C’est difficile !! Quand nous sommes offensé, par réflexe on veut rouspéter et souvent de la même manière et c’est la qu’il y a escalade
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Se défendre
La meilleure façon de se défendre est de ne pas imiter l’offenseur …
Marc-Aurèle
Les chiens qui imitent un bébé sont mignons, l’enfant aura des compagnons de jeu qui seront vraiment de grands amis
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Ces images de deux chiens imitant un bébé en train de ramper ont été vues plus de 500.000 fois sur YouTube en une semaine. Il faut avouer qu’il est difficile de trouver plus adorable que ces 30 secondes de vidéo filmées par le Taïwanais Kenji Chen.
Si vous êtes comme moi, Astérix et Obélix ont meublé votre imagination avec les bandes dessinées ou même les films. Nous avons tous eu un sentiment tendre envers Idéfix qui ne supporte pas de voir un arbre déraciné. Mais il y a aussi d’autres secrets qui sont mis au grand jour
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Par Sophie Le Roux
Crédits photo : DR
Le 35ème album d’Astérix s’apprête à être publié. Astérix chez les Pictes sortira en effet le 24 octobre prochain. L’occasion pour nous de revenir sur les aventures de l’un des plus célèbres chiens de la bande-dessinée :l’adorable Idéfix. Un petit chien blanc incarné sur grand écran par un Westie maquillé.
Mais il y a certainement des choses que vous ignorez sur le petit compagnon à 4 pattes d’Obélix. Voici donc 5 choses que vous devez savoir :
1. Idéfix ne devait pas exister !
Idéfix n’a fait son apparition que dans le 5ème album d’Astérix. Et le petit chien n’était pas destiné à apparaître dans les albums suivants. Il n’avait alors même pas de nom.
C’est devant la porte d’une charcuterie que le chien se tient, dans la case 9 de la planche 13 de Le Tour de Gaule d’Astérix. Il suit ensuite les Gaulois dans leurs aventures, avec la ferme intention de s’emparer de l’os du jambon qu’ils ont acheté.
« René (Goscinny) me disait de dessiner un petit chien à l’entrée de la boutique où les héros vont acheter un jambon de Lutèce. Je lui ai demandé si ce petit chien pouvait suivre les voyageurs dans leurs périples avec l’objectif de récupérer l’os du jambon. C’était un simple gag » raconte le dessinateur Albert Uderzo.
2. Son nom choisi par les lecteurs
Contre toute attente, le petit chien a rencontré un succès fou auprès des lecteurs de Pilote, journal dans lequel étaient publiées les aventures d’Astérix et Obélix. A la fin du Tour de Gaule, Obélix l’adopte, pour, comme nous le savon, ne plus jamais le quitter.
« Les lecteurs nous ont écrit pour demander que le chien revienne dans d’autres aventures et que nous lui donnions un nom… Nous avons fait un concours dans le journal [Pilote] et cinq lecteurs ont proposé Idéfix, ce qui a été retenu« explique Albert Uderzo.
Idéfix aurait aussi pu s’appeler Trépeutix, Toutousanprix, ou encore Patracourcix !
3 – Idéfix, héros de sa propre série d’albums
Idéfix a tant séduit les jeunes lecteurs qu’une série de 18 albums lui a été entièrement consacrée. Ses aventures, destinées aux enfants et sans lien avec celles d’Astérix et Obélix, ont été publiées dès 1972.
10 ans plus tard, Albert Uderzo lança une nouvelle série dédiée au petit chien. Mais seuls deux albums ont été publiés.
4. Un petit chien, mais un grand séducteur
Comme son maître, Idéfix est tombé sous le charme de la belle Falbala. Un coup de coeur réciproque ! C’est lorsque Astérix et Obélix partent en Afrique que le chien et la belle se rapprochent.
Même Cléopâtre s’est éprise d’Idéfix. Il faut dire que le petit chien lui a fait son numéro en faisant le beau ! Résultat ? La reine lui offre un os qu’il ne dégustera qu’après qu’il a été goûté par le goûteur personnel de Cléopâtre.
5. Idéfix et ses congénères
S’il est bien sûr le plus important, Idéfix n’est pas le seul chien rencontré au fil des aventures d’Astérix et Obélix.
Il sympathisera notamment avec un chien Viking, puis rencontrera des toutous corses, spécialistes de la sieste, et gentiment moqueurs.
La petite taille d’Idéfix a en effet le don de les faire beaucoup rire !
