C’est souvent nous qui érigeons les barrières, les murs avec nos peut-être, ou encore nos si au lieu d’avancer
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Course à obstacles
La vie ressemble à une longue course à obstacles, mais le principal obstacle, c’est toi-même …
Jack Paar
Une petite compilation des maladresses des Bulldogs, ces chiens qui semblent avoir de la peau en trop sur leurs courtes pattes, mais qui sont drôles et mignons comme tout
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Par Sophie Le Roux
Crédits photo : Youtube – Petsami
Avec leurs irrésistibles bouilles de petits molosses, leurs adorables ronflements, leur amour démesuré pour la sieste, leurs maladresses… les Bulldogs sont des chiens merveilleux !
Pour ceux qui ne seraient pas encore convaincus, cette vidéo achèvera de leur prouver à quel point ces toutous sont spéciaux, et surtout, terriblement attachants et attendrissants.
Quelque chose nous dit que vous aurez une folle envie d’adopter un Bulldog après l’avoir visionnée !
Quant à ceux qui sont déjà les heureux maîtres de ce chien pas comme les autres, ils auront sans aucun doute besoin de faire un gros câlin à leur compagnon à 4 pattes après avoir découvert ces jolies et drôles d’images.
J’aimerais être un petit oiseau et voir si la plupart vont se déchausser pour savoir s’ils ont un pied égyptien, grec ou carré
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Selon une enquête menée par l’Union française de la santé du pied, près d’un Français sur deux a des pieds « égyptiens ». Et vous ?
Pieds égyptiens, grecs, carrés… On sait que différentes formes de pieds existent mais sans toujours connaitre la sienne. En fait, on parle de :
– Pieds égyptiens quand le gros orteil est le plus avancé.
– Pieds grecs quand le second orteil, en partant du gros, est plus grand que les autres.
– Pieds carrés quand les trois premiers orteils sont de même grandeur puis que le quatrième régresse et le cinquième régresse encore.
Dans une enquête, l’Union Française pour la Santé du Pied (UFSP) nous apprend que 49,1% des Français ont des pieds « égyptiens », dont 51,1% pour les hommes et 47,8% pour les femmes ; 40,1% ont des pieds grecs (39,9% pour les hommes et 41,2% pour les femmes) et 10,4% ont les pieds carrés (7,7% pour les hommes et 12,3% pour les femmes).
Arrière du pied : valgus ou varus ?
Autre information intéressante de l’enquête, l’arrière-pied des Français est souvent plus de type « valgus », soit dévié à l’extérieur (45,9%) que « varus » soit dévié en dedans (12,9%). Enfin, 41,2% des sujets sondés présentent un arrière-pied axé. Avis aux fétichistes !
Source : Enquête de l’UFSP, octobre 2013.
Les chercheurs ont pu déterminer une nouvelle espèce animale, (enfin façon de parler étant donné que cet ornithorynque a existé il y a des millions d’années), par une dent.
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Il mesurait environ un mètre, soit deux fois la taille de l’ornithorynque contemporain, seul survivant connu de son espèce.
PHOTO AFP
Agence France-Presse
SYDNEY
Une espèce éteinte d’ornithorynque géant, friand de grenouilles et de tortues, a été identifiée en Australie à partir d’une dent fossilisée, expliquent des scientifiques américains et australiens dans le Journal of Vertebrate Palaeontology.
Pourvu comme ses cousins actuels d’une gueule en bec de canard, d’une épaisse fourrure, de pattes et d’une queue semblables à celles du castor, cet ornithorynque carnivore, baptisé «Obdurodon tharalkooschild», vivait il y a entre 5 et 15 millions d’années.
Il mesurait environ un mètre, soit deux fois la taille de l’ornithorynque contemporain, seul survivant connu de son espèce.
Il a été identifié à partir d’une seule molaire découverte par Rebecca Pian, doctorante à la Columbia University de New York, sur le site fossilifère de Riversleigh dans l’Etat australien du Queensland (nord-est).
«La découverte de cette nouvelle espèce a été un choc pour nous parce que jusqu’alors, les fossiles à notre disposition suggéraient que l’arbre généalogique des ornithorynques était relativement linéaire», a commenté Michael Archer de l’université de Nouvelle-Galles du Sud.
«Nous savons maintenant qu’il y avait des branches latérales sur cet arbre, dont celle d’un type géant», a-t-il ajouté.
Les scientifiques ont toujours pensé que l’ornithorynque avait perdu ses dents et réduit sa taille au gré de l’évolution, sans imaginer qu’une sous-espèce pouvait avoir conservé ces caractéristiques ou qu’il avait pu exister une branche distincte, susceptible d’avoir vécu en des temps plus «récents».
«La nouvelle espèce était essentiellement aquatique, comme son cousin contemporain, vivant autour des points d’eau dans les forêts qui couvraient alors la région», selon Suzanne Hand, de l’université de Nouvelle-Galles du Sud.
