Construire


Les aléas de la vie nous font trébucher, des projets tombent a l’eau, ou c’est l’échec .. s’apitoyer ne rendra pas les choses plus facile. Cependant l’expérience de ces moments difficile peut pourtant nous propulsé vers de nouveaux horizons
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« Nous pouvons jeter des pierres, nous plaindre d’elles, trébucher dessus, les escalader, ou les utiliser pour construire. »

William Arthur Ward

Le Saviez-vous ►La quarantaine : Quelle est l’origine de la quarantaine ? Est-ce efficace ?


L’origine de la quarantaine a été mise en place lors de la peste qui a fait des grands ravages au XV ème siècle … Alors que les gens mouraient, il a fallut chercher un moyen pour ne pas propager l’épidémie … Aujourd’hui, la quarantaine est toujours une solution mais beaucoup plus humaine enfin … espérons-le !!
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La quarantaine : Quelle est l’origine de la quarantaine ? Est-ce efficace ?

 

Par Tanguy

Certaines maladies contagieuses nécessitent une mise en quarantaine pour éviter l’épidémie. Petit historique de ce terme :

L’origine de la quarantaine remonte au XIVe.
À cette époque, la peste se propage en Europe et fait des millions de morts. Les populations et les médecins ne savent pas comment réagir face à ce mal extrêmement contagieux que l’on ne peut guérir. Les habitants des villes en découvrent les terribles effets : une fièvre intense, d’épouvantables douleurs dans tout le corps, des vomissements, de gros boutons et pour finir une mort certaine puisque qu’il n’existe pas de remède.

Pour empêcher la propagation, on marque d’une croix les maisons des pestiférés, afin que personne n’y entre, et on enterre les victimes dans des fosses communes.

Cependant rien ne semble arrêter cette maladie, qui revient tous les dix ans, souvent dans les ports.

C’est en 1377 que la république de Raguse (1) impose, par une loi, un isolement de quarante jours aux navires qui viennent des villes pestiférées. La mesure est cruelle – on laisse mourir les malades dans les bateaux – mais elle se révèle efficace.

Ainsi cette loi est généralisée à tous les ports d’Europe, au fil du XVe siècle.

Cette technique est réutilisée à grande échelle en 1720, lorsque le « Fléau de Dieu » (2) s’abat sur le sud de la France : les autorités sont contraintes de mettre plusieurs provinces en quarantaine. Des murs, doublés de fossés profonds, sont édifiés sur 100 km de long et sont gardés par 30 000 hommes en armes. Quiconque ose franchir cette barrière est abattu.

Avec cette mesure, la peste est stoppée net.

Aujourd’hui, la quarantaine a gardé son sens, mais ce dernier a été généralisé. On parle aujourd’hui de la quarantaine d’une base militaire (personne ne rentre ni ne sort) ; cependant la quarantaine médicale reste exceptionnelle et se doit d’être justifiée.

Maintenant, quand vous entendrez le mot « quarantaine » vous penserez à toutes ces personnes isolées du reste du monde et qui ne peuvent voir leurs parents ni leur famille au nom du principe de précaution…

(1) La république de Raguse était une cité état, situé en Croatie. Elle fut détruite durant les conquêtes napoléoniennes.
(2)   La peste porte également le nom de Fléau de Dieu

http://omnilogie.fr/

Des perturbateurs endocriniens dans des produits de beauté


On utilise tellement de produit pour l’hygiène corporelle dans une seule journée pour se sentir bien et propre qu’on ne peut soupçonner que ces produits peuvent renfermer des substances chimiques qui met en otage la santé et même peut-être la fertilité
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Des perturbateurs endocriniens dans des produits de beauté

 

L'association de consommateurs UFC-Que Choisir a dénoncé lundi la présence dans... (Photo Reuters)

PHOTO REUTERS

Agence France-Presse
PARIS

L’association de consommateurs UFC-Que Choisir a dénoncé lundi la présence dans de nombreux produits de beauté de substances chimiques connues comme perturbateurs endocriniens, parfois en concentrations élevées, ainsi que le manque de fiabilité de certaines étiquettes.

L’UFC-Que Choisir a annoncé dans un communiqué avoir trouvé des perturbateurs endocriniens «sous la forme de conservateurs, d’antibactériens, de filtres solaires et d’émollients ajoutés dans les produits de beauté et d’hygiène corporelle».

«Alors que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) considèrent les perturbateurs endocriniens comme une menace mondiale pour la santé, du fait par exemple de leur impact sur la fertilité ou les troubles neurocomportementaux, les résultats de ce test exclusif douchent tout espoir d’innocuité», assure l’association.

