Des silences pour apprendre a écouter, réfléchir et ensuite répondre
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Des silences
Communiquer suppose aussi des silences, non pour se taire, mais pour laisser un espace à la rencontre des mots …
Jacques Salomé
Le monstre du lac Ness ne serait pas d’Écosse mais des États-Unis !?!
Enfin peu importe, il est géant pour un poisson … et dire que ce n’est pas le plus grand de son espèce
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Un régalec./capture écran
VIDEO — Les silures ressemblent à des sardines à côté de ce poisson gigantesque repêché ce week-end dans les eaux californiennes ! En effet, un spécimen très rare de régalec a été découvert par une plongeuse, spécialiste et professeur de sciences marines. Ce poisson est l’un des plus imposants du monde marin et vit généralement à plus de 900 mètres de profondeur.
Il aura fallu l’intervention de 16 personnes pour sortir le poisson mort des eaux. Mesurant environ 6 mètres de long, le « ruban de mer » repêché en Californie fait partie des plus petits de son espèce puisque le régalec peut atteindre les 15 mètres.
Nous sommes a une époque extraordinaire en matières de photographies de l’espace grâce à la technologie. Nous n’irons probablement pas dans l’espace mais l’espace vient a nous pour offrir a nos yeux ces mille merveilles Et Oui comme dit Michel Fugain : je suis infiniment petit, je ne suis qu’un passant ….. Dans l’infiniment grand
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EN IMAGES. Nasa
La Nasa diffuse régulièrement des images extraordinaires qui font le tour du monde. Prises par le télescope spatial Hubble ou par les astronautes en mission, ces photos – souvent stylisés en postproduction – rendent compte de la complexité cosmique et font rêver les spectateurs, qui se sentent soudain bien petits. Alors que l’actualité spatiale est marquée ce mois-ci par l’arrivée de trois nouvelles personnes à bord d’ISS et d’un spectaculaire ouragan sur Saturne, « Le Nouvel Observateur » a sélectionné 25 photos figurant parmi les belles de l’agence américaine.
Voyage dans l’espace avec la Nasa
La Nébuleuse de la Tête de Cheval, à environ 1.500 années-lumière de la Terre, photographiée en 2013 par le télescope spatial Hubble, qui a fêté fin avril le 23e anniversaire de son lancement. (Nasa)
Cassini
Cette image capturée par la sonde Cassini a fait début mai le tour du web. Elle montre un ouragan d’un diamètre de 2.000 kilomètres se déchaîner au pôle nord de la planète Saturne. (Nasa)
Atlantis devant le soleil
La navette américaine Atlantis photographiée devant le Soleil alors qu’elle se dirige vers Hubble, en 2009. La photo a été prise au moyen d’un télescope terrestre muni d’un filtre solaire. (Nasa)
La nébuleuse d’Orion
Poussière interstellaire de la Nébuleuse d’Orion, à 1.350 années-lumière du Système solaire. Photo prise par Hubble. (Nasa)
Constellation du Sagittaire
L’amas globulaire M54, dans la constellation du Sagittaire, découvert par l’astronome français Charles Messier en 1778. (Nasa)
La Lune par Discovery
La Lune vue depuis la navette Discovery, en 2009. (Nasa)
La Lune photographiée par Apollo 11
Un gros plan sur la Lune réalisé lors de la mission Apollo 11, en 1969. (Nasa)
Soleil – Mix
Une image du Soleil mélangeant 25 photos réalisées entre le 16 avril 2012 et le 15 avril 2013, témoignant de l’activité de l’astre. (Nasa)
Éruption solaire, août 2012
L’image d’une éruption solaire, en août 2012. (Nasa)
Galaxie d’Hercule
Image multi-longueur d’onde de la galaxie naine d’Hercule. (Nasa)
La Voie Lactée, précisément
Photo du centre galactique de la Voix lactée. C’est le cliché le plus net jamais réalisé de cette région. (Nasa)
Cats eyes
La Nébuleuse de l’Œil de Chat, par Hubble. (Nasa)
Eruption solaire, 2013
