Le chaton qui se prend pour une chèvre


Généralement ont décrit le cri du chat, un miaulement mais est-ce vraiment cela pour tous les chats ??? Car ce chaton a vraiment un miaulement particulier ,…. qui ressemblerait plutôt à  une chèvre
Nuage

 

Le chaton qui se prend pour une chèvre

 

Si les chats ont réellement 9 vies, nul doute que celui-ci fut une chèvre dans une vie antérieure !

A moins qu’il ait appris le langage des chèvres pour pouvoir discuter avec elles, tout simplement…

En effet, ce joli chaton, qui répond au petit nom de Pickles, ne miaule pas, il bêle !

Les maîtres du petit félin ne nous en disent hélas pas plus. Nous ignorons donc si Pickles miaule toujours de cette façon, et à quoi cet étrange bêlement peut bien être dû…

Mais une chose est sûre : ce chaton a beau miauler comme une chèvre, il n’en est pas moins adorable !

 

http://wamiz.com/

Santé: 10 habitudes nuisibles


Nous avons tous des mauvaises habitudes qui nuisent à notre santé, certains sont connu car on en parle beaucoup, alors que d’autres sont fait souvent inconsciemment … mais pour chaque mauvaises habitudes il y a des solutions … qu’il suffit de trouver celle qui pourrait nous aider
Nuage

 

Santé: 10 habitudes nuisibles

 

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Photo :istockphoto.com

 

Amberly McAteer et Andrée-Anne Guénette ,

Pas besoin d’attendre la nouvelle année pour prendre des nouvelles résolutions en matière de santé. Voici 10 mauvaises habitudes et comment s’en débarrasser.

Fumer, se nourrir de fast-food et faire tout son exercice sur le sofa… On sait toutes que ces mauvaises habitudes peuvent nous causer des problèmes de santé assez rapidement. Mais il en est d’autres, plus sournoises, en apparence anodines, qui peuvent aussi nous nuire à moyen ou à long terme. Les voici, avec des conseils pour s’en débarrasser.

1. Se coucher sans se brosser les dents
La journée s’achève, on tombe de fatigue. Le lit nous tend les bras et on se dit que ça peut bien attendre à demain matin.

Le problème. Quelle idée de donner aux bactéries toute une nuit pour s’attaquer à nos dents! De manière plus générale, l’accumulation de plaque dentaire peut causer des maladies des gencives, qui peuvent elles-mêmes mener à des problèmes plus graves comme le diabète et l’ACV, selon Santé Canada.

La solution. Se brosser les dents tout de suite après le souper. Ce sera fait, et on sera moins tentée de grignoter dans la soirée.

2. Ne pas déjeuner le matin
Bousculée le matin, on prend le strict nécessaire: un bon café pour se remettre les yeux vis-à-vis des trous.

Le problème. Lorsqu’on ne déjeune pas, notre organisme se met au ralenti afin de conserver son énergie et un maximum de calories, dont il prévoit qu’il va bientôt manquer. Résultat: notre métabolisme est plus lent qu’il ne devrait et on risque d’avoir du mal à se concentrer, selon Gloria Tsang, diététiste. De plus, pour compenser, il y a de bonnes chances qu’on s’empiffre au dîner… On n’est donc pas surprise de lire que, selon plusieurs études publiées dans le American Journal of Epidemiology, les gens qui sautent le petit-déjeuner ont tendance à être non seulement gros, mais carrément obèses.

La solution. On mange dans les deux heures suivant notre réveil. Le secret d’un petit-déjeuner efficace: un bon équilibre entre les protéines, les matières grasses et les glucides. Quelques exemples: du pain de grains entiers avec du fromage faible en gras, des céréales de grains entiers ou encore des gaufres à l’avoine.

3. Se peser tous les jours
Tentant, n’est-ce pas? Surtout si on cherche à perdre
du poids.

Le problème. Associer un chiffre à notre bien-être est une attitude qui n’est ni saine ni pratique.

«Ça vire facilement à l’obsession, prévient Marie Breton, diététiste. Le mieux: bien s’alimenter et ne pas se soucier du pèse-personne.»

Au lieu de vérifier constamment notre poids, on réfléchit à comment on se sent et on se fie à l’ajustement de nos vêtements (c’est un bon indicateur).

La solution. On range le pèse-personne, et on le sort au plus une fois par semaine. Si on perd du poids de façon saine (en coupant un maximum de 500 calories par jour), on se rassure en se disant qu’on perd environ 1 kilo par deux semaines – et on oublie la balance!