Encore une fois le pitbull viens de démontrer qu’il n’est pas une bête sanguinaire, mais bel et bien un chien qui a un grand coeur et peut se comporter comme un gardien même pour un chat
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Sophie Le Roux
Crédits photo : Fox 13 News
Jack est un véritable héros à 4 pattes. Et ce n’est pas Kitty, sa colocataire féline, qui affirmera le contraire. Car la petite chatte lui doit la vie. Encerclée par une meute de coyotes, elle aurait en effet eu bien peu de chances de s’en sortir si Jack n’avait pas été là pour elle.
L’histoire se passe dans le comté de Seminole, en Floride. Le chien et le chat, tous deux adoptés dans un refuge, vivent ensemble pendant que le maître de Jack, Peter, est en Afghanistan. C’est la mère du jeune homme, Sherree, qui veille sur le Pitbull pendant son absence.
Un protecteur sans peur
Elle n’imaginait pas il y a encore quelques jours, qu’un autre membre de la famille deviendrait un héros. Alors qu’elle sortait de chez elle, elle a vu son chat se débattre au milieu des coyotes. L’un d’eux tenait le félin par le cou, un autre par la queue, raconte-t-elle.
Mais Jack n’a pas eu peur. Bien décidé à en découdre avec les agresseurs de sa compagne, il s’est précipité sur eux.
« Je n’imaginais pas qu’il pouvait courir si vite. Il est arrivé sur eux tellement rapidement« .
Le chien a contraint les coyotes à lâcher sa pauvre amie féline, qui a immédiatement été conduite chez le vétérinaire par sa maîtresse.
« Elle ne peut toujours pas marcher, mais elle va s’en sortir », affirme Sherree.
« Jack est un héros »
Grâce à Jack, Kitty a échappé au pire. Certains chats et chiens du voisinage n’ont pas eu cette chance… L’association Pinellas County Animal Rescue recommande d’ailleurs aux habitants du comté de ne pas laisser leurs animaux de compagnie dehors la nuit, lorsque des coyotes sont dans les parages.
Prenant très à coeur son rôle de protecteur, le chien ne quitte plus Kitty d’une semelle, et se tient prêt au cas où les coyotes tenteraient à nouveau de l’approcher. Il se sent probablement comme son gardien. Il veille sur elle tous les jours, et la renifle, pour s’assurer qu’elle va bien »; affirme Sherree.
Et d’ajouter : « Jack est un héros. Il a sauvé la vie du chat, et prouvé à quel point les chiens peuvent être bons« .
Les insectes gagnent de plus de terrains dans le marché de la consommations. Maintenant, on travaille pour produire une farine qui pourra aussi remplacer la farine traditionnelle
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En ce qui concerne les enjeux liés à l’alimentation, les insectes font beaucoup jaser. On essaie de les rendre populaires à la consommation, car ils constituent, malgré leur aspect peu appétissant, une solution à la sous-nutrition… Voilà que des étudiants de l’Université McGill planchent à fabriquer une farine à base d’insectes!
Imaginez: élever des sauterelles pour produire du pain. C’est possible? C’est ce que souhaite l’équipe des cinq jeunes inventeurs montréalais qui a développé le projet Flour Power, une nouvelle technique permettant de transformer ces insectes en farine.
Le groupe espère récupérer les sauterelles qu’on retrouve dans les champs de luzerne pour les redistribuer à des fermiers mexicains à Oaxaca. Chaque fermier aura un conteneur où il pourra élever les insectes de façon appropriée pour ensuite les transformer en une farine riche en protéines.
Comment ça va fonctionner? Les sauterelles seront déshydratées et placées dans un sac de congélation hermétique. Elles seront ensuite nettoyées, desséchées, écrasées, puis enfin transformées en farine.
Pas moins de 10 tonnes de sauterelles seront livrées d’ici mars 2014, notamment grâce à une bourse d’un million de dollars. C’est que les cinq étudiants ont remporté le Prix Hult 2013, lors d’un gala présenté par Bill Clinton pour récompenser l’entrepreneuriat social dans le monde étudiant.
Une solution drastique ? Oui, mais il semble difficile de protéger les animaux et ce même dans des zones protéger L’appât du gain est plus fort que la disparation certaine de ces animaux si ces massacres n’arrêtent pas
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Nous nous faisons souvent l’écho des massacres d’animaux protégés en Afrique. Parmi eux figurent les éléphants et les rhinocéros, ces derniers ayant récemment totalement disparu au Mozambique, en raison du braconnage.
C’est un ministre en charge de l’environnement en Tanzanie qui fait cette fois parler de lui avec sa proposition pour le moins radicale : il faudrait selon lui réserver le même sort aux braconniers qui tuent des éléphants que le sort qui est réservé aux éléphants eux mêmes, c’est à dire les abattre. Cette proposition, dont on voit difficilement comment elle pourrait être adoptée, témoigne du désarroi des autorités et des associations de protection des animaux et de l’environnement dans ce pays, et plus largement sur le continent africain.
