Une porte se ferme


Je crois fermement que rien n’arrive pour rien, mais parfois, il est difficile de comprendre les événements. Pourtant, la vie continue et nous évoluons tout au long de notre route
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Une porte se ferme

 

« Lorsqu’une porte du bonheur se ferme, une autre s’ouvre ; mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu’on ne voit pas celle qui vient de s’ouvrir à nous. »

Helen Keller

Covoiturage: le MTQ veut serrer la vis aux conducteurs qui tentent de s’enrichir


Le covoiturage est une façon de voyager entre villes pour un moindre prix, mais certains semblent en profiter pour s’enrichir. C’est dommage que certains donnent mauvaises presses a cette façon de voyager
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Covoiturage: le MTQ veut serrer la vis aux conducteurs qui tentent de s’enrichir

 

Pour les quelque 250 kilomètres qui séparent Québec... (Photothèque Le Soleil)

Pour les quelque 250 kilomètres qui séparent Québec et Montréal, certains demandent 20 $ et même 25 $ à leurs passagers.

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

ANNIE MATHIEU
Le Soleil

(Québec) Avis aux conducteurs qui sont tentés de s’en mettre plein les poches lorsqu’ils font du covoiturage. Le ministère des Transports du Québec veut serrer la vis aux automobilistes qui demandent aux passagers beaucoup plus que le coût de l’essence pour les déplacements à plusieurs.

Sur le site de covoiturage Amigo Express, si la majorité des sièges pour le trajet entre Montréal et Québec sont offerts à 15$, quelques conducteurs cherchent visiblement à rentabiliser davantage leur voyage. Par exemple, pour les quelque 250 kilomètres qui séparent les deux villes, un individu demandait hier 20$ aux cinq passagers qu’il espérait voir monter à bord de son véhicule. Un autre demandait 25$ pour chacune de ses trois places disponibles. Pour le trajet entre Montréal et Sherbrooke, la tendance est autour de 10$ par place, mais certains facturent 25$.

Orléans Express, qui dessert en exclusivité la ligne Montréal-Québec, a déjà déposé une plainte pour dénoncer les «professionnels du covoiturage» – qui s’affichent aussi sur les réseaux sociaux et les sites de petites annonces -, soutenant notamment que ces derniers ne payent pas de taxes pour le service offert.

«Le transport doit s’effectuer sans que cela dépasse les coûts d’utilisation et d’entretien du véhicule, sinon un permis est requis», explique le porte-parole de la Commission des transports du Québec, Guy Mailhot.

Ce sont les contrôleurs routiers qui peuvent intervenir s’ils sont témoins d’une situation irrégulière.

Mais le ministère des Transports souhaite aller plus loin.

«On est conscients qu’il y a une problématique alors que certaines personnes effectuent du transport rémunéré sans détenir les permis appropriés sous le couvert du covoiturage. On analyse la situation et on étudie la possibilité de mieux encadrer le covoiturage», affirme le porte-parole, Guillaume Paradis, sans donner d’autres détails.

La responsabilité à l’automobiliste

Le sujet fait l’objet de débats passionnés sur le forum de discussion en ligne d’Amigo Express. Certains estiment que l’entreprise doit fixer un prix plafond, comme c’est le cas chez le concurrent, Allo-Stop. La propriétaire, Joe Spratt, en a décidé ainsi peu après le début de ses opérations en 1981.

«Certains louaient des autobus pour 10 ou 15 personnes!» raconte-t-elle, soulignant que le but du covoiturage est de rendre service aux gens et non de leur fournir une occasion de s’enrichir.

Le directeur général d’Amigo Express, Marc-Olivier Vachon, explique à ses usagers sur le site Internet que l’entreprise a décidé que la responsabilité de la fixation des prix revenait aux individus et les encourage à exercer leur «liberté de choix» en ne cautionnant pas les prix considérés excessifs.

Le directeur des opérations, Olivier Pion, ajoute au téléphone qu’en raison de la grande fluctuation du coût de l’essence, il devient très difficile du point de vue de l’administration de s’ajuster régulièrement. «C’est la responsabilité du chauffeur qui affiche le départ de s’assurer qu’il respecte les lois, nous, on n’est pas la police», tranche-t-il.

