avidité


On parle de pauvreté alors que nous gaspillons sans compter. Nous pourrions faire disparaitre la faim, et l’extrême pauvreté si nous savions se satisfaire sans aller dans l’extravagance
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Avidité

 

« Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l’homme, mais pas assez pour assouvir son avidité.  »

Gandhi

Pancake, le chat pianiste


Pas besoin de se payer une soirée concert quand, le chat est lui-même musicien. De quoi faire profiter son maitre de son talent artistique …
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Pancake, le chat pianiste

 

Les animaux sont de véritables artistes ! Vous en doutez ? Cette vidéo vous fera certainement changer d’avis !

Après le duo de Huskies chanteurs, puis le Bulldog se prenant pour Pavarotti, voici le chat pianiste !

Son petit nom ? Pancake. Sa particularité ? Cet adorable Exotic Shorthair roux et blanc est un compositeur et musicien de talent !

Avec son joli petit piano en forme de chat, il improvise de superbes morceaux de miaousique, un genre assez surprenant, mais qui plaira certainement à vos petits compagnons !

 

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Le Saviez-vous ►Expression : Toucher du bois


Tout le monde connait cette expression « Toucher du bois » malgré que le bois ne peut absolument rien dans ce que nous voulons … Cela fait partie des superstitions … Et cela ne date pas d’hier
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Toucher du bois 

 

Conjurer le mauvais sort.

La signification de cette expression est explicite : il ne s’agit là que d’un geste superstitieux, souvent accompagné de la parole « je touche du bois ! », tout aussi efficace que de « croiser les doigts » ou de se signer, selon les convictions ou les habitudes de chacun.

Ce geste est supposé empêcher que des bâtons viennent se mettre dans les roues des projets de celui qui y participe ou lui permettre d’exaucer ses voeux de santé, de gain au Loto…

Apparemment, cette superstition remonte à très loin, puisque les les Perses et les Egyptiens la pratiquaient déjà.

Pour les premiers, ce serait parce qu’ils pratiquaient le ‘mazdéisme’ [1], religion dans laquelle le fait de toucher du bois permettait de se mettre sous la puissance protectrice d’Atar, le génie du feu.

Pour les seconds, ce serait parce qu’il pensaient que le bois diffusait une forme de magnétisme bénéfique.

Au Moyen Âge, les chrétiens disaient que l’habitude de toucher du bois venait de ce que le Christ avait été sacrifié sur une croix en bois : toucher du bois était donc une forme de supplication ou de prière qui permettait de se protéger de l’adversité.

[1] Le nom de cette religion viendrait de la langue zend dans lequel ‘mazda’ voulait dire ‘loi suprême’

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Insolite Un crabe violet capturé à Rivière-au-Renard


L’histoire ne dit pas si ce crabe va être sauvé, a de sa différence comme il est déjà arrivé à d’autres étranges crustacés qui ont pu finir leur vie en toute quiétude
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Insolite

Un crabe violet capturé à Rivière-au-Renard

 

La nature offre souvent des spectacles plus colorés que les autres. C’est le cas pour un crabe des neiges aux teintes de mauve et de violet capturé la semaine dernière par le pêcheur Gérald Denis, au large de Petit-Cap, près de Rivière-au-Renard.

Après un court séjour à bord du bateau le Marie-Michèle, le coloré crustacé s’est retrouvé à la poissonnerie des Pêcheries Gaspésiennes, où il a été pris en photos par de nombreux curieux venus l’admirer.

Il s’agit probablement du crustacé le plus photographié dans la capitale des pêches jusqu’à présent cette année.

