Fillette tuée en 1991 Homme arrêté pour le meurtre de Baby Hope


Si on peut avoir une mince  »consolation » dans cette triste histoire, c’est que cette petite fille n’est plus une inconnue, et son assassin, un membre de sa famille a été identifié … Preuve qu’il ne faut jamais désespérer, un jour ou l’autre, la vérité peut toujours éclater
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Fillette tuée en 1991

Homme arrêté pour le meurtre de Baby Hope

 

Homme arrêté pour le meurtre de Baby Hope

Crédit photo : gracieuseté, CNN

Les policiers de New York ont finalement arrêté un homme du Bronx en lien avec le meurtre de la petite Anjelica Castillo, longtemps connue comme «Baby Hope».

La fillette de 4 ans, dont le corps n’avait jamais été réclamé, avait finalement été identifiée plus tôt cette semaine, plus de 22 ans après qu’on l’ait retrouvée sans vie recroquevillée dans une glacière.

Conrado Juarez, 52 ans, était le cousin de la petite Anjelica. Il a été arrêté sur son lieu de travail, un restaurant de Manhattan où il travaillait comme plongeur.

«Aujourd’hui, les enquêteurs du NYPD ont rendu justice à la jeune Anjelica», a affirmé le chef de la police, Phil Pulaski.


Le corps de «Baby Hope» avait été enterré en 1993 sans savoir qui elle était
(Crédit photo: archives AFP)

Le journal américain New York Daily News rapporte que le cousin aurait admis avoir agressé sexuellement la fillette avant de l’étrangler et de cacher son petit corps dans la glacière.

C’est la soeur du suspect, Balbena Ramirez, qui s’occupait de la petite à ce moment et qui aurait eu l’idée de cacher le corps dans la glacière avant de l’emmener dans un secteur boisé. Elle est décédée depuis.

Le 23 juillet 1991, les policiers ont retrouvé la petite fille après qu’elle ait passé environ une dizaine de jours dans la forêt.

Les policiers ont finalement pu identifier Anjelica à la suite de l’appel d’un informateur qui connaissait l’identité de la mère de «Baby Hope».

http://tvanouvelles.ca/

Le Saviez-vous ► Des poissons conditionnés pour retrouver les cadavres


Il semble qu’il n’y a pas juste les chiens qui peuvent retrouver des cadavres … mais aussi des poissons , car bien sur dans l’eau, ce n’est pas évident de faire des recherches
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Des poissons conditionnés pour retrouver les cadavres

 

C’est l’expérience originale menée par une équipe de l’Université de Liège. L’idée, c’est de conditionner des carpes à la recherche de corps en milieu aquatique.

Les carpes sont des animaux qui supportent les basses températures. Elles peuvent s’adapter au manque de visibilité en eaux troubles ou polluées. Un milieu de recherche particulièrement difficile pour les plongeurs de la DVI, une unité spéciale de la police fédérale. C’est elle qui est chargée de l’identification des victimes lors de catastrophes, d’accidents ou de meurtres.

Le but de l’expérience, c’est de transformer les poissons en chiens pisteurs sous-marins:

C’est le même principe qu’avec les chiens » explique Pascal Poncin, professeur en biologie du comportement à l’ULg. « Vous conditionnez un chien à retrouver des odeurs. Vous le récompensez lorsqu’il retrouve ces odeurs. On peut faire exactement la même chose avec des poissons, à cette différence près, c’est qu’il est impossible de leur mettre une laisse et de les suivre dans la nature et qu’on est donc obligé de leur implanter un émetteur grâce auquel on peut les suivre très précisément dans le milieu naturel ».

Au niveau international, l’expérience pourrait à terme s’appliquer en cas de conflits armés ou lors de tsunamis avec l’aide de poissons marins.

E. Dagonnier

http://www.rtbf.be

Des chats et des bébés


On s’entends que les chats sont sûrement dégriffés et que des adultes surveille un chat avec un bébé. Il est conseillée de ne jamais laissé; un chat seul avec un bébé qui dors pour évité qu’il l’étouffe en se couchant sur son cou
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Des chats et des bébés

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : DrunkerFail – Youtube

Non, les chiens ne sont pas les seuls à aimer les enfants. Les chats aussi peuvent être de merveilleux compagnons pour les bambins, et des babysitters hor paire !

La preuve ? Découvrez-la dans cette adorable compilation de moments de tendresse, de jeu et de complicité entre des félins et des bébés. Une vidéo tout simplement baptisée « Cats love Babies » (les chats aiment les bébés), et qui fera sans aucun doute  fondre votre petit coeur !

