Gérer le stress


Pas facile de gérer le stress et pourtant, cela est nécessaire pour un mieux-vivre. Apprendre a laissé le stress de l’extérieur avant de rentrer chez soi Nous n’avons pas a apporter nos problèmes partout …
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Gérer le stress

 

Un jour, un conférencier expliquant la gestion du stress à son auditoire, lève un verre d’eau et demande :

« Combien pèse ce verre d’eau? »

Les réponses vont de 120 ml jusqu’à 360 ml.

Le conférencier réplique : « Le poids absolu de ce verre n’a aucune importance. Tout dépend de la durée pendant laquelle vous le tenez.

« Si je le tiens une minute, ce n’est pas un problème. Si je dois le tenir pendant une heure, j’aurai de la douleur dans le bras. Si je le tiens pendant toute la journée, vous allez devoir appeler une ambulance. Dans tous les cas, c’est le même poids, mais plus longtemps je dois le supporter, plus il devient lourd.

« Et c’est le même cas avec la gestion du stress. Si on porte un fardeau tout le temps, tôt ou tard, comme le fardeau devient de plus en plus lourd, on aura peine à continuer. Comme pour le verre d’eau, vous devez le déposer pour un moment et vous reposer avant de le reprendre. Quand on est frais et dispos, on est apte à porter son fardeau.

« Donc, avant de retourner à la maison ce soir, déposez votre fardeau de travail. Ne l’apportez pas à la maison. Vous pourrez le reprendre demain. Quel que soit le fardeau que vous portiez maintenant, laissez-le pour un moment si vous le pouvez. Relaxez. Reprenez-le plus tard quand vous serez reposé. La vie est courte. Profitez-en! »

(Petites douceurs pour le cœur, p. 75)

10 CHOSES QUE VOUS NE SAVEZ PAS SUR LES CHIENS


Un chien n’est pas un joujou, il est un animal qui a besoin de soin et d’exercices car l’être humain l’a domestiqué il y a des milliers d’années et pour être heureux il lui faut des maitres qui peuvent répondre aux exigences d’un chien
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10 CHOSES QUE VOUS NE SAVEZ PAS SUR LES CHIENS

Vous êtes-vous déjà demandé combien d’années en moyenne peut vivre un chien et quelle est son acuité auditive ?

Voici 10 faits essentiels concernant le meilleur ami de l’homme : ils feront de vous un grand maître dans l’art d’interpréter tout ce qui touche aux chiens.

1. Écoutez bien !

(Crédit photo: Thinkstock)

Le chien a deux fois plus de muscles que l’homme pour bouger les oreilles et il s’en sert pour arborer plus de 100 expressions faciales différentes. Ces oreilles extraordinaires lui permettent de percevoir des sons dont l’origine est quatre fois plus éloignée que ce que l’homme peut entendre.

2. Pourquoi le chien pivote-t-il sur lui-même avant de se coucher ?

(Crédit photo: Thinkstock)

Dans la nature, ce comportement lui permet de coucher les hautes herbes avant de s’étendre dessus. Pour que votre chien de compagnie soit confortable chez vous, assignez-lui un endroit précis où dormir et n’en changez pas. Il se sentira ainsi plus en sécurité.

3. Il a les yeux plus grands que la panse – littéralement !

(Crédit photo: Thinkstock)

L’estomac d’un chien de petite race est de la taille d’une noix.

4. Brossez-lui les dents régulièrement !

(Crédit photo: Thinkstock)

Le chien adulte possède 42 dents qui réclament des soins. Il faut notamment les lui brosser régulièrement avec des produits spécifiques et lui faire subir une fois par an un examen dentaire.

5. Combien d’années vit un chien ?

(Crédit photo: Thinkstock)

L’espérance de vie d’un chien est de 8 à 15 ans. Même s’il est en bonne santé, faites-le examiner régulièrement par un vétérinaire car cela l’aidera à le demeurer et à vivre plus longtemps à vos côtés.

6. À quel point le chiot est-il sans défense ?

(Crédit photo: Thinkstock)

À sa naissance, le chiot est sourd, aveugle, édenté et il a très peu d’odorat. Pour qu’il devienne un chien adulte robuste, faites-lui manger des aliments conçus spécifiquement pour les chiots.

