Quand on s’enferme, ne soyons pas surpris de ne pas être compris par ceux qui nous entourent
Nuage
Le mur
« Les seuls murs vraiment impénétrables sont ceux dont on s’entoure soi-même. »
Luis Fernandez
Un chien perdu, il y en a malheureusement beaucoup et de différentes races, de différentes grandeurs. Un refuge en Californie a un curieux pensionnaire, mais il ne sait pas de quelle race qu’appartient ce chien, ce qu’ils sont sur, c’est qu’il est croisé avec d’autres races de chien et ou de loup
Nuage
Impossible de savoir qui il est. Ni vraiment chien, ni vraiment loup, cet animal étonnant vraisemblablement perdu rend complètement perplexes les employés du refuge de Sacramento en Californie (Etats-Unis) où il a été recueilli.
Un véritable mystère
Pas de nom, pas de race, pas de tatouage ni de puce électronique. Une seule certitude : cette créature est extraordinairement grande pour un chien. Si ce n’est sûrement pas un ogre, ce mâle en a tout l’appétit : avec un poids de près de 55 kilos, il mange 4 fois plus que les autres chiens.
Concernant sa race, Gina Knepp, la directrice du Front Street Animal Shelter, pense qu’il s’agit d’un mélange d’Husky et de Malamute. Elle se demande même s’il ne s’agirait pas d’un chien issu d’un croisement avec un loup.
« Il peut être une combinaison de beaucoup de choses. On n’aura aucune certitude avant d’avoir fait un test ADN, qu’on ne fera pas ici » souligne-t-elle.
En attendant d’en apprendre davantage, le refuge héberge la pauvre bête et lui fournit tous les soins nécessaires. Mais Gina Knepp n’est pas vraiment optimiste quant au sort de l’animal, pourtant adorable.
« C’est beaucoup plus facile d’adopter un petit chiot mignon qu’un gros chien. Un gros chien demande plus de travail, un bon type d’habitation et beaucoup d’espace ».
Afin d’essayer de trouver ses maîtres ou, à défaut, une nouvelle famille rapidement, le refuge a décidé de poster une photo du chien sur sa page Facebook. Avec plus de 780 « likes » et 816 partages, cet incroyable « chien-loup » a déjà des fans.
Les satellites qui gravitent dans l’espace ont rendu l’être humain dépendant de la technologie à un tel point que si les satellites venaient a disparaître, nous serions vraiment embêtées, car nous avons presque tout mis dans le même panier.
Nuage
Que se passerait-il si les satellites disparaissaient ?
Par christophetd
Imaginez que le monde entre en guerre et que les satellites soient détruits… Que se passerait-il ? Pourrions-nous survivre ? Que deviendrait notre vie sans eux ?
Même si nous ne le voyons pas forcément, les satellites sont partout et sont réellement indispensables dans notre vie quotidienne ; en plus de relayer votre émission de télévision favorite, ils vous permettent d’appeler vos amis lorsque vous vous sentez trop seul, de trouver une rue si vous êtes perdu (via le GPS(1)), de connaître la météo des jours suivants, etc.
Outre ces usages personnels, ils sont très utilisés par l’armée – usant du GPS en terrain inconnu –, par les météorologues – pour prévoir les catastrophes naturelles à venir – ou encore par le monde de la finance – pour relayer les autorisations de débit par exemple.
Venons-en à ce qu’il se passerait en cas de disparition pure et simple des satellites.
Tout d’abord, plus de trois cent cinquante millions de téléphones mobiles cesseraient de fonctionner, privant ainsi des millions de gens d’appels pouvant leur être vitaux. Vous êtes encerclé par le feu dans votre jardin, ou votre grand-père fait un infarctus lors d’une promenade en forêt ? Impossible d’appeler du secours, vous êtes condamné à prendre les choses en main, même si elles vous dépassent.
Ensuite, ce serait au tour de l’armée d’être quasi entièrement paralysée. La marine utilisant le GPS pour se repérer lors de mauvais temps, les bateaux militaires seraient obligés de naviguer à vue dans les tempêtes et brouillards, une situation bien périlleuse. L’aviation serait elle aussi bien embêtée, car incapable de régler ses systèmes de navigation automatisés pour atteindre ses objectifs.
