L’enfant


Quand je regarde l’innocence de ma petite fille, je trouve important de jouer et de lui faire découvrir les belles choses et de découvrir les différentes ethnies, différentes personnes différentes qu’elle rencontre  … le reste viendra bien assez vite
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L’enfant

 

 

 

« L’enfant est sans préjugés, qualité première d’un grand philosophe. Il perçoit le monde tel qu’il est sans idées a priori qui faussent notre vision d’adultes.  »

Jostein Gaarder

Winkelhimer, l’écureuil handicapé devenu peintre


Est-ce vraiment des oeuvres d’art ? Bon, j’en doute, quoiqu’avec l’abstrait tout est permis. Mais ce qui est remarquable, c’est que ce petit écureuil serait sans doute mort s’il n’avait pas été recueilli
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Winkelhimer, l’écureuil handicapé devenu peintre

 

Winkelhimer Smith n’est pas un écureuil comme les autres. Non, le petit rongeur de Louisiane ne passe pas son temps à grimper aux arbres et manger des noisettes.Il est un artiste, et son hobby, c’est la peinture !

Gravement blessé par un chat

La petite femelle écureuil n’a pas toujours été aussi heureuse. En 2011, elle a été attaquée par un chat errant, qui a bien failli la dévorer, et l’a grièvement blessée…

Mais une âme charitable, Shyla Mouton, a heureusement croisé son chemin. Elle-même peintre, et amoureuse des animaux, la jeune femme l’a recueillie, soignée et choyée.

Et si Winkelhimer garde les séquelles de sa rencontre avec ce chat, elle a appris à vivre autrement.

Winkelhimer un écureuil qui fait de la peinture
Winkelhimer, un écureuil pas comme les autres !

Winkelhimer un écureuil qui fait de la peinture

C’est en peignant que l’écureuil s’exprime aujourd’hui ! Et son oeuvre rencontre un succès fou dans le monde entier. Les vidéos et photos de Winkelhimer ont été vues par des milliers d’internautes.

L’adorable rongeur a même une page Facebook, suivie par plus de 2 000 personnes.

Comment l’écureuil est devenu peintre

« Quand je l’ai adoptée, j’ai fait de mon atelier sa maison. Les écureuils sont vraiment intelligents, ils imitent ce que vous faites. Elle me regardait peindre, et elle a commencé à jouer avec les pinceaux. Elle y a pris beaucoup de plaisir, et c’est ainsi que la peinture de l’écureuil a commencé » raconte Shyla. « Sa couleur préférée est le jaune, alors elle l’utilise beaucoup« .

Winkelhimer un écureuil qui fait de la peinture

L’écureuil peint pour la bonne cause

Winkelhimer Smith laisse ainsi libre-cours à sa créativité plusieurs heures par semaine !

Ses oeuvres sont ensuite vendues sur eBay, et l’argent récolté est reversé à des associations caritatives.

http://wamiz.com

Le saviez-vous ►Mai 1937. Atterrissant à New York lors d’un orage, le zeppelin Hindenburg s’embrase. Fin du rêve nazi.


Le ballon dirigeable  le zeppelin Hindenburg alimenté d’hydrogène et non d’hélium comme aujourd’hui, a marqué l’histoire laissant des victimes qui ont vu une mort atroce venir
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Mai 1937. Atterrissant à New York lors d’un orage, le zeppelin Hindenburg s’embrase. Fin du rêve nazi.

 

FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

Une étincelle met le feu aux 190 000 m3 d’hydrogène qui brûlent en 34 secondes. La catastrophe fait 35 victimes.

Ne faut-il pas être suicidaire pour embarquer à bord d’un cigare bourré de 190 000 m3 d’hydrogène ?