4. S’endormir sur le sofa
Après une journée fatigante et une soirée de devoirs, il ne faut pas grand-chose pour s’endormir sur un sofa bien moelleux.

Le problème. Pour être réparateur, selon le Conseil canadien pour un meilleur sommeil, ce dernier doit durer de sept à huit heures, sans interruption et dans un endroit sombre. Autrement dit, somnoler devant la télé allumée, puis se lever pour aller au lit, ce n’est pas s’offrir du bon sommeil. De plus, ce sommeil interrompu peut déranger notre métabolisme et notre production hormonale, ce qui peut mener à une prise de poids et à un affaiblissement du système immunitaire. Une étude réalisée à l’Université Laval a révélé en effet que les gens qui ne dorment pas sept à huit heures par nuit ont un niveau réduit de leptine, une hormone qui régule l’appétit et transmet le signal de satiété.

La solution. Pour du sommeil de qualité, on éteint la télé (et l’ordi) au moins une heure avant d’aller au lit. On profite de ce moment de calme pour se raconter notre journée, écouter de la musique ou sortir se promener avec notre conjoint.

5. Se laisser distraire au volant
Un petit appel sur la route pour avertir chéri qu’on sera en retard? L’appel ne dure que 20 secondes, où est le danger? On est plusieurs à penser que c’est inoffensif, visiblement. L’an dernier seulement, la SAAQ a relevé plus de 56 000 infractions en lien avec l’utilisation du cellulaire au volant.

Le problème. Conduire tout en faisant une autre activité (écouter nos messages téléphoniques, par exemple) augmente considérablement notre niveau de stress. Sans compter qu’une toute petite distraction suffit pour avoir un accident.

«À mon avis, la plupart des Canadiens surestiment leur habileté à conduire, dit Cam Woolley, expert en circulation. Une seconde suffit. Quitter la route des yeux même un instant pour répondre au téléphone ou retirer les mains du volant pour prendre ou manger quelque chose peut vous coûter la vie.»

La solution. Éviter de faire autre chose en conduisant. Et surtout ne jamais composer de numéro de téléphone ou rédiger de textos. De toute façon, la loi l’interdit depuis 2008.

6. Finir l’assiette des enfants
On n’a pas le coeur de voir toute cette bonne nourriture se perdre. Et puis, il n’y en a pas tant que ça!

Le problème. Même si l’assiette ne contient, disons, que 100 calories (l’équivalent d’une demi-tasse de macaroni au fromage), après sept semaines de ce régime, on aura pris une livre de gras!

La solution. On se contente de ce qu’il y a dans notre assiette, on ne sert pas de trop grosses portions, ni pour nous ni pour les enfants, et on apprend à reconnaître nos signaux de satiété. Oui, mais les restes? On en fait des lunchs ou on suit le bon exemple de Marie Breton, qui rassemble les restes des soupers de la semaine et les sert, façon buffet, le vendredi soir. Chacun choisit ce qui lui tente et en plus, on obtient congé de cuisine!

7. Prendre des extras avec son café
Un peu de crème fouettée, un trait de sirop, une lampée d’alcool… et voilà notre café transformé en un dessert riche de plusieurs centaines de calories.

Le problème. Une cuillerée de crème fouettée ajoute environ 140 calories et chaque trait de sirop, environ 20, estime Marie Breton. Rien qu’en omettant ces petits extras, c’est quelque 41 600 calories par année qu’on supprime – ce qui représente plus de 5 kilos!

La solution. On boit notre café sans tout le tralala et avec du lait écrémé ou faible en gras. À titre comparatif, une tasse de café avec un trait de lait faible en gras n’apporte qu’un maigre petit 10 calories, environ.

8. Manger trop rapidement
Pressée par le temps, on gobe notre repas à la vitesse de l’éclair.

Le problème. Cela cause du reflux gastrique, des ballonnements et des flatulences. Sans compter qu’on risque de trop manger.

La solution. On se donne le temps et on fait l’effort mental de goûter et d’apprécier ce qu’on est en train de manger. On mange dans un autre endroit que notre bureau et on s’accorde au moins 20 minutes pour le faire. On prend le temps de bien mastiquer la nourriture et on fait des pauses entre les bouchées, en déposant notre fourchette.

«Surtout, on évite de manger devant la télé, conseille Marie Breton. L’idéal, c’est de manger à la table de cuisine, en bonne compagnie dans un environnement convivial et détendu.»