7. Une morsure plus dangereuse que ses aboiements

(Crédit photo: Thinkstock)

Les mâchoires d’un chien exercent en moyenne une pression de 150 à 200 livres par pouce carré. Cette pression peut atteindre 450 livres chez certaines espèces. Pour éviter qu’il exerce ses mâchoires sur vos biens, donnez-lui des jouets propres à le distraire. Pensez à des balles dans lesquelles vous cachez des friandises, à des sablières où vous aurez enfoui des jouets et à des baquets d’eau assez grands pour qu’il puisse s’y amuser. Assurez-vous de lui procurer tout l’exercice dont il a besoin en le promenant souvent. Cela luttera contre toute espèce de comportements destructeurs nés de l’ennui.

8. C’est beaucoup de poil !

(Crédit photo: Thinkstock)

Certains chiens produisent jusqu’à 30 mètres de fourrure par jour – soit l’équivalent en longueur de six voitures de format familial. Cela inclut tous les nouveaux poils qui poussent sur le corps de l’animal, de la tête à la queue.

9. Vous vivez seul : choisissez votre chien avec soin

(Crédit photo: Thinkstock)

Le chien le plus séduisant, dit-on, est le Golden Retriever, le plus repoussant est le Pit Bull. Avant de vous décider en faveur d’une race, renseignez-vous sur elle et assurez-vous qu’elle convient à votre style de vie.

10. Le jeune chien a besoin d’exercice

(Crédit photo: Thinkstock)

Pour un jeune chien, le temps consacré à l’exercice et au jeu est le plus important de la journée. À mesure qu’il grandit, il privilégie l’heure du repas. À vous d’adapter ce qu’il mange à l’âge qu’il a.

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Un orage impressionnant s’abat sur l’aéroport de Hong Kong


Il y a des orages qui sont plus impressionnant que d’autres. Celui-ci me fait penser a un film d’horreur (enfin si on peut qualifier d’horreur) le Brouillard.
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Vidéo : Un orage impressionnant s’abat sur l’aéroport de Hong Kong

 

Le mois de mai est définitivement pluvieux. Si la France a connu vendredi le 24 mai le plus froid depuis 1887, le mauvais temps semble s’abattre partout.

En témoigne cette vidéo impressionnante, publiée sur YouTube le 22 mai par l’utilisateur clarinetsfly, d’un orage qui a balayé l’aéroport de Hong Kong à vitesse grand V. Pas simple de se mettre à l’abri à temps.

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Les lombrics, rois incontestés du compostage


Faire du compostage à la maison, été comme hiver, pratique et en plus cela aide a diminué les poubelles. Avec le temps, il ce vent des boites avec des vers de terre pour composter à l’intérieur, qui n’attire ni les mouches, ni d’odeur qui s’y échappe, enfin sauf quand il faut vider le liquide que font les lombrics
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Les lombrics, rois incontestés du compostage

 

Chaque ver dévore quotidiennement entre la moitié et... (PHOTO NICOLE BENGIVENO, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES)

Chaque ver dévore quotidiennement entre la moitié et une fois son poids en résidus de cuisine (épluchures, marc de café…), matières carbonées (carton, journal) jusqu’aux poussières du balai.

PHOTO NICOLE BENGIVENO, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES

ANNE MEYER
Agence France-Presse
Josselin, France

Rien ou presque ne trahit leur présence : une épluchure de patate qui tangue doucement, une silhouette rose entre des restes de légumes. Pourtant, dans ce bac à compost, utilisable en intérieur, des centaines de lombrics engloutissent les déchets; auxiliaires précieux pour réduire le volume des poubelles et produire un fertilisant de qualité pour les plantes.

«C’est inimaginable tout ce qu’ils mangent, ce qu’ils sont voraces! Avec tout ce que j’ai mis dedans depuis un an…», s’exclame Patricia Dréano, encore incrédule devant l’appétit féroce des 400 lombrics «Eisenia Foetida» qui ont colonisé son «lombricomposteur», installé au sous-sol de sa maison près de Josselin (Morbihan), sous la table où elle prépare ses soupes.