Quand Adolf Hitler voit un zeppelin survoler le stade olympique de Berlin, il confie au cinéaste Veit Harlan :

« Jamais je ne monterai dans cet engin. C’est un cercueil volant ! Je ne traverserai l’océan que le jour où les avions seront capables de le faire. Ce cigare géant est rempli de gaz parce que les Américains ne veulent pas nous vendre de l’hélium. Tôt ou tard, il explosera. »

Hitler refuse même qu’on baptise le zeppelin de son nom !

Pour une fois, le Führer voit juste, car le 6 mai 1937, le Hindenburg explose lors de son atterrissage à Lakehurst, près de New York. À ce moment, le zeppelin a déjà accumulé 6 000 heures de vol au cours de nombreuses traversées transatlantiques entre l’Allemagneet New York, mais aussi Rio, au Brésil. Il a ainsi parcouru 337 000 kilomètres et transporté 1 600 passagers sans jamais connaître d’accident.

Carcasse calcinée

Le 3 mai, le Hindenburg s’envole de Berlin pour rallier New York. Aucun incident notable à signaler durant la traversée d’une soixantaine d’heures. Les passagers partagent de petites cabines dotées de deux couchettes et d’un lavabo escamotable. Les repas sont pris dans une salle à manger occupée par deux longues tables. Lors des premières traversées, un musicien jouait sur un piano en aluminium, gainé de cuir de porc, spécialement fabriqué pour le Hindenburg. Clayderman avait été le premier pianiste engagé, mais les passagers l’avaient jeté à l’eau en cours de route… Les hommes disposent même d’un fumoir qui possède le seul briquet du bord. Le barman est chargé de vérifier qu’aucun « tête en l’air » ne quitte la pièce avec un cigare au bec.

Le 6 mai, juste avant l’atterrissage, un violent orage s’abat sur New York, ce qui retarde l’approche du zeppelin jusqu’à son mât d’arrimage. Profitant d’une légère accalmie, le commandant du cigare volant décide de tenter l’atterrissage alors que l’air est saturé en électricité statique. Le Titanic volant tangue à 60 mètres d’altitude, il s’approche du mât d’arrimage. Par trois fois, il lâche du lest. L’équipage jette les amarres, au sol, deux cents marins et ouvriers s’apprêtent à les attraper. Soudain, un léger nuage de fumée jaillit de l’arrière du dirigeable, suivi immédiatement d’une immense flamme. En quelques secondes, le navire céleste s’embrase.

Le commentateur d’une radio qui relate en direct l’atterrissage pousse un cri de terreur. Il observe le personnel au sol qui court pour tenter d’échapper au monstre enflammé. À bord du zeppelin, il y a 36 passagers et 61 membres d’équipage. Quelques-uns sautent pour s’écraser sur la piste. D’autres attendent que l’appareil touche le sol, mais meurent écrasés par la masse en flammes. Trente-quatre secondes après l’explosion initiale, le Hindenburg n’est plus qu’une carcasse calcinée échouée sur le sol d’où s’échappent quelques heureux survivants. La catastrophe fait trente-cinq victimes, dont vingt et un membres d’équipage, un membre du personnel au sol et treize passagers. Le capitaine Lehmann est mortellement brûlé. Les images de la catastrophe font le tour de la terre à la vitesse d’un feu de brousse, condamnant définitivement ce moyen de transport.

Substances explosives et inflammables

Comme pour toute catastrophe aérienne, une enquête est immédiatement diligentée pour en connaître l’origine. En fait, il y a une double enquête, l’une menée par les États-Unis et dont les conclusions seront rendues publiques quelques mois plus tard, l’autre par une commission allemande et dont seulement une partie des conclusions sera publiée. Les Américains penchent pour une décharge électrique générée par le temps orageux. Mais aucune preuve matérielle ne peut être fournie. Les Allemands soutiennent également la thèse d’une décharge électrique qui se serait produite lorsqu’un des filins d’amarrage mouillés aurait touché le sol. Laquelle aurait enflammé une poche d’hydrogène qui s’était accumulé dans la partie haute du dirigeable après une fuite dans un des seize ballons gonflés à l’hydrogène.

