L’Identité


Nous changeons, nous évoluons, notre personnalité se forme à mesure que nous vieillissons.
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L’Identité

 

« L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes, elle se construit et se transforme tout au long de l’existence. »

Amin Maalouf

Comment accueillez-vous la vie?


Je pense faire partie des deux dernières dynamiques du moins généralement, car il arrive à tout le monde d’avoir des hauts et des bas. Par contre, quand on ne prend que le mauvais, nos journées doivent être bien longue et triste
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Comment accueillez-vous la vie?

 

« Dis-moi ce que tu retiens, je ne te dirai pas ce que tu es, mais je saurai comment tu souffres. »

Selon Jacques Salomé, il existe cinq grandes dynamiques relationnelles que chacun utilise dans toutes tentatives d’échanges et de partages:
 
-La dynamique de l’éponge.
 
La personne qui est dans cette dynamique absorbe tout ce qui l’environne, les souffrances comme les bonheurs du monde. Elle le perçoit comme une problématique. Elle est concernée par tout. Il en ressort une certaine couleur grisâtre dans ces états d’âme.
 
-La dynamique du filtre.
 
La personne laisse aller le bon, gardant le négatif pour elle. Elle voit tout ce qui ne va pas. Ne retient que les failles de toutes situations. Elle se dévitalise sous le désespoir.
 
-La dynamique de l’entonnoir.
 
Il laisse tout passer, le bon comme le mauvais. La personne se laisse traverser par les éléments de la vie sans en ressentir l’essentiel. Elle se sent en état de manque, estimant n’avoir  rien reçu. Vit en état de frustration. cette personne fonctionne dans le rejet: ce n’est pas moi, c’est l’autre…
 
 
-La dynamique de la passoire.
 
La personne laisse passer le mauvais et garde le meilleur. Elle ne s’encombre pas de toutes les pollutions relationnelles. Elle dédramatise, relativise, sait vivre dans la joie.
 
C’est bon de vivre avec une personne fonctionnant dans cette approche: elle sait créer et capter les douceurs, partager ses sourires et ses rires, mettre du pétillant dans la vie.
 
-La dynamique de l’alambic.
 
La personne sait accueillir ce qu’elle vit, et le transformer en positif, en merveilleux. Elle retire l’essentiel de toute expérience, n’en gardant que le meilleur.
 
Vous reconnaissez-vous, plus ou moins dans ces schémas de dynamique relationnelle?
 
Il peut arriver que nous soyons animés par plusieurs de ces dynamiques, au cours d’une même journée, bien que nous ayons une dominante qui nous colore.
 
Être un bon compagnon pour soi, c’est s’accepter et s’entendre dans ses désirs.
 
C’est se respecter et se bien-veiller dans tous nos possibles, dans nos limites évolutives.

 
http://les-desirs-du-coeur.over-blog.com/

Le Saviez-vous ►La carte des bateaux coulés lors de la 2 ème guerre mondiale


 

Beaucoup d’entre nous, n’ont pas connu les guerres mondiales, et espérons que cela en demeure ainsi, par contre, il y a des moments où on croit que toute la Terre est en conflit. Ceci dit la mer a englouti les bateaux qui ont été touchés par la deuxième guerre mondiale, et ce, sur les côtes de tous les continents. Preuve de notre intolérance et notre incapacité de vivre en harmonie avec nos semblables
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La carte des bateaux coulés lors de la 2 ème guerre mondiale

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Ecrit par : Guillaume RAT

Cela fait presque 70 ans que la seconde guerre mondiale est finie, et pour la jeune génération, les récits prennent de plus en plus la forme de légende.

Comment comprendre, imaginer ce que peut être une guerre mondiale ?

Aujourd’hui, il existe un certain nombre de conflits dans le monde.; beaucoup de pays sont impliqués et pourtant, on ne qualifie pas ces guerres de mondiales.

J’ai trouvé cette carte en furetant un peu au hasard sur le net, et la notion de globalité m’a sauté aux yeux.  Elle représente l’ensemble des bateaux coulés pendant les 6 années du conflit.

On voit donc bien que pas un endroit de la planète n’a été épargné.

 

http://www.unecartedumonde.fr

Nouvelle option Gérer ses données Google après sa mort


Chez Google, il est possible maintenant, une destruction de tous nos comptes en donnant une année spécifique. Cela permet en cas de décès que certaines informations puissent partir dans l’oubli. Mais au cas, qu’on vive plus d’années que prévu, pas de problème, il est possible de changer les paramètres
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Nouvelle option

Gérer ses données Google après sa mort

 

Nouvelle option - Gérer ses données Google après sa mort

Photo Kzenon / Shutterstock.com

Toutes les personnes disposant d’un compte chez Google peuvent désormais bénéficier d’une option leur permettant de supprimer à terme toutes leurs données en cas de non-connexion prolongée à ces services.