9. Se ronger les ongles
Le faire de façon compulsive est un signe de stress, une façon inconsciente de donner à notre cerveau «un os» à gruger.

Le problème. En transportant les microbes de notre bouche à nos ongles, on risque de causer des inflammations et d’infecter nos ongles. Dans les cas extrêmes, le lit de l’ongle peut se voir endommagé de façon permanente. Ce n’est pas tout: ronger ses ongles peut aussi causer des problèmes de dentition. Une étude publiée dans la revue américaine General Dentistry a montré que les gens qui le font courent un risque plus élevé de faire du bruxisme, ce réflexe de grincer des dents pouvant causer des douleurs faciales, des maux de tête, une hypersensibilité des dents, la parodontite et même la perte de dents.

La solution. Garder une lime à ongles à portée de la main (dans notre sac, sur la table de chevet, dans la voiture et au bureau). Chaque fois qu’on est tentée de ronger nos ongles, on la sort et on les lime.

10. Avoir une mauvaise posture
Bien des gens adoptent inconsciemment une position voûtée. Il est vrai que ça demande moins d’effort que de se tenir droit… mais il y a un prix à payer.

Le problème. Être assise le corps penché et la tête en avant peut causer des tensions cervicales, une surchage aux trapèzes et même des douleurs et troubles musculo-squelettiques dans les bras, explique Marie-Pierre Dufort, ergothérapeute et consultante en santé au travail. Le problème, c’est que c’est souvent cette position qu’on adopte inconsciemment en position assise au travail, puisqu’on s’avance pour mieux voir notre écran ou notre document.

La solution. Prendre conscience de notre posture et ajuster au besoin notre poste de travail, selon Marie-Pierre Dufort.

«Je suggère d’incliner l’assise de notre chaise de 5 à 10 degrés vers l’arrière, ce qui nous encourage à être droite. On prend la peine de s’asseoir bien au fond de sa chaise, en s’appuyant au dossier.»

On s’assure également que nos pieds sont à plat au sol ou sur un repose-pieds. Idéalement, celui-ci serait légèrement incliné de manière que les orteils soient un peu plus hauts que les talons. On change de position souvent, en favorisant l’alternance des tâches (marcher vers le photocopieur, prendre nos courriels, faire des appels téléphoniques).

http://www.coupdepouce.com

De la caféine dans la gomme à mâcher!


Une gomme à mâcher ne devrait pas chercher a faire des rajout comme des vitamines ou du café .. surtout que ces gommes pourraient être néfaste pour les enfants … on a pas assez des boissons énergisantes qu’ils faut qu’ils rajoutent de la gomme
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De la caféine dans la gomme à mâcher!

 

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Après le pulvérisateur de café Aeroshot Energy, voici maintenant le Alert Energy Caffeine, une gomme à mâcher au café!

En effet, la compagnie Wrigley lancera dans quelques semaines aux États-Unis la gomme à mâcher Alert Energy Caffeine, qui contiendrait  40 milligrammes de caféine, soit environ l’équivalent d’une tasse de café. Au goût de fruit (mais difficile de dire lequel!) ou de menthe, le nouveau produit se veut une alternative aux boissons énergétiques, y compris le thé et le café.

Ce n’est pas nouveau que le café intéresse les compagnies de gomme à mâcher. Il y a déjà aussi la gomme Stay Alert Gum qui contiendrait 100 mg, la GoFast! Gum avec 80 mg et la Blitz Energy Gum, power to go, une gomme qui contenait 55 mg de caféine, pour ne nommer que celles-là. Malgré l’éventail de l’offre, il n’en est pas moins que selon une étude italienne publiée dans la revue scientifique médicale britannique The Lancet, ces gommes à la caféine sont dangereuses pour la santé des enfants. 

Par ailleurs, Santé Canada recommande un apport quotidien maximal en caféine de 2,5 milligrammes par kilogramme de poids corporel pour les enfants de moins de 12 ans. L’apport maximal de caféine ne devrait pas dépasser:

  • 45 mg/jour chez les 4 à 6 ans
  • 62,5 mg/jour chez les 7 à 9 ans
  • 85 mg/jour chez les 10 à 12 ans

Sachez aussi que ces doses maximales correspondent à une à deux canettes de 12 onces de cola par jour (355 ml). 