C’est à ce stade que les catastrophes naturelles entrent en jeu.
N’ayant pas été prévues par des météorologistes privés de moyens techniques, elles s’acharneraient sur des populations non préparées à cela et n’ayant bien sûr pas eu le temps d’être évacuées. Quant aux survivants, c’est, pour la plupart, un bien triste sort qui les attend ; incapables d’appeler du secours ou d’être repérés par quelque dispositif satellite, souvent utilisés pour trouver les victimes lorsqu’aucune liaison radio ne peut être établie, ils se verront dans l’obligation de se porter secours eux-mêmes ou d’attendre, dans l’espoir que quelqu’un pouvant les aider passe miraculeusement devant eux.
Oubliez bien sûr les images des éruptions solaires ou du télescope Hubble, ce ne sont que de lointains souvenirs, tout comme les ambitions de l’humanité de découvrir l’âge de l’univers, la nature précise des trous noirs, etc.
Nous voyons donc bel et bien que si nos satellites venaient à disparaitre, nous en serions bien ennuyés !
C’est là que des questions, dont les réponses sont sûrement jalousement gardées par les gouvernements, se posent : les satellites sont-ils réellement bien protégés ? Un combat pour le contrôle de l’orbite terrestre pourrait-il avoir lieu ? Que font réellement ces « objets du ciel » ? Seul l’avenir nous le dira.
(1) ↑ Un système de navigation par satellite très répandu.
Les enfants aiment les bijoux surtout les petites filles, cependant ces bracelets, colliers ne sont peut-être pas sans danger. Malgré le durcissement de la loi au sujet du plomb, il semble que les fabricants se sont tourné vers un autre métaux aussi toxique
Nuage
Photo: Shutterstock
Vous songez à acheter une breloque, un bracelet ou un collier à votre fille comme cadeau ? Attention: le bijou choisi pourrait être toxique.
En septembre 2012, Santé Canada a émis un énième avis de retrait de bijoux visant des bracelets et colliers pour enfants contenant «des composants métalliques dont la teneur en plomb dépasse les limites permises» et «une teneur en cadmium supérieure à ce que recommande [le ministère]». Une quinzaine d’avis de ce genre, rappelant près de 73 000 bijoux pour enfants, ont été émis depuis moins d’un an.
Depuis le durcissement des règles entourant la présence du plomb, les fabricants de bijoux pour enfants se sont tournés vers un autre métal lourd toxique: le cadmium. Cancérogène et encore plus nocif que le plomb, il peut avoir des effets dévastateurs sur la santé s’il est ingéré.
Les résultats de nos tests témoignent bien de ce glissement du plomb vers le cadmium dans la fabrication de bijoux pour enfants. Il y a 10 ans, lors de notre premier test du genre, nos analyses avaient montré que les bijoux pour enfants vendus sur le marché pouvaient contenir entre 60 et 95 % de plomb. Nos tests de 2012 indiquent plutôt qu’ils sont surtout susceptibles de renfermer du cadmium, et ce, à des niveaux avoisinant parfois 2 000 fois la limite permise.
Parents, la vigilance est de mise.
Où trouve-t-on du cadmium?
Malgré sa grande toxicité, le cadmium est présent dans de nombreux produits de consommation, principalement dans les piles rechargeables au nickel-cadmium.
Dans une moindre mesure, ce métal est aussi utilisé dans l’industrie de la peinture sous forme de pigments.
«C’est un élément naturel présent dans la croûte terrestre, et il se trouve par conséquent un peu partout dans l’environnement», explique Mathieu Valcke, conseiller scientifique et responsable de l’Équipe scientifique sur les risques toxicologiques a l’Institut national de santé publique (INSPQ).
Il ne faut donc pas s’étonner de retrouver aussi du cadmium dans certains aliments comme les céréales, les légumes-feuilles, les légumes-racines ou les abats de viandes sauvages.
