Souvenirs d’enfance


Est que l’ère d’Internet pourrait changer la transmission de notre propre patrimoine aux plus jeunes ? Je ne sais pas, je ne crois pas, a cause qu’il y a les émotions du moments qui seraient difficile a transmettre
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Souvenirs d’enfance

 

 

Les souvenirs de notre propre enfance ne sont fait que d’instants sublimés qui constitue un véritable patrimoine personnel et intime, bien difficile à transmettre aux plus jeunes.

Pierre Szalowski

Un chat, un chien, une grande évasion


Rien ne vaut mieux que l’union pour faire face a des problèmes insurmontables, Bon insurmontables pour le chien, mais le chat a force de ténacité réussit un coup de maitre pour faire évader son copain de cellule
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Un chat, un chien, une grande évasion

 

Chiens et chats ne s’entendent pas, paraît-il… Ils seraient même les meilleurs ennemis du monde. Difficile à croire lorsque l’on regarde cette vidéo, où matou et toutou semblent bien plutôt être les meilleurs amis du monde !

Dexter le chat et Gizmo le chien sont tout du moins partenaires dans le crime. Il faut dire que le toutou n’a pas d’autre choix que de s’allier à son colocataire félin s’il veut avoir une chance de s’évader de la cuisine où il est enfermé.

Seul, il serait en effet bien en peine de grimper sur l’arbre à chat pour faire tourner la poignée de la porte, comme sait si bien le faire Dexter.

Quelque chose nous dit que le matou n’en est pas à sa première évasion. Il semble avoir une grande expérience dans le domaine !

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Supermarché: 10 secrets pour un panier plus sain


Aller faire l’épicerie est facile, mais faire des bons choix avec toute cette quantité de produits annonçant qu’ils sont meilleurs que d’autres. Sans pour autant rendre l’épicerie plus difficile ou plus long, quelques trucs peuvent quand même être utiles
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10 conseils pour apprendre à faire les bons choix dans les rayons du supermarché!

1. Recherchez les produits qui ont peu d’ingrédients

Lorsque vous trouvez, à l’épicerie, un aliment manufacturé dont la liste d’ingrédients est interminable, remettez-le sur la tablette et cherchez une composition plus simple.  Il s’agit ici des ingrédients qui entrent dans la composition d’un produit et non de sa valeur nutritionnelle dont nous reparlerons plus loin. La cruelle vérité est que plusieurs ingrédients ne sont autre chose que divers types de sucre et d’additifs chimiques qui ne sont pas utilisés pour vous, mais à l’avantage des sociétés qui fabriquent ces aliments. Ils améliorent l’apparence, le goût et la durée de conservation, des caractéristiques qui concernent la mise en marché et l’expédition et pas du tout votre santé. La plupart des additifs ne sont pas considérés nocifs, même si les effets de certains sur la santé sont remis en question, mais ils n’ont pas autant de saveur ou de valeur nutritionnelle qu’on le prétend. En fait, ils ont pour principal objectif de masquer le manque d’éléments naturels. Marion Nestle, professeur de nutrition à l’Université de New York, affirme que les listes d’ingrédients les plus courtes sont toujours les meilleures.

2. « Sans cholestérol » ? Réfléchissez bien!

Le cholestérol est un type de gras que l’on trouve uniquement dans les produits animaux: viande, poisson, lait, œufs et beurre.

Alors, pourquoi l’emballage des produits faits à partir de plantes comporte-t-il en grosses lettres la mention « sans cholestérol »? Parce que les entreprises alimentaires savent que la majorité d’entre nous a probablement oublié ou même n’a jamais appris que les plantes n’en contiennent pas. Parmi les produits délinquants, on retrouve les céréales, le pain, les biscuits, la sauce à salade et tout particulièrement l’huile et la margarine. Comme les huiles sont faites de matières grasses, les fabricants croient que les consommateurs seront rassurés de savoir qu’il n’y a pas de cholestérol dans l’huile de maïs. La prochaine fois que vous verrez cette mention, dites-vous bien que, comme il s’agit d’un produit végétal, il ne contient pas de cholestérol.

