En mémoire


On doit apprendre a rechercher le positif de nos échecs, des événements malheureux qui nous arrivent. C’est sur que cela n’est pas facile, mais pourtant il est important pour que lors de la remémoration de nos souvenirs, nous pensions plus a ces côtés positifs pour mieux avancer dans le présent
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En mémoire

 

 » Emporte dans ta mémoire, pour le reste de ton existence, les choses positives qui ont surgi au milieu des difficultés. Elles seront une preuve de tes capacités et te redonneront confiance devant tous les obstacles. »

Paulo Coelho

Les chats, et le voleur de croquettes


Cela parait que les chats ne sont pas très vieux, car a trois, ils auraient pu tenir tête au voleur de croquette
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Les chats, et le voleur de croquettes

 

Vous pensez que votre chat mange ses croquettes à la vitesse de l’éclair ? Et si vous vous trompiez ? Si un voleur de croquettes sans scrupules rôdait dans les parages, et privait votre pauvre matou de sa nourriture ?

Vous l’ignorez peut-être, mais les ratons-laveurs sont de vrais voyous. En témoignent les masques qu’ils portent autour des yeux ! Ils ne craignent pas les félins. Sans foi ni loi, ils osent même s’emparer de leurs croquettes devant leurs yeux ébahis.

Une seule personne est capable de les arrêter : Chuck Norris !

Vous n’y croyez pas ? Quelque chose nous dit que vous changerez d’avis après avoir vu cette vidéo… Une scène vraiment très drôle, doublée par l’inimitable Faireset.

http://wamiz.com/

Le Saviez-vous ► Raclements de fourchette, crissements de polystyrène… Pourquoi ces bruits nous crispent ?


Juste a imaginé et regarder l’image a été suffisant, je pense en effet que ce bruit est probablement un des pires que l’on peut entendre. Mais bon, si cela peut aider a mieux comprendre les fonctions de l’oreille et inciter a cherché des moyens moins bruyants de certaines machines que nous employons …
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Raclements de fourchette, crissements de polystyrène… Pourquoi ces bruits nous crispent ?

 

© Mark Thiessen, équipe du NGM

© Mark Thiessen, équipe du NGM

Dans le classement des pires bruits, celui des ongles sur un tableau noir a obtenu la première place, devant les raclements de fourchette et les crissements de polystyrène. Mais pourquoi est-ce si insupportable ?

Le canal auditif est un long tuyau, grand ouvert au niveau du pavillon de l’oreille et fermé au niveau du tympan. Les études montrent qu’une fois à l’intérieur, les sons entre 2 000 et 4 000 Hz sont fortement amplifiés.

Sans doute parce qu’une partie de la voix humaine est située dans cette fourchette – et peut-être pour mieux distinguer les voyelles et les consonnes, avance Michael Oehler, chercheur en acoustique.

Quand le canal capte le bruit des ongles, également situé dans cette gamme de fréquences, cela peut provoquer une réverbération stridente et une réaction physique. Rien qu’imaginer le son peut produire de la transpiration et une augmentation du rythme cardiaque, poursuit Oehler en évoquant la phase suivante de ses travaux.

Il espère que ceux-ci inciteront les fabricants d’aspirateurs et de machines à adoucir les sons de notre quotidien.

Johnna Rizzo

http://www.nationalgeographic.fr

États-Unis : une mystérieuse hécatombe de dauphins


Encore une hécatombe, cette fois-ci des dauphins aux États-Unis viennent s’ajouter a des morts que les savants disent ne pas savoir les causes qui pourraient être multiples dépendant peut-être du type d’espèce d’animal. Mais, je suis d’avis que si ce n’est pas nécessairement un virus, alors l’être humain serait en cause
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États-Unis : une mystérieuse hécatombe de dauphins

 

Photo d’illustration. © LILO / SIPA

Plus de 300 dauphins se sont échoués sur la côte atlantique américaine cet été. Les scientifiques peinent à trouver la cause de ce carnage.