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Les hommes préhistoriques faisaient mal la vaisselle


Les chasseurs-cueilleurs au Japon du moins, avaient semble-t-il, se servait de poterie pour la cuisine, chose qui a pu maintenant être prouvée, grâce a la technologie, et de la négligence de la propreté sur leur vaisselle, ils mangeaient aussi du poisson
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Les hommes préhistoriques faisaient mal la vaisselle

 

Les chasseurs-cueilleurs vivant au Japon il y a... (John Minchillo)

Les chasseurs-cueilleurs vivant au Japon il y a 12 000 à 15 000 ans ont laissé la preuve qu’ils utilisaient leurs poteries pour cuisiner et qu’ils aimaient le poisson.

JOHN MINCHILLO

LAURENT BANGUET
Agence France-Presse
Paris, France

Les hommes préhistoriques faisaient mal la vaisselle, et c’est tant mieux. Car les chasseurs-cueilleurs vivant au Japon voici 12 000 à 15 000 ans nous ont ainsi laissé la preuve qu’ils utilisaient déjà leurs poteries pour cuisiner et qu’ils aimaient le poisson.

Des chercheurs sont en effet parvenus pour la première fois à analyser des dépôts calcinés découverts dans une centaine de fragments de poteries, datant du début de l’ère Jômon («poterie cordée» par référence aux impressions de cordes utilisées pour les décorer).

Verdict: la plupart de ces dépôts sont des résidus de graisse provenant de poissons et autres produits aquatiques, indique une étude publiée mercredi dans la revue britannique Nature.

Autrement dit, il s’agit ni plus ni moins des restes de repas consommés par les premiers Japonais à la fin du dernier âge de glace!

Pendant très longtemps, les archéologues ont considéré que l’invention de la poterie avait nécessairement accompagné celle de l’agriculture et la sédentarisation qui en découle. Comment des chasseurs-cueilleurs nomades auraient-ils pu accomplir l’un des sauts technologiques les plus importants de l’Histoire, prendre conscience que le feu peut transformer de l’argile molle en une céramique imperméable? Et surtout, à quoi une telle invention aurait-elle bien pu leur servir avec leur mode de vie rudimentaire et mobile?

Simples ustensiles ou argenterie préhistorique?

Grâce à la datation au carbone radioactif, on a appris relativement récemment que la céramique est apparue bien avant l’agriculture, donc chez des nomades ou semi-nomades. Des tessons retrouvés dans une caverne du Jiangxi (sud-est de la Chine) seraient âgés de 19 000 à 20 000 ans, soit quelque 10 000 ans avant l’apparition de la culture du riz dans cette province.

Les spécialistes ignoraient cependant toujours à quoi ces poteries pouvaient bien servir.

Les lipides (graisses) extraits des tessons de céramique Jômon «sont typiques des huiles aquatiques dégradées (…) et fournissent une preuve convaincante que de la nourriture provenant de l’eau douce et/ou de la mer a été préparée dans ces récipients», répondent Oliver Craig, archéologue à l’université britannique d’York, et son équipe.

«Nous estimons que ces produits aquatiques étaient ceux les plus fréquemment préparés dans ces poteries du Jômon primitif, sous une grande variété de climats et d’environnements, de Hokkaido au nord à Kyushu au sud», poursuivent les chercheurs.

«La disponibilité et l’abondance de nourriture le long des côtes et des rivières pourraient très bien avoir été l’élément déclencheur de cet investissement dans la production de récipients en céramique. Peut-être pour utiliser au mieux les surplus saisonniers ou dans le cadre de repas cérémoniels élaborés, et cela pourrait être lié à une réduction de la mobilité», suggère Oliver Craig dans un communiqué.

Quant à savoir si les Japonais préhistoriques se servaient de ces poteries comme de simples ustensiles de cuisine ou si, «comme le suggère leur rareté», elles jouaient plutôt le rôle de l’argenterie de grand-maman qu’on ne sort que pour les grandes occasions, «cela reste sujet à débat», estiment les chercheurs.

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Des furets nourris aux stéroïdes vendus comme des caniches !