3. Que signifie exactement la certification biologique?

L’utilisation du terme « biologique » sur l’emballage des produits alimentaires suscite beaucoup de confusion, tout comme ce qui concerne les diverses mentions. Pour les levures, la certification biologique s’obtient au moyen d’un processus signifiant que le producteur se conforme de façon stricte à un ensemble de règles et de procédures.

Pour que les fruits et les légumes puissent être étiquetés « biologiques », conformément aux règles du Département américain de l’agriculture qui sont pratiquement les mêmes au Canada, ils doivent avoir été cultivés sans utilisation des produits suivants : semences génétiquement modifiées,  engrais provenant de boues chimiques ou de lisier, pesticides ou herbicides chimiques et traitement par irradiation. Les fermiers doivent conserver un registre et le présenter sur demande aux inspecteurs accrédités. Les catégories de certification sont les suivantes : « 100 pour cent biologique », « biologique » (de 95 à 99%) et « contient des ingrédients biologiques » (de 74 à 94%). Pour les produits dont le pourcentage est moindre, on peut mentionner les produits biologiques utilisés dans la liste des ingrédients.

Pour la viande, la certification biologique signifie que les animaux sont nourris uniquement de moulée certifiée biologique, excluant tout sous-produit d’origine animale. Les animaux ne peuvent avoir reçu d’hormones ou d’antibiotiques. Ils doivent avoir accès à l’extérieur et être traités avec humanité. Toutes les fermes biologiques doivent tenir un registre et sont inspectées par du personnel accrédité. Il n’y a actuellement pas suffisamment de produits biologiques pour satisfaire à la demande, mais la production augmente de façon constante. Plusieurs grandes surfaces offrent maintenant  des viandes biologiques et au moins une chaîne, Whole Foods Market, vend surtout ce type de produits. Les marchés publics, les boutiques d’aliments naturels et les fermes sont toutes de bonnes sources d’Approvisionnement en produits biologiques.

4. Méfiez-vous de l’étiquette « produit naturel »

Les étiquettes alimentaires « naturel » et « biologique » semblent interchangeables, n’est-ce-pas? Du moins, c’est exactement ce que les sociétés agroalimentaires veulent que vous croyiez. Mais voici les faits : l’utilisation du label « naturel » sur les emballages est plus galvaudée que celle du terme « biologique ».

Il n’y a aucune exigence pour les produits qui se disent « naturels », mais par contre, tout ce qui est mentionné sur l’emballage doit être véridique. Par exemple, si une viande est étiquetée « naturelle » parce que les animaux n’ont pas consommé d’hormones ou d’antibiotiques, l’emballage doit le mentionner et cela doit être véridique. Les fermiers ou les fabricants de produits alimentaires n’ont pas à se soumettre à des inspections pour utiliser le label. On doit donc se fier à leur parole.

5. Tenez compte de la taille des portions

Les indications de valeur nutritionnelle sont conçues de façon à vous faire croire que vous consommez moins de calories que la réalité.

C’est pourquoi on y présente la teneur en substance nutritive sur la base d’une seule portion.  Vérifiez donc la taille d’une portion et le nombre de portions par contenant. Ainsi, une tablette de chocolat que bien des gens mangent au complet en une seule fois peut représenter deux portions. Si vous avez lu « 100 calories par portion » sur l’emballage, vous devez ajuster votre perception et réaliser que vous avez consommé 200 calories puisque le produit équivaut à deux portions.

6. Servez-vous d’une calculette pour comparer les produits

Une calculette est le meilleur outil pour décoder l’information que l’industrie de l’agroalimentaire ne veut pas vous donner, soit la valeur nutritive réelle des aliments que vous achetez. Par exemple, vous cherchez à comparer la valeur nutritive de deux céréales différentes pour le déjeuner, les Cheerios multi-grains de General Mill et les céréales entières Mini-Wheats de Kellogg à givrage original. La portion de base de Cheerios est d’une tasse, celle de Kellogg est de 24 morceaux. Vous n’allez tout de même pas ouvrir la boîte pour vérifier le nombre de morceaux que contient une tasse; aussi, la meilleure façon de comparer les produits est d’utiliser le poids indiqué en grammes sur les deux emballages. Une portion de Mini-Wheats équivaut à 59 grammes contre 29 g pour les Cheerios, soit près du double. Vous devrez donc couper de moitié la valeur des nutriments indiquée sur l’emballage des Mini-Wheats. Gramme pour gramme, les valeurs sont sensiblement les mêmes pour les calories, les fibres, les glucides, les protéines et les matières grasses.  Même les quantités de sucre sont presque les mêmes, même si les Cheerios se disent « légèrement sucrées »  et les Mini-Wheats ont un givrage. Une surprise pour les  nombreuses personnes qui surveillent leur alimentation.

