Il y a des gens


Il y a des gens qui ne sont pas riche et ne demande pas non plus plus de possessions, ce qui importe c’est de partager son temps et ses dons, ses habilités de rendre un sourire a des gens
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Il y a des gens

 

Et il y a ceux qui possèdent peu et qui le donnent en entier … Ceux-là ont foi en la vie et en la générosité de la vie, et leur coffre ne se vide jamais …

Khalil Gibran

VIDÉO. Sept tigres cohabitent avec une famille brésilienne


 

Je trouve qu’il y a des gens inconscients de la dangerosité d’un animal sauvage. Même si le gros chat a l’air tout mignon, quelle idée de vivre dans une maison avec des très jeunes enfants ? Si l’instinct se réveille l’animal risque de payer de sa vie pour ne pas avoir été dans son environnement
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VIDÉO. Sept tigres cohabitent avec une famille brésilienne

INSOLITE – La famille Borges n’est pas une famille tout à fait comme les autres. Si elle possède un petit chihuahua, cette famille brésilienne vit également en compagnie de…sept tigres! Les félins vivent avec la famille et partagent son quotidien, dans la piscine comme dans la cuisine comme on peut le voir dans la vidéo ci-dessus.

Tout commence en 2005, lorsque le père Ary Borges recueille deux tigres, maltraités dans un cirque. Tombé amoureux de ses nouveaux animaux, il décide d’en recueillir d’autres. En plus du chihuahua et des tigres, il possède également deux lions et un singe.

Si Ary Borges ne craint pas d’accident avec ses tigres, ce n’est pas le cas des autorités brésiliennes de protection de la nature qui souhaitent les lui retirer. La famille Borges possède une licence pour élever ces animaux, mais les autorités estiment qu’ils ont été élevés de manière illégale et qu’ils constituent donc un danger public.

http://www.huffingtonpost.fr

Le Saviez-Vous ► Mémoire : combien de souvenirs peut contenir notre cerveau ?


Le cerveau a t’il une capacité limité de sauvegarder des souvenirs en une seule vie ? Difficile d’imaginer surtout qu’on ne peut pas vraiment comparer un cerveaux comme un Ipod par exemple et pourtant …
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Mémoire : combien de souvenirs peut contenir notre cerveau ?

Le cerveau humain est composé d’environ un milliard de neurones.

Chaque neurone constitue environ 1 000 connexions avec d’autres neurones, s’élevant à plus d’un billion de connexions (soit mille milliards !). Si chaque neurone ne pouvait stocker qu’un seul souvenir, le manque d’espace serait sans doute un problème.

Cela reviendrait à n’avoir seulement que quelques giga-octets d’espace de stockage, à l’instar de la mémoire d’un Ipod ou d’une clé USB. Heureusement, le cerveau fonctionne différemment.

En réalité, les neurones se combinent de manière à ce que chacun contribue à emmagasiner beaucoup de souvenirs à la fois. Cela a pour effet d’augmenter de façon exponentielle la capacité mémorielle du cerveau pour arriver à quelque chose de l’ordre de 2,5 péta-octets (1 péta-octet = 1 million de giga-octets).

Concrètement, ça donne quoi ?

Voici maintenant un petit « truc » pour vous donner une petite idée de la capacité phénoménale de la mémoire humaine. Si votre cerveau fonctionnait comme un enregistreur vidéo, il pourrait contenir trois millions d’heures de programmes TV !

Pour venir à bout de tout ce stockage, il faudrait laisser votre téléviseur fonctionner en permanence pendant plus de 300 ans. Autant dire qu’il est humainement impossible d’épuiser la capacité de mémoire du cerveau humain

http://www.out-the-box.fr

Le fléau des drogues de synthèse


Depuis des lustres, de l’information, des conseils, des publicités ont-ils eu un impact chez les adolescents face à la drogue ? Il semble que non. Et pire encore, car des drogues sont fabriquées avec n’importe quoi dans des laboratoires clandestins qui risquent d’explosé a tout moment
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Le fléau des drogues de synthèse

 

Drogues J.E.

CAPTURE D’ÉCRAN / LCN

Les autorités constatent une très forte hausse des saisies des drogues de synthèse depuis le début de l’année.