 

De NOTRE CORRESPONDANTE À WASHINGTON, HÉLÈNE VISSIÈRE

C’est une hécatombe. Entre le 1er juillet et le 20 août, 299 cadavres de Grands Dauphins ont échoué sur les plages de la côte atlantique américaine, du New Jersey à la Virginie.

Le taux de mortalité est sept fois supérieur à celui d’un mois d’été habituel. En Virginie, en temps normal, on compte en moyenne sept cadavres de dauphins par mois. Mais en juillet, on a dépassé les 80, soit plus de deux animaux par jour. Idem dans le New Jersey, où on en a trouvé une quarantaine, des mâles, des femelles, des bébés, la plupart morts ou mourants. L’agence fédérale National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a classé cette épidémie massive dans la catégorie « mortalité inhabituelle », ce qui permet de débloquer des moyens d’urgence pour étudier la cause des décès.

Les scientifiques ont donc opéré toutes sortes de prélèvements sur les cadavres qui ne sont pas trop décomposés. Ils ont détecté chez certains des lésions pulmonaires, d’autres sont très maigres, mais pour l’instant, la raison de leur mort leur échappe encore. Une cause possible serait le morbillivirus, un virus de la famille de la rougeole, que l’on a trouvé dans les tissus d’un animal échoué dans le New Jersey. Ce virus s’est déjà manifesté il y a plus de 25 ans. En 1987, il a tué quelque 740 dauphins sur les côtes de l’Atlantique. Les biologistes ont mis trois ans à le détecter. Ils pensent que d’autres espèces de dauphins qui vivent en haute mer et qui sont porteurs sains de cette maladie les auraient contaminés.

Hécatombe de lamantins et pélicans

En attendant, le carnage continue, ce qui inquiète fortement les scientifiques, car plus de 20 000 dauphins doivent passer dans ces eaux dans les mois à venir, au cours de leur migration. Et ce n’est pas tout. Une autre maladie mystérieuse, et tout aussi meurtrière, ravage l’estuaire de l’Indian River en Floride, un des écosystèmes marins les plus riches des États-Unis. Cela a commencé l’été dernier avec la mort brutale de trois lamantins près de Cap Canaveral. Depuis, quelque 280 autres sont morts, ainsi qu’une cinquantaine de dauphins et plus de 300 pélicans.

Là encore, les scientifiques n’ont rien trouvé jusqu’ici et ne savent même pas s’il s’agit de la même maladie. Car les morts ne se ressemblent pas. Les lamantins, apparemment en bonne santé, meurent de manière foudroyante, certains ont encore de la nourriture dans la bouche. Les dauphins et les pélicans, en revanche, sont très mal en point, extrêmement émaciés, comme s’ils mouraient de faim. En outre, ces animaux ne mangent pas la même chose. Les dauphins et les pélicans se nourrissent de poissons, les lamantins sont herbivores.

Algues ou pollution ?

Selon les scientifiques, des algues pourraient être à l’origine de ce désastre écologique. Depuis quelques années, elles ont envahi les eaux de l’estuaire, remplaçant peu à peu les tapis d’herbes marines qui servent de nourriture et d’habitat à toutes sortes d’espèces. D’après l’autopsie, l’estomac des lamantins était plein d’une algue rouge, appelée gracileria. Ce type d’algue n’est pas nocif, mais les parois intestinales des mammifères montraient des symptômes d’irritation.

« Notre première idée, c’est qu’il y a un rapport avec les algues, quelque chose dans les sédiments absorbés par l’algue ou un de ses composants », expliquait une scientifique au magazine Wired.

Les poissons qui consomment aussi ces algues pourraient à leur tour empoisonner les pélicans et les dauphins.

Mais, bizarrement, les autres animaux amateurs d’algues, comme les tortues de mer, ne semblent pas touchés par l’épidémie, pas plus d’ailleurs que les autres oiseaux. Pour le moment, aucune toxine n’a été décelée dans les fonds sous-marins.