Image capturée par l’observatoire solaire de la Nasa SDO d’une éruption de catégorie X1,7 – c’est-à-dire spécialement puissante – à la surface du Soleil, le 12 mai 2013. L’astre traverse actuellement un pic d’activité. Unphénomène que les scientifiques s’attachent à surveiller en raison des perturbations qu’il est susceptible d’entraîner sur la Terre. (Nasa)
M104, par Hubble
M104, dite la Galaxie du Sombrero, située à environ 30 millions d’années-lumière. Photo signée Hubble. (Nasa)
Curiosity, août 2012
Plus près de la Terre, et en même temps si loin, le robot Curiosity arpente depuis août 2012 le sol désertique de Mars. Ci-dessus, un autoportrait du rover de la Nasa. (Nasa)
Mars par Curiosity
Le robot solitaire réalise de superbes photos haute définition de la Planète rouge. Surtout, il a examiné des minéraux qui montrent que la vie microbienne a pu exister dans un passé lointain et humide sur Mars, selon la Nasa. (Nasa)
La Terre, 2013
Mais l’agence américaine diffuse aussi des clichés de notre bonne vieille Terre. Ici, des stratocumulus au-dessus du Pacifique, près du Japon, en janvier 2013. Photo prise depuis ISS. (Nasa)
Volcan indonésien Rokatenda, 2013
Une vue satellite du volcan indonésien Rokatenda lors d’une éruption, en février 2013. (Nasa)
La Terre de nuit
Là, une image offerte par le satellite nouvelle génération Suomi NPP, dont l’instrument d’imagerie infrarouge permet de capter l’activité lumineuse de la Terre. (Nasa)
La Terre, 1972
Enfin, voici la photo la plus célèbre jamais prise dans l’espace : celle de la Terre elle-même, intitulée « La Bille bleue ». La première version du cliché remonte à 1972 et à Apollo 17. La Nasa a actualisé en 2012 son image emblématique, la diffusant sur Flickr à un format record de 64 mégapixels. (Nasa)
Une drogue légale. Beau bon et pas trop cher … et qui semble t’il ne donne pas addiction sauf que … Il est possible d’avoir des effets secondaires désagréables. La noix de muscades est une épice essentielle en cuisine, mais comme toute bonne chose … il faut de la modération
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La noix de muscade,une drogue ??
Peu importe la manière dont les ados ingurgitent la noix de muscade, ils en sont fous ! Ils la fument, ils l’avalent, ils la sniffent… et apprécient les vertus relaxantes de cette substance psychotrope qui les envoie dans un état second. Le plus ? Elle est moins chère que la drogue (et de loin) , on en trouve partout et elle est légale !
Noix de muscade : une drogue ancienne
Pas de raison de s’alarmer, se shooter à la noix de muscade n’est pas nouveau. Il y a fort longtemps, les Hindous de l’ouest de l’Inde et les Indonésiens fumaient déjà la noix de muscade. Il l’utilisaient comme du tabac à rouler. C’est une pratique qui s’est perpétuée aussi dans les prisons américaines. Elle était aussi très en vogue dans les années 50 au sein des campus américains.
Des effets secondaires gênants
Ceux qui se « droguent » à la noix de muscade affirment que ses effets sont proches de la marijuana. Cette « drogue » ne provoquerait pas d’addiction. Mais il y aurait des effets secondaires très désagréables : des maux de tête et des nausées principalement mais aussi des vertiges, une déshydratation, l’accélération des battements du cœur, une constipation passagère, des difficultés à uriner…
Une épice à consommer avec modération !
La noix de muscade possède aussi des substances toxiques. Elle peut avoir un effet euphorisant mais dangereux pour le système nerveux. C’est pour cela qu’elle est considérée comme une drogue. Il faut donc en consommer très peu quand vous l’utilisez. Sachez que 5 à 10 g seulement peut entraîner un état de relaxation intense et d’assoupissement. Et au-delà de 20 g, elle peut être fatale et entrainer la mort !