Ce gestionnaire de compte inactif peut s’avérer utile dans la prévention d’un décès par exemple.

Cette nouvelle option est accessible dans les paramètres du compte des abonnés Google.

Elle permet de définir un délai d’inactivité pouvant aller de trois mois à un an, au-delà duquel les données du compte (Google Drive, Gmail, YouTube. Google+, etc.) seront totalement supprimées ou alors partagées avec un ou plusieurs proches prédéfinis.

Dans tous les cas, une alerte sera envoyée un mois avant l’expiration de ce délai.

Ce système a été mis au point afin de pouvoir, le cas échéant, détruire ou partager avec ses proches des données appartenant à des personnes récemment décédées.

http://fr.canoe.ca

Pas tous égaux devant le grignotage «émotionnel»


Ce n’est pas une surprise pour personne, que certaines personnes ont tendance a manger leurs émotions et choisissent habituellement des aliments riches en sucre et en gras. Quelle en sont les causes ? Génétique ou une reproduction des habitudes familiales ou peut-être les deux ?
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Pas tous égaux devant le grignotage «émotionnel»

 

© Jerry Lampen / Reuters/REUTERS

Les femmes sont bien plus concernées par le grignotage émotionnel que les hommes.

Les femmes et les personnes au régime sont les plus à risque de se jeter sur la nourriture en cas d’émotion négative.

Le constat n’étonnera personne: le grignotage est un réflexe fréquent en cas de stress, d’anxiété, de tristesse… Plus de deux Français sur cinq éprouveraient ce besoin, selon une étude menée auprès de 35.000 personnes. Le travail de la chercheuse Sandrine Péneau, qui s’appuie sur les nombreux témoignages de l’enquête Nutrinet*, a permis d’affiner le profil des personnes les plus susceptibles de se tourner vers la nourriture en réaction à une émotion négative.

Les résultats publiés mercredi par l’American Journal of Clinical Nutrition révèlent qu’une femme sur deux est concernée, contre seulement un homme sur cinq. Manger sous le coup de l’émotion est aussi plus fréquent chez les personnes au régime: elles sont sept sur dix à avoir ce réflexe, un chiffre qui tombe à 6 sur dix pour les personnes ayant fait un régime dans le passé, et moins de quatre sur dix pour celles qui n’ont jamais cherché à maigrir.

«C’est un phénomène bien connu en cas de régime: on est dans une spirale de restriction, et puis on craque», décode Sandrine Péneau, maître de conférences en nutrition à l’université Paris 13.

En parallèle, l’étude confirme aussi qu’être sujet à cette compulsion alimentaire est un facteur de risque de surpoids (57% des compulsifs sont en surpoids, contre 40% pour ceux qui n’ont pas ce réflexe). De fait, les personnes qui se tournent vers la nourriture pour se sentir mieux privilégient des aliments très riches du type gâteaux, sucreries, chocolat ou chips, dont elles font au final une plus grande consommation que la moyenne.

La psychologie au secours des personnes au régime

L’origine de cette compulsion alimentaire reste floue. Elle pourrait intégrer une dimension génétiqueune étude datant de 2010 montre par exemple que ce comportement est fréquent chez les adolescentes porteuses d’un gène spécifique – Mais elle relève aussi certainement d’une habitude acquise tôt par reproduction d’un schéma familial, ajoute Sandrine Péneau.

«In fine, il est probable que les deux facteurs jouent, car le psychologique et le physiologique sont intimement liés», estime-t-elle.

Pour l’experte en nutrition, ces résultats confortent surtout la nécessité d’intégrer une dimension psychologique à la prise en charge des personnes qui ne parviennent pas à perdre du poids.

«Il faut chercher des alternatives aux régimes classique quand ils ne fonctionnent pas à long terme. Dans le cadre de mes recherches, je travaille ainsi sur l’alimentation intuitive et consciente, qui tente de sensibiliser le patient à ses sensations de faim et de satiété afin de limiter naturellement ses apports caloriques».