Une guerre de prix

Ce débat survient au moment où les différents transporteurs jouent du coude pour attirer davantage de clientèle, notamment pour le très fréquenté trajet entre la capitale nationale et la métropole. VIA Rail offre désormais des sièges à 29$, alors que l’entreprise Orléans Express a révélé plus tôt cette semaine au Soleil qu’elle comptait diminuer ses prix de moitié pour reprendre les parts de marchés perdues au profit du covoiturage.

Un nouveau joueur, Go Navette, souhaite aussi s’implanter et briser le monopole de la compagnie d’autocars en offrant un service de minibus pour moins de 25$.

http://www.lapresse.ca

Le Carlin épuisé qui refuse de dormir


Dormir quelle perte de temps mais quand la fatigue survient, il est difficile d’y résister et ce même si on lutte de toutes ses forces
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Le Carlin épuisé qui refuse de dormir

 

Quentin le Carlin a-t-il couru un marathon pour être si fatigué ? L’adorable toutou a en tout cas dû avoir une bien longue journée !

Mais Quentin refuse de s’assoupir, et mène une bataille acharnée contre le sommeil qui l’envahit malgré lui.

Quentin a beau lutter de toutes ses forces, il s’endort assis, se met à ronfler, et s’écroule par terre sous le poids de la fatigue !

Il se redresse, se rendort, se redresse, se rendort… et jette à son maître ce regard irrésistible qu’ont tous les Carlins, et devant lequel il est tout à fait impossible de ne pas craquer !

 

http://wamiz.com

5 TRUCS À FAIRE AVEC DU SABLE


Le sable fera bientôt partie de nos occupations quotidiennes si ce n’est pas déjà fait. Dans la maison, on passe le balai et il y en a toujours qui s’accumulent. Mais le sable peut avoir des utilités et comme c’est quelque chose qu’il est facile de se procurer alors pourquoi ne pas l’utiliser
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5 TRUCS À FAIRE AVEC DU SABLE

 

Vous n’aimez pas en avoir dans vos sandales, mais le sable peut vous aidez à bien des endroits dans la maison. En avez-vous déjà utilisé pour nettoyer un vase ou pour protéger vos outils de jardin? Voyez ici comment et plus encore!

Tiré de Produits ordinaires, usages extraordinaires, Sélection du Reader’s Digest, 2007

Protéger et ranger les outils de jardin

Remplissez de sable un seau de 20 litres et ajoutez environ 1 litre d’huile de moteur neuve. Quand le sable a bien absorbé l’huile, plongez-y plusieurs fois vos pelles et autres outils afin de les nettoyer et de les graisser d’un seul geste. Pour éviter la rouille, laissez les outils plantés dans le sable entre deux utilisations. Procédez de la même manière pour nettoyer cisailles, sécateurs et autres déplantoirs.

Nettoyer un vase à goulot étroit

Si le goulot de votre vase est trop étroit pour y passer la main, versez un peu de sable à l’intérieur et ajoutez de l’eau chaude savonneuse. Faites tourner délicatement le mélange. Le sable va décrocher les résidus collés sur les parois et faire disparaître les taches inaccessibles.

Recoller un bibelot

Pour parvenir facilement à recoller des petits objets brisés, placez la partie principale dans un récipient rempli de sable de façon à la maintenir en place. Appliquez de la colle sur chaque morceau et appuyez fermement. Laissez l’ensemble dans le sable jusqu’à ce que la colle ait parfaitement séché.

Augmenter l’adhérence des pneus

Lorsqu’il gèle, placez dans le coffre de votre voiture un sac de sable et une boîte à margarine vide, par exemple, qui vous servira de pelle. Répandez le sable sur le sol pour vous dégager si vos roues patinent au moment de quitter votre place de stationnement.