Epice utilisée pour la cuisine
Mais pas de panique ! Vous pouvez continuer à utiliser cette épice pour confectionner vos plats. Car c’est une épice qui relève les plats salés mais aussi sucrés, très utilisée pour cuisiner. On la râpe ou on la broie. Qui ne connaît pas la purée de pomme de terre à la noix de muscade ? On en rajoute dans les gratins, les béchamels, les soufflés et certaines pâtisseries. C’est d’ailleurs une des épices qui sert dans la confection du pain d’épices ! Et en plus, elle a facilite la digestion. Le tout est de doser très peu.
Le saviez-vous ?
La noix de muscade est le fruit d’un arbre tropical géant, le muscadier. Le goût de cette noix ? Un mélange de poivre et de cannelle !
Je présume que plusieurs savent que l’esclavage existe encore, mais sous une forme quelque peu différente des siècles derniers. Au Canada d’ailleurs arrive en 144e place sur les 162 pays classés selon l’indice global d’exclavage de la «Walk Free Foundation». On estime que le nombre d’esclaves au Canada se situe entre 5600 et 6200. (Source : http://www.985fm.ca)
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Les trois quarts des victimes d’esclavage sont en Asie.
PHOTO REUTERS
Agence France-Presse
LONDRES
Près de 30 millions de personnes dans le monde vivent dans des conditions d’esclavage, l’Inde pointant en tête avec presque la moitié des personnes asservies, selon le premier classement du genre publié jeudi par l’organisation Walk Free.
Les trois quarts des victimes sont en Asie, mais «aucun continent n’est épargné», affirme Walk Free, une nouvelle organisation basée en Australie, soutenue par l’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton et le co-fondateur de Microsoft et philanthrope Bill Gates.
Selon cette enquête inédite publiée à Londres, l’Inde arrive en tête (14 millions d’esclaves), suivie de la Chine (2,9 millions) et du Pakistan (plus de deux millions). Viennent ensuite le Nigeria, l’Éthiopie, la Russie, la Thaïlande, la République démocratique du Congo (RDC), la Birmanie et le Bangladesh.
Ces dix pays à eux seuls comptabilisent 22 des 29,8 millions de personnes asservies.
En Inde, «des communautés entières dans des villages du nord sont réduites en esclavage, forcées de fabriquer des briques ou de travailler dans des carrières. Des enfants sont contraints de travailler sur des métiers à tisser pour fabriquer les tapis qui sont vendus dans nos magasins», explique à l’AFP le directeur général de Walk Free, Nick Grono.
Si l’on prend toutefois en compte le pourcentage de la population d’un pays réduite en esclavage, c’est la Mauritanie qui arrive en tête du classement, avec un taux de 4%.
«On trouve encore des esclaves héréditaires en Mauritanie, des enfants naissent esclaves» et sont contraints d’effectuer des tâches domestiques ou de travailler dans les champs, raconte Nick Grono.
L’esclavage «reste un stigmate sur tous les continents», affirme-t-il. «Beaucoup de gens sont très surpris d’entendre que l’esclavage existe encore», car nombreux sont ceux qui partent du principe qu’il a disparu depuis son abolition dans de nombreux pays européens et sur le continent américain au début du XIXe siècle.
La définition de l’esclavage moderne est quelque peu différente de celle qui avait cours au XVIIIe siècle, du temps de la traite négrière.
«L’esclavage moderne est une situation où les gens sont sous l’emprise de la violence. Ils sont contraints de prendre des emplois ou d’accepter des situations où ils sont économiquement exploités. Ils ne sont pas payés ou alors reçoivent le minimum pour survivre et ne sont pas libres de partir», selon Nick Grono.
Les personnes victimes de trafic humain, celles contraintes de se marier, les enfants exploités dans les conflits entrent aussi dans la définition de Walk Free.
Calculer le nombre d’esclaves est un exercice extrêmement complexe, reconnaît l’organisation.
«Il est difficile d’obtenir des données, car il s’agit d’un crime caché. C’est un peu comme mesurer la violence conjugale ou le trafic de drogues», estime Nick Grono.