Les autorités constatent une très forte hausse des saisies des drogues de synthèse depuis le début de l’année. C’est ce qu’ont indiqué à «J.E.» des policiers impliqués dans la lutte contre ce fléau grandissant de la société québécoise, en colligeant des données suite à leurs interventions sur le terrain.

La consommation de ces drogues augmente si rapidement que de nouveaux centres se spécialisent maintenant dans le traitement de psychoses toxiques chez les jeunes qui en consomment de plus en plus, révèle l’émission J.E.

Ces pilules, accessibles et peu coûteuses (de 3 à 5 $ le comprimé), sont fabriquées par millions dans des «superlabs» clandestins en banlieue, souvent à deux pas de résidents qui ne savent pas qu’ils sont les voisins de laboratoires artisanaux extrêmement dangereux, toxiques et explosifs.

Ces laboratoires sont des bombes à retardement et constituent un véritable casse-tête pour les policiers et les chimistes, qui doivent se vêtir de combinaisons spéciales pour les démanteler.

«C’est un peu comme faire la cuisine, mais au lieu d’utiliser des ingrédients connus, on utilise des produits chimiques, a expliqué Benoit Archambault, de Santé Canada. Souvent deux produits chimiques ne devant pas être ensemble le sont. Il y a des risques d’explosion, de brûlures sévères, d’intoxication.»

Les frais de la consommation

Pendant ce temps, de plus en plus de jeunes – ainsi que leurs parents – font les frais de la consommation de ces nouvelles drogues, dont ils ignorent souvent le contenu. L’Institut national de santé publique a analysé des échantillons fournis par «J.E» : des pilules de MDMA, de speed et d’ecstasy.

Dans deux des trois cas, elles ne contenaient pas les molécules auxquelles on s’attendait.

Certains jeunes comme Amélie, 21 ans meurent de leur consommation. Son amie Jessica, une ancienne consommatrice et maintenant infirmière, s’est confiée à «J.E.».

«Une soirée comme ça, tout a changé, a raconté Jessica. Elle a pris des drogues [et ne connaissait] pas le cocktail. On a appris que son cerveau c’était fini, une mort cérébrale. Mais c’est loin d’être un suicide. Elle avait le goût à la vie et elle voulait tout sauf mourir.»

Et de plus en plus de jeunes se retrouvent sous l’emprise de psychoses toxiques après avoir consommé. Elles sont devenues un véritable fléau depuis une quinzaine d’années, selon Luc Gilbert, psychiatre à l’hôpital Sainte-Croix à Drummondville, où sept à dix patients sont traités par jour pour ces problèmes.

«C’est ce qu’on voit de plus en plus a expliqué le Dr Gilbert. Des gens qui consomment et qui arrivent dans des états épouvantables à l’urgence et c’est une réelle épidémie. Le cerveau, quand il reçoit ces drogues auquel il n’est pas habitué, crée une métamorphose, et les comportements qui s’en suivent peuvent s’apparenter à la schizophrénie.»

«Premiers épisodes psychotiques»

Le fils de 20 ans de Céline Roberge est régulièrement hospitalisé à l’hôpital Honoré Mercier à Saint-Hyacinthe pour ce genre de problèmes. Il a déjà menacé de tuer sa mère, et cette dernière se trouvait dans un cercle vicieux dans lequel son fils faisait la navette entre le département psychiatrique et les cures de désintoxication, sans recevoir l’aide qu’il lui fallait.

L’hôpital Sainte-Croix à Drummondville a trouvé une solution pour venir en aide aux jeunes comme le fils de Mme Roberge. C’est un programme qui s’appelle premiers épisodes psychotiques, offert aussi dans au moins trois autres hôpitaux à travers le Québec.

Cinquante jeunes y ont déjà pris part. «Les jours présents à l’hôpital on a vu une diminution, très importante due au fait qu’en externe on leur offre un service comme ça, et dû aussi au fait que quand ils vont moins bien ils ont un filet de sécurité, a expliqué le Dr Gilbert. Ils savent avec qui se rapporter quand ça va moins bien.»

Mais entre-temps, les jeunes continuent à consommer. Une nouvelle drogue de synthèse ferait son apparition sur le marché chaque jour, a appris «J.E.».