Créer des sculptures

Faites de l’art à partir du sable. Après avoir filtré le sable, mélangez-le à de la peinture en poudre (assurez-vous de bien séparer les couleurs). Versez doucement le sable dans un vase, couche par couche, créant ainsi votre sculpture. Utilisez-les comme decoration ou bien ajoutez de la terre sur le dessus et plantez-y un cactus!

http://selection.readersdigest.ca

FRAUDE Sauvé par sa bonne étoile


Acheter sur le web peut comporter certains risques, quand une personne vendre quelque chose assez vite car il doit partir a l’étranger, ou qu’il parle de numéro secret .. ou tout autre chose de louche, il faut apprendre a se méfier
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FRAUDE Sauvé par sa bonne étoile

 

Sauvé par sa bonne étoile

PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, BEN PELOSSE

Gérard Veilleux, de Deux-Montagnes, sur la Rive-Nord de Montréal. «N’eût été l’employée de Postes Canada, j’aurais perdu 2500 $ ». La semaine suivante, il est passé lui remettre 50 $ pour la remercier.

 

STÉPHAN DUSSAULT

 

Un résident de Deux-Montagnes est passé à un cheveu de se faire soutirer 2500 $ sur Kijiji

Il voulait gâter son petit-fils en lui procurant une auto usagée sur le Web. Il y aurait laissé son portefeuille sans la vigilance d’une employée de Postes Canada.

Gérard Veilleux se trouve tellement chanceux dans sa malchance.

«Cette jeune femme de Postes Canada a été ma bonne samaritaine en refusant de transférer l’argent dans le compte de ce fraudeur, tel que je lui avais demandé. Elle m’a sauvé d’une perte de 2500 $», dit ­l’homme trois semaines après sa mésaventure.

À la mi-mars, Gérard Veilleux cherche une Mazda 3 d’occasion pour son petit-fils. Il navigue sur le site de Kijiji, en déniche quelques-unes à moins de 3000 $ et ­communique avec les vendeurs.

«Imaginez, c’était un modèle 2004 avec seulement 138 000 km pour 2500 $. Une ­aubaine», se souvient le résident de Deux-Montagnes.

« Vous ne risquez rien »

Seul hic: le vendeur, un présumé ­médecin d’UNICEF qui se présente sous le nom de Bernard Lecomte, vient de ­déménager à l’étranger.

«Le véhicule est confié à un transporteur qui va se charger de vous le faire ­visiter jusqu’à votre domicile sans frais», répond par courriel le toubib.

Il demande de transférer d’abord ­l’argent en remplissant un mandat ­MoneyGram dans un bureau de poste.

«La poste vous attribue un numéro ­secret. Vous me remettrez ce numéro quand je serai chez vous avec l’auto», ­ajoute-t-il pour l’endormir.

Et ça fonctionne. Gérard Veilleux se rend dans un bureau de Postes Canada. Sur place, surprise, la jeune employée ­refuse de faire la transaction.

«C’est une fraude, monsieur. Il n’y a pas de numéro secret. Je me suis déjà fait avoir», lui répond celle qui refusera de se nommer.

Fraude fréquente

Il tente ensuite de contacter le vendeur pour qu’il s’explique, mais il n’aura plus de nouvelles de lui. Il se remet alors en quête d’une autre auto… et tombe à ­nouveau sur un autre modèle vendu par le même Bernard Lecomte.

«C’est un grand classique des petites ­annonces sur le Web», dit Réal Coallier, de l’Office de la protection du consommateur.

Tellement classique que Postes Canada demande à ses employés de poser quelques questions générales pour mettre les clients en ­garde.

«Encore la semaine dernière, on a eu un cas similaire en Alberta», dit Anick Losier, porte-parole de Postes Canada.

Gérard Veilleux est retourné la semaine suivante au bureau de poste pour remettre 50 $ à la jeune employée pour la remercier de sa vigilance.

http://www.journaldemontreal.com

Explosions au marathon de Boston: au moins 2 morts


Un drame tragique a Boston lors du grand marathon qui amène plusieurs marathoniens a courir le long d’un trajet … Des explosions ont surgit laissant les coureurs dans un grand chaos et il semble que ces attaques n’ont pas encore revendiquées
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Explosions au marathon de Boston: au moins 2 morts

 

PHOTO TIRÉE DE TWITTER (@THEORIGINALWAK)

 

HUGO PILON-LAROSE, MARIE-CLAUDE MALBOEUF
La Presse

Deux violentes explosions qui sont survenues à la ligne d’arrivée de la 117e édition du marathon de Boston ont fait au moins deux morts et plus de 100 blessés. Plusieurs autres colis suspects éparpillés dans la ville ont été signalés aux services policiers, dont une station de métro de l’Université Harvard. La police a demandé aux citoyens de ne pas se déplacer en ville par mesure préventive.

