L’imagination a du bon, mais quand il empêche les gens de vivre alors ce n’est qu’éphémère
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L’imaginaire
« Celui qui vit dans l’imaginaire partage plusieurs vies. Une seule lui échappe : la sienne. »
Marc Gendron
L’ancien premier ministre du Canada, Jean Chrétien avait déjà été admis a l’institut de Cardiologie de Montréal pour y subir un quadruple pontage Est-ce ce que cela l’a arrêté a demeuré actif … Non la vie continue
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L’ancien premier ministre du Canada, Jean Chrétien.
PHOTO: STÉPHANE LESSARD
Le Droit
Bien des gens de son âge préfèrent le golf, la randonnée pédestre ou encore la pétanque. Mais pas l’ex-premier ministre Jean Chrétien, qui, à l’âge de 79, vient de se mettre au wakeboard, selon une vidéo diffusée sur YouTube.
La vidéo a été mise en ligne lundi. On y voit l’ex-premier ministre du Canada pratiquer ce sport – aussi appelé « planche nautique » -, semblable au ski nautique mais se pratiquant avec une planche.
Paraissant en pleine forme, Jean Chrétien envoie même la main à la caméra filmant ses exploits.
«M. Chrétien était ici pendant la fin de semaine avec des amis. Il a dit qu’il voulait essayer ça, alors il l’a fait. C’était sa toute première fois, et il s’est vraiment bien débrouillé», a indiqué Ty Luckett, l’instructeur ayant accompagné l’ex-chef libéral.
Le «p’tit gars de Shawinigan» compte parmi ses clients les plus âgés, a-t-il ajouté.
L’extrait d’une durée de 1 min 20 s a été mise en ligne par Steven Hogue, un ancien porte-parole de M. Chrétien. Elle a été prise tout récemment à Buxton, en Caroline du Nord, ont confirmé des proches de M. Chrétien. Le septuagénaire aurait également suivi une formation afin d’effectuer du surf cerf-volant (« kite surfing »), mais les conditions météorologiques l’auraient empêché d’en faire montre à la caméra.
Le tout n’est pas sans rappeler un fameux cliché de M. Chrétien, pris dans les mois précédant son élection à titre de premier ministre, en 1993, et le montrant en ski nautique.
Âgé de près de 80 ans, M. Chrétien pratique toujours divers sports, dont le ski nautique et le ski alpin, selon un proche.
Avec tous les produits en vente sur le marché, beaucoup d’entre eux sont nocifs pour l’environnement. Pour ceux qui ont le souci des produits écologiques, voici quelques recettes écolo qui feront tout aussi l’affaire pour des nettoyages divers et en plus, cela sera moins nuisible au portefeuille
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10 recettes pour fabriquer vos produits ménagers
Écologiques et économiques, les produits d’entretien faits maison sont également faciles à réaliser, à condition de connaître quelques recettes de base.
Un nettoyant multi-usages
Le savon de Marseille peut rentrer dans la composition d’un produit nettoyant multi-usages.© Michaklootwijk – Fotolia.com
Charlotte utilise le savon de Marseille pour réaliser un produit nettoyant multi-usages. Voici sa recette :
« Râper un petit savon de Marseille puis le mettre dans un petit peu d’eau chaude pour le faire fondre. Une fois ce mélange refroidi, ajoutez-y le jus d’un citron, un verre de vinaigre de cidre, un flacon d’huile essentielle d’Eucalyptus. Enfin, ajouter 4 litres d’eau et mélanger le tout. Il ne reste plus qu’à répartir cette solution dans des vaporisateurs et autres flacons de produits ménagers ».
« Ce produit me sert aussi bien pour nettoyer le plan de travail de ma cuisine que le lavabo de ma salle de bains ou mes sols. Je conseille de secouer le mélange avant utilisation ».
Une lessive liquide à base de savon de Marseille
La savon de Marseille est parfait pour préparer une lessive maison. © Itestro – Fotolia.com
Pour laver le linge, le savon de Marseille est également plébiscité.