7. Intéressez-vous à l’information complète

 

Les spécialistes du marketing savent que les consommateurs conscients de la valeur nutritionnelle s’intéressent aux céréales entières.

Ne croyez pas que c’est ce que vous obtiendrez avec un « pain de blé ».

Ce que vous voulez réellement est un pain de « blé entier » ou « à grain entier ».

 

8. Ne confondez pas les arguments publicitaires et les faits concernant les céréales

Si vous cherchez des céréales nutritives et non celles qui prétendent l’être, oubliez les slogans publicitaires en grosses lettres et lisez directement les labels.

Cherchez des produits qui ont une courte liste d’ingrédients, où les grains entiers sont en tête de liste et où il n’y a pas de sucre. Vous pourrez en ajouter vous-même au besoin. Examinez la valeur nutritive par portion et recherchez des céréales à haute teneur en fibres. Les céréales très sucrées que l’on donne régulièrement aux jeunes enfants développent leur goût pour le sucre à un jeune âge et leur donnent des habitudes dont ils auront du mal à se débarrasser.  Marion Nastle, professeur de nutrition, affirme qu’actuellement, les céréales sont tellement sucrées qu’elles pourraient être classées dans la catégorie des biscuits, pauvres en gras, bien sûr!

9. Ne vous laissez pas submerger par les aliments trop liquides

L’eau est l’ingrédient magique des aliments précuits et elle vient au premier rang sur la liste des ingrédients : un indice qu’elle sera suivie d’une longue liste d’aditifs pour ajouter de la saveur et de la texture à l’eau. Dans le cas d’une soupe, aucune surprise à voir l’eau en tête de liste des ingrédients, puisqu’il en faut beaucoup pour faire une soupe. Mais c’est plus surprenant dans le cas des pâtes, comme les SpaghettiOs. De nombreuses sauces à salade contiennent plus d’eau que tous les autres ingrédients et comme l’eau ne se mélange pas avec l’huile, il faut de nombreux additifs pour assurer l’homogénéité de l’ensemble. L’eau ne coûte pas cher et l’industrie apprécie.

10. Vérifiez les niveaux de glutamate de sodium

Vérifiez la liste des ingrédients sur les emballages des aliments précuits, par exemple, les soupes. Lisez patiemment parce que vous retrouverez cet ingrédient en bas d’une longue liste, même si vous avez vu en gros caractères au début, que cet aliment ne contient pas de glutamate de sodium. Cet ingrédient est parfois mentionné sous son nom propre, mais souvent sous d’autres noms comme  protéine de soja hydrolisée, levure autolysée et casinéate de sodium. Le glutamate de sodium est une version synthétique de l’umami, une substance bien connue au Japon, qui se retrouve naturellement dans certains aliments comme le fromage Parmesan, la sauce de soja et les champignons. Le glutamate de sodium (MSG), très utilisé dans la cuisine asiatique, a perdu de sa popularité lorsqu’on a établi un lien entra sa consommation et les maux de tête ou d’autres symptômes désagréables. Maintenant, plusieurs restaurants de cuisine asiatique annoncent avec fierté sur leur menu « pas de glutamate de sodium », mais l’industrie de l’agroalimentaire continue de le voir comme un exhausteur de goût. Si vous avez des problèmes avec le glutamate de sodium, cherchez-le sous ses différents noms.

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Deux chats intègrent la police de Séoul !


Une belle histoire, deux chats abandonnés dont un vraiment malade, des policiers qui ont décidé de tout faire pour les sauver et maintenant ces deux boules de poils font partie intégrantes du poste de police … Des chats qui redonnent de la douceur pour a des gens qui n’ont pas toujours un travail facile
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Deux chats intègrent la police de Séoul !