En 1997, un expert américain, conseillé par la Nasa, découvre que, pour renforcer le zeppelin, sa carène et la structure en bois avaient été recouvertes de substances explosives et inflammables. Lors d’une reconstitution, il montre que ces substances s’enflamment spontanément dans les conditions atmosphériques telles que celles qui régnaient le 6 mai 1937. En 2008, un autre ingénieur américain, ayant aussi refait l’enquête, explique que le capitaine du Hindenburg, pressé d’atterrir, aurait effectué un virage trop court qui a provoqué la rupture d’un câble. Celui-ci aurait crevé l’un des ballons d’hydrogène, entraînant la fuite fatale.

Un sabotage est également évoqué. À l’époque, ce ne sont pas les mobiles qui manquent. Et chacun d’avoir sa théorie. Un membre de l’équipage, Eric Spehl, est accusé d’avoir posé une bombe. D’autres affirment qu’un individu aurait tiré une balle incendiaire avec un fusil à lunette. Durant des décennies encore, l’origine de la catastrophe fera débat. Mais s’il y a une chose certaine, c’est que plus jamais un dirigeable ne sera gonflé à l’hydrogène. Que de l’hélium ininflammable !

http://www.lepoint.fr/

DES BUNKERS DATANT DE LA GUERRE FROIDE POUR PROTÉGER LES CHAUVES-SOURIS


Depuis plusieurs années, les chauves-souris subissent des pertes considérables a cause d’une maladie causée par un champignon dans leur environnement. Durant la Guerre Froide, l’armée avait construit des bunkers qui aujourd’hui, pourrait aider a protégé les chauves-souris ..
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DES BUNKERS DATANT DE LA GUERRE FROIDE POUR PROTÉGER LES CHAUVES-SOURIS

 

– Bat / Possumgirl via Flickr CC License by –

Une base militaire américaine secrète a été transformée en réserve naturelle et permet de protéger les mammifères volants d’une maladie qui les décime.

Par Daphnée Denis

Aux Etats-Unis, l’une des conséquences inattendues de la Guerre Froide est l’existence de refuges pour chauves-souris: la base aérienne de Loring, dans le Maine, est aujourd’hui une réserve naturelle où 2 des 43 bunkers servent à protéger les mammifères volants du syndrome du nez blanc, une maladie qui les décime depuis 2006.

D’abord détecté dans une grotte près de New York, le syndrome du nez blanc attaque les chauves-souris qui sont en train d’hiberner. On estime que 6,7 millions d’entre elles sont mortes dans les grottes où elles passaient l’hiver, marquées d’un museau blanc, caractéristique du champignon qui les prend pour cible.

 

Une fois qu’un animal l’a attrapé, toute une colonie peut être contaminée et mourir: «une catastrophe qui laisse présager l’extinction de plusieurs espèces dans la région», résume Notre Planète. Plusieurs scientifiques parlent de la crise animale la plus grave qui ait jamais eu lieu aux Etats-Unis.

Pour protéger les différentes espèces, des chercheurs américains ont donc décidé d’utiliser le site militaire du Maine, la base aérienne la plus proche de Moscou à l’époque de la Guerre Froide et un lieu stratégique pour les forces américaines, qui en dissimulaient l’existence. Fermée en 1994, cette base est ensuite devenue l’Arostook National Wildlife Refuge, une réserve pour les bêtes sauvages.

En observant les bunkers recouverts d’herbe, certains scientifiques se sont aperçus que ceux-ci pouvaient faire plus que simplement servir de nids d’oiseau. Etant donné l’effet dévastateur du syndrome du nez blanc, ces anciens forts de défense sont apparus comme l’endroit idéal pour s’assurer que les chauves-souris puissent hiberner dans un environnement stérile.

