La vie


Nous vivons tous des moments difficiles qui ennuagent nos journées et pourtant … il arrive des beaux moments ou on les voit se dissiper. Pour apprécier quelque chose, il faut connaitre l’absence, ou le manque
Nuage

 

La vie

 

La vie est comme un arc-en-ciel : il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs

A Ramaiya

Un chat, un bébé, et une belle histoire d’amour


Oui, c’est beau de les voir, mais je ne serais pas tenté par l’expérience surtout avec un bébé. J’espère par contre que le chat est dégriffé.
Nuage

 

Un chat, un bébé, et une belle histoire d’amour

 

Quel bonheur de voir que nos enfants et nos animaux s’entendent à merveille ! Ce ne sont pas les parents de ce bébé et propriétaires de ce chat qui diront le contraire. Entre leur bambin et leur félin, c’est une véritable histoire d’amour !

On se câline, on se fait des bisous… Bref, pour ce bébé, ce chat est bien mieux qu’un doudou ! Mais gare aux coups de griffes… Car même avec le chat ou le chien le plus gentil du monde, il ne faut jamais laisser un enfant seul avec un animal sans surveillance !

En tout cas, les parents de cet enfant ne sont pas les seuls à trouver que la complicité qui unit leurs deux « bébés » est vraiment touchante. En capturant les images de ce moment de tendresse et en y ajoutant une petite musique douce, ils en ont fait une adorable vidéo déjà vue plus de 4 millions de fois !

 

http://wamiz.com

Le Saviez-vous ► Expression : Tomber / donner dans le panneau


 

Aujourd’hui, avec tout les annonces de publicité qui sont juchées le long des rues, des magasins … sans compter au moment d’une campagne électorale .. il est difficile de passer a côté .. Mais pourtant ce n’est pas là l’origine de tomber dans le panneau
Nuage

 

Tomber / donner dans le panneau 

 

Tomber dans le piège.
Se faire duper.

À une époque où les panneaux électoraux fleurissent à tous les coins de rue, il est très facile de tomber dans le panneau des promesses électorales dont la majeure partie ne sera pas tenue.

De même, alors que les panneaux publicitaires sont partout et nous promettent des choses plus incroyables les unes que les autres, il existe encore des gens qui, bien qu’ils se soient fait prendre plusieurs fois, continuent à tomber dans le panneau des slogans aguicheurs.

Mais, à l’époque où cette expression est apparue, au XVIIe siècle, nos routes et chemins n’étaient pas encore bordés de tels support de messages trompeurs.

C’est donc ailleurs qu’il faut chercher l’origine de notre expression, même si elle colle bien avec nos pratiques modernes.Pour tout savoir, il faut remonter jusqu’au XIIIe siècle, époque à laquelle, pendant les chasses, un ‘panneau’ était un filet ou une étoffe tendue de manière à y prendre le gibier.

 

C’est donc simplement de ce piège qu’est d’abord née l’expression « tendre un panneau (à quelqu’un) » avant que la nôtre n’apparaisse.

http://www.expressio.fr/

Pérou : Découverte du premier fossile de manchot préhistorique


Les manchots, ces drôles oiseaux en toxedo qui ont l’air bien gauche ont existé il y a des millions d’années et ce qui fait le bonheur des paléontologues est que ces restes sont magnifiquement bien conservé
Nuage

 

Pérou : Découverte du premier fossile de manchot préhistorique

 

De gauche à droite : Aptenodytes forsteri (manchot empereur) ; Inkayacu paracasensis ; Eudyptula minor (manchot pygmée)  © Mauricio Anton

De gauche à droite : Aptenodytes forsteri (manchot empereur) ; Inkayacu paracasensis ; Eudyptula minor (manchot pygmée) © Mauricio Anton

La réalité ne se réduit jamais au noir et blanc. Pas même chez les manchots. C’est ce qu’a constaté Julia Clarke, paléontologue à l’université du Texas, qui a exhumé des restes vieux de 36 millions d’années, dans la réserve nationale de Paracas (Pérou) : le premier fossile de manchot jamais retrouvé avec des traces de plumes intactes.

Un manchot brun rougeâtre, datant de l’Éocène, en aurait imposé à son cousin moderne – et serait arrivé à hauteur d’épaule d’un homme. © Mauricio Anton

Un manchot brun rougeâtre, datant de l’Éocène, en aurait imposé à son cousin moderne – et serait arrivé à hauteur d’épaule d’un homme. © Mauricio Anton

Inkayacu paracasensis était un excellent nageur, comme ses parents modernes, mais, à leur différence, il pesait plus de 45 kg et portait une livrée de plumes rougeâtres. L’équipe de Julia Clarke en est arrivée à cette conclusion l’an dernier.