L’UFC publie lundi les résultats de tests réalisés avec trois autres associations sur 66 produits, attirant notamment l’attention sur le dentifrice Colgate Total pour lequel les «mesures ont révélé une teneur en Triclosan susceptible d’effet sur la thyroïde».

UFC précise que la réglementation européenne prend bien «en compte les risques» liés aux perturbateurs endocriniens mais s’alarme de l’effet «cocktail» induit par l’addition de plusieurs produits utilisés l’un après l’autre.

«L’exposition à ces molécules est (…) accrue lorsque l’on utilise différents produits comportant la même molécule et dont les doses s’additionnent pour atteindre un niveau de risque significatif», souligne l’UFC.

C’est le cas en particulier avec le Triclosan pour les teneurs dans les dentifrices et les déodorants pris isolément sont «acceptables» mais qui atteignent un niveau de risque significatif pour une utilisation combinant les deux produits.

Ainsi le dentifrice Colgate Total renferme 2,09 g/kg de Triclosan, une dose jugée par les experts d’UFC comme «trop élevée en particulier combinée à un déodorant contenant également du Triclosan car elle engendre un niveau de risque significatif».

L’UFC attire également l’attention sur un gel douche de la marque allemande Nivea.

«Nous avons relevé dans le gel douche Nivea Water lily & oil, une teneur de 2,68 g/kg de propylparaben» alors que la recommandation du Comité Scientifique pour la Sécurité des Consommateurs (CSSC) qui est un organe consultatif de l’UE, est de ne pas dépasser 2,48 g/kg.

L’UFC appelle la Commission européenne à «diligenter (…) des recherches indépendantes sur l’impact de ces molécules sur le long terme» et à «renforcer» la réglementation pour prendre en compte «l’effet cocktail» des produits l’un après l’autre.

Les tests ont, en outre, montré que les listes d’ingrédients n’étaient pas toujours fiables avec la présence de substances non indiquées sur les étiquettes (par exemple du phénoxyéthanol dans un savon liquide Dettol et un gel douche Nivea). À l’inverse, l’UFC note que certains cosmétiques affichent la présence de molécules «non détectées par notre laboratoire».

Les perturbateurs endocriniens se définissent comme des substances chimiques (certaines naturelles) qui interfèrent ou bien sont suspectées d’interférer avec le système hormonal humain, parfois même s’ils sont présents à très faibles doses.

Ces perturbateurs endocriniens ou hormonaux sont suspectés d’avoir un impact sur la fertilité et d’être liés à l’augmentation du nombre de cancers dits hormono-dépendants, principalement ceux du sein et de la prostate.

En particulier le Bisphénol A (BPA), substance présente dans de nombreux contenants alimentaires est suspectée d’être un perturbateur endocrinien et a été banni des biberons et de produits destinés aux enfants dans l’UE.

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Des microfibres bourrées de cellules pour reconstruire des tissus vivants


Bientôt, la reconstruction de tissus complexe humain sera possible, une avancée qui permettras de reconstruire des muscles, des vaisseaux sanguins et des réseaux nerveux .. chez l’être humain. Une évolution qui changera divers traitements médicaux
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Des microfibres bourrées de cellules pour reconstruire des tissus vivants

 

Des chercheurs japonais sont parvenus à créer artificiellement des microfibres... (Photo: Photos.com)

PHOTO: PHOTOS.COM

LAURENT BANGUET
Agence France-Presse
Paris

Des chercheurs japonais sont parvenus à créer artificiellement des microfibres bourrées de protéines et de cellules, qui peuvent ensuite être pliées et tissées pour reproduire certaines fonctions des tissus vivants.

Shoji Takeuchi, de l’Institut de science industrielle de Tokyo, et son équipe, sont ainsi parvenus à stabiliser le taux de sucre d’une souris diabétique à laquelle ils avaient implanté une de leur création renfermant des cellules du pancréas sécrétant de l’insuline.

Ces «microfibres cellulaires» pourraient à terme permettre aux médecins de reconstruire «in vivo» des tissus musculaires, des vaisseaux sanguins ou des réseaux nerveux, estiment les chercheurs, qui publient leurs travaux dimanche dans la revue scientifique britannique Nature Materials.

Les scientifiques savent depuis longtemps fabriquer des microfibres à base d’hydrogel artificiel – un gel polymère contenant une très forte proportion d’eau – et les combiner pour former des structures en 3D. Mais ces gels n’étant pas des constituants naturels des enveloppes de la cellule, ils ne sont pas capables de reproduire les liaisons cellulaires caractéristiques des tissus vivants.