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : smartsmpa.tistory.com

Plus personne ne peut l’ignorer, les chats ont pris le pouvoir, et pas seulement sur Internet. Une nouvelle preuve nous vient tout droit de Corée du sud, où Mango et Mango Kobun, deux adorables chats roux et blancs, sont devenus des matous policiers, ou presque…

Les deux chats n’ont pas de statut officiel. Pourtant, ils jouent un véritable rôle au sein du commissariat : ils apaisent et amusent les policiers, qui entre deux missions, viennent les papouiller, leur donner des friandises, joueur avec eux.

L’histoire de Mango et Mango Kobun

Mais comment Mango et Mango Kobun sont-ils arrivés là ? C’est une jolie histoire…

Un jeune homme a apporté Mango dans une station de police de Seoul au mois de juin dernier. Trouvé dans une poubelle, il risquait l’euthanasie s’il était conduit à la fourrière. Un officier a alors décidé de prendre le matou sous son aile, et l’a emmené chez le vétérinaire.

C’est alors qu’une tumeur a été découverte au niveau de son estomac.

Le matou devait être opéré, et 500 000 won étaient nécessaires pour payer l’intervention. Le jeune officier a alors crée un groupe de soutien, et s’est lancé dans une collecte de fonds pour sauver la boule de poils à laquelle il s’est tout de suite attaché.

Mais le vétérinaire a généreusement offert une partie des frais. Depuis, Mango est en pleine forme. Choyé par les policiers, il mène une vie paisible et heureuse.

Un duo en parfaite harmonie

Un compagnon l’a même rejoint récemment, Mango Kobun. Un chat qui ressemble énormément à Mango, et a été découvert devant la station de police. La pauvre bête était affamée, et les policiers n’ont pas pu se résoudre à l’abandonner à son triste sort. Ils ont donc décidé de l’adopter à son tour, pour le plus grand plaisir de Mango, avec lequel il s’entend à merveille.

En échange des soins et de tout l’amour qu’ils reçoivent, les matous offrent à leurs sauveteurs tous les bienfaits félins que nous connaissons !

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ARTHROSE : IL N’Y A PAS QUE L’ÂGE EN CAUSE !


L’arthrose est une maladie des articulations souvent relier avec l’âge, mais peut aussi apparaitre plus jeune étant provoquer par l’obésité ou les gestes répétitifs
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ARTHROSE : IL N’Y A PAS QUE L’ÂGE EN CAUSE !

 

Arthrose : il n'y a pas que l'âge en cause !

    L’arthrose est une maladie fréquente qui entraîne une usure anormale des articulations.

    Elle est beaucoup plus fréquente après la cinquantaine… mais il ne faut pas en déduire qu’elle est uniquement liée à l’âge.

    Le poids et les mouvements répétitifs sont aussi des facteurs de risque.

    L’arthrose est liée à l’âge… mais pas seulement

    L’arthrose, une usure excessive du cartilage dans une articulation.

    Normalement, les cellules cartilagineuses sont capables de reproduire le cartilage pour répondre à l’usure. Quand l’arthrose s’installe, c’est que la destruction du cartilage devient trop importante pour que ce mécanisme permette de redresser la situation.

    En conséquence, le cartilage disparait, et dans l’articulation les os frottent l’un contre l’autre et s’abîment, avec plusieurs conséquences :

  • Parfois, la réparation ne se fait pas de manière harmonieuse.

    Des excroissances apparaissent alors sur l’os.

  • Il peut aussi arriver que très petits fragments d’os se détachent et se retrouvent à l’intérieur de l’articulation.

    Ils peuvent alors entraîner un blocage de l’articulation ou une inflammation.

Le surpoids, un autre facteur de l’arthrose

Puisque l’arthrose est une usure de l’articulation, il est évident qu’elle est liée à l’âge : chacun de nos mouvements abîme un peu nos articulations. Cependant il n’y a pas que l’âge. Le surpoids joue aussi un rôle important, en tout cas sur les articulations des membres inférieurs (hanches, genoux, chevilles). En effet, nos jambes et nos pieds doivent supporter tout notre poids plusieurs dizaines de fois par jour; et plus encore si nous courons ou portons des charges.

C’est pour cela que l’arthrose est devenue une complication reconnue de l’obésité.