Il se nourrissait vraisemblablement d’écrevisses et de poissons, ainsi que de petits vertébrés comme les grenouilles et les tortues dont on a retrouvé les fossiles au même endroit.
Animal nocturne, farouche, l’ornithorynque, qui pond des oeufs, ne se rencontre plus aujourd’hui que dans l’est de l’Australie. Il se nourrit de vers, d’insectes et de petits crustacés.
Ils sont inoffensifs à ceci près que les pattes des mâles adultes sont recouvertes d’aiguillons dont le venin paralysant peut être «incroyablement douloureux» pour l’homme, rappelle Michael Archer.
«Si vous multipliez la densité de venin par deux ou trois pour un individu beaucoup plus gros (que l’ornithorynque actuel), vous commencez à voir cet individu comme un prédateur».
Le plus ancien fossile de l’espèce, daté de 61 millions d’années, a été retrouvé à la pointe méridionale de l’Amérique du Sud, selon M. Acher.
C’est triste de voir comment une vie peut changer du jour au lendemain. Hier, l’argent rentrait et aujourd’hui, c’est chaque minute est une survie. Peut-être le fait qu’il puisse passer dans les médias, cela va aider a améliorer ses conditions de vie
Nuage
Un cimetière./Photo DDM Archives
Un Brésilien de 47 ans passait toutes ses nuits, depuis treize ans, dans le cimetière de Sao Paulo au Brésil. Il avait trouvé refuge dans le tombeau d’un de ses amis après avoir perdu son emploi et son logement.
Il y a treize ans, Fábio Beraldo Rigol, ancien employé de bureau, avait perdu son emploi et avait sombré dans la drogue. Chassé de chez lui car il ne payait plus son loyer, il dormait dans la tombe de son meilleur ami au cimetière Brotas à Sao Paulo.
« J’ai plus peur de la vie »
Le sans-abri ne se souvient plus exactement la façon dont il s’est retrouvé là mais il explique, au magazine brésilien Globo, qu’« il faisait nuit » et qu’« il pleuvait fortement ». Pour lui, cet endroit n’est pas plus horrible qu’un autre :
« Cela ne me fait pas peur de passer la nuit dans le noir aux côtés d’un cadavre. Je n’ai pas peur de la mort. J’ai plus peur de la vie ».
Fábio Beraldo Rigol espère tout de même ne pas finir sa vie ainsi et il souhaite retrouver un travail et une maison :
« Ce serait terrible de mourir avec les morts » conclut-il.
LaDépêche.fr
S’il y a vie ailleurs dans notre Voie Lactée, cela vaut t-il la peine de chercher une autre Terre ? Je suis persuadée que la vie dans d’autres planète est possible, mais reste a savoir sous quelle forme .. Et si nous trouvons une telle planète va t’on la détruire comme nous détruisons notre propre planète ?
Nuage
Une vue de la planète Terre et du Soleil Photo : Istock
L’espace est vaste, mais rien ne dit que nous y vivons en solitaires, après tout. Selon une étude, la Voie lactée fourmille de milliards de planètes de la taille de la Terre, qui orbitent autour d’étoiles ressemblant en tous points à notre Soleil, et qui gravitent dans la zone « Boucles d’or » – ni trop chaude, ni trop froide pour la vie humaine.
Pour la première fois, des astronomes utilisant des données de la NASA ont calculé qu’il existe au moins 8,8 milliards d’étoiles accompagnées de planètes de la taille de la Terre dans une zone dite habitable.
L’étude a été publiée lundi dans le journal Proceedings of the National Academy of Science.
Pour mettre ce portrait en perspective, il existe plus de planètes de la taille de la Terre que de citoyens vivant sur la Terre.
« Quant aux chances qu’il y ait de la vie ailleurs, cela signifie qu’uniquement dans notre Voie lactée, cela représente 8,8 milliards de lancements de dés biologiques », a illustré Geoff Marcy, coauteur de l’étude et un « chasseur de planètes » de longue date à l’Université de la Californie à Berkeley.
Selon les scientifiques, la prochaine étape sera de détecter de l’atmosphère sur ces planètes à l’aide de puissants télescopes qui n’ont pas encore été créés. De telles démarches permettront de fournir de nouveaux indices sur la possibilité que la vie puisse y exister.
Ces découvertes soulèvent une autre question, selon M. Marcy.
« Si nous ne sommes pas seuls, pourquoi existe-t-il un tel silence dans notre Voie lactée de la part de civilisations avancées? »
Dans notre Voie lactée, environ une étoile sur cinq ayant la taille de notre soleil, sa couleur et son âge compte des planètes ayant la taille approximative de la Terre et se trouvent dans une zone habitable où l’eau peut être liquide, selon de complexes calculs établis à partir de quatre années d’observations menées à l’aide du télescope Kepler de la NASA, dorénavant désuet.
Si les habitants de la Terre pouvaient voyager dans les profondeurs de l’espace, « vous verriez probablement beaucoup d’embouteillages », a blagué Bill Borucki, éminent scientifique à la NASA.