Même, si après avoir découvert l’arnaque et qu’ils se sont attaché à leur animal, les victimes devraient quand même à mon avis porter plainte. Ses furets ont quand même reçu des stéroïdes, qui je crois, n’est pas indiqué pour ces animaux … Puis c’est quand même une fraude. Mais, j’avoue ne pas comprendre comment des gens ont confondu ces furets a un caniche
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Des furets nourris aux stéroïdes vendus comme des caniches !

 

Inimaginable, et pourtant tristement vrai : en Argentine,un homme nourrit des furets aux stéroïdes pour les faire passer pour des petits chiens, et les vendre sur des marchés.

Une histoire à peine croyable, relatée par le Dailymail.

Les caniches étaient des furets…

Ces pauvres bêtes ont été vendues 150 dollars, soit 115 euros environ, à La Salado, le plus grand bazar d’Argentine.

Et plusieurs personnes ont été victimes de cette cruelle arnaque.

Parmi elles, un retraité de Catamarca, devenu soupçonneux quand il s’est rendu compte que les deux adorables Caniches qu’il avait achetés commençaient à ressembler étrangement à des furets, ou « rats du Brésil », tels qu’on surnomme en Argentine les petits mustélidés.

des furets vendus comme s'ils étaient des caniches
Des furets nourris aux stéroïdes pour ressembler à des caniches

Plusieurs victimes

Des doutes confirmés par le vétérinaire qu’il a consulté pour, comme tout maître responsable, faire vacciner ces animaux.

Il a alors découvert que ses chiens étaient en réalité des furets géants, nourris avec des stéroïdes depuis leur naissance pour augmenter leur taille, et toilettés de façon à leur donner l’apparence et la douceur de petits chiens… Une femme a quant à elle cru avoir acheté un Chihuahua !

Mais ni l’un ni l’autre n’ont décidé de porter plainte. Peut-être parce ce qu’ils se sont attachés à leurs petits compagnons bien qu’ils ne soient pas ce qu’ils pensaient…

 

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Invasion de domicile: les voleurs étaient déguisés en employés d’Hydro


Si en plus, des voleurs prennent des accessoires pour se faire passer pour des travailleurs comme des employés d’Hydro-Québec, comment se méfier et ne pas ouvrir la porte ? Et je trouve cela tellement lâche quand des voleurs s’en prennent à des personnes âgées.
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Invasion de domicile: les voleurs étaient déguisés en employés d’Hydro

 

Des truands déguisés en employés d'Hydro-Québec ont rudoyé, séquestré et volé... (Photo André Pichette, Archives La Presse)

PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

DAVID SANTERRE
La Presse

Des truands déguisés en employés d’Hydro-Québec ont rudoyé, séquestré et volé une dame de 69 ans, lundi après-midi à Longueuil.

Vers 15 h 20, un homme a frappé à la porte d’une résidence de la rue Boisbriand, portant des bottes de travail et un dossard jaune fluorescent.

La dame de 69 ans qui réside sur les lieux, dont l’époux était absent, ne s’est pas méfiée et a ouvert la porte. C’est alors qu’un second suspect s’est joint au premier pour entrer de force dans la demeure. Ils ont attaché la pauvre femme sur une chaise et ont fouillé la maison, volant des bijoux de bonne valeur.

Ils ont fui dans un véhicule utilitaire sport portant l’inscription Hydro-Québec, sans le logo au Q traversé d’un éclair.

« Nous croyons que le faux véhicule d’Hydro était une diversion pour permettre aux suspects d’observer les lieux sans se faire remarquer avant le vol », indique l’agent Martin Simard, porte-parole de la police de Longueuil, qui ajoute que la société d’État ne possède pas de véhicules utilitaires noirs.

Cela fait plusieurs braquages à domicile en Montérégie ces derniers mois, dont quelques-uns visant des personnes de plus de 60 ans. C’était toutefois la première fois qu’un faux véhicule d’Hydro était observé lors de la commission du crime.