C’est l’ingrédient de base de la recette de Géraldine :
150 g de savon de Marseille en paillettes, une poignée de cristaux de soude, unehuile essentielle (lavande ou arbre à thé) et 3 litres d’eau. Elle fait bouillir l’eau, met les paillettes et les cristaux. Puis elle verse le tout dans en pot ouvert (par exemple un seau) avant que cela devienne trop épais. Enfin, elle laisse un peu refroidir et ajoute l’huile essentielle avant que le mélange ne durcisse. Pour chaque lessive, elle verse « environ un verre à moutarde dans le tambour de la machine à laver ».
Blandine a quasiment la même recette, si ce n’est qu’elle utilise 50 g savon de Marseille Bio qu’elle râpe avant de le dissoudre dans un litre d’eau chaude. Puis elle ajoute 7 gouttes d’huile essentielle.
Un liquide vaisselle à base de citron
Un liquide vaisselle à base de citron frais.© ChantalS – Fotolia.com
Dominique n’achète plus de liquide vaisselle, elle le fabrique elle-même. Voici sa recette :
« Couper trois citrons (avec l’écorce) en morceaux. Les mixer avec 200 g de gros sel, un verre de vinaigre blanc et 4 verres d’eau. Faire chauffer la préparation durant 15 minutes puis laisser refroidir. Filtrer ensuite ce produit, notamment pour enlever les pépins, et le verser dans un flacon vide de liquide vaisselle ».
Une crème à récurer à base de sel et de bicarbonate de soude
Rien de tel que le bicarbonate de soude pour récurer. © Africa Studio – Fotolia.com
Rien de tel que le bicarbonate de soude pour récurer la maison.
Stéphanie mélange
deux cuillères à soupe de bicarbonate de soude et deux cuillères à soupe de sel fin. Elle rajoute un peu d’eau du robinet pour mélanger le tout. Elle utilise ce produit avec une éponge pour nettoyer sa salle de bains.
Des lingettes imprégnées faites maison
Ces lingettes lavables sont beaucoup moins polluantes que les modèles jetables que l’on trouve dans le commerce. © Unclesam – Fotolia.com
Martine fait elle même ses lingettes imprégnées pour nettoyer la salle de bains ou les toilettes. Voici sa recette : »
Mélanger 1 tasse de vinaigre blanc, 5 gouttes d’huile essentielle de citron, 5 gouttes d’huile essentielle d’arbre à thé, 1 cuillère à soupe de liquide vaisselle et 1 tasse d’eau. Découper des carrés de 15 cm de côté dans une vieille serviette éponge et les placer dans une ancienne boîte de lingettes du commerce. Il ne reste plus qu’à les imprégner du mélange obtenu précédemment ».
Ces lingettes lavables sont beaucoup moins polluantes que les modèles jetables que l’on trouve dans le commerce.
Nettoyant pour le sol
Le vinaigre blanc fait briller les sols. © Africa Studio – Fotolia.com
Le vinaigre blanc peut servir de base pour un produit ménager destiné à laver les sols. Dans sa recette,Patricia utilise
240 ml de vinaigre blanc, 60 gouttes d’huile essentielle de citron, 40 gouttes d’huile essentielle de thym et 20 gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus.
Elle fait son « mélange dans un pulvérisateur et le vaporise directement, tout en passant la serpillière. Sol propres, désinfectés et parfumés ».
Attention : si ce type de produit est destiné au carrelage en général, il ne convient pas pour les dalles de pierres naturelles ou le marbre. Pour ce dernier, Françoise recommande de dissoudre une cuillère à soupe de savon noir dans 5 L d’eau.
Un nettoyant pour les vitres
Le vinaigre blanc peut aussi servir à nettoyer les vitres. © Brian Jackson – Fotolia.com
Pour nettoyer ses vitres François a une recette toute simple.
Il mélange « 40 cl de vinaigre blanc,10 cl d’eau, 5 gouttes d’huiles essentielles d’arbre à thé dans un vaporisateur ».
Il utilise ce produit pour « nettoyer les vitres des fenêtres, les miroirs ou encore les parois de douche.
Martine utilise aussi du vinaigre blanc qu’elle mélange avec du savon liquide et de l’eau tiède.
Dans un demi seau d’eau, Nadia verse un verre de vinaigre blanc et quelques gouttes de liquide vaisselle. Le produit obtenu lui permet d’avoir « des vitres impeccables ».