Importé d’Australie et des Etats-Unis, le lombricompostage permet de «recycler naturellement jusqu’à 30 % du contenu de nos poubelles», plus rapidement et facilement qu’avec un composteur classique au fond du jardin, assure Gwénola Picard, 42 ans.

Elle a cofondé avec son mari, éleveur de dindes, la ferme lombricole du Pays de Josselin, un élevage d’un million de lombrics, nourris aux fumiers de cheval, de vache, de volaille et aux déchets de cuisine récupérés dans les restaurants.

Appliqué aux particuliers, le principe est simple : chaque ver dévore quotidiennement entre la moitié et une fois son poids en résidus de cuisine (épluchures, marc de café…), matières carbonées (carton, journal) jusqu’aux poussières du balai.

Au fur et à mesure que s’amenuise le volume des déchets, celui des déjections s’accumule dans le lombricomposteur, sorte de tour composée de plateaux encastrables et percés, pour permettre aux lombrics de se déplacer.

«Thé de ver»

Ne reste plus qu’à récolter le lombricompost, un fertilisant de la consistance d’un terreau destiné à nourrir les sols et revigorer les plantes.

«Au bout de deux mois, pour dix kilos de déchets, on en récupère 5 kilos», affirme Gwénola Picard.

Le tout garanti sans odeurs, sans mouches et sans espoir pour les vers de s’échapper. Seule contrainte, selon Gwénola Picard : recueillir régulièrement le «thé de ver», un engrais liquide issu de l’eau des matières en décomposition, pour éviter de noyer le cheptel.

«Ouvrir le composteur chez moi, c’est déjà une épreuve!», reconnaît en souriant Patricia Ros-Chilias, directrice du centre de loisirs de Josselin.

Ce qui ne l’empêche pas d’accueillir, enthousiaste, un lombricomposteur rose, flambant neuf, dans la salle de restauration des enfants.

«C’est très pratique, car on n’est pas obligé d’aller à l’extérieur» les jours de pluie ou de froid, «on l’a sous les yeux, on sait qu’on doit nourrir nos vers», explique-t-elle. «C’est un geste qui devient naturel : on a mangé donc, au lieu de jeter les restes, on se demande d’abord si on peut les reconvertir», poursuit-elle.

Si la méthode séduit M. et Mme Tout-le-Monde, «on sent une demande qui explose de la part des collectivités», constate Frédéric Raveaud, de la société iséroise Collavet-Plastiques, et concepteur d’Eco-Worms, unique modèle de lombricomposteur 100 % français, tout en rondeurs design et aux coloris pimpants.

«Il y a quatre ans, quand on a commencé, c’était un produit qui s’adressait à des convaincus», poursuit-il. Désormais, «on en vend 3000-3500».

Dans la communauté de communes de Saint-Jean-Brévelay, près de Vannes, qui en propose à 40 euros (environ 53 $) pièce, une vingtaine de particuliers figurent d’ores et déjà sur la liste d’attente.

«Les déchets organiques, qui devraient finir dans des composteurs, représentent 15 à 20 % du contenu des poubelles», explique Maxime Lohézic, du service environnement de cette collectivité.

«Le gisement est énorme», dans le cadre de la réduction des déchets ménagers demandée par le Grenelle de l’environnement, poursuit-il, «bluffé» par le succès de ces vers – plus petits et discrets que les vers de terre – et qu’il n’hésite pas à présenter, ironiquement, comme «de nouveaux animaux de compagnie».

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Santé Pour mieux dormir, oubliez le téléphone et l’ordi au lit


L’évolution de la technologie pour tout le monde a changé notre rythme de vie et de sommeil. Nous sommes de plus en plus nombreux a pouvoir transporter cette technologie dans la chambre a coucher et qui a des répercussions sur la qualité du sommeil et sur la santé en générale
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Pour mieux dormir, oubliez le téléphone et l’ordi au lit

 

Santé - Pour mieux dormir, oubliez le téléphone et l'ordi au lit

Photo Fotolia

Si vous voulez mieux dormir, il faut éteindre votre tablette bien avant de vous coucher, selon un nouvel article publié récemment dans le journal Nature.

L’exposition nocturne aux rayons des DEL – qui illuminent les tablettes, les ordinateurs, les TV et les téléphones – peut perturber les rythmes naturels du corps. Ce type de rayons peut non seulement augmenter les risques de perte du sommeil, mais aussi des problèmes de santé, explique l’article.

