Nous savons tous qu’il y a des espèces qui sont en danger de disparaître mais ceux qui sont en force sont aussi vulnérables. L’enjeu est grand pour ces espèces si les températures augmentent un temps, soit peu sans compter que l’homme s’accapare du terrain sans se préoccuper de briser la chaine pour que la biodiversité puisse s’épanouir
Nuage
Le réchauffement climatique menace des espèces encore solides
Environ 22% des coraux, non encore menacés, se trouvent «hautement vulnérables» face aux modifications climatiques.
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OSLO – De nombreuses espèces d’oiseaux, d’amphibiens et de coraux, qui ne sont pas actuellement menacés, pourraient se retrouver en danger en raison du réchauffement climatique, indique une étude internationale, mercredi.
Les oiseaux et les amphibiens de la forêt tropicale amazonienne, ainsi que les coraux au large de l’Indonésie apparaissent particulièrement vulnérables à la hausse générale des températures.
Au total, 41% de toutes les espèces d’oiseaux, 29% des amphibiens et 22% des coraux, non encore menacés, se trouvent «hautement vulnérables» face aux modifications climatiques, indique l’équipe de scientifiques qui a réalisé l’étude dans le journal Plos One.
Revoir les priorités
«Cela est une surprise», a commenté Wendy Foden de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui a dirigé les travaux d’une centaine de scientifiques.
Selon elle, les priorités en matière de conservation de la nature doivent être revues, en particulier afin de déterminer des zones protégées de la vie sauvage.
«Le changement climatique n’est pas la menace la plus importante pour le moment», a-t-elle expliqué.
Surexploitation
La perte de l’habitat animal provoquée par la hausse de la population humaine, la surexploitation et la présence d’espèces envahissantes sont les principales causes d’extinction, précise l’étude.
Les chercheurs ont adopté une nouvelle échelle de mesure pour évaluer la vulnérabilité au changement climatique. Elle se fonde sur l’exposition probable de chaque animal, sur sa sensibilité au changement et sur sa capacité d’adaptation.
Un groupe de scientifiques de l’Onu a estimé que 20 à 30% des espèces au niveau mondial sont confrontées à un risque croissant de disparition si les températures augmentent de plus de deux ou trois degrés au-dessus des niveaux de l’ère pré-industrielle.
« «Cela est une surprise», a commenté Wendy Foden » et en plus il se fout de nous il y a déjà un moment que certain on tiré la sonnette d’alarme.
oui j’ai aussi bloqué sur cette réponse …