A tel point que souvent, le premier conseil que donne un rhumatologue est de perdre du poids

Les mouvements répétitifs sont aussi à éviter contre l’arthrose

Les mouvements répétitifs, une cause d’arthrose

Ils font travailler la même articulation de façon répétée et parfois excessive. L’arthrose fait donc partie des risques de tous les métiers qui font faire le même geste encore et encore, des ouvriers aux caissières.

Les sportifs de haut niveau concernée par l’arthrose

Paradoxalement, les sportifs de haut niveau, puisqu’eux aussi doivent répéter les mêmes gestes pendant des heures pour arriver à améliorer leurs performances. Pourtant, l’exercice physique modéré et régulier est l’une des meilleures solutions contre l’arthrose…

http://www.e-sante.be

Le virus de la grippe a tout pour déjouer son hôte


Nous commençons la saison des grippes, rhumes et alouette … Le virus de la grippe connait l’art de prendre d’assaut un corps pour l’infecter. Il utilise les armes du corps pour ainsi installer son virus
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Le virus de la grippe a tout pour déjouer son hôte

 

 

grippe 

Photo :  iStockphoto

Le virus de la grippe parvient à infecter son hôte en anéantissant les cellules immunitaires qui sont les mieux outillées pour le détruire, ont révélé dimanche des chercheurs américains.

Lorsqu’il est confronté à une infection, le système immunitaire envoie au front les cellules capables de produire les anticorps les mieux adaptés à combattre l’envahisseur.

Ces cellules, appelées lymphocytes B à mémoires, prolifèrent, sécrétant les anticorps qui ralentissent et détruisent éventuellement le virus. On retrouve à la surface de ces cellules des récepteurs spécifiques au virus en question.

Étonnamment, le virus de la grippe utilise ces récepteurs pour pénétrer à l’intérieur du lymphocyte, interférer avec la production d’anticorps et éventuellement causer sa mort. De cette manière, le virus parvient à infecter l’organisme avant que le système immunitaire n’ait été en mesure de lancer une deuxième contre-attaque pour se défendre.

Les chercheurs de l’Institut Whitehead, qui est affilié à l’Institut de technologie du Massachusetts, ont expliqué que leur découverte pourrait mener au développement d’un vaccin antigrippal saisonnier plus efficace, ou carrément à la mise au point d’un nouveau type de vaccin.

Les résultats de l’étude sont publiés dans le prestigieux journal scientifique Nature.

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Calvitie : des chercheurs ont trouvé le moyen de faire repousser des cheveux


Dans un avenir qui semble de plus en plus proche, les personnes ayant des problèmes de calvitie pourront avoir recours a un traitement qui pourraient aider a retrouver leur chevelure d’antan
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Calvitie : des chercheurs ont trouvé le moyen de faire repousser des cheveux

 

Des chercheurs américains ont peut-être trouvé un moyen de faire repousser les cheveux.

Des chercheurs américains ont peut-être trouvé un moyen de faire repousser les cheveux. © SGO / VOGIN / BSIP

Une équipe de l’université de Columbia a greffé des cellules papillaires sur le dos d’une souris. Les résultats sont concluants.

 

Après des années d’insuccès, des chercheurs sont parvenus à faire repousser des cheveux en cultivant en laboratoire des cellules humaines du derme papillaire, ce qui offre un nouvel espoir aux personnes souffrant de calvitie, selon leurs travaux publiés lundi.

Depuis une quarantaine d’années les scientifiques ont tenté sans succès de cloner des follicules pileux, l’usine à fabriquer des cheveux, en utilisant des cellules du derme papillaire. Jusqu’à présent les traitements ne peuvent que ralentir la perte des cheveux, mais ils ne stimulent pas la croissance de nouveaux cheveux.

Dans cette nouvelle recherche, les cellules humaines, une fois cultivées, ont ensuite été réimplantées sur la peau de souris, ce qui a permis de produire des follicules pileux.

« Cette méthode permet de développer un grand nombre de follicules ou de régénérer les follicules existants en utilisant des cellules du derme papillaire provenant d’une centaine de donneurs de cheveux », explique le Dr Angela Christianio, professeur de dermatologie à l’université Columbia à New York, principal coauteur de l’étude parue dans les Comptes rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).