Fort heureusement, d’autres recherches parues en mars dans la revue Appetite confirment une bonne nouvelle: si les émotions négatives creusent, les émotions positives n’entraînent, elles, aucun grignotage excessif.

http://sante.lefigaro.fr

Maux de tête aux parents et aux policiers Une application permet le partage de sextos


L’application Snapchat pour les cellulaires est en vogue depuis quelques temps sauf que des jeunes l’emploient pour des photos explicites ( des sextos) pensant qu’ils ne risquent rien vue que le message s’efface au bout de 10 secondes. Mais pourtant, rien n’est moins sur ..
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Maux de tête aux parents et aux policiers

Une application permet le partage de sextos

 

Une application permet le partage de sextos

Crédit photo : gracieuseté

L’application Snapchat a commencé à se répandre dans les écoles d’Ottawa de manière troublante

Par Danielle Bell | Agence QMI

L’application Snapchat, qui est la plus récente nouveauté dans le monde du cellulaire qui crée un engouement chez les adolescents, a commencé à se répandre dans les écoles d’Ottawa de manière troublante.

Cette application de partage de photos pour les appareils mobiles iPhone et Android, permet de faire parvenir des photos qui s’effacent de l’appareil du destinataire 10 secondes après avoir été vues.

Cette application, qui a gagné en popularité, est un outil pour transmettre des textes ou des photographies sexuellement explicites, ce qu’on appelle des sextos. Des policiers en milieu scolaire ont été les premiers à noter son apparition vers le mois d’octobre.

«C’est une façon facile pour les jeunes d’envoyer des sextos», a déclaré la policière en milieu scolaire d’Ottawa, Carrie Archibald. C’est comme un nouveau phénomène. C’est de cette façon qu’ils communiquent, parce qu’ils pensent qu’ils ne peuvent pas se mettre dans le trouble.»

Snapchat n’est que l’une des nombreuses façons pour les jeunes d’utiliser leur cellulaire pour transmettre des images et des messages, dont certains parents pourraient n’avoir aucune idée, a indiqué la police.

«Ils ne savent vraiment pas que leur enfant a quatre ou cinq moyens pour rejoindre leurs amis, a déclaré la policière Archibald. Il ne s’agit plus de Facebook.»

La police souhaite maintenant accroître la vigilance des parents, tout en encourageant la discussion avec leurs enfants.

L’application Snapchat efface la photo, ce qui rend difficile pour la police de la retracer, mais cela ne veut pas dire que quelqu’un ne fera pas une capture d’écran de celle-ci, pour ensuite la diffuser.

La police du New Jersey fait d’ailleurs enquête sur un scandale concernant la diffusion de sextos par l’application Snapchat, qui pourrait mener à des accusations de pornographie juvénile.

http://tvanouvelles.ca

À TESTER CHEZ VOUS: FAIRE L’EXPÉRIENCE D’UN MEMBRE FANTÔME, SANS AMPUTATION


Qu’est-ce que peuvent ressentir les amputés d’un membre fantôme ? Une expérience qui pourrait peut-être vous tenter d’essayer, non pas pour ressentir la douleur comme ceux qui souffrent du syndrome du membre fantôme, mais l’effet que cela donne
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À TESTER CHEZ VOUS: FAIRE L’EXPÉRIENCE D’UN MEMBRE FANTÔME, SANS AMPUTATION

 

Phantom par Rogelio Calamaya via Flickr CC

Par Pamela Duboc

Le syndrome du membre fantôme touche malheureusement presque toutes les victimes d’amputation. L’illusion tactile, avec un peu d’entraînement, peut être vécue par tout le monde.

 

Le doctorant en neurosciences Arvid Guterstam et ses collègues du Karolinska Institutet de Stockholm ont publié jeudi un article rapportant les résultats d’expériences permettant de faire apparaître l’illusion d’un membre fantôme chez des personnes non-amputées [Lien payant].

Le syndrome du membre fantôme, habituellement rencontré chez les personnes ayant subi une amputation, est encore très mal compris. Il devient très problématique lorsque le membre absent est douloureux, car aucun médicament n’a d’effet sur cette illusion somatosensorielle (de la perception des sensations du corps).

Arvid Guterstam, avec une expérience simple, a déplacé la sensation de la main droite de sujets non amputés vers un espace vide: ils avaient alors l’impression que les limites de leur corps comprenaient cette main invisible.

Que ceci soit possible démontre l’existence d’une base neurologique naturelle pour le syndrome du membre fantôme et pourrait aider à traiter les patients qui en souffrent. En observant par IRM fonctionnelle l’activité du cerveau, les chercheurs ont constaté une activation des mêmes zones, que ce soit en percevant la main invisible, en regardant sa vraie main être touchée ou en touchant une main prosthétique en croyant toucher la sienne propre.