La lumière artificielle peut empêcher le sommeil de qualité en ralentissant l’activité des neurones qui déclenchent le sommeil et en activant ceux de l’éveil, réprimant la mélatonine, l’hormone du sommeil.

«La technologie nous a en effet détachés de la journée de 24 heures avec laquelle nos corps ont évolués, nous incitant à nous coucher plus tard», écrit l’auteur, le Dr. Charles Czeisler de la Harvard Medical School. «Et nous prenons de la caféine le matin pour pouvoir nous lever aussi tôt qu’avant, réduisant ainsi le temps de sommeil».

«Beaucoup de gens regardent encore leurs courriels, font leurs devoirs ou regardent la télé à minuit, sans penser une seconde que c’est le milieu de la nuit», ajoute-t-il.

Czeisler affirme qu’un raccourcissement du nombre d’heures de sommeil par nuit apporte un risque de problèmes de santé, tels que l’obésité, le diabète, la dépression et les problèmes cardiaques, ainsi que les problèmes de concentration chez les enfants.

Une étude américaine du Lighting Research Centre au Rensselaer Polytechnic Institute a révélé que de regarder un écran rétro-éclairé, comme ceux des iPad et autres tablettes, pouvait causer la perte du sommeil.

Les résultats ont été publiés en septembre dernier dans une édition du journal Applied Ergonomics.

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UNE JOURNÉE DANS LA VIE DE VOTRE INTESTIN


C’est une histoire fictive oui, mais basé sur la réalité avec quelques variantes de la routine des gens. C’est une façon amusante d’apprendre le rôle de notre intestin qui après la lecture, on comprend qu’il est vraiment sophistiqué. Mais comme toute chose, il faut lui donner l’occasion de faire du bon travail
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UNE JOURNÉE DANS LA VIE DE VOTRE INTESTIN

 

Un intestin plutôt loquace explique en quoi une mauvaise journée peut affecter votre humeur, votre immunité et votre digestion.

Crédit photo: Serge Bloch

C’est étonnant comme les choses changent vite dans une journée.Tout avait pourtant bien commencé. Le Corps avait avalé l’un de mes petits-déjeuners préférés: yaourt, flocons d’avoine et bleuets. Grâce aux fibres de ces derniers, je fonctionnerai sans secousses, si vous voyez ce que je veux dire. Mieux encore,le yaourt grouille de probiotiques,de petites créatures bactériennes qui contribuent à la santé de ma flore intestinale (FI). Ces microbes étonnants ont élu domicile chez moi et favorisent la digestion et la santé immunitaire. Quand ma FI est équilibrée et heureuse, le Corps est moins exposé à une indigestion s’il avale des mets chinois qui croupissent au frigo depuis des lustres.

Mais j’y reviendrai. Pour l’instant, il n’est que 8 h 30 et, sur le chemin du travail, mon optimisme décline. Soudain, le Corps se souvient d’un courriel envoyé par son patron en fin de soirée («Passez me voir demain à 15 h 30»). Aïe, ça ne ressemble pas à une promotion. Et la circulation est infernale! Je salue au passage les substances chimiques du stress, comme le cortisol. Celles-ci peuvent devenir mes ennemies quand elles participent aux journées exigeantes du Corps. D’accord, il bosse dur, mais j’en paie le prix! Quand le taux de ses hormones de stress grimpe, son cerveau ordonne aux cellules spécialisées de ma paroi de libérer des substances inflammatoires. Ces dernières sont utiles en cas d’infection à combattre. Mais en l’absence de véritable menace, elles provoquent des contractions musculaires. Je deviens alors ballonné et irrité. (Bonjour, crampes et course affolée vers les toilettes! ) En quatrième vitesse, elles peuvent également provoquer le syndrome du côlon irritable (CI). Autrement dit, je dois endurer des douleurs lancinantes et insupportables. Amusant, non?

Note à moi-même: avec l’aide du cerveau, cherche des moyens d’aider le Corps à se détendre. Le yoga ne lui sera d’aucune utilité s’il consulte son BlackBerry avant chaque posture du chien renversé.