De l’huile pour entretenir les meubles cirés
De l’huile pour nettoyer les meubles cirés. © Kelly Marken – Fotolia.com
Leba a une recette astucieuse pour nettoyer ces meubles cirés :
« Mélanger 1 dose de vinaigre blanc, 3 doses d’huile d’olive, 2 doses d’une autr ehuile végétale et 1 dose de jus de citron. Mixer le tout ».
Elle donne même des conseils d’utilisation :
« Étendre sur le meuble avec du coton cardé ou au pinceau dur, lustrer avec un linge blanc ou à la brosse à meubles ».
Un détartrant pour les WC
Mariesacha – Fotolia.com © Mariesacha – Fotolia.com
Pour détartrer la cuvette des toilettes, Carole fait
chauffer 1 litre de vinaigre blanc jusqu’à ébullition et le verse aussitôt après dans les WC. Puis, elle le « laisse agir une ou deux heures (plus si elles sont très entartrées) et le tartre part ensuite comme par enchantement, sans frotter et les toilettes brillent. C’est écolo et bon marché ».
Un nettoyant pour le réfrigérateur
L’eau de Javel n’est pas forcément nécessaire pour nettoyer son frigo. © Janis Smits – Fotolia.com
Michèle utilise des produits écologiques pour nettoyer son réfrigérateur, plutôt que l’eau de Javel. Dans sa recette maison,
elle mélange 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude dans un bol à moitié rempli d’eau tiède, avant de remuer. Puis elle ajoute le jus d’un demi citron et les 5 gouttes d’huile essentielle de citron.
Le produit est prêt l’emploi.
Je n’aime pas vraiment le dictionnaire Robert, mais voilà une nouvelle cuvée de mots dont certains sont bizarres mais d’autres mots viennent de d’autres pays dont le Québec …
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Le nouveau dictionnaire Robert 2014, qui sort le 30 mai, compte plusieurs centaines de mots nouveaux. Et certains sont vraiment « chelous ». Florilège.
Kéké (pour désigner un frimeur), bombasse (une femme sexy) et chelou (verlan de louche, étrange) font partie des nouveaux mots du dictionnaire. Le Robert s’apprête en effet à présenter sa cuvée 2014 avec version illustrée (29 euros) et classique (le Petit Robert à 60 euros) le 30 mai en librairie. Et, c’est peu dire, la sélection de plusieurs centaines de nouveaux mots qui figure dans l’édition 2014 du célèbre dictionnaire à de quoi être remarquée.
Le Robert a choisi des mots familiers comme « kéké », « bombasse », « chelou » mais aussi « choupinet » (mignon), « galoche » (bisou avec la langue), « plan cul » (on vous passe la traduction, ou encore le verbe « clasher » (attaquer).
Des mots de la langue française pratiquée à l’étranger viennent aussi enrichir le rayon des « bizarrerie ». Les Français de métropole seront par exemple étonnés de trouver dans leur nouveau dico le « bas-culotte », qui désigne les collants en québécois, le « chialage », qui consiste à se plaindre sans cesse, autrement dit à « chialer », ou encore la « fricadelle », plat célèbre dans le Nord et en Belgique.
Dans une sélection qu’il présente dans ses colonnes, le Parisien donne bien d’autres termes originaux comme le « patenteux » (bricoleur en québécois),, le « brol » (fouillis, « bordèle » en belge), la « kriek » (bière à la cerise venue de Belgique) mais aussi les verbes « agender » (fixer une date, un rendez-vous) venu de Suisse et « bourrassier » (grogner, ronchonner) de Québec.
Mais des mots beaucoup plus sérieux font aussi leur entrée dans le Robert. Le fameux « boson de Higgs », particule élémentaire qui rend fou les scientifiques depuis quelques mois, l’adverbe « traçable », ramenant à l’origine d’un aliment ou d’un produit ou encore le « microblog » cher aux adeptes de Twitter, sont de la partie.
Encore plus dans l’actualité, le « triple A », la « fadette », l’adjectif « low-cost », le « retoquage » ou encore le verbe « dédiaboliser », souvent utilisés dans nos articles de presse ont aussi été ajoutés au Robert. Le Larousse quant à lui promet de dévoiler ses « nouveaux mots » le jeudi 30 mai. On en « psychote » déjà !