Le télescope Kepler a examiné 42 000 étoiles à l’intérieur d’une infime partie de notre galaxie afin de voir combien il existait de planètes ressemblant à la Terre. Des scientifiques ont ensuite transposé le résultat pour le reste de la galaxie, qui compte des centaines de milliards d’étoiles.
Pour la première fois – les scientifiques ont calculé, et non estimé – quel pourcentage d’étoiles semblables à notre soleil comptent des planètes similaires à la Terre : 22 %, avec une marge d’erreur de plus ou moins huit points de pourcentage.
La scientifique Natalie Batalha dit qu’il faudra scruter plus de données encore avant d’en arriver à un chiffre final.
Il existe environ 200 milliards d’étoiles dans notre galaxie, dont 40 milliards ressemblent à notre Soleil, fait remarquer M. Marcy. L’un des coauteurs de l’étude évalue ce nombre à 50 milliards, ce qui signifie qu’il existerait au moins 11 milliards de planètes comme la nôtre.
Associated Press
Je trouve cela un peu inquiétant qu’un enfant fait ce genre de collection. Peut-être que les parents sans le savoir vont accentuer un problème d’un amasseur compulsif s’il le laisse entreposer autant d’appareils
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Nettoyer n’est pas une corvée pour Harry Burrows.
Contrairement aux autres enfants de son âge, cet Anglais de 9 ans adore ranger et dépoussiérer sa chambre… si bien qu’il collectionne les aspirateurs.
Cet habitant de Halesowen, dans le centre du pays, fait sourire les médias britanniques car il possède quarante appareils vintage, surtout achetés avec son argent de poche.
Depuis qu’il a 4 ans, lui et ses parents ont ainsi dépensé près de 1 200 euros dans des brocantes et sur des sites web spécialisés.
« Le top pour ramasser les poils de mon chien »
«Mon préféré est un Dirt Devil de 1960. C’est le top pour ramasser les poils de mon chien», a souligné Harry.
Une passion que ses parents n’expliquent pas :
«Bizarrement, quand il était bébé, le bruit de l’aspirateur le berçait et l’aidait à dormir».
Cet intérêt pour l’électroménager est pour le moins envahissant puisqu’il remplit déjà la chambre du garçon, le salon et le grenier.
Et cela pourrait empirer car Harry semble vouloir désormais collectionner d’autres appareils électriques, à commencer par les tondeuses à gazon.
Je ne comprends pas que des gens puisse être des prédateurs d’enfants . Grâce a cette simulation virtuelle, les enquêteurs ont pu prendre dans leur filets plusieurs prédateurs dont cinquantaine viennent du Canada …
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L’opération impliquait une identité inventée d’une fillette de dix ans des Philippines, nommée «Sweetie».
PHOTO PETER DEJONG, AP
La Presse Canadienne
Colin Perkel
Une opération d’infiltration a permis d’identifier des dizaines de Canadiens et de milliers d’adultes à travers le monde prêts à payer pour voir des actes sexuels sur caméra web d’une prétendue fillette des Philippines âgée de dix ans, a indiqué lundi une organisation internationale de défense des droits des enfants.
Le groupe Terres des Hommes, établi près d’Amsterdam, a affirmé que 54 Canadiens figurent parmi les quelque 1000 adultes de 71 pays identifiés durant le projet de dix semaines.
PHOTO PETER DEJONG, AP
L’un des enquêteurs, s’étant identifié seulement par le prénom Peter par crainte de représailles, a affirmé que le plus surprenant était la facilité avec laquelle ces gens ont été pris en délit. Il s’est inquiété de voir que ces gens croyaient être à l’abri des lois sur le Web.
Des renseignements détaillés d’identification – incluant noms, adresses, numéros de téléphone et courriels – sont désormais entre les mains d’Interpol et doivent être transmis aux autorités responsables de l’application de la loi dans les pays concernés, a mentionné Peter à La Presse Canadienne à partir d’Amsterdam.
Un porte-parole de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a indiqué «ne pas avoir d’information à fournir pour le moment» concernant cette opération.
L’opération impliquait une identité inventée d’une fillette de dix ans des Philippines, nommée «Sweetie», qui s’inscrivait dans plusieurs forums prisés des enfants et adolescents. Les prédateurs sexuels interpellaient immédiatement la fillette.
«Montre-moi tes jambes», écrit l’un d’entre eux. «Babyyyy, combien?» $$$», écrit un autre.
Les quatre enquêteurs comptaient aussi sur une création animée en 3D de «Sweetie», bien qu’il n’ait généralement pas eu à en faire l’usage pour piéger les prédateurs.
Globalement, 20 172 adultes ont offert de payer entre 1$ et 100$ en utilisant des cartes de crédit prépayées non repérables pour voir une démonstration à caractère sexuel de «Sweetie» sur caméra web – bien qu’il leur ait été signifié à moins deux reprises qu’elle était âgée de seulement dix ans.