Le secret de mon équilibre

Je crois bien avoir tout juste senti ma FI passer à l’action. Il faut le reconnaître, cette masse de près de 100 trillions de microorganismes qui logent sur ma paroi est impressionnante. La plupart d’entre eux sont de bons citoyens et des ouvriers efficaces. Ils facilitent la digestion en dissolvant les nutriments et en éloignant divers germes. C’est pourquoi je supplie le Corps de consommer plus de fibres et de yaourt, comme il l’a fait ce matin. Ces prébiotiques (flocons d’avoine et bleuets), de même que les probiotiques du yaourt, agissent comme des surveillants zélés. Ils permettent aux bons gars de ma FI de faire leur boulot sans être gênés par les semeurs de zizanie.

Eh oui, ma FI abrite aussi certains citoyens, disons, mal éclairés. Quand ces mauvais garçons sévissent, le Corps le sait. Je me détraque et provoque gaz et ballonnements qui lui donnent l’impression d’avoir grossi. (Adieu, jean moulant!) Selon des experts, quand j’accueille certains microbes en trop grand nombre, je risque de lui faire prendre du poids, de déclencher des maladies auto-immunes ou de causer une dépression. (Mon Dieu, voilà de quoi me mettre mal à l’aise!)

Le Corps se met à travailler dur aussitôt arrivé au bureau. Je me sens un peu altéré. Est-il vraiment trop occupé pour prendre un verre d’eau ou un goûter? Quand arrive l’heure du déjeuner, je suis anxieux (le rendez-vous de 15 h 30 approche) et affamé, une très mauvaise combinaison. Je sais qu’il va engloutir ce plat de tacos en un rien de temps.

Quand ce repas mastiqué et réduit en bouillie arrive dans mon estomac, je me mets au boulot. Je lui fais un bon massage, contractant mes muscles de manière douce et rythmée dans le but de le dissoudre. Puis, mes substances chimiques passent à l’action: aidé de mes muscles masseurs, l’acide chlorhydrique détruit tortillas, haricots et guacamole. C’est un truc puissant. Voyez-moi comme une machine à laver qui, au lieu de tordre pour enlever les taches, essore les nutriments de la nourriture avalée par le Corps.

J’avoue, je suis une machine complexe. Mon estomac est probablement plus petit que vous le croyez. Imaginez une pochette de la grosseur d’un poing, située côté droit, juste sous les côtes. Mais je suis ultra-extensible. À l’Action de grâce, par exemple, je peux facilement loger un litre, voire un litre et demi, de dinde, farce et patates douces caramélisées. Et je suis assez futé pour transformer chaque groupe alimentaire – protéines, lipides et glucides – à différentes vitesses et avec l’aide d’enzymes en tous genres.

Au fait, ce sont les lipides qui prennent plus de temps. Alors, ce plat de tacos copieux, qui, outre les protéines et les fibres, est riche en lipides, me demandera plusieurs heures de travail.

Mon instinct viscéral

De retour au bureau, le Corps essaie de se concentrer sur les 53 courriels à lire, mais mon malaise le distrait et je n’y peux rien. Ce qui l’amène à comprendre qu’il s’inquiète au sujet de Luke, son ado. Il dit que ça le prend aux tripes, et à juste titre. Des chercheurs me considèrent comme un second cerveau, car j’abrite dans ma paroi 100 millions de cellules nerveuses, collectivement appelées «système nerveux entérique».

Toute la journée, nous travaillons de concert, l’autre cerveau et moi, à transmettre de l’information par le biais de nos cellules nerveuses et de nos hormones, essentiellement comme des marionnettistes jouant sur l’humeur du Corps. Quand je ne suis pas dans mon assiette, j’envoie à mon collègue cérébral des messages qui rendent le Corps anxieux. Je l’oblige ainsi à se concentrer sur les signaux qu’il a reçus de Luke voulant que quelque chose cloche. Le cerveau en récolte tout le mérite, mais je suis très intelligent moi aussi. (En passant, j’ai raison à propos de Luke: il a échoué à son examen de math et ne veut pas le dire au Corps.)