Des travaux encore nécessaires

« Cette technique pourrait rendre la greffe de cheveux accessible à des personnes avec un petit nombre de follicules, chez les hommes comme chez les femmes, ou chez les sujets ayant souffert de brûlures », précise-t-elle.

Chez les souris, ces cellules peuvent être facilement récupérées et réimplantées dans la peau d’un autre animal. Cela s’explique surtout par le fait que contrairement aux humains, les cellules papillaires de ces rongeurs s’agglutinent spontanément dans des cultures de laboratoire. Cela leur permet d’interagir et de reprogrammer la peau où elles sont greffées pour produire de nouveaux follicules, en ont déduit les chercheurs.

Pour cette recherche, des cellules papillaires provenant de sept personnes ont été cultivées en laboratoire où l’on a induit leur agrégation de manière à créer les conditions nécessaires à la croissance des cheveux, explique le Dr Claire Higgins, de l’université Columbia, un autre auteur de ces travaux. Après quelques jours, ces cellules papillaires insérées entre le derme et l’épiderme d’un fragment de peau humaine ont été greffées sur le dos de souris. Dans cinq des sept tests, la greffe a produit de nouveaux cheveux pendant au moins six semaines.

Une analyse ADN a montré que les nouveaux follicules pileux étaient humains et génétiquement similaires aux donneurs de cellules papillaires. Cependant, davantage de travaux sont nécessaires avant que cette technique puisse être testée chez des humains, soulignent les auteurs de l’étude. Les chercheurs doivent en effet encore déterminer les origines des propriétés intrinsèques des nouveaux cheveux, comme leur couleur, leur angle de pousse, leur emplacement sur la tête et leur texture.

http://www.lepoint.fr/

Alberta: un groupe dénonce des actes de cruauté animale


Qui dit vrai … Non ce n’est pas moi, c’est l’autre, mais en attendant des poules, des poussins sont entassés et maltraités ce qui est contre productif. C’est le résultat d’une surconsommation La meilleure arme serait de bouder les entreprises qui se fournissent chez les producteurs fautifs entre autres
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Alberta: un groupe dénonce des actes de cruauté animale

 

Au Québec, 99% des poulets reçoivent des antibiotiques,... (Photo: Ivanoh Demers, archives La Presse)

Au Québec, 99% des poulets reçoivent des antibiotiques, l’exception étant surtout formée de poulets biologiques.

PHOTO: IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE

La Presse Canadienne
VANCOUVER

Un groupe pour les droits des animaux demande à McDonald’s Canada de prendre position contre ce qu’il qualifie de «cruauté choquante envers les animaux» captée sur une vidéo qui aurait été tournée chez deux producteurs de poulets de l’Alberta.

McDonald’s affirme pour sa part qu’aucun de ses oeufs ne provient de ces fermes.

La vidéo tournée en caméra cachée par Mercy for Animals Canada et diffusée à l’émission «W5», sur les ondes de CTV, montre des poules entassées dans des cages et des poussins frappés violemment par des travailleurs avant d’être jetés dans des sacs à ordures.

Le directeur de l’exploitation de Mercy for Animals Canada, Stéphane Perrais, affirme que les poules sont tellement à l’étroit dans les cages qu’elles ne peuvent battre des ailes, marcher ou se tourner.

Le groupe précise que les images ont été tournées par un enquêteur s’étant fait passer pour un travailleur de la ferme et qui a été embauché par Ku-Ku Farms et Creekside Grove Farms. Il y aurait travaillé pendant 10 semaines, en mai dernier.

Selon Mercy for Animals Canada, Creekside Grove Farms fournirait des poussins à Ku-Ku Farms, près d’Edmonton. Ku-Ku fournirait ensuite des oeufs à l’ontarienne Burnbrae Farms, principal fournisseur d’oeufs de McDonald’s Canada.

McDonald’s affirme cependant que bien qu’il s’approvisionne notamment auprès de Burnbrae – mais aussi de plusieurs autres entreprises au pays -, aucun de ses oeufs ne provient des fermes impliquées dans le reportage de «W5» et qu’«aucun de (ses) oeufs ne provient de l’Alberta».

http://www.lapresse.ca