Le problème devient tellement aigu que les différents corps policiers lanceront une action concertée dans les semaines à suivre pour sensibiliser la population à ce dernier.

http://www.journaldequebec.com

Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste


C’est vraiment une mentalité complètement différente de bien des pays Enfin bref, la Chine semble être vraiment unique dans le comportement en société, tellement qu’il y a un guide de chose a ne pas faire quand ils visitent les autres pays
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Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste

 

Des clients du magasin Ikea de Pékin font la sieste.
Crédits photo : China Stringer Network /Reuters/REUTERS

Dans ses magasins chinois, le géant suédois voit débarquer chaque jour des milliers de visiteurs qui dorment sur les matelas et font des pique-niques au rayon meuble. Soucieuse de ne pas froisser ces potentiels clients, la direction ferme les yeux

S’adapter aux habitudes de la clientèle chinoise est un défi permanent pour les sociétés qui s’installent en Chine. Le géant suédois Ikea en fait l’expérience tous les jours dans ses magasins où la clientèle adopte un comportement qui – d’un point de vue occidental – peut paraître très surprenant.

Une cliente fatiguée fait la sieste sur un canapé d’exposition
Crédits photo : MARK RALSTON/AFP

Au rayon des meubles et cuisine notamment, il n’est pas rare de voir des pique-niqueurs, assis sur les tables d’exposition avec leur thermos de thé et leurs sandwichs. Parfois, des jeunes couples se font des câlins et se prennent en photo sur les canapés des espaces salons. Mais c’est au rayon des chambres à coucher que les visiteurs se sentent le plus comme chez eux: jeunes et moins jeunes n’hésitent pas à se déchausser, puis se glisser sous les draps des lits d’exposition pour piquer un somme. Des familles entières s’allongent parfois sur les matelas pour faire une sieste avant de reprendre leur promenade.

Une grand-mère aide son petit-fils à uriner, au rayon literie (crédits photo: Kim Wall pour le South China Morning Post)

Une grand-mère aide son petit-fils à uriner, au rayon literie (crédits photo : Kim Wal pour le South China Morning Post)
Crédits photo : Kim Wall/SCMP

Dans un article publié le mois dernier, un journaliste du South China Morning Post , décrit, photos à l’appui, cette scène incroyable qui s’est déroulée un samedi de forte affluence dans un magasin de Pékin:

«dans un lit king-size, un petit garçon se réveille d’une sieste aux côtés de sa grand-mère (elle aussi endormie). Quand la vieille dame aide l’enfant à uriner dans une bouteille d’eau, inondant copieusement le matelas, personne n’a l’air d’y faire attention»…

Visiblement très confortable, ce rayon est le plus populaire et le plus visité des établissements Ikea en Chine. Au grand dam des employés de l’enseigne suédoise, forcés de réveiller les personnes assoupies sur les lits pour permettre à ceux qui veulent acheter de faire leur choix. Les draps doivent aussi être changés presque tous les jours, obligeant les employés à faire des heures supplémentaires.

«Je pense juste que les habitudes de shopping sont très différentes en Chine», ironise l’un d’entre eux au South China Morning Post.

Le comble pour Ikea, c’est que ces clients ressortent généralement les mains vides. Les circuits tracés pour traverser le magasin sont bondés, mais pas d’embouteillage en caisse. Face à cette situation, la direction d’Ikea se montre pourtant très patiente:

«Nous accueillons toutes les personnes qui veulent venir dans nos magasins. Les visiteurs d’aujourd’hui pourront très bien devenir les clients de demain», souligne Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

Sur le long terme, la stratégie semble payante. Depuis son installation il y a quinze ans, Ikea a fait de la Chine l’un de ses plus importants marchés. Près de 15 millions de visiteurs ont fréquenté ses onze magasins l’an dernier, permettant au groupe de réaliser un chiffre d’affaires dépassant les 6 milliards de yuans (plus de 700 millions d’euros). Loin d’être découragée par l’attitude de ses visiteurs, l’enseigne envisage d’ouvrir d’autres points de vente à Shanghaï, Pékin, Chongqing, ou encore Ningbo.