Une troisième explosion est également survenue à la bibliothèque JFK, mais elle n’est reliée à celles du marathon, selon les services policiers.

Peu après 18 h, le président des États-Unis, Barack Obama, a confirmé lors d’un point de presse à Washington que le pays ne sait toujours pas qui est responsable de ces explosions. Pour l’instant, aucun groupe terroriste n’a revendiqué les attaques.

«Nous irons au fonds des choses. Nous trouverons qui a fait ça, et pourquoi»,

PHOTO : AP-WBZTV

 

Témoignages

La marathonienne Anne Ross, une citoyenne de Sept-Îles âgée de 55 ans, est l’une des 355 Québécois à avoir participé au marathon. Elle a franchi la ligne d’arrivée deux minutes avant les deux explosions. Elle venait tout juste de retrouver son mari, a-t-elle expliqué à La Presse.

«C’était juste derrière moi. J’ai l’impression que ce sont des anges qui m’ont portée jusque-là, parce que j’ai battu mon record de six minutes, sinon j’étais dans le groupe qui… j’étais dans l’accident.»

«Sur la ligne d’arrivée, on verse souvent des larmes parce qu’on est tellement content d’avoir réussi à faire le marathon et tout, mais là, les larmes sont différentes.»

«Les gens qui attendaient des coureurs se sont mis à hurler, à crier, c’était vraiment terrible. Dans la rue, les gens hurlaient, et il y avait aussi des enfants qui attendaient leur papa et leur maman.»

«Le monde ici, c’est incroyable. On a été appelés à quitter les lieux parce que c’est l’hystérie complète. Les ambulances se promènent, les sirènes de police. C’est vraiment désastreux.»

«À la radio, on a entendu qu’il y avait plusieurs blessés. Je pense que ce sont deux bombes qui ont été mises dans les poubelles à la ligne d’arrivée.»

Les services d’urgence ont été appelés sur les lieux des explosions vers 2 h 50.

Le marathon de Boston était dédié cette année aux familles des victimes de la fusillade dans une école primaire de Newtown. Selon les médias présents sur place, des membres des familles des victimes de Newtown étaient présents près des lieux des explosions.

Selon des témoins de la scène, la première explosion serait survenue à l’hôtel Lenox, suivie 15 secondes plus tard par une deuxième détonation.

Il y avait des centaines de personnes rassemblées sur le trottoir pour regarder l’arrivée des marathoniens. Près de la moitié avaient terminé la course au moment des deux explosions.

Un épais nuage gris de fumée a enveloppé la scène, qui est maintenant évacuée.

«La sécurité est extrêmement présente sur le site, particulièrement au début et vers la fin de la piste. Nous avons vu des policiers faire un aller-retour sur chaque côté du dernier kilomètre avec des chiens», a expliqué à La Presse depuis Boston le Québécois Marc Pelletier.

Sylvain Bergeron, 41 ans, fait partie d’un groupe d’une soixantaine de Québécois logés à l’hôtel Midtown, à 700 mètres de la ligne d’arrivée.

«C’est chaotique. On essaie de circuler et la police est à tous les coins de rue, les ambulances, les pompiers…  On a de la misère à traverser. Devant moi, il y a un cortège de 25 ambulances qui essaient de se rendre sur les lieux. »

«On nous suggère de ne pas sortir à cause de toute la cohue dans les rues.»

«Tout le monde est sous le choc, sans voix. On a vu la fumée. Le bruit des explosions était très fort.»

«Ma conjointe a passé la ligne 10 minutes avant l’explosion et d’autres membres de notre groupe sont passés juste avant. Mais on n’a pas encore de nouvelles de tout le monde. C’est la consternation.»

«On a beaucoup de mal à avoir de l’information. Tout le monde essaie d’avoir des nouvelles des gens qu’ils connaissent. Les lignes de cellulaire sont congestionnées.»