C’est décourageant de savoir que des hackers peuvent en un rien de temps déchiffrer les mots de passe de monsieur et madame tout le monde … Cependant, on donne un truc vraiment simple et plus facile a mémorisé
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ENTER YOUR PASSWORD / marc falardeau via FlickrCC License by
Par Cécile Schilis-Gallego
Est-il si simple de déchiffrer des mots de passe?
C’est ce que laisse entendre un article publié sur ars technica. Pour le prouver, une liste de 16.000 mots de passe chiffrés a été transmise à trois hackers. Au bout d’une heure, 90% des mots de passe ont été trouvés par l’un d’entre eux. Le moins efficace des trois en a pour sa part trouvé 62%.
Constat initial: tout mot de passe est potentiellement déchiffrable. Et si l’on y arrive si rapidement, c’est en partie parce que l’on choisit de mauvais mots de passe. Plusieurs facteurs sont à prendre en compte:
Par ailleurs, l’un des harckers constate que le niveau de protection varie fortement selon qu’il s’agit de mots de passe de clients ou de ceux utilisés au sein des grandes firmes:
«Quand je fais un audit de mot de passe d’une entreprise pour m’assurer que les politiques en termes de mot de passe sont correctement mises en place, c’est de la folie. Tu pourrais passer trois jours en ne trouvant absolument rien.»
Si vous voulez tout de même changer votre mot de passe pour le rendre moins vulnérable, vous pouvez suivre les conseils de Farhad Manjoo, le chroniqueur high-tech de Slate:
«Choisissez une phrase assez courte et mémorisable. Et voilà. Au lieu de transformer cette phrase en un seul mot, utilisez-la simplement, en entier. Par exemple Mitt adore quand Barack lui fait des gaufres. C’est une phrase mémorisable. Et c’est aussi, en soi, un mot de passe extrêmement sûr – encore plus sûr que le mot composé des initiales des termes de la phrase. Au lieu de raccourcir la phrase, tapez-la entièrement. C’est la façon la plus simple de mélanger les majuscules, les minuscules et les symboles, et c’est encore plus facile à mémoriser. (…) Impossible par contre de m’en servir sur le site de ma banque, ni sur tous les sites qui imposent une longueur limite à leurs mots de passe et/ou n’acceptent pas les espaces.»
Heureusement, qu’une personne a entendu les plaintes du cheval, sinon l’histoire aurait pu mal se finir pour lui.
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Crédit photo : CNN
TVA Nouvelles avec CNN
Un cheval a manqué de se noyer, à San Rafael en Californie.
La planche de bois qui recouvrait un puits a cédé lorsque l’animal de 1000 livres s’y est aventuré.
Le cheval est parvenu à se maintenir à la surface pendant plusieurs heures pour respirer.
(CNN)
C’est un voisin qui a entendu les hennissements qui a alerté les secours. Ceux-ci se sont rendus sur place pour aider l’animal.
Ils lui ont posé un harnais pour lui maintenir la tête hors de l’eau. Ils ont ensuite ajouté de l’eau dans le puits pour rapprocher le cheval du bord. Il aura finalement fallu apporter une grue pour réussir à l’extirper de sa cage de pierre.
(CNN)
Il souffre d’une égratignure à l’œil et de griffures aux jambes, mais les vétérinaires sont convaincus qu’il se remettra vite de sa mésaventure.
La loi doit être la même pour tout le monde, et même pour les multi-nationales. Ils devaient sûrement savoir qu’ils polluaient l’environnement .. Déjà que les pesticides sont des ennemis a aux insectes utiles et ont des conséquences sur la nourriture que l’on mange alors …
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Photo: AFP
Jusqu’à janvier 2006, Walmart n’avait pas de programme en place et ne formait pas les employés de ses magasins sur la manière de se débarrasser de déchets dangereux.
Agence France-Presse
NEW YORK
Le groupe américain Wal-Mart, numéro un mondial de la distribution, a accepté de plaider coupable et de payer au total 110 millions de dollars pour régler à l’amiable des poursuites des autorités américaines dues à sa mauvaise gestion de déchets dangereux.