Oh! C’est l’heure de ce rendez-vous mystérieux. Le taux de cortisol grimpe, le cœur bat la chamade, la pression artérielle s’élève dangereusement. J’aimerais pouvoir dire que je suis calme, mais je suis noué. Puis mon pire cauchemar se produit: des gargouillements sonores rompent le silence du bureau. Cela vient de moi. Dites donc, essayez de masser une énorme platée de tacos dans le but de les transformer en simples molécules sans émettre le moindre son! Impossible. Heureusement, son patron voulait seulement le remercier d’avoir fait des heures supplémentaires la semaine dernière. Il soupire de soulagement.

Comme son stress tombe, je peux me remettre à digérer correctement les tacos, qui quittent tranquillement mon estomac pour entrer dans mon intestin grêle.

Vous avez dit grêle? Ce boyau d’environ 3 cm de diamètre n’a rien de fluet. Il serpente dans le bas du tronc, sur un parcours de plus de six mètres. Chaque centimètre de cette énorme surface est un lieu de transit pour les nutriments que je viens de récolter. Ceux-ci traversent ma paroi intestinale en direction du système circulatoire, parcourant 37500 km de vaisseaux sanguins afin de livrer les matériaux bruts essentiels à la moindre petite partie constituante de mon hôte.

Après le travail, le Corps décide d’aller directement au gym, mais j’aurais souhaité qu’il attende un peu. Il vient tout juste d’engloutir une grosse part de gâteau. Le cours d’aérobie a pour effet d’éloigner le sang de mon système pour l’acheminer vers son cœur et ses muscles. D’accord, ces derniers font tout le travail, mais l’entraînement intense me ralentit. En fait, je suis un grand amateur d’exercices réguliers, à condition que le Corps attende au moins une heure après avoir mangé avant d’en faire. Je suis alors plus efficace. C’est la danse aérobique que je préfère. L’exercice tonifie mes muscles qui se contractent alors plus facilement et propulsent les aliments sans que j’aie recours à du renfort.

Quand le Corps rentre finalement à la maison, je réclame à manger sur-le-champ. Salade grecque et crevettes, miam-miam! C’est nettement mieux que ces tacos minables. Mais… vlan! Il s’allonge sur le canapé aussitôt sa dernière bouchée avalée. On peut difficilement le lui reprocher; il est épuisé. Mais dès qu’il se couche, tout cet acide chlorhydrique que j’ai mis en branle afin de digérer son repas reflue vers mon œsophage, dont l’accès lui est pourtant interdit.

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ENTORSES, FOULURES : COMMENT LES SOIGNER FACILEMENT


    À la belle saison, nous recommençons a bougé un peu plus. Cependant, il arrive qu’un mauvais geste, un mauvais pas, c’est la blessure aux pieds, a la cheville. On peut se soigner suivant les recommandations, mais si cela ne se passe pas, mieux vaut consulter
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    ENTORSES, FOULURES : COMMENT LES SOIGNER FACILEMENT

    • Entorses, foulures : comment les soigner facilement

    • Entorses, foulures, contusions : comment les soigner facilement

        Dès que les beaux jours reviennent, les premiers bobos pointent le bout de leur nez ! On reprend le running et crac, on se tord la cheville ! Nos conseils pour soigner entorses, foulures et contusions.

        1. ENTORSES, FOULURES, CONTUSIONS : QUELLE DIFFÉRENCE ?

        L’entorse est une lésion des ligaments qui se produit lorsque l’on s’est tordu la cheville, le genou, le doigt…Cette lésion peut être plus ou moins grave : il peut s’agir d’un étirement, d’une rupture partielle ou complète ou d’un arrachement des ligaments.

        La foulure est quant à elle une entorse bénigne. On parle de foulure lorsqu’il y a une simple distension sans déchirure ni arrachement des ligaments.

        La contusion musculaire désigne une lésion provoquée par un choc direct sans lésion de la peau. Cette lésion peut se traduire par une lésion de l’enveloppe du muscle, un hématome intramusculaire ou encore une déchirure des fibres musculaires.

        2. ENTORSES, FOULURES, CONTUSIONS : METTEZ DE LA GLACE

        Lorsque l’on s’est tordu la cheville ou le genou, il existe un protocole à respecter qui se compose de quatre étapes essentielles. La première étape est celle du  glaçage.