Elle a comparé les minuscules « sacs de pigments » – ou mélanosomes – prélevés du plumage fossilisé avec ceux d’espèces vivantes. La même zone côtière a récemment livré d’autres découvertes importantes sur l’histoire des manchots.

Selon Julia Clarke, cette région du Pérou pourrait être essentielle pour tracer un portrait complet de l’évolution de ces oiseaux. Une touche de couleur vient déjà d’y être ajoutée. 

Catherine Zuckerman

http://www.nationalgeographic.fr/

Fukushima et Tchernobyl seront surveillées depuis l’espace


Je me demande si c’est vraiment utile d’envoyer des satellites pour surveiller les deux pires catastrophes nucléaires de l’histoire. Tout cet argent aurait-il pu servir a amélioré la protection pour éviter que ces deux sites puissent contaminer l’environnement, sachant des fuites radioactives avaient été décelées dernièrement a Fukushima
Nuage

 

Fukushima et Tchernobyl seront surveillées depuis l’espace

 

Le ministre japonais du METI, Toshimitsu Motegi, inspecte... (PHOTO REUTERS/Tepco)

Le ministre japonais du METI, Toshimitsu Motegi, inspecte le site de Fukushima.

PHOTO REUTERS/TEPCO

Agence France-Presse
Kiev

L’Ukraine et le Japon ont annoncé lundi s’être mis d’accord pour lancer un projet commun visant à surveiller depuis l’espace leurs centrales nucléaires de Tchernobyl et de Fukushima, sites des pires catastrophes du nucléaire civil.

«Nous nous sommes mis d’accord pour coopérer dans le secteur spatial pour surveiller les régions autour de Tchernobyl et de Fukushima», a déclaré le ministre japonais des Affaires étrangères, Fumio Kishida, à l’issue d’une rencontre avec son homologue ukrainien, Leonid Kojara.

Le projet prévoit notamment la mise en orbite de huit satellites en miniature d’ici à 2014 pour recueillir des informations sur les effets de la fuite radioactive sur les zones voisines de ces deux centrales accidentées.

Développés par le Japon, les satellites d’un poids d’environ 60 kilos seront mis en orbite à environ 600 kilomètres d’altitude par des lanceurs ukrainiens, selon le ministère japonais des Affaires étrangères.

Les appareils devront prendre des images des zones désignées toutes les deux heures et recevront également des informations sur l’enregistrement de niveaux élevés de radioactivité dans ces zones, selon la même source.

Même s’ils sont très différents, les accidents de Fukushima et de Tchernobyl sont les seules catastrophes nucléaires à avoir été classées au niveau maximum de 7 sur l’échelle des événements nucléaires et radiologiques (INES).

À la suite d’un séisme sous-marin de magnitude 9 en mars 2011, un tsunami gigantesque s’est abattu sur les côtes du Nord-Est du Japon, détruisant de nombreuses habitations et endommageant gravement la centrale nucléaire de Fukushima.

Environ 19 000 personnes ont péri à la suite du séisme et du tsunami, mais il n’y a aucune statistique officielle quant aux décès directement liés aux radiations nucléaires émanant de la centrale.

De son côté, l’explosion du 26 avril 1986 du réacteur numéro 4 de la centrale de Tchernobyl, située à une centaine de kilomètres au nord de Kiev, a contaminé l’Ukraine, la Russie et le Bélarus, alors républiques de l’URSS, ainsi qu’une bonne partie de l’Europe.

Des milliers de «liquidateurs» avaient alors été dépêchés sans protection sur les lieux de l’accident pour éteindre l’incendie provoqué par l’explosion et enfouir le réacteur touché.

Le comité scientifique des Nations unies sur les effets des rayonnements ne reconnaît que la mort de 31 opérateurs et de pompiers directement liée à la catastrophe, alors que, selon Greenpeace, au moins 100 000 morts sont imputables à la contamination radioactive.

http://www.lapresse.ca

Étude: la marijuana n’est pas si «inoffensive»


Moi, ce que je ne comprends pas, c’est qu’on met l’accent sur l’interdiction de fumer et tous les paliers politiques travaillent en se sens, mais qu’on veut par contre pour certains légaliser le cannabis. Surtout que les drogues d’hier n’ont rien avoir avec ceux d’aujourd’hui qui sont beaucoup plus dangereux
Nuage

 

Étude: la marijuana n’est pas si «inoffensive»

 

Les scientifiques estiment que «les débats et les... (Archives La Presse Canadienne)

Les scientifiques estiment que «les débats et les politiques sur le cannabis n’ont pas accordé suffisamment d’importance aux impacts de cette drogue sur l’un des groupes les plus vulnérables de la population (…) ou n’ont pas tenu compte des connaissances scientifiques disponibles.»

ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE

MÉLANIE MARQUIS
La Presse Canadienne
Montréal

L’image de «drogue inoffensive» associée à la marijuana est scientifiquement inexacte – et ceux qui élaborent des lois et des politiques devraient en tenir compte, selon une nouvelle étude.

Ce sont surtout les jeunes consommateurs de cannabis qui sont à risque de développer des dépendances ou des troubles psychotiques, et ce, en raison de la structure de leur cerveau, concluent deux chercheurs de l’Université de Montréal et de l’École de médecine Icahn du centre hospitalier Mount Sinai de New York.

Le cannabis agit sur les récepteurs chimiques situés dans les zones cérébrales associées à l’apprentissage, la recherche de récompenses, la motivation, la prise de décision, l’acquisition d’habitudes et les fonctions motrices.

Comme la structure du cerveau change rapidement pendant l’adolescence avant de se stabiliser à l’âge adulte, il se pourrait que la consommation de marijuana à cet âge influe grandement sur l’évolution de ces aspects de la personnalité.

Le Dr Didier Jutras-Aswad, professeur au Département de psychiatrie de l’Université de Montréal, et son collègue, Yasmin L. Hurd, ont passé en revue plus de 120 études sur différents aspects de la relation entre le cannabis et le cerveau des adolescents pour en arriver à ces conclusions.

Les résultats de leur étude, financée le National Institute on Drug Abuse des États-Unis, paraît dans la publication Neuropharmacology alors que le débat sur la légalisation de la marijuana refait surface au Canada.

Le chef libéral Justin Trudeau, qui a reconnu la semaine dernière avoir fumé du pot «cinq ou six fois» dans sa vie, fait campagne en faveur de la légalisation de la substance.

Et le Dr Jutras-Aswad espère bien que ses collègues et lui pourront contribuer à la discussion.

«Une des visées de cette étude-là, c’est de montrer que les scientifiques ont quelque chose à dire dans ce débat-là, qui est actuellement très polarisé», lance-t-il en entrevue avec La Presse Canadienne.

«Et si on va de l’avant avec la légalisation ou même la décriminalisation, poursuit-il, peut-être qu’il y a des messages de santé publique, de prévention et d’intervention qu’on va pouvoir mettre de l’avant pour certaines populations plus vulnérables.»

Les adolescents d’aujourd’hui sont d’autant plus vulnérables que les joints roulés en 2013 sont bien loin de ressembler à ceux d’il y a quelques décennies.

Car les concentrations de THC (tétrahydrocannabinol) – principe actif du cannabis – détectés dans les échantillons saisis au Canada ont pratiquement triplé depuis les années 1970, plaide le Dr Jutras-Aswad.

«Avant, la plupart des échantillons avaient des taux de THC de cinq pour cent alors que dans les cinq à dix dernières années, ils dépassent 15 à 20 pour cent», souligne-t-il.

Il demeure néanmoins difficile de confirmer en toute certitude un lien de causalité entre la consommation de cannabis et des troubles psychiatriques ou addictifs ultérieurs.

Par contre, il existe des mécanismes de prévention.

Dans leur étude, les scientifiques avancent notamment l’idée de mettre à contribution des tests génétiques afin d’identifier les jeunes qui sont plus à risque de se laisser tenter par les effluves de marijuana et d’en payer le prix ultérieurement.

«On sait qu’il y a certains facteurs génétiques qui vont prédisposer quelqu’un à ressentir les effets négatifs du cannabis. On a identifié un certain nombre de gènes qui sont en cause», expose le scientifique, qui travaille auprès de jeunes adultes ayant une forte dépendance à la marijuana.

«On peut penser qu’éventuellement, un jour, si c’est fait de façon éthique et acceptable pour la population, que certains de ces tests-là pourraient nous aider à identifier les jeunes qui sont plus à risque», conclut-il.

http://www.lapresse.ca

L’étrange visage de l’homme de Florès


Cela ne doit pas être évident de reconstituer un visage de plusieurs milliers d’années.  L’homme de Florès a plusieurs fois été refait mais avec la technologie et l’ensemble des domaines scientifiques, peut-être qu’ils s’approchent de plus en plus à la ressemblance
Nuage

 

L’étrange visage de l’homme de Florès

Représentation de l’homme de Florès  Crédits photo : Centre for Archaeological Science, University of Wollongong

 

Des scientifiques ont dressé le portrait du petit hominidé après avoir reconstitué son crâne.

L’homme de Florès a un nouveau visage. Une équipe australienne a reconstruit la face de cet hominidé d’un mètre de haut qui vivait il y a plusieurs dizaines de milliers d’années sur l’île indonésienne (Journal of Archaeological Science, décembre 2013). Parmi les neuf portraits d’Homo floresiensis, découvert en 2003 dans la grotte de Liang Bua, c’est le plus scientifique. Sans doute le plus étrange aussi.