Joueurs, câlins, taquins : ces duos sont tout simplement irrésistibles. Et quelque chose nous dit que nous assistons là à la naissance de belles et longues amitiés.

 

http://wamiz.com

Génétiquement prédisposé au pessimisme?


Être pessimiste est-il génétique ? Pourquoi pas, étant donner que les hormones ont une grande influence sur nos humeurs, nos plaisirs, sur l’attention …. Cependant, il y a probablement, le vécu d’une personne, son éducation, qui peuvent aussi avoir des conséquences sur la manière qu’on voit les choses
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Génétiquement prédisposé au pessimisme?

 

Un homme pessimiste 

Photo :  iStockphoto

 

Existe-t-il un ou des gènes liés au pessimisme? Une chercheuse de l’Université de la Colombie-Britannique a déterminé qu’une variante génétique déjà connue amène certains individus à percevoir leurs expériences émotionnelles, et surtout les expériences négatives, de manière particulièrement intense.

La Pre Rebecca Todd explique que le gène en question, une variante par suppression du ADRA2b, influence la production de norépinéphrine, une hormone qui joue un rôle dans des domaines comme les émotions, l’attention et la vigilance.

Pour en arriver à cette association, la chercheuse a présenté, en succession rapide, des mots positifs, négatifs ou neutres à 200 participants à l’étude. Ceux qui avaient la variante ADRA2b étaient plus susceptibles de remarquer les mots négatifs que les autres, tandis que les deux groupes percevaient mieux les mots positifs que les mots neutres.

Selon la Pre Todd, ces personnes seraient plus enclines que les autres à repérer les gens en colère dans une foule, ou encore à identifier des dangers potentiels plutôt qu’à profiter de la beauté de leur environnement.

Et l’optimisme?

Les résultats de ces travaux amènent la chercheuse à se demander s’il existe aussi un gène lié à l’optimisme.

Elle explique que certains chercheurs s’intéressent déjà à des variantes génétiques qui auraient un impact sur la production de dopamine, une hormone qui joue sur la recherche et l’attente du plaisir, et d’ocytocine, qui est important dans le développement de liens sociaux.

Un bémol

Mais le fait de voir le verre à moitié vide ou à moitié plein ne peut être lié uniquement à la génétique. La chercheuse pense que les gènes ne peuvent qu’être qu’une partie de l’équation. Ils peuvent vous prédisposer à pencher dans une certaine direction. Mais plusieurs autres facteurs, comme vos expériences de vie, influencent aussi grandement votre perception du monde.

« Notre recherche ne prouve pas que nos gènes causent notre prédisposition, mais elle laisse entendre qu’ils l’influencent. » Pre Rebecca Todd

Le détail de ces travaux est publié dans la revue Psychological Science.

Le saviez-vous?
En février 2013, des chercheurs allemands affirmaient que les personnes âgées pessimistes sur leurs perspectives de bonheur vivent plus longtemps que celles qui sont plus optimistes. Mieux encore : elles vivent aussi en meilleure santé.

http://www.radio-canada.ca

De la vie à l’extérieur de notre système solaire?


Et pourquoi pas !!  Il y a sûrement de la vie ailleurs que ce soit dans notre système solaire ou a l’extérieur. La peut-être des géants comme microscopiques peut importe
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De la vie à l’extérieur de notre système solaire?

 

Représentation artistique de l'astéroïde

Représentation artistique de l’astéroïde Photo :  Mark A. Garlick

Les restes d’un astéroïde détecté dans un autre système stellaire que le nôtre sont riches en eau, montrent les analyses d’astrophysiciens britanniques.

Cette observation laisse à penser que la vie pourrait être possible sur des exoplanètes. Jamais à ce jour les scientifiques n’avaient détecté ensemble, hors de notre système, de l’eau et un corps rocheux, deux des éléments essentiels pour qu’une planète soit habitable.

D’autres observations effectuées sur 12 exoplanètes détruites dont les restes étaient en orbite autour de naines blanches, des étoiles en fin de vie qui ont épuisé leur carburant nucléaire, n’avaient pas montré la présence d’eau.

Dans la présente étude, l’astrophysicien Jay Farihi, de l’Institut d’astronomie de Cambridge et ses collègues ont analysé ce qui reste d’un astéroïde qui devait avoir au moins 90 km de diamètre. Cet astéroïde pourrait aussi être une exoplanète naine.

Les morceaux sont sans doute en orbite autour d’une naine blanche baptisée GD 61 située à environ 170 années-lumière de la Terre. Une année-lumière équivaut à 9460 milliards de km.