 

http://www.lefigaro.fr/

Du faux poisson dans 47% des cas


Qu’on change un poisson par un autre poisson est une chose mais que les clients continuent a payer a leur insu a un poisson autre que celui qu’il veut est pitoyable
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Quel aliment se trouve dans votre assiette?

Du faux poisson dans 47% des cas

 

 

TVA Nouvelles

Une enquête du Journal de Montréal menée un peu partout au Québec révèle que près de la moitié des poissons que l’on mange ne sont pas ceux que l’on croit.

En effet, à Montréal, le poisson acheté n’était pas celui qu’il devait être dans 66 % des cas.

Par contre, à l’extérieur de la métropole, le problème est moins criant, mais il se manifestait tout de même dans 47 % des cas.

Le poisson que l’on pense acheter est souvent remplacé par un autre poisson moins coûteux, permettant ainsi aux commerçants d’augmenter les marges de profit.

Problème en restauration

Par exemple, un restaurant de sushis remplace systématiquement le thon rouge qui figure à son menu par du thon à nageoires jaunes, une espèce plus courante et moins chère.

Des 41 restaurants de sushis dont les poissons ont été analysés lors de cette enquête, un seul vendait réellement du thon rouge tel qu’il le prétendait.

La situation est très fréquente en restauration, mais il semble que même dans des poissonneries, le consommateur puisse être induit en erreur.

Consommateurs victimes de fraude

 

Le consommateur qui se sent floué peut faire une plainte auprès du ministère de l’Agriculture, des pêcheries et de l’alimentation du Québec (MAPAQ), à l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) ou encore à l’Office de la protection du consommateur.

Le MAPAQ et l’ACIA sont habilités à entreprendre une enquête et si les faits se vérifient, des amendes de 250 $ à 2000 $ peuvent être imposées aux commerçants fautifs.

  • D’après une enquête de Stéphan Dussault dans le Journal de Montréal :

http://tvanouvelles.ca/

Pas ce soir… il va pleuvoir


Certains ou peut-être tous les insectes ne seraient pas très chauds à l’idée de la procréation pendant la pluie probablement par sécurité plus qu’autre chose
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Pas ce soir… il va pleuvoir

 

Des pucerons Puceron de la pomme de terre(Macrosiphum euphorbiae)

Des pucerons de la pomme de terre Photo :  Université de la Georgie/Joseph Berger

Certains insectes modifient leur comportement d’accouplement lors d’une chute de la pression atmosphérique, une baisse qui est dans la plupart du temps annonciatrice de pluie.

Les humains tentent de prédire les conditions météorologiques depuis les temps les plus reculés. La sagesse populaire veut que les animaux agissent différemment selon la météo. Ainsi, les oiseaux volent à faible hauteur et les vaches se couchent quelques instants avant les tempêtes. Certaines personnes prétendent même qu’elles ont mal aux os peu avant la pluie. Et que dire des enfants qui seraient plus turbulents avant les orages.

Très peu de ces observations ont toutefois été vérifiées scientifiquement.

C’était avant les travaux de chercheurs canadiens et brésiliens qui ont analysé les phéromones émises par différentes espèces d’insectes.

Les Drs Jeremy N. McNeil et Christopher G. Guglielmo de l’Université de Western Ontario et leurs collègues ont découvert que trois d’entre elles changeaient leur comportement d’accouplement lors d’une chute de la pression atmosphérique. En fait, elles perdent tout intérêt dans l’accouplement quelques heures avant une tempête. Ce comportement permettrait de réduire les « accidents » et les risques de mortalité, puisque les grands vents et les orages mettent leur vie en danger.

Ces insectes sont le scarabée du concombre (Diabrotica speciosa), la leucanie orbicole (Pseudaletia unipuncta) et le puceron de la pomme de terre (Macrosiphum euphorbiae).

Les auteurs de ces travaux, dont les résultats complets sont publiés dans la revue PLOS ONE, laissent à penser que tous les insectes réagissent au mauvais temps. De plus, comme un grand nombre de vertébrés se nourrissent d’insectes, la recherche de nourriture de certains animaux serait également perturbée par une diminution de la pression atmosphérique. Ainsi, une baisse aurait également une incidence sur la communauté écologique dans son ensemble.

http://www.radio-canada.ca/