En effet, les chercheurs ont appliqué les connaissances, développées depuis quelques années à partir d’hommes anatomiquement modernes, sur les relations entre os du crâne et tissus mous. Autrement dit, ils ont habillé de chair les os du crâne de l’homme de Florès, en prenant comme modèle l’homme d’aujourd’hui, d’où son caractère étrangement contemporain. C’est un peu comme si Homo erectus portait un jean et une chemise. L’image scientifique s’avère ainsi aussi éloignée de la réalité que les différents dessins d’artiste réalisés jusqu’alors.

Tous les deux sont confrontés à la même difficulté: les traits de nos plus lointains ancêtres sont perdus à jamais, puisqu’il n’en reste plus que quelques fragments d’os.

Reconstruire le crâne à partir de fragments

En archéologie, reconstituer un visage consiste avant tout à reconstruire le crâne à partir des fragments d’os découverts. Cette étape est délicate. Cela a été le cas avec le premier spécimen d’Homo floresiensis découvert par les archéologues, baptisé LB1 (Liang Bua 1), en réalité, une femme âgée de 30 ans.

«Elle reposait au fond d’un puits étroit sous six mètres de sédiments. Ses os étaient mous comme du beurre», souligne Susan Hayes, de l’université de Wollongong, en Australie. Les autres reconstitutions n’ont peut-être pas assez pris en compte les dommages que le crâne a subis.»

Le portrait de l’homme de Florès s’adresse donc plutôt à des spécialistes.

«Nous n’avons pas cherché à lui donner une expression quelconque car il n’est pas destiné à être présenté dans un musée», précise Susan Hayes, qui a été surprise de l’intérêt suscité par son travail. «La Hobbit (c’est son surnom en raison de sa petite taille, en référence aux personnages de Tolkien) est très populaire. Une vraie star internationale.»

Susan Hayes apprécie la peinture de l’homme de Florès réalisée par l’artiste française Élisabeth Daynès. Elle voudrait bien connaître la façon dont les équipes ont travaillé pour reconstituer le visage d’Homo floresiensis.

«L’ostéoarchéologie est un domaine de recherche fascinant, mais il faudrait beaucoup plus de transparence et de collaboration entre les différentes équipes», plaide Susan Hayes.

Cette étude est l’une des dernières à laquelle a participé Mike Moore, l’archéologue australien qui a découvert les fossiles d’Homo floresiensis. Il est mort d’un cancer en juillet dernier à l’âge de 63 ans.

http://www.lefigaro.fr/

 

MONTRÉAL Découverte archéologique à Pointe-à-Callière


 

C’est une belle découverte historique, des documents qui malgré un gros incendie, au 19 ème siècle a été épargnée … une partie de l’histoire écrite de la Nouvelle-France
Nuage

 

MONTRÉAL :Découverte archéologique à Pointe-à-Callière

 

Musée Pointe-à-Callière

PHOTO EMMANUEL DELACOUR / AGENCE QMI

Les archéologues du Musée Pointe-à-Callière ont déterré ce qu’ils pensent être des livres de l’ancien Parlement uni qui se trouvait à Montréal au 19e siècle.

EMMANUEL DELACOUR / AGENCE QMI

Les archéologues du Musée Pointe-à-Callière, à Montréal, ont fait une découverte majeure vendredi, en déterrant une dizaine de mystérieux objets qu’ils pensent être des livres de l’ancien Parlement uni qui se trouvait à Montréal au 19e siècle.

Ces documents, que l’on croyait perdus dans un incendie qui avait ravagé l’édifice en 1849, faisaient partie d’une importante collection.

«On estime que près de 25 000 documents étaient disponibles dans cette bibliothèque. Certains manuscrits datent de l’époque de la Nouvelle-France et étaient uniques», a expliqué Mme Louise Pothier, archéologue responsable du chantier des fouilles sur le site du Marché-Sainte-Anne-et-du-Parlement-du-Canada-Uni.

Les documents qui sont dans un état «très consumé» ont été miraculeusement sauvegardés par le brasier.

«Le carbone qui a recouvert les documents lors de l’incendie aura repoussé les bactéries qui s’attaquent habituellement au papier», a indiqué Mme Pothier.

D’une grande fragilité, ces artéfacts vont être envoyés au Centre de conservation du Québec afin d’évaluer la possibilité d’une restauration. L’archéologue, qui n’a pas caché son excitation, a dit que quelques mots en français avaient été aperçus par un des chercheurs dans une des masses calcinées.

Tous les objets de valeur qui seront excavés de ce site devraient être exposés au Musée Pointe-à-Callière dès 2017.

http://www.journaldemontreal.com