Catherine Morin, 40 ans, est ingénieure à la Ville de Montréal.

«Je marchais sur le trottoir quand on a entendu l’explosion. Tout le monde s’est regardé. Puis, les gens se sont mis à courir partout. Il y en a qui arrivaient en pleurant, en panique. Les Américains ont très peur, très vite, depuis le 11 septembre 2001.»

«Tout le monde regardait son cellulaire pour comprendre ce qui se passait.»

«C’est comme un bruit de dynamitage sur un chantier de construction, sauf que ça avait lieu en pleine ville.»

«Heureusement, comme c’était un marathon, il y avait déjà plein de tentes avec du personnel médical, prêt à aider les blessés. Ils ont évacué les lieux très vite.»

«C’est un deuil. Quand j’ai entendu l’explosion, je me suis dit: ça ne m’étonne pas, c’est un événement international, mythique, ça va faire une impression durable. Plein de monde rêvait d’y participer et ça casse la fête.»

«Je vais continuer à faire des marathons, mais ça ne me donne pas le goût de revenir ici, à Boston. Mais certains disent qu’il ne faut pas donner raison aux terroristes.»

Lise Proulx, 56 ans, travaille en aide de service en radiothérapie.

«J’étais en train de me changer quand j’ai vu la fumée au loin. C’était la panique totale, même chez les bénévoles. Ils couraient dans tous les sens et nous empêchaient de passer par certaines rues. J’ai dû faire plusieurs détours pour revenir à l’hôtel.»

«Je n’ai jamais vu autant d’autos du FBI, d’ambulances, de policiers. C’était l’enfer.»

Réactions à Ottawa

Le premier ministre Stephen Harper s’est dit «renversé» par ce qui est arrivé cet après-midi à Boston.

«C’est un jour très triste lorsqu’un événement aussi inspirant que le marathon de Boston est assombri par un tel acte de violence insensé», a-t-il déclaré dans un communiqué.

«Nos pensées et nos prières sont avec les personnes blessées ou touchées par cet horrible incident, a-t-il ajouté. Nous sommes aux côtés de nos voisins américains en cette période difficile.»

Le gouvernement a appelé les Canadiens qui se trouvent à Boston et qui ont besoin d’une aide d’urgence à communiquer avec le Consulat général au (617) 247-5100. Les amis et la famille de citoyens canadiens se trouvant dans ce secteur peuvent obtenir des renseignements par téléphone en composant le 1-800-387-3124 ou par courriel, à l’adresse sos@international.gc.ca.

Les attentats de Boston ont été suivis de près sur la colline parlementaire à Ottawa. Un député conservateur du Yukon, Ryan Leef, prenait part à la course et il venait de franchir le fil d’arrivée lorsque les explosions ont retenti. Il n’a pas été blessé.

Tout indique que l’ancien chef conservateur Stockwell Day était inscrit au marathon, lui aussi. Le site de l’événement ne fournit toutefois aucune information sur son chrono.

Le chef de l’opposition, Thomas Mulcair, a exprimé ses condoléances aux victimes au nom de son Nouveau Parti démocratique.

«Le marathon de Boston rassemble des gens de partout dans le monde, a-t-il déclaré. Il est horrible d’apprendre qu’un tel événement ait été visé de cette manière.»

– Avec Martin Croteau

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PHOTO : CHARLES KRUPA, ASSOCIATED PRESS

 

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ALERTE EN FLORIDE Les escargots géants attaquent


La Floride qui a déjà de gros problèmes avec des animaux envahissants comme le python géant birman se retrouve avec des escargots qui sont beaucoup plus gros de ce que nous connaissons, Le pire c’est qu’ils détruisent des plantes et peuvent transmettre des maladies à l’homme
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ALERTE EN FLORIDE

Les escargots géants attaquent

 

BARBARA LISTON / REUTERS

L’escargot géant d’Afrique s’attaque à plus de 500 variétés de plante.

ORLANDO – La Floride a déclaré la guerre à l’une des espèces animales les plus destructrices au monde : l’escargot géant d’Afrique, un mollusque particulièrement vorace pouvant atteindre la taille d’un rat. 