« À ce stade de son existence tout ce qui reste de ce corps rocheux n’est que poussière et débris autour de son étoile mourante. […] Mais ce cimetière planétaire est une riche source d’informations. Ces restes contiennent des indices chimiques révélant l’existence de cet ancien astéroïde rocheux riche en eau. » Pr Boris Gänsicke, Université de Warwick

Selon les analyses, cet astre aurait été composé de 26 % d’eau. Le magnésium, le silicium, le fer et l’oxygène sont les ingrédients clés des roches qu’il contient.

La naissance des planètes rocheuses

Les planètes de ce type, également qualifiées de telluriques, dont font partie Mercure, Vénus, Terre et Mars, se forment par l’agrégation d’astéroïdes.

C’est pour cette raison que le fait de trouver autant d’eau dans un tel corps céleste de grande taille signifie que les matériaux formant les planètes habitables ont existé ou existent encore dans le système stellaire GD 61 et probablement dans d’autres systèmes similaires, relève Jay Farihi.

L’astéroïde observé, qui était peut-être une planète naine, possède une proportion d’eau similaire à la planète naire Ceres située dans notre système solaire. En comparaison, la Terre est très sèche puisque l’eau ne représente que 0,02 % de sa masse. Comme dans le cas de Ceres, l’eau devait exister sous forme de glace sous la surface de l’astéroïde.

Une étoile en fin de vie

Durant sa « vie active », l’étoile GD 61 devait être un peu plus grosse que notre Soleil, qui dans plusieurs milliards d’années subira le même sort.

GD 61 aurait épuisé son carburant il y a 200 millions d’années pour devenir une naine blanche. Une partie de son système planétaire a survécu, mais pas les astéroïdes et les planètes naines, dont l’orbite s’est alors fortement rapprochée de l’étoile mourante, où ils ont été détruits par sa force gravitationnelle.

Les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Science se sont surtout appuyés sur des observations faites à partir d’un spectrographe à bord du télescope spatial Hubble.

http://www.radio-canada.ca

Allemagne : un jeune marié oublie sa femme sur une aire d’autoroute


Bon, c’est pas vraiment qu’il oubli sa douce dans une station service, quoique c’est un peu troublant, mais c’est quand qu’il s’est aperçu de son absence me laisse un peu perplexe !!
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Allemagne : un jeune marié oublie sa femme sur une aire d’autoroute

 

Photo d'illustration.

Photo d’illustration. © THIERRY BEAUVIR / AFP

L’amour rend distrait, c’est ce que plaidera sans doute ce jeune marié allemand qui a oublié jeudi son épouse sur une station-service au retour de leur voyage de noces, comme l’a relaté la police vendredi.

Le couple originaire du Brandebourg, l’État régional qui entoure Berlin, revenait en voiture d’un voyage de noces en France lorsqu’il a décidé de faire une halte sur une aire d’autoroute en Hesse (ouest).

Après avoir fait le plein de carburant, l’homme, persuadé que sa dulcinée somnolait sur la banquette arrière, a repris la route.

« Ma première réaction a été : mais il est taré ou quoi ? Je n’avais pas d’argent ni de téléphone sur moi », a raconté la mariée délaissée, âgée de 33 ans, à la radio locale FFH.

« Je ne lui en veux pas »

Ce n’est que 200 km plus loin que le mari – dont l’âge n’a pas été précisé – s’est rendu compte de l’absence de sa bien-aimée, lorsque les enfants du couple sont devenus turbulents et qu’il s’est demandé pourquoi elle n’intervenait pas.

Il a immédiatement fait demi-tour et la séparation des tourtereaux – qui se sont unis il y a quelques mois, a précisé la police – n’aura finalement duré « que » cinq heures

. « Je ne lui en veux pas, a assuré l’épouse à la radio FFH. Il ne l’a pas fait intentionnellement. »

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Itinérance: les refuges pour femmes débordent


Les sans-abris doivent voir venir l’hiver avec crainte. Dormir dehors n’est jamais l’idéale surtout par temps froid. Cependant, je vois mal les femmes dormir dehors été comme hiver. Elles sont des proies encore plus faciles Il semble que malheureusement, les SDF au féminin augmentent avec les années
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Itinérance: les refuges pour femmes débordent

 

La rue des femmes ajoutera d'urgence 10 places... (PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE)

 

La rue des femmes ajoutera d’urgence 10 places à sa capacité d’accueil, ce qui serait loin de suffire aux besoins grandissants constatés par les intervenantes.

PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

GABRIELLE DUCHAINE
La Presse

Des dizaines de femmes itinérantes ont été forcées de passer la nuit dehors dans les derniers mois parce qu’elles ont été refoulées aux portes de maisons d’hébergement pleines à craquer. Le problème est devenu si grave à Montréal qu’un centre a dû refuser 30 femmes en deux jours cette semaine, tandis qu’un autre en est rendu à installer des matelas de fortune par terre dans les couloirs et les salles communes.

«Et on n’est pas encore en hiver», prévient Anne-Gaël Whiteman, intervenante à La rue des femmes.

L’organisme a tout tenté pour trouver un lit à toutes celles qui frappent à sa porte. En vain. Depuis quelque temps, la salle d’activité du centre d’hébergement, rue Jeanne-Mance à Montréal, se transforme en dortoir de fortune dès la nuit tombée. Même chose pour la salle de déjeuner, où on installe des matelas de plastique à même le sol avec quelques couvertures pour accueillir plus de pensionnaires. Trois autres dorment par terre dans le couloir qui relie les chambres aux bureaux administratifs. Malgré cela, plusieurs femmes n’ont pas de place.

«Chaque année, on refuse plus de monde», déplore Suzanne Bourret, coordonnatrice à l’organisme. Le week-end dernier, le taux d’occupation a atteint 400%. «C’est nouveau, qu’on monte aussi haut», s’inquiète Mme Bourret.

Même son de cloche au Chaînon qui, malgré 12 lits d’urgence, a refusé 94 demandes d’hébergement en septembre et une centaine en août. L’Auberge Madeleine, qui compte 19 places, a rejeté 30 appels en deux jours cette semaine.

Bien qu’il n’existe aucun chiffre récent sur le phénomène de l’itinérance féminine dans la métropole, il y a de plus en plus de femmes à la rue, affirment les intervenants du milieu. La hausse constante des demandes d’hébergement en est la preuve. Autre indice: 103 femmes jamais vues auparavant se sont adressées à La rue des femmes cette année. Elles sont mal en point, de plus en plus âgées, et souvent immigrantes.

Plusieurs dangers

Pour ces femmes, les risques liés au fait de passer la nuit dehors sont énormes.

«Elles sont obligées de se cacher ou de marcher toute la nuit. Si elles s’arrêtent, elles deviennent des proies», raconte Anne-Gaël Whiteman.

Une femme lui a raconté s’être réveillée en sursaut dans un parc parce qu’un homme urinait sur elle, un soir où elle n’avait pas trouvé de place dans un refuge. Une autre a dû coucher avec trois hommes en échange d’un lit.

«On n’a jamais eu autant de femmes qui se font battre dans la rue. C’est de plus en plus violent.»

Cette violence, Nancy, ou Grenouille comme on l’appelle dans la rue, la vit au quotidien. Elle a 40 ans. Elle est sans-abri depuis maintenant six ans. Depuis qu’on lui a retiré la garde de sa quatrième et dernière fille. Ses autres enfants avaient été adoptés depuis longtemps.

«C’est rendu rough dehors», dit-elle, assise à une table de la salle à déjeuner de La rue des femmes.

Elle y passe environ quatre nuits sur sept. Lorsqu’elle n’a pas de place ou qu’elle décide de ne pas y aller, elle ne dort tout simplement pas.

«Je prends de la drogue pour rester éveillée ou je me prostitue et je passe la nuit chez un client en qui j’ai vraiment confiance. Je ne suis pas capable de dormir dehors. J’ai encore un orgueil.»

Elle est formelle. Une femme ne peut dormir seule dans un parc sans se faire invectiver.

Mais avec 6000 itinérantes dans la métropole, selon des chiffres qui datent toutefois de plus de 10 ans, et seulement 500 places en refuge, elles sont nombreuses à coucher dehors.

La rue des femmes annoncera mardi la construction d’un nouvel hébergement d’urgence. On ne s’attend toutefois pas à ce que les 10 nouvelles places d’abord disponibles soient suffisantes pour stopper l’hémorragie.

«Une fois que le mot sera passé dans la rue, on va recevoir plus de demandes», soupire le responsable des communications, Manuel Harauchamps.

L’itinérance au féminin

23 à 40% des itinérants seraient des femmes à Montréal, selon un récent portrait dressé par le Y des femmes.

49 raccompagnements en ambulance pour des femmes sans-abri ont été demandés par La rue des femmes en 2012-2013.

50% des femmes hébergées d’urgence par le Y des femmes provenaient des diverses communautés ethnoculturelles, selon le rapport annuel de l’organisme.

76% des femmes hébergées d’urgence par le Y des femmes présentaient des problèmes de santé mentale ou physique.

http://www.lapresse.ca