        Le glaçage de la partie douloureuse va d’abord permettre de soulager cette douleur, de réduire l’inflammation, et de dégonfler la partie blessée en resserrant les vaisseaux sanguins. Enroulez des glaçons dans une serviette et refroidissez la cheville ou le genou pendant 10 à 15 minutes. Renouvelez cette opération 3 à 4 fois par jour. Il est inutile d’aller au-delà de 15 minutes, car après cette période, les vaisseaux sanguins regonflent.

        Comme pour tous les maux, le meilleur des remèdes est le repos, c’est pareil lorsque l’on souffre d’une foulure ou d’une entorse.

        Evitez au maximum de bouger la partie douloureuse, l’immobilisation étant essentielle pour une guérison plus rapide. Si c’est à la cheville que vous vous êtes fait mal et que vous devez absolument vous déplacer, n’hésitez pas à utiliser des cannes anglaises que vous trouverez en pharmacie. Mais dans tous les cas, les déplacements doivent être limités au strict minimum.

        3. ENTORSES, FOULURES, CONTUSIONS : COMPRESSEZ ET SURÉLEVEZ

        La compression est la troisième étape à suivre lorsque l’on s’est tordue un membre. Dans le cas d’une blessure à la cheville par exemple, utilisez une bande de contention et placez la de la racine des orteils à la partie supérieure de la jambe. La compression est importante pour éviter les mouvements à l’intérieur du membre blessé et pour soutenir les ligaments blessés.

        Faites attention toutefois à ne pas serrer trop fort le bandage pour éviter de couper la circulation sanguine.

        L’objectif de l’élévation est de favoriser le retour sanguin dans les veines et d’éviter que le sang ne s’accumule autours de la zone blessée. Pour cela, veillez à surélevez cette zone plusieurs fois par jour, au moins deux à trois heures et autant que possible. Le membre endommagé doit être placé au moins 10 cm plus haut que le cœur, par exemple, s’il s’agit de la cheville, posé le pied sur une chaise en étant assis n’est pas efficace.

        4. ENTORSES, FOULURES, CONTUSIONS : QUAND CONSULTER ?

        Si vous suivez bien ces indications (glaçage, repos, compression et élévation), vous devriez ressentir une nette amélioration après 72 heures. Si ce n’est pas le cas et si vous constatez que l’articulation reste gonflée et que la douleur et l’ecchymose n’ont pas diminué, cela signifie qu’il ne s’agit pas d’une entorse bénigne.

        Dans ce cas, n’attendez plus, il faut absolument consulter un médecin qui réalisera un examen clinique et réalisera un bilan radiographique si nécessaire.

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        Encore de la neige au Québec, jusqu’à 10 cm dans certains secteurs


        Nous achevons le mois de mai et le printemps semble frileux. Il semble que ce soit la même chose chez nos cousins les Français Dans mon coin du Québec, il semble que nous aurons du soleil, si ces nuages veulent bien quitter  ce ciel
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        Encore de la neige au Québec, jusqu’à 10 cm dans certains secteurs

         

        La   Réserve faunique des Laurentides pourraient... (Photo : Rocket Lavoie, archives Le Quotidien)

        La Réserve faunique des Laurentides pourraient recevoir entre cinq et dix centimètres de neige d’ici la fin de la journée, selon Environnement Canada.

        PHOTO : ROCKET LAVOIE, ARCHIVES LE QUOTIDIEN

        La Presse Canadienne

        À cinq jours du mois de juin, de la neige est prévue pour plusieurs régions du Québec dimanche.

        Selon Environnement Canada, entre cinq et dix centimètres de neige pourraient tomber sur les secteurs montagneux de Charlevoix et de la Réserve faunique des Laurentides d’ici la fin de la journée.

        Transports Québec a dû interdire, pendant quelques heures dans la nuit de samedi à dimanche, la route 138 aux camions lourds, entre Beaupré et Baie-Saint-Paul, en raison des précipitations et de la visibilité qui était nulle.

        L’Estrie et la Beauce, qui ont reçu entre 2 et 4 centimètres de neige samedi, devraient en accumuler deux centimètres de plus dimanche, surtout dans les secteurs montagneux.

        Pendant ce temps, la pluie affecte les autres régions. À Québec, notamment, les précipitations risquent de faire déborder certains cours d’eau, qui sont sous surveillance.

        http://www.lapresse.ca