«L’un des problèmes du syndrome est que le champignon reste dans un lieu pour une période de temps inconnue et n’a pas forcément besoin de chauves-souris pour se développer», a expliqué à la BBC Ann Froschauer, une biologiste spécialiste des espèces en danger. «S’il n’y a pas de chauves-souris, le champignon revient à sa fonction naturelle dans le sol, en dégradant la matière organique par exemple. Après, si de nouvelles chauves-souris arrivent dans la zone en question, elles y sont toujours exposées.»

Les scientifiques ne peuvent pas stériliser l’environnement de grottes naturelles, où les champignons apparaissent naturellement. En revanche, dans une «structure humaine», Froschauer remarque qu’on peut «faire un grand ménage».

Reste que cette solution ne peut pas sauver toutes les chauves-souris d’Amérique, d’autant qu’il est particulièrement difficile de recréer un environnement favorable à l’hibernation. Pour Froschauer, nous ne verrons jamais plus autant de chauves-souris qu’avant l’apparition du syndrome du nez blanc. 

D.D.

http://www.slate.fr

Le narcissisme et la superficialité obsessive démystifiés?


Difficile de côtoyer un narcissisme, mais il est peut-être intéressant de savoir que ces gens ont un dérèglement au niveau du cerveau Cette découverte, va peut-être aider ces gens à une meilleure estime de soi
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Le narcissisme et la superficialité obsessive démystifiés?

 

Le narcissisme et la superficialité obsessive démystifiés?

Photo Fotolia

Les gens obsédés par leur image et leurs défauts pourraient être victimes d’un malfonctionnement cérébral, selon certains experts.

Le narcissisme et la superficialité, ou encore le fait de constamment penser à son apparence, sont des comportements mis en lumière dans une nouvelle étude sur le sujet, qui révèle des faits étonnants.

D’abord, on apprend que les gens obsédés par leur apparence ne le sont pas toujours parce qu’ils s’adorent, au contraire, mais aussi parce qu’ils ne sont souvent pas satisfaits de ce qu’ils voient.

Selon cette récente étude en provenance de l’Université de Californie, rapportée par The National Library of Medicine, certains de ces phénomènes pourraient s’expliquer par des connexions déficientes ou « mal branchées » au cerveau, qui pousseraient ces gens à ne voir que leurs défauts et leurs imperfections.

Difficile de penser à autre chose quand votre tête ne vous renvoie que des images négatives de vous, et ce, de façon incessante!

« Nous avons trouvé une forte corrélation entre des connexions déficientes autour du cerveau et la sévérité des symptômes de ce désordre », résume Jamie Feusner, auteur de l’étude.

On ne parle pas des possibilités de traitement, mais comme pour tous les désordres de ce type, ce genre de découverte est souvent un premier grand pas vers des solutions efficaces. Un dossier à suivre.

 

http://fr.canoe.ca

Ariel Castro: «Je suis un prédateur sexuel, j’ai besoin d’aide»


Ariel Castro, se savait prédateur sexuel, d’après des preuves qui a été retrouvé. Malgré tout, il a quand même enlevé 3 femmes pendant 10 ans et qui depuis sont enfin libre ainsi qu’une petite fille née pendant leur séquestration .. Dommage que ses notes n’ont pas incité a aller consulter
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Ariel Castro: «Je suis un prédateur sexuel, j’ai besoin d’aide»

 

Dans une apparente référence aux victimes, la note... (PHOTO JOHN GRESS, REUTERS)

Dans une apparente référence aux victimes, la note écrite par Ariel Castro dit: «Elles sont ici contre leur volonté parce qu’elles ont commis l’erreur de monter dans la voiture d’un parfait étranger. Je ne sais pas pourquoi j’en cherche une autre, j’en ai déjà deux.»

PHOTO JOHN GRESS, REUTER

Agence France-Presse
Cleveland, Ohio

Ariel Castro, principal suspect de l’enlèvement, la séquestration et le viol de trois jeunes femmes durant une dizaine d’années à Cleveland, en Ohio, se qualifiait lui-même de «prédateur sexuel» ayant besoin d’aide dans une note de 2004, selon les médias locaux.

