» pouvait être défini par le fait de ne pas avoir de maladie chronique, ni de déficit cognitif «majeur» ou de «limitation importante» de ses capacités physiques et d’être en bonne santé mentale.

«Cette étude, concluent-ils, soutient les politiques de santé publique visant à inciter les seniors à avoir une activité physique, même à un âge déjà avancé».

http://www.lapresse.ca

Développement du cerveau : un nutriment essentiel dans la viande


Il semble que l’absorption d’un acide animé serait indispensable au développement du cerveau, mais elle se trouve dans la viande.
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Développement du cerveau : un nutriment essentiel dans la viande

 

De la viande de boeuf 

Photo :  iStockphoto

Un acide aminé présent dans la viande est indispensable au développement normal du cerveau, ont découvert des chercheurs québécois de l’Université de Montréal et du CHU Sainte-Justine.

Jusqu’à aujourd’hui, l’asparagine contenue aussi dans les œufs et les produits laitiers était considérée comme non essentielle puisqu’elle est produite naturellement par le corps.

C’était avant les travaux du Pr Jacques Michaud et ses collègues.

« Les cellules du corps peuvent s’en passer, car elles utilisent l’asparagine fournie par l’alimentation. L’asparagine n’est toutefois pas bien transportée par la barrière hémato-encéphalique dans le cerveau. »— Pr Jacques Michaud

Ainsi, les cellules cérébrales dépendent de la synthèse locale de l’asparagine pour leur fonctionnement.

Ces images illustrent le cerveau d'un enfant touché par l'anomalie qui décédera par la suite.Ces images illustrent le cerveau d’un enfant touché par l’anomalie qui mourra par la suite. Photo :  Université de Montréal

Une maladie génétique rare

En 2009, une famille québécoise a perdu un troisième enfant en raison de la même maladie qui cause microcéphalie congénitale, déficience intellectuelle, atrophie cérébrale et convulsions réfractaires.

L’étude de ces cas a permis aux chercheurs de découvrir l’anomalie génétique responsable de ce désordre du développement.

Concrètement, leurs travaux ont révélé qu’un certain gène touché par des mutations code pour l’asparagine synthétase, l’enzyme responsable de la synthèse d’un acide aminé nommé « asparagine ».

Cette recherche est la première à associer une variante génétique spécifique du déficit de cette enzyme.

« Chez les sujets en santé, il semble que le niveau d’asparagine synthétase dans le cerveau est suffisant pour alimenter les neurones. Chez les individus qui en manquent, l’enzyme n’est pas produite en quantité suffisante et ce déficit en asparagine altère la prolifération et la survie des cellules durant le développement du cerveau. » Pr Jacques Michaud

Vers un traitement

Les nouvelles connaissances sur les mutations du gène pourront mener à la création de traitements. Cette meilleure compréhension des mécanismes moléculaires impliqués dans le développement du cerveau est un pas important pour la mise au point de médicaments, affirment les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Neuron.

Ainsi, un supplément d’asparagine pourrait être donné aux nourrissons chez qui on a décelé la maladie afin d’assurer un développement normal du cerveau.

Toutefois, comme les enfants naissent déjà avec des anomalies neurologiques, il n’est pas certain que cette supplémentation corrigerait les déficits neurologiques.

http://www.radio-canada.ca

La rencontre entre une comète et le soleil garde les astronomes en haleine


La nuit quand le ciel est dégagé, un regard au cas qu’on apercevrait la comète qui va près du soleil. Sera-t-elle éprise de l’ardent pour fondre sous ses rayons ou offrira un des plus beaux spectacles sans pour autant faire de tort à la Terre
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La rencontre entre une comète et le soleil garde les astronomes en haleine

 

La comète ISON atteindra son point le plus près de la Terre le 26 décembre, après quoi elle s’en éloignera indéfiniment.

PHOTO FOURNIE PAR LA NASA

MARCIA DUNN
Associated Press
CAP CANAVERAL, Floride

La quasi-rencontre, jeudi prochain, entre le soleil et une comète, crée un véritable suspense qui, depuis des mois, fascine la communauté astronomique, dont même les plus experts hésitent à prédire ce qui se passera.

La comète ISON, que l’on croit de moins d’un kilomètre et demi de diamètre, éclatera-t-elle sous l’effet de la chaleur intense? Ou alors résistera-t-elle, présentant possiblement un fabuleux spectacle céleste?