Je ne comprends pas comment on peut se débarrasser d’un bébé qui vient à peine de naitre. Vouloir le jeter dans les tuyaux dégouts est lamentable
Nuage
TVA Nouvelles selon CCTV
En Chine, ce sont des plaintes de résidents de l’immeuble qui ont permis à un nouveau-né de survivre.
Des parents qui n’ont pas été localisés ont abandonné un nouveau-né, encore dans le placenta, dans la cuvette et il estresté coincé dans la tuyauterie.
Ses pleurs ont alerté les voisins et les pompiers ont pu le secourir. Par précaution, ils ont carrément pris le tuyau au complet et l’ont amené à l’hôpital de Pujiang, dans la province de Zhejiang, à l’est du pays. Les médecins ont méticuleusement défait le tuyau pour y découvrir le garçon, vieux d’à peine quelques heures.
Le bébé est maintenant dans un état stable. Une enquête est en cours pour retrouver les parents.
Surprenant qu’à notre époque qu’une municipalité au Québec n’avait pas accès à l’eau potable depuis plusieurs années. On imagine tous les problèmes que cela a causés suite a une contamination de l’eau potable. Alors que cela aurait pu être réglée bien avant, c’était encore une question d’argent et pourtant l’eau potable est une nécessité …
Nuage
Diana Cindie Tremblay et son fils Noah peuvent enfin boire l’eau du robinet, ce qui n’était pas recommandé depuis 13 ans dans leur municipalité des Méchins.
PHOTO COLLABORATION SPÉCIALE JOHANNE FOURNIER
JOHANNE FOURNIER
Collaboration spéciale
Le Soleil
(Les Méchins) Si les Montréalais ont dû faire bouillir l’eau du robinet pendant deux jours, cette situation a été le lot quotidien pendant 13 ans des habitants des Méchins, dans la Matanie. Mais depuis deux semaines, les citoyens de l’endroit ont enfin de l’eau potable.
Fini le casse-tête de l’eau pour Diana Cindie Tremblay, une mère de famille qui vit aux Méchins depuis huit ans. Elle n’a plus besoin de surveiller son fils de quatre ans, Noah, afin qu’il ne boive pas l’eau du robinet.
«Quand il était bébé et que je lui donnais son bain, il fallait toujours le surveiller pour ne pas qu’il boive l’eau, raconte-t-elle. Pour le brossage des dents, c’était la même chose. Je devais acheter une cruche de 18 litres d’eau de source par semaine. Pour faire à manger, je faisais bouillir l’eau. Même pour le lavage, l’eau était brune et ça tachait le linge. Il fallait faire nos glaçons avec de l’eau de source. Ça coûtait plus de 400 $ par année.»
Native des Méchins, la conseillère Francine Verreault possède une garderie en milieu familial et héberge deux personnes âgées. Même si elle était soucieuse de faire bouillir son eau et de faire boire de l’eau de source aux gens autour d’elle, elle ne s’empêchait pas de boire l’eau du robinet. «J’ai jamais eu de problème», signale-t-elle.
L’histoire remonte en août 2000, à la suite de la tragédie de l’eau contaminée par la bactérie E. coli, survenue à Walkerton, en Ontario, qui avait causé le décès de sept personnes. Une vingtaine de municipalités du Bas-Saint-Laurent se retrouvent alors ciblées afin de mettre aux normes leur système d’eau potable.
Pour Les Méchins, cela signifie la construction d’une nouvelle usine de traitement de l’eau potable, au coût d’environ 8 millions $. Mais la municipalité de 1120 habitants n’en a pas les moyens, puisque le gouvernement ne finance que 50 % des coûts.
«En 2009, après les pressions du maire en place, Donald Grenier, le gouvernement accepte de financer 90 % des coûts», relate le nouveau maire par intérim élu le 6 mai, Steve Ouimet. «Le gouvernement et les ingénieurs de Roche nous dirigent vers un système membranaire développé par Dagua, une entreprise de Granby.»