Quatorze pays africains – dont la Mauritanie, le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Gambie, le Gabon et le Sénégal – sont parmi les 20 pays les plus mal classés si l’on prend en compte le pourcentage de population réduite en esclavage. Tout en bas du classement, les pays les plus vertueux sont l’Islande, précédé de l’Irlande et du Royaume-Uni, où Walk Free estime le nombre d’esclaves à environ 4400.
«Les lois existent, mais les moyens, les ressources et la volonté politique manquent, estime Walk Free. «L’objectif de ce classement est de changer la situation».
C’est fantastique de voir qu’un homme qui a vécu des milliers d’années qui est mort probablement tout seul sans que personne la sache est aujourd’hui mit à jour grâce a son génome et qu’il aurait peut-être des ancêtres communs a des gens qui existent a notre époque
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Photo : South Tyrol Museum of Archaeology
Grâce à une analyse ADN, des généticiens autrichiens ont établi que 19 hommes vivant actuellement au Tyrol sont apparentés à Ötzi.
La momie de cet homme de 45 ans mort il y a 5300 ans a été découverte dans les glaces à 3200 mètres d’altitude à la frontière entre l’Autriche et l’Italie en 1991. Il a été établi depuis qu’il était mort au bout de son sang après qu’une pointe de flèche eut traversé son omoplate pour atteindre une artère du bras. Il aurait également subi des coups à la tête avant sa mort.
Le corps momifié d’Ötzi Photo : AFP/Andrea Solero
L’homme faisait partie de l’haplogroupe G, particulièrement rare en Europe, mais que l’on trouve aujourd’hui principalement au Proche-Orient.
Le chercheur Walther Parson et ses collègues de l’Institut de médecine légale d’Innsbruck ont établi que ces Tyroliens appartiennent au même sous-groupe G-L91 qu’Ötzi.
De plus, les scientifiques ont également établi que leur plus jeune ancêtre commun a vécu il y a 10 000 à 12 000 ans. Cette découverte ne signifie pas nécessairement que ces hommes sont des descendants directs d’Ötzi, mais qu’ils auraient à tout le moins des ancêtres communs. Ötzi serait probablement venu du Proche-Orient.
En février 2012, des chercheurs avaient annoncé qu’ils avaient décrypté complètement le génome d’Ötzi. Les données montrent qu’il avait les yeux bruns, qu’il était du groupe sanguin O et qu’il était intolérant au lactose. De plus, il possédait des variations génétiques liées au durcissement des artères, ce qui explique peut-être les dépôts de calcium observé lors des examens par imagerie magnétique.
Les frères Adrie et Alfons Kennis devant la reconstitution d’Ötzi. Photo : AFP/Andrea Solero
Le saviez-vous?
En 2010, deux experts néerlandais avaient reconstitué le visage et le corps d’Ötzi. Les frères Adrie et Alfons Kennis ont ainsi répondu à l’invitation du Musée archéologique du Tyrol du Sud, en Italie, qui consacre une exposition à l’homme des glaces.
L’abominable ours des neiges ou le yéti serait probablement confondu avec un ours .. Enfin peu importe, il me semble qu’à notre époque, ce genre de légende ne devrait plus existé avec tous les moyens pour actuels que nous avons
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Photo : iStockphoto
Le yéti, ou l’abominable homme des neiges, appartient au folklore de la région himalayenne comme le Big Foot ou le Sasquatch en Amérique du Nord.
Depuis des dizaines d’années, des aventuriers se rendent dans l’Himalaya afin de recueillir des preuves de son existence, en vain.
La raison serait fort simple : il n’existerait pas!
Un chercheur britannique de l’Université d’Oxford affirme que la bête asiatique pourrait être le résultat d’un croisement entre un ours polaire et un ours brun.
Le généticien Bryan Sykes a soumis à des tests ADN une série d’échantillons de poils qui appartiendraient à la créature, qui habiterait dans l’Himalaya.
« Nous avons trouvé une correspondance génétique totale entre deux échantillons provenant de l’Himalaya et un ancêtre de l’ours polaire. »— Bryan Sykes
Les tests ADN de deux animaux non identifiés provenant de la région du Ladakh en Inde et du Bhoutan correspondent à 100 % avec un échantillon prélevé sur la mâchoire d’un ours polaire trouvée sur l’archipel norvégien de Svalbard où il a vécu à une période remontant à au moins 40 000 ans et jusqu’à 120 000 ans.