Quant aux protéines constituant l’enveloppe des cellules (protéines extracellulaires), comme le collagène ou la fibrine, elles demandent beaucoup plus de temps pour se gélifier et ne peuvent donc pas remplacer l’hydrogel artificiel avec ces techniques classiques.

Pour réaliser leurs «fibres cellulaires», les chercheurs japonais ont donc procédé en plusieurs étapes.

D’abord, ils ont utilisé une sorte de micro-seringue pour créer un minuscule tube d’hydrogel artificiel classique, un boyau fourré comme un boudin d’un mélange de protéines et du type de cellules souhaité.

Bien protégées par ce tube d’hydrogel, les protéines ont tout le temps nécessaire pour se transformer à leur tour en un gel solide, tandis que les cellules du mélange se multiplient confortablement dans un milieu propice.

Dernière étape du procédé: une enzyme digère l’hydrogel artificiel et libère la fibre cellulaire de son moule.

Briques pour la reconstruction

Trois types de protéines et dix sortes de cellules différentes ont été testées avec succès pour produire une fibre au diamètre microscopique, mais mesurant jusqu’à un mètre de long, souligne l’étude.

Shoji Takeuchi et son équipe ont ensuite voulu tester les capacités de leur invention.

Une fibre fabriquée à partir de cellules cardiaques de rat commençait à se contracter spontanément au bout de trois jours, faisant bouger la totalité de la structure.

Une autre fibre, incorporant des cellules qui tapissent les veines humaines (endothéliales), fabriquait au bout de quatre jours une réplique de vaisseau sanguin. Une troisième, réalisée à base de cellules cérébrales de rat, parvenait à créer un réseau de neurones le long de ce tube.

Mieux encore, les chercheurs ont ensuite tissé trois fibres cellulaires, d’une longueur totale de 2,5 mètres, pour produire une sorte d’étoffe de 2 cm sur 1 cm,  elle-même pliée pour aboutir à une structure en trois dimensions.

Pour les auteurs, c’est la preuve que leurs «fibres cellulaires peuvent servir de +briques+ pour des assemblages de tissus plus complexes» dont les fonctions peuvent être régulées en faisant communiquer entre elles les cellules qui les composent.

Grâce à une fibre de 20 cm de long renfermant des cellules pancréatiques, pliée puis implantée dans le rein d’une souris diabétique, ils ont stabilisé son taux de sucre dans le sang durant au moins 13 jours.

Le procédé pourrait être perfectionné grâce à d’autres «techniques d’assemblage, comme le moulage, l’impression ou l’auto-assemblage», pour reconstruire des tissus complexes à grande échelle où «les vaisseaux sanguins et réseaux nerveux seraient intégrés organiquement à d’autres types de cellules», estiment les auteurs.

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Un chien parcourt 16 kilomètres pour rejoindre sa bien-aimée !


On pourrait croire a un roman d’amour, mais pourtant il semble que c’est deux chiens avaient un lien très étroits que l’être humain n’aurait pu effacer …
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Un chien parcourt 16 kilomètres pour rejoindre sa bien-aimée !

 

Les belles histoires d’amour ne sont pas réservées aux seuls humains, les animaux aussi semblent être capables d’aimer, et de s’attacher au point de ne plus pouvoir se séparer. Et ce ne sont pas Ben et Jade, deux adorables chiens, qui vous diront le contraire !

Après avoir longtemps erré sur les routes de l’Indiana, aux Etats-Unis, les deux animaux ont été recueillis par un refuge de l’association Humane Society il y a plusieurs mois. Jade était alors gestante.

Un couple de chiens réellement inséparable

Mais rapidement, Ben a été adopté par la famille Lawler. Le Berger allemand croisé a laissé derrière lui sa dulcinée, et s’il avait tout pour être heureux dans son nouveau foyer… il ne l’était pas.

« Nous l’avons eu pendant environ trois semaines, et on pensait qu’il allait bien, mais il se détachait de ​​nous » confie sa maîtresse, Courtney.

Un beau jour, c’était le 28 décembre dernier, Ben s’est alors échappé. Dans le froid glaçant, il a parcouru les 16 kilomètres le séparant du refuge de Terre Haute, où l’attendait sagement sa moitié.

« C’était incroyable. Nous savions qu’ils avaient été recueillis en même temps (par la Humane Society)et qu’ils sont restés ensemble jusqu’à ce que nous adoptions Ben, mais nous n’avions pas pris conscience de la force du lien qui les unissait » raconte Courtney Lawler.