On se rappelle du massacre qui avait eu lieu en mars dernier, où 86 éléphants, dont 33 femelles enceintes, avaient été abattus en une nuit par des braconniers à la frontière du Tchad et du Cameroun. La montée semble-t-il inexorable du cours de l’ivoire, notamment sur les marchés asiatiques, ne fait qu’encourager les braconniers, avides d’argent, à prendre de plus en plus de risques, quitte à abattre des innocents qui se trouveraient sur leur passage. 30.000 éléphants on été abattus en 2012 pour l’appât du gain. Si rien n’est fait, l’espèce pourrait totalement disparaître à horizon d’une douzaine d’années.
Le chocolat est offert de différentes formes, saveurs, grosseurs. En fait, la forme a un impact sur le gout, soit qu’il permet à la saveur de fondre lentement ou au contraire surprend le palais. Mais changer la forme d’un chocolat connu, c’est un grand risque pour le chocolatier
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Goûte-t-on d’abord avec les yeux?
L’an dernier au Royaume-Uni, le fabricant Cadbury a décidé modifier la forme de ses tablettes de chocolat (les carreaux angulaires se sont arrondis), mais les consommateurs se sont plaints, car ils trouvaient que le goût en avait été détérioré. Pourtant, la recette est restée inchangée.
Des recherches scientifiques ont démontré que pour une même recette, la forme influence vraiment la perception du goût!
Pour comprendre le phénomène entourant la tablette Dairy Milk (on trouvait la nouvelle tablette huileuse et trop sucrée), la BBC s’est penchée sur la question en posant la question à divers spécialistes.
«La vitesse avec laquelle le chocolat fond dans la bouche détermine la vitesse à laquelle les saveurs se diffusent. Une nouvelle forme peut faire fondre le chocolat plus rapidement et changer le goût», dit le professeur Barry C. Smith, codirecteur et fondateur du Centre pour l’étude des sens à Londres.
D’après les experts, les formes arrondies s’adaptent mieux au palais et favorisent l’onctuosité.
Les chocolatiers en savent quelque chose, puisqu’ils utilisent différentes formes selon les saveurs qu’ils veulent mettre en vedette. Par exemple, le chef chocolatier Alasdair Garnsworthy, de Chocolate Society (une chocolaterie anglaise), affirme que pour faire goûter une saveur très forte, comme le romarin, il faut privilégier une forme qui fera fondre le chocolat doucement dans la bouche. Si, au contraire, on veut surprendre le palais avec un ingrédient comme le caramel, on utilisera une forme qui fera fondre le chocolat rapidement.
De plus, l’impact visuel a aussi son rôle à jouer, puis qu’on choisit d’abord avec les yeux. Enfin, lorsqu’on parle d’un produit qu’on connaît bien, on s’attend à retrouver des saveurs familières. Un tout petit changement, comme la forme, peut ainsi surprendre le consommateur, pour le meilleur ou pour le pire…
Bizarre des insectes aux couleurs vives, ils sont plus faciles à repérer pour les prédateurs. Alors que le vert est un excellent camouflage, le rose est une invitation à être mangé
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© Joel Sartore
Certaines sortes de criquets sont peut-être mutantes. Découverts dans les années 1770, les scuddéries à ailes oblongues pourraient avoir subi un changement génétique. Alors que leurs ancêtres étaient, semble-t-il, verts, un petit nombre d’individus arborent des couleurs vives, comme le jaune, l’orange et le rose vif.
Les généticiens ne connaissent pas avec certitude la cause de cette mutation. Les entomologistes ont longtemps pensé que ces couleurs étaient un symptôme d’érythrisme, une anomalie comparable à l’albinisme.
Des scientifiques de l’université de la préfecture d’Osaka, qui travaillent sur une espèce proche, penchent pour une cause génétique plutôt qu’environnementale. L’été dernier, des tests d’accouplement sur les scuddéries à ailes oblongues, réalisés à l’insectarium Audubon de La Nouvelle-Orléans, ont prolongé une étude menée au début du XXe siècle.
L’équipe actuelle est partie du postulat que le vert était un trait récessif – un bon camouflage qui rend les insectes de cette couleur les plus aptes à survivre. Arrivent en deuxième position les individus jaunes et orange, teintes provoquées par la dernière mue.
Les insectes roses sont les moins susceptibles de s’en sortir parce qu’ils ont cette couleur dès la naissance. Le rose est leur trait dominant, mais il en fait des proies faciles dès leur plus jeune âge.
Daniel Stone