Principe

Comment faire pour reproduire chez vous la première partie de l’expérience et éventuellement faire sensation lors d’une prochaine soirée?

Tout le protocole se base sur l’idée de stimuler une main cachée en faisant croire au cerveau du participant qu’un espace vide devant lui est celui qui est touché. L’illusion naîtrait d’un conflit entre les perceptions visuelles, tactiles et proprioceptives (la perception de soi et de la position des membres dans l’espace).

L’illusion pourrait naître notamment à cause de l’importance de l’information visuelle, qui, lorsqu’elle est utilisée, «joue un rôle dominant pour localiser et s’attribuer ses propres membres».

En 1998, une étude démontrait déjà qu’une «main en caoutchouc peut ressentir ce que voient les yeux».

En caressant à la fois une main prosthétique en pleine vue, et la vraie main du cobaye hors de vue, des scientifiques américains avaient démontré l’importance de la vision dans l’illusion tactile. Il était ainsi impossible de créer l’illusion en caressant quelque chose qui ne ressemblait pas à une main (un morceau de bois, par exemple).

Une autre étude du laboratoire suédois avait montré que des sujets aux yeux bandés pouvaient avoir l’illusion de toucher leur propre main alors qu’il s’agissait d’une main artificielle. Arvid Guterstam et ses collègues pensent que ces illusions montrent qu’une information visuelle à propos d’une partie du corps n’est pas nécessaire pour bouleverser les frontières du corps perçu.

Matériel et méthodes

Les neuroscientifiques suédois ont utilisé pour leurs expériences deux pinceaux identiques. Leur article du Journal of Cognitive Neurosciences explique bien que les mouvements effectués sur la main et dans le vide doivent être aussi identiques que possible, pour que l’illusion naisse:

«Un expérimentateur entraîné faisait bouger le pinceau dans l’espace vide de manière à refléter le mouvement exact du pinceau touchant la véritable main, en suivant la forme du poing et les angles des phalanges des doigts […] Nous avons fait correspondre soigneusement la vélocité, la fréquence et la surface de peau stimulée par les coups de pinceau […]»

Vous songez peut-être déjà à la meilleure manière de passer des poils de blaireau (ou de nylon, si vous êtes moins snob) entre les phalanges de votre cobaye. Mais n’oubliez pas l’élément essentiel du protocole: le sujet ne doit pas voir son bras.

Sur une table, placez un paravent entre la main-test de votre sujet et l’espace vide. Une écharpe doit couvrir l’épaule de votre sujet. Si vous vous débrouillez mieux que nous, il/elle ne pourra pas voir son bras mais vous tiendrez à l’œil vos deux pinceaux, afin de synchroniser au mieux le mouvement.

Vous êtes prêts. Installez-vous en face de votre cobaye, demandez-lui de suivre du regard le bout du pinceau pendant toute la durée de l’expérience. Caressez sa main en alternant longs coups de pinceau et petites tapes, jusqu’au bout des cinq doigts. Simultanément, l’espace vide, à une position à peu près symétrique et surtout plausible par rapport à l’épaisseur de la main (Arvid Guterstam rapporte s’éloigner de 1 cm à 5 cm au-dessus de la table) recevra exactement le même traitement.

Armez-vous de patience et entraînez-vous en regardant Arvid Guterstam faire dans la vidéo ci-dessous. Vous pourrez même vérifier l’illusion en demandant, après un peu de temps, au participant de fermer les yeux et de rapidement pointer de la main gauche l’emplacement de sa main droite (ou l’inverse, mais les neuroscientifiques ont créé l’illusion en cachant la main droite et la majorité de leurs participants étaient droitiers).

e coup de couteau que vous voyez vers la fin est un test supplémentaire pour mesurer le stress de la participante devant une menace faite à son «membre fantôme»

Du côté de la rédaction, la tentative de reproduire l’expérience n’a pas été concluante.

Tout au plus, Thibault a-t-il «ressenti un début de sensation qui s’étend mais pas tout à fait» dans sa main fantôme. Pour ma part, il n’y a guère eu plus que l’effet de la volonté farouche de ressentir le passage d’un stylo sur une main invisible. Chercheurs du dimanche, nous avons fait l’amère expérience du manque de moyens dont souffrent les vrais scientifiques français. Voyez donc notre matériel:

L’installation bancale de la rédaction

Si vous voulez reproduire l’expérience chez vous et avoir une chance de vous sentir pousser un troisième bras, il vous faudra donc sans doute être mieux équipés et suivre le protocole avec minutie.

http://www.slate.fr