« Nous n’avons jamais rien vu de pareil ici » affirme de son côté Jacob Harrod, un conseiller en adoption de la Terre Haute Humane Society.

^Un chien parcourt 16 kilomètres pour rejoindre sa bien-aimée
Ben et Jade, un couple canin inséparable

Tout est bien qui finit bien !

Emus par l’adorable couple canin, les Lawer n’ont pas pu se résoudre à séparer de nouveau leur compagnon de sa dulcinée. Ils ont donc décidé d’adopter Jade.

Peu à peu, les deux chiens errants s’adaptent à la vie de famille, eux qui ne se sont pas laissés approcher par les employés du refuge pendant 4 mois. Les 6 petits de Ben et Jade nés au refuge ont quant à eux tous été adoptés.

Tout semble donc aller pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Les inséparables Ben et Jade coulent des jours heureux auprès de Courtney, son mari Jason, et leur petit garçon âgé de 3 ans, Peyton.


Les deux chiens s’adaptent peu à peu à leur nouvelle vie

http://wamiz.com

L’Europe place les éruptions solaires sous haute surveillance


Un projet qui se concrétise et qui prendra quelques années avant d’être complètement fonctionnelle pour essayer de prévoir les éruptions solaires qui avec notre dépendances aux technologies, a la télécommunications …  pourraient faire de gros dégâts et causé une énorme facture
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L’Europe place les éruptions solaires sous haute surveillance

 

Centre névralgique - L'Europe place les éruptions solaires sous haute surveillance

Photo Solar Dynamics Observatory / NASA

BRUXELLES – L’Europe a inauguré mercredi à Bruxelles son premier centre de météorologie spatiale, un centre névralgique chargé de sonner l’alarme pour éviter aux satellites de griller en cas de tempêtes solaires, qui menacent également les astronautes, les avions de ligne et même les réseaux électriques terrestres.

Impossible à prévoir, une éruption solaire hors norme peut survenir n’importe quand, en particulier lors des pics cycliques d’activité du Soleil comme celui que nous connaissons depuis le printemps 2012. Dans le pire des scénarios, un tel phénomène pourrait frapper la Terre en moins d’une journée, nous privant d’internet, de téléphone, d’électricité et de transports aériens.

Les spécialistes prennent en compte ces risques dans la conception des équipements, mais plus tôt l’éruption est détectée, plus les mesures de protection sont efficaces, soulignent les experts de l’Agence spatiale européenne (ESA) qui ont conçu ce centre de veille.

«Un pilote peut toujours poser son avion car il dispose d’alternatives (aux satellites) pour la navigation, mais si la perturbation frappe sans prévenir, au mauvais moment, cela peut être très dangereux», a expliqué Juha-Pekka Luntama, responsable de la météo spatiale à l’ESA.

Une simple anomalie satellitaire peut en effet aboutir à un décalage d’une centaine de mètres dans le positionnement de l’appareil, largement de quoi manquer la piste d’atterrissage.

Si l’atmosphère et la magnétosphère de notre planète protègent les Terriens des particules projetées par le Soleil, il n’en va pas de même dans l’espace, en particulier pour les satellites de haute altitude, comme les satellites de télécommunications géostationnaires (36 000 km) ou de navigation (GPS, Galileo…) qui sont les plus vulnérables.

Le Canada est aussi de la partie

Administré par Ressources Naturelles du Canada et soutenu par l’Agence spatiale canadienne, le Centre canadien de météo spatiale (situé à Ottawa) sert d’antenne à relai des avertissements émis par l’International Space Environment Service. Ce dernier surveille l’activité de notre Soleil, en plus de l’environnement situé entre l’étoile et notre planète ainsi que les conditions sur Terre.

Télégraphistes électrocutés en 1859

Les éruptions de faible intensité n’ont pas d’effet notable, tout au plus de jolies aurores boréales et de légers problèmes de réception radio ou dans les systèmes de navigation des automobiles.

Mais un ouragan solaire, comme celui qui avait bombardé en 1859 le réseau de télégraphie mondiale, électrocutant au passage quelques opérateurs malchanceux et incendiant des bureaux de poste, pourrait avoir un impact désastreux sur nos sociétés de communication.

Une «éjection de masse coronale» projetant des particules (protons, électrons, noyaux d’hélium) à plus de 2000 km par seconde en direction de la Terre pourrait détruire 50 à 100 satellites, soit environ 10% des engins actuellement en orbite, estime l’ESA.

Mais la principale menace venue du Soleil viserait notre réseau électrique.