Selon les biologistes, il y aurait d’autres causes possibles. Cet estuaire fragile qui abrite plus de 4 000 espèces différentes est de plus en plus pollué, en partie à cause de l’urbanisation galopante, mais aussi des rejets d’engrais, du changement climatique, de l’acidification des eaux… Le gouverneur de Floride, Rick Scott, un républicain pur et dur, a beaucoup assoupli les règles de lutte contre la pollution et réduit les financements destinés à la recherche scientifique. Il a notamment mis son veto à une étude de deux millions de dollars dont le but était d’étudier les eaux de l’estuaire.

REGARDEZ un dauphin retrouvé mort dans le New Jersey

PHOTO © Marine Mammal Stranding Center

http://www.lepoint.fr

Des bleuets roses


Des bleuets roses ? Personnellement, j’en ai jamais vu ! Elle va sûrement prendre de l’ampleur dans les années a venir … car pour le moment, il serait surprenant des les retrouver sur le marché présentement.
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Des bleuets roses

 

Le bleuet de couleur rose a fait son apparition dans des champs de l'entreprise... (Photo Isabelle Tremblay)

PHOTO ISABELLE TREMBLAY

ISABELLE TREMBLAY
Le Quotidien

(Normandin) Le bleuet de couleur rose a fait son apparition dans des champs de l’entreprise Bleuets Boréal et de la Bleuetière coopérative de Normandin. On en retrouve aussi dans d’autres bleuetières de la région, mais ce phénomène est extrêmement rare.

Jean-Marc Bernard est gérant des deux entités depuis 14 ans. C’est la deuxième fois qu’il remarque ce phénomène. Méconnue de la population, cette variété est délicieuse, bien qu’elle soit moins sucrée et moins juteuse que la bleue.

«Ici, on les appelle les bleuets albinos. Souvent, en les voyant, les gens pensent qu’ils ne sont pas murs étant donné leur couleur, mais ils sont bel et bien prêts. Cette sorte de bleuet est très rare. Sur nos quelque 1800 âcres, nous avons une superficie approximative de seulement 15 pieds carrés de plants de petits fruits roses», raconte-t-il.

Évidemment, au fil des ans, ces plants gagneront du terrain et se propageront. Mais pour le moment, M. Bernard estime qu’il serait plutôt surprenant que le bleuet de cette couleur gagne en popularité. La raison? Ce que les gens aiment d’abord et avant tout, c’est la traditionnelle perle bleue.

«En ce moment, nous sommes bien loin d’en faire la mise en marché, car nous n’en avons pas beaucoup. Toutefois, nous avons un cueilleur qui vient les ramasser pour se faire des confitures. Et les gens ne le croient pas lorsqu’il leur dit qu’elle est faite à base de bleuets roses».

Dans les bleuetières, on retrouve une multitude de clones différents. Pour Bleuets Boréal et la Bleuetière coopérative de Normandin, les plants de bleuets bleus occupent environ 80% de la superficie des champs. Pour ce qui est du bleuet noir, il représente le reste de la production.

Bonne saison

Contrairement à la situation désastreuse que connaissent certaines bleuetières du nord du Lac-Saint-Jean, Jean-Marc Bernard affirme que le bilan s’annonce plutôt positif pour les entreprises qu’il gère.

«Nos pertes seront d’environ 20 à 25% de la production, cette année, à cause du gel. C’est un bilan positif si on le compare à certains qui ont de 70% à 100% de perte.»

Entre 1,8 million et 2,3 millions de livres de bleuets sont récoltées chaque année dans ce secteur.

http://www.lapresse.ca

Cruauté envers les animaux : vers un registre des coupables?