Si elle survivait, ISON (prononcée «ail-sân») serait visible à l’oeil nu tout au long du mois de décembre, du moins dans l’hémisphère nord.

Parfois visible à l’aide de longues-vues ou même, à l’occasion, à l’oeil nu en novembre, l’astre a déjà ébloui les observateurs. La NASA la considère comme la comète la plus observée de mémoire d’homme.

Mais le meilleur reste possiblement à venir.

Détectée il y a à peine plus d’un an, la comète traverse le système solaire pour la première fois. On croit qu’elle viendrait directement du nuage d’Oort, en bordure du système solaire, et lieu d’origine d’innombrables corps gelés, dont ces balles de poussière et de gaz en orbite autour du soleil que sont les comètes. Pour une quelconque raison, ISON a été expulsée de ce nuage et attirée par la force gravitationnelle du système solaire.

Plus elle approche du soleil, plus elle avance rapidement.

En janvier, elle avait une allure d’environ 64 500 kilomètres/heure. Jeudi dernier, elle avait accéléré à 241 500 kilomètres/heure.

Jeudi prochain, alors que les Américains fêteront l’Action de grâces, la comète arrivera à moins de 1 175 000 kilomètres du soleil, soit une distance plus courte que le diamètre du soleil lui-même.

Peu importe le sort qui lui est réservé, les Terriens n’ont rien à craindre : elle n’approchera pas à moins de 64 millions de kilomètres de la Terre, ce qui représente moins que la moitié de la distance entre la Terre et le soleil. Elle atteindra son point le plus près de la Terre le 26 décembre, après quoi elle s’en éloignera indéfiniment.

http://www.lapresse.ca

Népal: Le bouddhisme pour la première fois daté par des archéologues


Le bouddhiste est une des religions la plus répandue dans le monde. Sans être adepte, il est intéressant de voir le passé raconter l’histoire d’hier au monde d’aujourd’hui
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Népal: Le bouddhisme pour la première fois daté par des archéologues

 

Illustation d’un moine bouddhiste. JEWEL SAMAD / AFP

ARCHEOLOGIE – Il est daté du VIe siècle avant J.-C, selon des chercheurs…


La découverte de vestiges d’une structure jusqu’alors inconnue sur le site de la naissance de Bouddha au Népal a permis pour la première fois de dater scientifiquement sa vie et l’émergence du bouddhisme au VIe siècle avant J.-C..

Des fouilles réalisées sous le temple Maya Devi à Lumbini ont permis de mettre au jour les vestiges d’une structure de bois, «qui a scientifiquement pu être datée du VIe siècle avant J.-C.», grâce à des analyses au carbone 14 et par luminescence, a annoncé lundi l’archéologue Robin Coningham, de l’université britannique de Durham.

Cette «découverte majeure» apporte de «nouveaux éléments à un très vieux débat» sur la datation de la vie du Bouddha, a ajouté le responsable des fouilles, codirigées au Népal par Kosh Prasad Acharya, lors d’une conférence de presse téléphonique organisée par la National Geographic Society à partir de Washington.

D’un culte local à une religion mondiale

La vie de Bouddha n’est connue que par la tradition orale ou des textes postérieurs à sa vie qui datent sa naissance au VIe ou au IVe siècle avant J.-C.. Toutes les traditions font mourir à l’âge de 80 ans Bouddha, «l’être éveillé» qui quitte le sommeil de l’ignorance en renonçant aux biens matériels.

Après trois ans de fouilles et d’analyses, «nous avons la preuve du plus ancien sanctuaire bouddhiste au monde, et la preuve manifeste que ce sanctuaire était consacré autour d’un arbre», affirme l’archéologue.

Jusqu’à présent, la plus ancienne structure relative au bouddhisme à Lumbini datait du IIIe siècle avant J.-C. Le site de Lumbini, près de la frontière du nord de l’Inde et inscrit sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO, est l’un des lieux de pèlerinage les plus importants du bouddhisme, fréquenté par un million de personnes par an.

La religion bouddhiste compte quelque 500 millions de fidèles dans le monde.

Les fouilles, dont les résultats sont publiés dans le journal Antiquity de décembre, ont été financées par les gouvernements japonais et népalais et conduites par les universités de Durham et Stirling (Grande-Bretagne) en partenariat avec la National Geographic Society.

http://www.20minutes.fr/