«Dans le pire des cas, les transformateurs pourraient être endommagés, et leur remplacement prendrait des semaines, voire des mois», selon M. Luntama.

Même si une éruption n’endommageait qu’une petite section du réseau électrique mondial, les secteurs voisins entreraient en surcharge, provoquant des coupures de courant en cascade. Ce fut le cas dans la nuit du 12 au 13 mars 1989, quand une tempête solaire avait entraîné une panne générale d’électricité pendant plus de neuf heures au Québec.

Les astronautes en orbite à bord de la Station spatiale internationale (ISS), et même les aéronefs survolant les régions polaires, moins bien protégées par le champ magnétique de la Terre, seraient également en danger.

En revanche, si l’éruption est détectée à temps, les satellites peuvent être mis en sommeil, la puissance des réseaux électriques abaissée, les avions déroutés ou maintenus au sol… Quant aux occupants de l’ISS, ils trouveraient refuge dans des modules blindés de la station spécialement conçus pour résister aux particules ionisées.

Afin de donner l’alerte le plus vite possible, le centre de coordination de météo spatiale européen s’appuiera sur les observations de dizaines d’universités, d’organismes de recherche et de sociétés privées.

Financé par 14 Etats membres de l’ESA et proposant pour l’instant ses services gratuitement, il sera complètement opérationnel d’ici 2020.

http://fr.canoe.ca

Un entraîneur à qui vous ne voudriez pas confier votre enfant


Je déteste les sports ou il faut a tout prix gagné .. dans les écoles, université et le sport professionnel .. c’est du bourrage de crane et quand viens un entraineur comme celui de la vidéo .. ce n’est plus du sport … c’est des abus
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Un entraîneur à qui vous ne voudriez pas confier votre enfant

 

Mike Rice/Saisie vidéo, courtoisie ESPN

Publié par Louis Senay pour 98,5fm Sports

(98,5 Sports) – Une suspension de trois parties imposée en décembre apparaît nettement insuffisante à la suite de la publication d’une vidéo, mardi, des gestes qui ont entraîné la sanction. Plusieurs medias réclament rien de moins qu’un bannissement à vie pour l’entraîneur de basketball de l’université Rutgers, Mike Rice.

Au moment d’imposer la sanction, la direction de la maison d’enseignement n’avait pas divulgué les raisons qui avaient mené à la pénalité. La vidéo qui suit a fourni des arguments de nature à inciter les parents à ne pas confier leur progéniture au triste sire qui règne à Rutgers.

 

Malgré la publication de la vidéo démontrant les abus physiques et verbaux de l’entraîneur à l’endroit de ses joueurs, incluant coups de pied, empoignades par le col, bousculades et lancers de ballon à la tête ou à hauteur de la cuiller de suspension, le directeur des sports de l’université, Tom Pernetti, maintient que Rice demeurera à la tête de l’équipe, ayant servi sa pénalité de trois parties pour ses agissements.

Les réactions ont toutefois été virulentes dans les médias américains. En voici quelques-unes issues de comptes Twitter, telles que répertoriées par le USA Today :

Richard Deitsch (Sports Illustrated): «Adieu, Mike Rice. Il n’y a pas de place pour ça au sport collégial.»

Greg Rosenstein (ESPN): «Si Rutgers ne congédie pas Mike Rice, pourquoi n’importe quel parent permettrait-il à son enfant de jouer là-bas?»

Doug Gottlieb (CBS Sports): «Il n’y a aucune raison pour laquelle Mike Rice devrait garder son job. Aucune raison. Désolé, mec, pas acceptable…. La confrérie des entraîneurs est tissée serré, ce genre d’action est inacceptable. La plus grande question est de savoir comment Mike Rice a conservé son emploi quand Rutgers a vu la vidéo la première fois.»

Mark Ennis (ESPN): «Si vous permettez à votre enfant de jouer pour Mike Rice, vous devriez avoir honte d’être un parent.»

Bonnie D. Ford (ESPN): «Je ne savais pas que «première offense» s’appliquait à l’abus physique d’un entraîneur. Je suis sûre qu’aucun parent n’accepterait rien de moins qu’une prise et tu es retiré. Sans mentionner le révoltant abus verbal. Tout un éducateur!»

Et plusieurs autres ont joint leur voix à ce tollé, incluant le joueur vedette du Heat de Miami, LeBron James, qui mentionne :

«Si mon fils jouait pour Rutgers ou un entraîneur comme ça, il aurait beaucoup d’explications à donner et je crierais après lui encore par la suite! Allons…»

http://www.985fm.ca