Donc, l’usine est construite en 2011, à la suite d’un règlement d’emprunt de 1,1 million $. Mais, une semaine après sa mise en fonction, le système connaît des ratés. Pour ajouter aux malheurs, Dagua fait faillite quelques mois après.
Treize ans plus tard, les citoyens peuvent maintenant boire leur eau grâce au travail acharné du directeur des travaux publics des Méchins, Rossy Bouchard, mais aussi grâce à VO3, une entreprise créée par d’anciens employés de Dagua. Même si la majoration des taxes municipales n’a pas été uniquement causée par la mise aux normes du système de traitement de l’eau potable, il n’en demeure pas moins que l’accès à cet or bleu aura coûté cher aux contribuables des Méchins. De 2000 à 2013, leurs taxes municipales ont fait un bond de 117 %.
Située sur la rive sud du Saint-Laurent à 400 km à l’est de Québec, la MRC de La Matanie constitue la porte d’entrée de la Gaspésie et couvre une superficie s’étendant sur près de 3 400 km² abritant un peu moins de 22000 habitants.
Les Méchins est une municipalité canadienne d’environ 1 100 habitants située dans l’Est du Québec dans la municipalité régionale de comté de Matane au Bas-Saint-Laurent sur la rive sud du golfe du Saint-Laurent. La municipalité actuelle est née de la fusion de Saint-Paulin-Dalibaire, de Saint-Thomas-de-Cherbourg et des Méchins en 1982.
Les maux de ventre sont désagréables, mais certaines douleurs demande une attention particulière dont certain doivent être vue en urgence.
Nuage
Le mal au ventre est un symptôme particulièrement fréquent chez les femmes. Très banal, il peut révéler de nombreuses affections, bénignes ou plus graves. Quelles peuvent être les principales causes d’une douleur dans le bas ventre ?
Parallèlement, on retiendra qu’une douleur qui dure dans le bas ventre doit amener à consulter afin d’en identifier la cause avec certitude.
Parce que les causes peuvent être très diverses et parfois graves, toute douleur du bas ventre doit entraîner une consultation plus ou moins urgente. Le médecin procèdera à des explorations (examen clinique, analyses biologiques, imagerie) afin d’en déterminer la cause. Il pourra souvent vous rassurer et vous soulager.
Règles douloureuses, retard de règle…
Des règles douloureuses à chaque cycle et des rapports sexuels douloureux, ce n’est pas normal. Il peut s’agir d’une endométriose. Vous devez consulter un gynécologue pour écarter cette cause.
Une douleur au niveau du bas ventre après un retard des règles impose de consulter rapidement. Il peut s’agir d’une grossesse extra-utérine ou d’une fausse couche.
Un kyste de l’ovaire ou un cancer de l’ovaire sont aussi des affections qui peuvent se traduire par des douleurs aiguës au niveau du bas ventre.
Une douleur intense qui tend à gagner le côté droit du bas de l’abdomen peut suggérer une crise d’appendicite. Avec ou sans fièvre, la douleur peut s’accompagner de vomissements. C’est une urgence.
Une douleur extrêmement violente comme un coup de poignard peut indiquer une péritonite (perforation d’une partie de l’intestin). C’est aussi une urgence !
D’autre part, un caillou qui descend le long des voies urinaires s’accompagne de douleurs intenses. Les douleurs peuvent siéger dans le dos, d’un côté, et irradier dans le bas ventre, jusque dans les testicules pour les hommes. Il s’agit d’une colique néphrétique. Là encore, la douleur tellement forte peut provoquer des vomissements.
Température, brûlures urinaires, constipation…
Des douleurs accompagnées d’une constipation et d’une absence d’émission de gaz depuis plus de 24 heures permettent de suspecter une occlusion intestinale.
Des douleurs dans le ventre, associées à de la température, peuvent laisser suspecter une salpingite (infection des voies génitales). Il faut consulter rapidement pour écarter cette cause. Des douleurs accompagnées de brûlures urinaires et de fièvre indiquent une possible infection de l’appareil urinaire qui est en train de s’étendre.
par Isabelle Eustache, journaliste Santé