« C’est un résultat passionnant et complètement inattendu, qui a été une surprise pour nous tous. »— Bryan Sykes
Ce résultat laisse à penser qu’une sous-espèce d’ours brun vivrait dans l’Himalaya et descendrait de l’ancêtre de l’ours polaire. Il pourrait aussi s’agir d’une hybridation plus récente entre l’ours brun et le descendant de l’ours polaire ancestral, ajoute le chercheur.
Cette hybridation pourrait expliquer pourquoi son comportement est différent des ours classiques, comme le rapportent des témoins, et serait peut-être la source du mystère et de la légende.
Les mêmes théories pourraient aussi expliquer les observations mystérieuses réalisées en Amérique du Nord.
Le saviez-vous?
Est-ce que tous les chats aiment les caresses, ou du moins les tolèrent alors que d’autres n’aiment pas du tout … ? Moi j’ai eu un chat, Virgule quand il voulait des caresses, il était tellement insistant que c’était quasi une attaque de câlins .. du jamais vue .. Alors que ma Fripouille déteste qu’on la prenne, qu’on la touche .. sauf sur la tête et c’est tout, sinon gare a nos doigts
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Vous aimez votre chat ? Alors arrêtez de le caresser ! C’est en substance ce que nous conseille une équipe de chercheurs britanniques, brésiliens et autrichiens, qui a récemment mené une étude sur le stress de nos compagnons félins.
Trop de caresses, beaucoup de stress
Lorsqu’ils sont manipulés par des humains, les chats libèrent en effet des hormones liées à l’anxiété, ont-ils découvert.
Tous les propriétaires de chats savent qu’un matou n’aime pas être papouillé toute la longue journée. Certains refusent catégoriquement les caresses, et d’autres les tolèrent bien plus qu’ils ne les apprécient.
Ces derniers « semblent être plus stressés que les autres« explique le professeur Daniel Mills, de l’université britannique de Lincoln.
Cette étude montre en outre que, contrairement à ce qui est communément admis, les chats ne sont pas des créatures solitaires.
« Beaucoup de gens ont des groupes de chats à la maison, et certains soutiennent que ce n’est pas bon pour leur bien-être, car il ne s’agit pas d’une situation naturelle. Nos recherches montrent que ça n’est pas forcément le cas » souligne le chercheur.
« Même s’ils ne sont pas les meilleurs amis du monde, les chats sont capables de s’organiser pour s’éviter les uns les autres sans être stressés« ajoute-t-il.
L’étude publiée dans la revue Journal Physiology and Behavior a même montré qu’un jeune chat – âgé de moins de deux ans – était plus stressé s’il vivait seul qu’au sein d’un groupe.
En bref, il semble que nous ayons encore beaucoup de choses à apprendre sur nos chers et tendres compagnons félins, et la façon dont nous pouvons les rendre heureux.
Allez à la pêche, généralement, c’est pour le poisson, mais pas cette fois-ci. Il semble que les Russes ont réussi à repêcher un fragment du météorite qui a fait de gros dégâts avec des blessés en février dernier
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Photo : Alexander Firsov
Des scientifiques ont repêché dans le lac Tchebarkoul ce qui serait un gigantesque fragment de la météorite qui a frappé la région de la ville russe de Tcheliabinsk en février dernier.
Un météore avait traversé le ciel du sud de l’Oural en février. Il s’agissait du plus important événement du genre à survenir en plus de 100 ans. Plus de 1600 personnes avaient été blessées par l’onde de choc, qui était possiblement aussi puissante que l’explosion de 20 bombes atomiques d’Hiroshima.
Les scientifiques ont repêché mercredi ce qui pourrait être le plus gros fragment de la météorite, dans le lac Tchebarkoul près de la ville. Une balance industrielle a indiqué un poids de 570 kilos, avant de se briser.
Un expert a déclaré à la télévision russe que le fragment provient sans aucun doute de la météorite.
Associated Press