En temps que société dites civilisé comment se fait-il que nous soyons encore à parler de cruauté envers les animaux ?  Au lieu de parler de charte québécoise qui mène une province vers l’austérité que nous ne parlons pas plutôt d’une charte animale Nous sommes encore à quémander des lois plus sévères, a des inspections plus régulières pour qu’enfin les usines a chiots ou tout autre animal et une protection envers la cruauté animale, car il semble que rien ne change vraiment
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Cruauté envers les animaux : vers un registre des coupables?

 

PHOTO ARCHIVES / AGENCE QMI

KNOWLTON – Chiens, chevaux, chats, on ne compte plus ces bêtes qui ont été victimes de mauvais traitements ces dernières années. Trop, c’est trop pour une résidante de Knowlton, en Estrie, qui souhaite la création d’un registre des individus reconnus coupables de cruauté envers les animaux. Une pétition est lancée à travers le pays.

À la SPA des Cantons, Orville nous flaire de loin… On le sent craintif. Le jeune chien de trois ans reprend tranquillement des forces. En février dernier, il a été retrouvé abandonné au fond d’un fossé avec une balle de calibre .22 dans le crâne.

Cette histoire d’horreur est malheureusement un cas parmi tant d’autres.

«Parfois on voit des photos et on a de la difficulté à identifier c’est quel animal… C’est affreux!» a raconté l’instigatrice de la pétition, Cindy Moynan.

Dégoûtée par la répétition des cas de cruautés animales, Mme Moynan a lancé une pétition pour qu’un registre public soit créé. On y retrouverait une liste des personnes jugées coupables de cruauté envers les animaux.

Le but : mettre en garde propriétaires et acheteurs, et en fin de compte prévenir les abus.

«Même si ça n’aboutit pas à un projet de loi, si ça sensibilise 50, 100, 200 personnes… Au moins, c’est déjà ça», a ajouté Carl Girard de la SPA des Cantons.

Le Québec, aux dires de la SPA des Cantons, est considéré comme la province où le plus grand nombre de cas ont été recensés depuis l’an 2000. De pathétiques histoires en témoignent.

En mai 2010, la SPA de Sherbrooke avait saisi plusieurs animaux de ferme dans un état lamentable. Quelques mois plus tard, à Granby, deux chiens ont été retrouvés, un clou de 8 centimètres enfoncé dans le crâne.

Dans la dernière année, la SPA des Cantons a démantelé huit chenils illégaux.

La pétition est disponible dans six centres vétérinaires de la région de Granby et une centaine de personnes au pays l’ont fait circuler. L’objectif est d’amasser 50 000 signatures et ainsi présenter le document d’ici le 30 septembre prochain à la Chambre des communes.

http://www.journaldemontreal.com

Des hurlements d’attachement


Pourquoi les loups hurlent ? Est-ce une moyen de communication, un signal,  un stress ?
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Des hurlements d’attachement

 

Un loup hurle 

Photo :  iStockphoto

Les loups hurlent davantage lorsqu’un compagnon proche ou un membre du groupe d’un rang hiérarchique plus élevé quitte momentanément la meute, ont découvert des chercheurs autrichiens.

La vétérinaire Friederike Range et ses collègues de l’École vétérinaire de l’Université de Vienne ont analysé comment des loups en captivité réagissent lorsqu’un des membres quitte le groupe pour une promenade en forêt.

Ils avaient préalablement remarqué que lorsqu’ils isolaient un des loups, le reste de la meute hurlait plus.

Afin de comprendre pourquoi, ils ont étudié les concentrations d’hormone de stress (cortisol) chez les loups et ont établi les positions de statut social dans la meute. Les chercheurs ont ainsi découvert que les loups ne hurlaient pas à cause du stress, mais bien pour montrer la qualité de la relation qu’ils entretiennent avec le loup qui se trouve à l’extérieur de la meute.

Les chercheurs concluent que le hurlement du loup n’est donc pas une simple réaction physiologique au stress et que des facteurs sociaux peuvent influencer le cri de ces animaux.

Le détail de cette recherche est publié dans la revue Current Biology.

L’extrait qui suit explique la présente recherche en anglais.

 

http://www.radio-canada.ca