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Les médias sociaux mis en cause dans le suicide d’une adolescente d’Halifax


Jusque ou va cette liberté d’expression quand une jeune fille se suicide après avoir été violée lors d’une soirée entre adolescents et qu’une photo explicite circule sur les réseaux sociaux ? On a harcelé cette jeune fille en la traitant de pute alors que les gars eux n’ont pas ce genre d’insulte.  De quel droit, des gens peuvent se donner le droit de juger une victime
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Les médias sociaux mis en cause dans le suicide d’une adolescente d’Halifax

 

Rehtaeh Parsons... (Photo La Presse Canadienne)

Rehtaeh Parsons

PHOTO LA PRESSE CANADIENNE

MICHEL VIATTEAU
Agence France-Presse
Montréal

Une nouvelle affaire de suicide d’adolescente, brisée par la parution sur internet d’une photo de ce qu’elle avait vécu comme un viol lors d’une soirée arrosée, met en émoi le Canada, choqué par ce nouveau cas de cyber-intimidation.

La photo de Rehtaeh Parsons, belle jeune fille rousse à lunettes, morte dimanche dernier à Halifax, sur la côte atlantique, après avoir cherché à se suicider trois jours plus tôt, ne quitte plus les écrans des téléviseurs, ni les sites web canadiens.

Selon sa mère, sa mort est la conséquence d’un viol collectif, dont l’adolescente avait été victime en 2011, à l’âge de 15 ans, alors qu’elle était en état d’ébriété complète, voire inconsciente, lors d’une soirée. L’un des quatre garçons qui y ont participé a pris une photo qui a commencé à circuler parmi les élèves quelques jours plus tard. La cyber-intimidation a suivi, tandis qu’à l’école certains jeunes la traitaient de «pute».

Rapidement, elle a fini par tout dire à sa mère. Mais l’enquête policière, qui a duré près d’un an, n’a pas permis de réunir des preuves suffisantes pour inculper les responsables: il n’y avait que sa parole contre celles de ses agresseurs, a confirmé un porte-parole de la police à la suite de la mort de la jeune fille.

Selon sa famille, on lui a déclaré que la prise d’images de ce que Rehtaeh avait subi n’était pas en soi un délit.

Les Parsons ont déménagé, mais sans aller très loin et le calvaire de la jeune fille s’est poursuivi.

«On ne la laissait jamais tranquille», a dit sa mère citée par la chaîne publique CBC. «Ses amis étaient contre elle, des garçons inconnus lui envoyaient des textos et des messages sur Facebook pour lui demander de coucher avec eux… puisqu’elle l’avait fait avec leurs copains. Cela ne s’arrêtait jamais», a dit Mme Parsons.

Cri de détresse

Elle a fait une tentative de suicide jeudi dernier. Elle a été maintenue artificiellement en vie jusqu’à dimanche.

Sa mère a créé une page Facebook pour raconter le drame de sa fille.

Une pétition demandant que la décision de clore l’enquête sur le viol présumé soit examinée à nouveau a recueilli plus de 2.000 signatures en ligne, tandis que le ministre provincial de la Justice, Ross Landry, exprimant sa «tristesse», a indiqué qu’il chercherait à revoir le comportement des instances judiciaires impliquées dans l’affaire.

Celle-ci a rappelé aux Canadiens le suicide très médiatisé d’Amanda Todd, survenu en octobre dernier dans l’ouest du pays, à l’âge de 15 ans.

Trois ans plus tôt, manquant d’amis, la jeune fille en avait cherché sur des sites de discussion. Un prédateur l’avait incitée à lui montrer sa poitrine via une webcam, puis, ne pouvant obtenir davantage, avait affiché sa photo sur internet. Cible aussi de messages d’intimidation sur Facebook, venant apparemment de ses camarades d’école, c’est sur internet qu’elle avait lancé son dernier cri de détresse, en affichant une série de cartons décrivant en quelques mots son calvaire.

Sa mère, Carol Todd, a envoyé un message de soutien à la mère de Rehtaeh Parsons.