Un millier d’escargots sont ramassés chaque semaine dans le comté de Miami-Dade et près de 117 000 l’ont été depuis la découverte du premier escargot de ce type en septembre 2011, dit Denise Feiber, porte-parole du département de l’Agriculture et des services aux consommateurs de Floride.

Ces animaux s’attaquent à plus de 500 variétés de plantes, en gros «tout ce qui est vert et se trouve sur leur passage», souligne la porte-parole.

Ils peuvent en outre transmettre à l’homme diverses maladies, dont une forme de méningite, même si aucun cas n’a pour l’instant été signalé aux États-unis.

Les escargots géants apprécient particulièrement le stuc des maisons dans lequel ils puisent le calcium dont ils ont besoin pour leur coquille et pondent jusqu’à 1200 oeufs par an dans les nids les plus accueillants.

Pour les autorités de Floride, déjà confrontées par le passé à toutes sortes d’invasions animales, dont celle du python géant birman qui a colonisé les marais des Everglades, il est urgent d’agir : dans sept semaines débutera la saison des pluies. Et l’escargot, aussitôt qu’il pleut, il sort sa tête. 

http://www.journaldequebec.com

EN CLAQUANT DES LÈVRES, LE SINGE LION PEUT PRESQUE PARLER


 Quand l’homme est apparu, quel était son langage, peut-être un dérivé des singes, les Gédelas qui communiquent avec des claquements de lèvres donnent des intonations différentes … Qui quand on les écoute, on ne peut que rester surpris de l’effet des sons
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EN CLAQUANT DES LÈVRES, LE SINGE LION PEUT PRESQUE PARLER

 

Babouin Gelada montant la garde – Parc du Simien – Ethiopie – Photo : BluesyPete – via Wikimedia Commons

Par Michel Alberganti

Les Géladas émettent des sons qui pourraient être les précurseurs du langage humain.

Les capacités de singes ne cessent de nous étonner et leur intelligence a été démontrée à maintes reprises. Mais, même si la femelle gorille Amy du roman Congo de Michel Crichton publiée en 1980 (oublions le film décevant réalisé par Franck Marshall en 1995) communique par le langage des signes, elle ne parle pas.

Au delà de la fiction, la découverte de Thore Bergman, chercheur au département de psychologie, d’écologie et de biologie de l’évolution, pourrait bouleverser notre conception de l’apparition du langage chez l’homme. D’après l’article qu’il a signé dans la revue Current Biology le 8 avril 2013, il analyse les sons produits avec les claquements de lèvres des Géladas, ou singes lion, qui ressemblent aux babouins mais ne vivent que sur les hauts plateaux de l’Erythrée et en Ethiopie.

Cette technique leur permet de produire des sonorités qui possèdent des points communs avec le langage humain et que ne possèdent pas les vocalises des autres primates non-humains. Thore Bergman note, en particulier le rythme compris entre 3 et 8 Hz.

Pour le chercheur, l’aptitude des Géladas a produire de tels sons tout en effectuant des mouvements du visage rythmés peut être interprétée comme une étape plausible de l’évolution en marche vers le langage humain. Ce dernier, apparu chez Homo Abilis, il ya plus de deux millions d’années, pourrait puiser ses origines bien avant.  

Les vibrations produites par le claquement de lèvres ont un rythme compris entre 6 et 9 Hz qui correspond au langage humain.

Les vocalisations obtenues ainsi produisent des sons « qui sont structurellement similaires à la parole« , indique Thore Bergman.

Le claquement de lèvres correspondrait ainsi à l’ouverture et à la fermeture des la bouche chez l’homme.

Par ailleurs, les Geladas sont des singes extrêmement grégaires et il disposent d’un répertoire vocal relativement étendu. Leurs vocalises sont considérées comme des échanges rapides entre individus aidant à renforcer leurs liens. 

La similarité sonore est telle que lorsque l’on se trouve auprès de Géladas, on peut avoir l’impression d’entendre des personnes parler à proximité, affirme Thore Bergman. Cette illusion est largement apportée par le rythme de leur communication. C’est ce qui les distingue des autres primates. Et qui les rapproche de nous. De façon troublante…

http://www.slate.fr