Mais il n’y a pas que le café (et le «sentiment d’éveil» qu’il procure) que les fabricants de gomme à mâcher veulent nous vendre. En 2011, la gomme à mâcher suédoise Vigo Gum contenait des vitamines A, B1, B6, B12 et C, du bêtacarotène. Le but? Aider à fortifier les ongles, les cheveux et à améliorer la santé de la peau… Et quoi encore?

http://lafouinecuisine.ca

Ils doivent porter un bracelet électronique au boulot


Le big Brother vous regarde .. c’est le cas de le dire .. Dire que c’est pour la sécurité du personnel j’en doute fortement .. sinon, il aurait pu suggéré plus le bouton panique qu’on peut porter sur soit qu’un bracelet électronique ..
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Ils doivent porter un bracelet électronique au boulot

 

La chaîne de cafétérias italienne MyChef impose un bracelet électronique à ses employés travaillant sur les aires d'autoroutes.

La chaîne de cafétérias italienne MyChef impose un bracelet électronique à ses employés travaillant sur les aires d’autoroutes.

(JOEL SAGET / AFP)

Une chaîne de cafétéria installée en Italie sur les aires d’autoroutes impose à ses employés de porter un bip qui se déclenche dès qu’ils restent immobiles plus d’une minute et demie.

Qui dit que les entreprises n’ont pas les plus grandes attentions pour leurs employés? Des ignorants qui ne savent pas encore qu’une filiale italienne du groupe français de restauration collective Elior a trouvé comment veiller au mieux à leur bien-être. Comment? En les écoutant, en distribuant quelques gratifications à valeur d’encouragement? Point du tout. La chaîne de cafétérias MyChef impose tout simplement à ses employés le port d’un bracelet électronique. Le bip est porté à la ceinture et sonne après une minute et demie d’immobilité de l’employé.

«C’est pour protéger les salariés qu’on l’a fait», assure une porte-parole du groupe français en expliquant que les cafétérias de la chaîne installées sur les aires d’autoroute, sont l’objet d’attaques à mains armées. Une sonnerie du bracelet pourrait ainsi signifier que l’employé est resté immobile plus de 90 secondes parce qu’il est confronté à un braquage de la cafétéria. Seul le personnel qui travaille la nuit doit le porter.

Convergences d’inquiétudes

Cette obligation, ajoute la porte-parole du groupe, a été validée par les syndicats. Cette convergence d’inquiétudes entre patrons et syndicats ne semble pourtant pas recevoir l’agrément de tous les salariés. Comme Amalia, la trentaine, qui travaille sur l’aire de la Pioppa Ovest dans les environs de Bologne.

Comme elle a peur de témoigner même sous ce prénom d’emprunt, son beau-père, Philippe Paoli, chef d’entreprise à Marseille, se fait son porte-parole:

«Ce bracelet électronique a été mis en place pour obliger le personnel à se mouvoir constamment, c’est du flicage», affirme-t-il à l’AFP.

«Les employés travaillent avec la peur de faire sonner le système et de déclencher l’arrivée de la sécurité». Ce qui assurément n’est pas bon pour les services de production.

Mais peut-être l’idée va-t-elle faire son chemin dans d’autres entreprises soucieuses du bien-être de leurs salariés…

http://www.lefigaro.fr/

Avec deux degrés de plus, il y aurait 10 fois plus d’ouragans


L’être humain a toujours pensé qu’il pourrait contrôler les éléments avec ses inventions, ses technologies mais il a oublier l’essentiel .qu’en étant locataire sur cette terre … il devait la protéger et non la détruire. résultat : Nous apprenons que nous contrôlons rien … mais rien du tout
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Avec deux degrés de plus, il y aurait 10 fois plus d’ouragans

 

Cette photo satellite montre l’ouragan Sandy frapper la côte est américaine, le 29 octobre.

PHOTO: REUTERS

Agence France-Presse
Washington

Un réchauffement de deux degrés de la planète pourrait entraîner une décuplement du nombre des ouragans de grande puissance, selon une étude d’un climatologue danois publiée lundi aux États-Unis.

«Si la température monte d’un degré, la fréquence des ouragans extrêmes augmentera de trois à quatre fois et si le climat de la planète devient deux degrés plus chaud, le nombre de ces phénomènes sera dix fois plus grand», précise Aslak Grinsted, de l’Institut Niels Bohr à l’Université de Copenhague, qui se fonde sur un modèle de prédiction prenant en compte l’évolution des températures autour du globe.