L’opinion publique, la police et la justice au Canada deviennent de plus en plus conscientes de la puissance que les médias sociaux offrent à toute personne voulant diffuser un message, y compris sans en mesurer la portée.

Chaque cas relance le débat sur la liberté d’expression qui risque d’entrer en conflit avec la loi destinée à protéger la vie privée et empêcher le harcèlement.

Le dernier en date est celui d’une jeune Montréalaise, arrêtée et inculpée de «harcèlement criminel» pour avoir publié sur internet la photo d’un graffiti représentant un porte-parole de la police avec une blessure saignante au milieu du front.

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Calgary: un étudiant de 16 ans améliore une thérapie contre le cancer


Depuis quelque temps, on parle souvent de jeune qui grâce a leurs recherches, leurs découvertes, on changer les choses en voilà un autre adolescent qui a un bel avenir prometteur grâce a ses recherches pour améliorer une thérapie contre le cancer
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Calgary: un étudiant de 16 ans améliore une thérapie contre le cancer

 

Un étudiant de 16 ans de Calgary, dans l'ouest du Canada, a reçu mardi un prix... (Photothèque Le Soleil)

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

Agence France-Presse
Ottawa

Un étudiant de 16 ans de Calgary, dans l’ouest du Canada, a reçu mardi un prix pour ses recherches sur une thérapie utilisant des nanoparticules d’or qui, injectées à un cancéreux et chauffées, tuent les cellules malades, a annoncé le laboratoire français Sanofi, promoteur du prix.

Le lycéen d’origine indienne Arjun Nair, élève de l’Académie Webber à Calgary, a fait avancer cette thérapie par photothermie, en démontrant qu’un antibiotique (17-AAG) pouvait permettre de contrer les défenses des cellules cancéreuses contre les «nanoprojectiles» et rendre le traitement plus efficace.

L’un des problèmes réduisant l’efficacité de la photothermie dans la lutte contre les tumeurs est la défense de ces dernières, qui produisent des «protéines du stress» pour se protéger contre la chaleur.

Arjun Nair a reçu le premier prix de 5000 dollars de l’édition 2013 du concours baptisé Sanofi BioGENEius Challenge Canada, attribué par un comité de chercheurs réunis à Ottawa au siège du Conseil national de recherches du Canada (CNRC), sous la présidence du Dr Luis Barreto, ancien vice-président de Sanofi Pasteur.

Arjun Nair a reçu aussi un prix spécial pour le projet ayant le plus grand potentiel commercial.

Le jeune chercheur a passé deux années a travailler sur son idée. L’an dernier, il a pu utiliser les installations de deux laboratoires de l’université de Calgary et profiter de conseils de leurs dirigeants, Simon Trudel et David Cramb, une faveur rarissime pour un élève du secondaire.

Interrogé par l’AFP, il a dit s’être intéressé à son sujet après que sa grand-mère avait appris qu’elle souffrait d’un cancer.

«Elle a beaucoup souffert pendant la thérapie, donc j’ai commencé à étudier les cancers en général et j’ai lu beaucoup de choses sur les traitements», a-t-il dit.

En même temps, il a remarqué que ces traitements occupaient une place importante dans les concours scientifiques au Canada et a décidé de relever le défi lui-même.

Au total, 208 élèves du secondaire travaillant sur 123 projets, tous développés avec des professionnels dans des laboratoires, ont participé à la compétition annuelle.

Arjun Nair a pu procéder à des tests pour démontrer la viabilité de la thérapie. Un modèle mathématique a également été développé pour évaluer le traitement synergique sur le plan théorique.

Il faudra encore des recherches pour que la méthode esquissée par Nair puisse atteindre l’étape de la commercialisation. Mais il affirme qu’il s’agit d’une perspective réaliste qu’il souhaite continuer à développer.

«C’est le départ d’une fantastique carrière de recherche pour ce jeune homme», a dit Jon Fairest, président de Sanofi Canada, après lui avoir remis son prix.

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