Selon le flux Twitter du journaliste Scott Taylor, de la télévision locale WOIO, cette note a été découverte parmi des dizaines d’autres preuves recueillies par la police en fouillant la maison de Cleveland où les trois jeunes filles étaient séquestrées.

«Je suis un prédateur sexuel, j’ai besoin d’aide», indique cette note, selon M. Taylor.

Dans une apparente référence aux victimes, la note dit:

«Elles sont ici contre leur volonté parce qu’elles ont commis l’erreur de monter dans la voiture d’un parfait étranger. Je ne sais pas pourquoi j’en cherche une autre, j’en ai déjà deux.»

M. Taylor dit que le suspect écrit aussi qu’il veut se suicider et donner toutes ses économies à ses victimes.

Le chef de la police de Cleveland, Ed Tomba, a paru confirmer l’existence de cette note lors d’une conférence de presse mercredi, quand un journaliste lui a demandé si un «message de suicide» avait été trouvé.

«Je ne peux pas parler de la découverte d’une preuve, nous en avons recueilli plus de 200 dans la maison de Seymour Avenue, toutes vont être étudiées», a-t-il dit.

L’ancien chauffeur de bus de 52 ans a été inculpé jeudi pour le viol et la séquestration pendant une dizaine d’années d’Amanda Berry, 27 ans – qui a donné naissance à une fille, Jocelyn, aujourd’hui âgée de 6 ans -, Gina DeJesus, 23 ans, et Michelle Knight, 32 ans.

http://www.lapresse.ca

Cleveland À l’intérieur de la maison aux horreurs


Comment peut-on survivre a 10 ans de séquestration et de mauvais traitement ? Dans les actualités on a accusé formellement Ariel Castro alors que les deux frères eux ont été innocentés … Mais en attendant, il reste a 3 femmes de se reprendre une vie normale avec une petite fille qui espérons le aura aussi droit d’être aimée malgré qu’elle a le pire père qu’un enfant peut avoir
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Cleveland

À l’intérieur de la maison aux horreurs

 

À l'intérieur de la maison aux horreurs

Crédit photo : archives AFP

VA Nouvelles

Avec son bourreau qui se tenait à côté d’elle et qui menaçait sa vie,Michelle Knight a été forcée d’accoucher Amanda Berry. Cette dernière était dans une piscine en plastique pour enfant, selon un rapport de police obtenu par Channel 3 News, un affilié de NBC.

«Michelle a affirmé qu’Ariel lui avait dit qu’il la tuerait si le bébé mourait», peut-on lire dans le document.

Le rapport raconte ensuite comment Michelle a dû se battre pour sauver la petite fille, Jocelyn, qui a cessé de respirer pendant un moment.

Un oubli

Dans le document, les trois victimes racontent les dix années qu’elles ont passées enfermées chez Castro.

Berry a expliqué aux policiers que Castro avait oublié de verrouiller «la grosse porte intérieure» de la maison lundi avant de quitter la maison pour aller au restaurant.

Toutefois, Berry était toujours enfermée en raison de la porte extérieure qui était verrouillée. Amanda n’osait pas briser la porte parce qu’«elle croyait qu’Ariel la testait».

Plutôt que de défoncer la porte, elle a réussi à capter l’attention des voisins qui sont venus à son secours.

Une fois que les policiers sont arrivés sur les lieux, ils ont d’abord fouillé le sous-sol avant d’aller au deuxième étage.

«Alors qu’on arrivait en haut des escaliers, l’agent Espada a crié « police de Cleveland » et c’est à ce moment que Knight a couru pour se jeter dans les bras de l’agent Espada», a écrit l’agent dans le rapport.

«Nous avons ensuite demandé s’il y avait quelqu’un d’autre en haut avec elle et c’est là que (Gina) DeJesus est sortie de la chambre.»