«Cela signifie qu’il y a aura un ouragan de la puissance deKatrina tous les deux ans» au lieu de tous les vingt ans jusqu’alors, a-t-il dit.

Des recherches précédentes avaient déjà constaté un lien entre la fréquence des tempêtes tropicales et les ouragans avec le réchauffement du climat.

Katrina, un ouragan de force 5 (avec des vents de 280 km/h) a dévasté La Nouvelle-Orléans en 2005 et été le désastre naturel le plus coûteux dans l’Histoire des États-Unis, ainsi que le cinquième plus meurtrier.

«Notre modèle indique qu’un réchauffement de seulement 0,4 degré correspond à un doublement de la fréquence d’ouragans comme Katrina», explique le scientifique.

Avec le réchauffement de la planète au 20e siècle, nous avons déjà dépassé la limite qui fait que la moitié des ouragans entrant dans la catégorie de Katrina sont attribuables au réchauffement», l’autre moitié s’expliquant par d’autres facteurs naturels comme le courant chaud du Pacifique El Nino, dit-il.

En outre, relève ce climatologue, le niveau des océans va monter avec le réchauffement qui entraîne une fonte accélérée des glaces polaires, surtout dans l’Antarctique. Cette montée des eaux va encore amplifier la puissance des ouragans et les rendre potentiellement plus destructeurs.

Les cyclones tropicaux tirent leur énergie de la chaleur à la surface de l’océan combinée à l’évaporation de l’eau.

Cette étude est publiée dans les Comptes rendus de l’académie américaine des sciences (Proceedings of the National Academy of Science).

http://www.lapresse.ca

Cellulaire au volant : un coroner réclame 9 points d’inaptitude


Non le message ne passe pas .. quand on regarde dans les autos voisins, sur une lumière rouge ou un stop ..et pire en conduisant .. des gens ont le volant entre les mains et leur cellulaire … Je pense qu’en donnant des sanctions plus sévère cela pourra peut-être faire réfléchir ceux qui sont des danger publics … avec leur cellulaire
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Cellulaire au volant : un coroner réclame 9 points d’inaptitude

 

Le coroner Yvon Garneau a rendu son rapport d’investigation lundi matin concernant une collision qui a fait deux morts, sur la route 122, à Saint-Guillaume, au Centre-du-Québec, en octobre 2012.

Yves Vigeant, 51 ans, de Saint-Hyacinthe et André Levasseur, 67 ans, de Sorel-Tracy, y avaient perdu la vie. Selon le coroner, l’accident a été causé parce qu’un des conducteurs, André Levasseur, a été distrait, en voulant répondre à son téléphone cellulaire. Il a ainsi dévié de sa voie, vers la gauche, et percuté de plein fouet le véhicule conduit par M. Vigeant.

« Je constate que le message ne passe pas. Les contraventions se multiplient et on ne fait qu’en jaser. Il est temps maintenant d’agir. Conduire trop vite, écrire des textes ou avoir une main sur le téléphone et l’autre sur le volant sont toutes des infractions fréquentes tant chez les jeunes conducteurs que chez les moins jeunes et qui résultent, à mon avis, de la méconnaissance évidente des dangers liés à la conduite automobile », déplore Me Garneau.

Cellulaire au volant : nombre d’infractions inscrites à la suite d’une condamnation à la SAAQ

2008 :18 248 2009 : 48 782 2010 : 50 141 2011 : 56 598

Selon le coroner Garneau, ce type d’infraction semble en hausse sans qu’on sache si ces chiffres représentent une augmentation du nombre de conducteurs fautifs ou une plus grande vigilance des corps policiers ou les deux.

« Il s’agit toutefois de 155 infractions par jour et il est probable que ce nombre ne représente qu’une petite partie des infractions commises. Toute personne moindrement attentive circulant sur la voie publique au Québec peut voir, chaque jour, des personnes conduisant et parlant en même temps dans un appareil tenu à la main et, même plus, être en train de texter au volant. »

Il recommande à la Société de l’assurance automobile du Québec (SAQQ) que le Code de la sécurité routière soit amendé afin que l’inscription des points d’inaptitude pour tout contrevenant à l’article 439.1 soit majorée à 9 points. Actuellement, un conducteur qui se fait prendre alors qu’il utilise son cellulaire est passible d’une amende de 115 $ et verra son dossier de conduite réduit de trois points d’inaptitude sur un total de 15.

http://quebec.huffingtonpost.ca/