Jusqu’à janvier 2006, Walmart n’avait pas de programme en place et ne formait pas les employés de ses magasins sur la manière de se débarrasser de déchets dangereux, comme des pesticides rapportés par ses clients, explique le département de la Justice (DoJ) dans un communiqué.
Ces déchets étaient jetés dans des poubelles municipales ou dans les canalisations dans le cas des liquides, ou encore transportés sans mesures de sécurité adéquates jusqu’à l’un des six centres spécialisés du groupe aux États-Unis, détaille-t-il.
Tammy Dickinson, procureure générale du Missouri (centre) qui poursuivait le groupe avec la Californie (ouest), l’État fédéral et l’agence de la protection de l’environnement (EPA) évoquent ainsi
«des camions remplis de produits dangereux, dont plus de 2 millions de livres (environ 900 tonnes, ndlr) de pesticides».
«En traitant de manière inappropriée des déchets dangereux, des pesticides et d’autres matières en violation des lois fédérales, Walmart a fait peser un risque sur le public et l’environnement et gagné un avantage économique injuste sur d’autres entreprises», a commenté pour sa part Ignacia Moreno, procureure générale adjointe du DoJ pour les questions d’environnement.
Je ne suis pas d’accord avec le clonage en générale et encore moins avec un animal de compagnie qu’on a particulièrement aimé. Je considère ce procédé comme une usine a chien, car il y a des risques autant pour les petits que pour la mère porteuse. Si on commence a faire ce genre de chose chez les animaux, un jour on va finir par trouver normal de cloner des êtres humains
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Cloner son chien, c’est une idée extrêmement dérangeante, choquante, mais pourtant bien une réalité. En Corée du Sud, un institut de biotechnologie propose en effet aux propriétaires de chiens de cloner leur compagnon à 4 pattes, révèle 30 Millions d’Amis, qui a diffusé il y a quelques jours un reportage à ce sujet.
La Corée du Sud est le premier et le seul pays à cloner ainsi des animaux de compagnie. Au cours de ces 7 dernières années, des centaines de chiens seraient nés de cette façon. Mais aucun chiffre officiel n’est publié.
Les caméras de 30 Millions d’Amis ont été invitées à pénétrer au sein de l’institut SooamBiotech, dont le directeur a été condamné en 2009 pour violation des lois sur la bioéthique.
« Les gens considèrent leur chien comme un membre de la famille, alors quand il meurt, ils n’arrivent pas à retrouver le même amour dans un nouveau chien, adopté par exemple. Ils veulent retrouver leur chien disparu« explique l’un des chercheurs de l’institut.
Rendre son animal éternel : c’est donc dans ce but que tant de propriétaires de chiens sud-coréens ou étrangers se rendent dans ce laboratoire situé à Seoul.
Des chiens policiers ou sauveteurs sont également clonés
Bien sûr, faire cloner son chien a un coût, très élevé. 100 000 dollars (80 000 euros), c’est la somme qu’il faut débourser pour espérer avoir un double de son bien-aimé compagnon à 4 pattes.
Et si le chien né de cette façon ressemblera bien sûr comme deux gouttes d’eau à l’original, rien n’assure qu’il aura le même caractère.
La première étape consiste à prélever un morceau de tissu de l’animal, qui fournira son ADN. Les chercheurs font ensuite appel à une chienne porteuse, dont un ovocyte est prélevé, avant que l’emprunte génétique du chien à cloner y soit injectée.
L’embryon peut alors être réinjecté dans l’utérus de la chienne. Environ 2 mois plus tard, celle-ci mettra au monde un ou plusieurs chiots.
Bien sûr, cette pratique pose une sérieuse question d’éthique. Le clonage des humains est interdit. Pourquoi celui des animaux de compagnie serait-il autorisé ? Une quinzaine d’embryons est nécessaire pour donner naissance à un chien. De nombreux chiots mourraient dans les semaines suivant leur naissance, et le sort des chiennes porteuses est très inquiétant.
En France, ce genre de pratique est très strictement réglementé. Pour pouvoir cloner un animal, une institution ou une école vétérinaire doit obtenir l’accord du Comité National d’Ethique. Le clonage d’un humain, lui, est passible de 30 de prison et plusieurs millions d’euros d’amende.