Enchaînées

Castro a réussi à garder secrète la présence des trois femmes en les enchaînant dans le sous-sol, mais les laissant «libres des chaînes pour vivre avec lui au second étage de la maison».

Si elles allaient dehors, elles ne pouvaient que sortir dans la cour en portant des perruques et des lunettes de soleil.

La petite Jocelyn, cette enfant née en captivité, ne connaissait pas les véritables noms de Michelle Knight et Gina DeJesus au cas où elle aurait mentionné leur nom à l’extérieur de la maison.

Amanda Berry qui a donné naissance à la petite Jocelyn, 6 ans, serait tombée enceinte cinq fois et forcée d’avorter.

Michelle a raconté que Castro ne nourrissait pas Amanda pendant au moins deux semaines avant de la frapper dans l’estomac jusqu’à ce qu’elle perde le bébé.

http://tvanouvelles.ca

Des mots préhistoriques!


Une étude intéressante qui mérite d’élaborer le sujet pour connaitre l’origine des mots pouvant avoir naissance jusqu’a l’époque de la préhistoire. Des mots que nous utilisons aujourd’hui encore … Des mots qui auraient aussi les mêmes sons dans différente langue.
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Des mots préhistoriques!

 

Un homme

Photo :  iStockphoto

Les hommes qui peuplaient l’Europe pendant la Préhistoire utilisaient certains mots qui seraient reconnaissables aujourd’hui dans plusieurs langues modernes, affirment des linguistes britanniques.

Le Pr Mark Pagel de l’Université de Reading explique que plusieurs noms, verbes, adjectifs et adverbes descendent de manière inchangée de mots d’une langue commune aux Européens de l’époque, qui s’est éteinte il y a environ 15 000 ans.

C’est à l’aide d’un modèle informatique que les linguistes ont déterminé que certains mots ont changé très lentement au cours du temps, si bien qu’ils ont conservé des traces de leur passé ancestral pendant plus de 10 000 ans. En fait, ces mots seraient les vestiges d’une superlangue, à la base d’un arbre généalogique linguistique qui unifiait 7 langues communément parlées en Eurasie.

Des mots comme je, vous, nous, mère, homme ou écorce (I, you, we, mother, man et bark en anglais) ont dans certaines langues le même sens et presque la même sonorité qu’ils avaient alors.

Jusqu’à maintenant, les linguistes se basaient seulement sur l’étude des sons similaires parmi les mots pour identifier ceux qui étaient probablement dérivés d’ancêtres communs, comme « pater » en latin et « father » (père) en anglais.

Cette méthode avait cependant certaines faiblesses puisqu’elle rapprochait parfois des mots aux sonorités proches, mais au sens très différent. Un exemple : « team » (équipe) et « cream » (crème).

Afin de contourner ce problème, le Pr Pagel et ses collègues sont partis du principe selon lequel des mots utilisés quotidiennement étaient probablement préservés pendant de très longues périodes. Ils se sont basés sur cet élément pour prédire les mots ayant au final une sonorité proche.

Ils ont ainsi établi que les noms, pronoms et adverbes sont remplacés beaucoup moins souvent que les autres mots, à savoir une fois tous les 10 000 ans et plus.

« La façon dont nous utilisons certains mots dans le langage de tous les jours est quelque chose de commun à toutes les langues de l’humanité. » — Pr Mark Pagel

En règle générale, les mots utilisés plus d’une fois pour mille dans le langage quotidien avaient de sept à dix fois plus de chances de remonter très loin dans la superfamille ancestrale des langues eurasiennes.

Le détail de ces travaux est publié dans les annales de l’Académie américaine des sciences (PNAS)

Le saviez-vous?
Le Pr Pagel avait déjà dressé un portrait, dans de précédents travaux, de l’évolution de 7000 langues actuelles et révélé comment le langage est utilisé et pourquoi certains mots disparaissent.

http://www.radio-canada.ca