Le magicien des peurs


C’est une histoire, un conte qui apporte réflexion sur nos peurs, peur de mourir, d’avancer, de s’engager … Tous nous vivons des peurs qui nous empêchent aller de l’avant … Peut-être que nous cachons un désir qui nous permettra de s’épanouir
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Le magicien des peurs

 

Il était une fois, une seule fois, dans un des pays de notre monde, un homme que tous appelaient le Magicien des Peurs.

Ce qu’il faut savoir, avant d’en dire plus, c’est que toutes les femmes, tous les hommes et tous les enfants de ce pays étaient habités par des peurs innombrables.

Peurs très anciennes, venues du fond de l’humanité, quand les hommes ne connaissaient pas encore le rire, l’abandon, la confiance et l’amour.

Peurs plus récentes, issues de l’enfance de chacun, quand l’incompréhensible de la réalité se heurte à l’innocence d’un regard à l’étonnement d’une parole, à l’émerveillement d’un geste ou à l’épuisement d’un sourire.

Ce qui est sûr, c’est que chacun, dès qu’il entendait parler du Magicien des Peurs, n’hésitait pas à entreprendre un long voyage pour le rencontrer. Espérant ainsi pouvoir faire disparaître, supprimer les peurs qu’il ou elle portait dans son corps, dans sa tête.

Nul ne savait comment se déroulait la rencontre. Il y avait chez ceux qui revenaient du voyage, beaucoup de pudeur à partager ce qu’ils avaient vécu. Ce qui est certain, c’est que le voyage du retour était toujours plus long que celui de l’aller.

Un jour, un enfant révéla le secret du Magicien des Peurs. Mais ce qu’il en dit parut si simple, si incroyablement simple, que personne ne le crut.

« Il est venu vers moi, raconta-t-il, m’a pris les deux mains dans les siennes et m’a chuchoté :

– Derrière chaque peur, il y a un désir. Il y a toujours un désir sous chaque peur, aussi petite ou aussi terrifiante soit-elle ! Il y a toujours un désir, sache-le ».

« Il avait sa bouche tout près de mon oreille et il sentait le pain d’épices » confirma l’enfant.

« Il m’a dit aussi : – Nous passons notre vie à cacher nos désirs, c’est pour cela qu’il y a tant de peurs dans le monde. Mon travail, et mon seul secret, c’est de permettre à chacun d’oser retrouver, d’oser entendre et d’oser respecter le désir qu’il y a sous chacune de ses peurs ».

L’enfant, en racontant tout cela, sentait bien que personne ne le croyait. Et il se mit à douter a nouveau de ses propres désir.

Ce ne fut que bien des années plus tard qu’il retrouva la liberté de les entendre, de les accepter en lui. Cependant, un jour, un homme décida de mettre le Magicien des Peurs en difficulté.

Oui, il voulait le mettre en échec. Il fit le voyage, vint à lui avec une peur qu’il énonça ainsi : « – J’ai peur de mes désirs ! »

Le Magicien des Peurs lui demanda : « – Peux-tu me dire le désir le plus terrifiant qu’il y a en toi ?

– J’ai le désir de ne jamais mourir, murmura l’homme.

– En effet, c’est un désir terrible et fantastique que tu as là. »

Puis, après un temps de silence, le Magicien des Peurs suggéra : « – Et quelle est la peur qu’il y a en toi, derrière ce désir ? Car derrière chaque désir, il y a aussi une peur qui s’abrite et parfois même plusieurs peurs. »

L ‘homme dit d’un seul trait : « – J’ai peur de ne pas avoir le temps de vivre toute ma vie.

– Et quel est le désir de cette peur ?

– Je voudrais vivre chaque instant de ma vie, de la façon la plus intense, la plus vivante, la plus joyeuse, sans rien gaspiller.

– Voilà donc ton désir le plus redoutable », murmura le Magicien des Peurs. « Ecoute moi bien. Prends soin de ce désir, c’est un désir précieux, unique. Vivre chaque instant de sa vie de la façon la plus intense, la plus vivante, la plus joyeuse…, sans rien gaspiller, c’est un très beau désir. Si tu respectes ce désir, si tu lui fais une place réelle en toi, tu ne craindras plus de mourir. Vas, tu peux rentrer chez toi.  »

Mais vous qui me lisez, qui m’écoutez, peut-être, vous allez tout de suite me dire : « Alors chacun d’entre nous peut devenir un magicien des peurs »

Bien sûr, c’est possible, si chacun s’emploie à découvrir le désir qu’il y a en lui, sous chacune de ses peurs ! Oui, chacun de nous peut oser découvrir, dire ou proposer ses désirs, à la seule condition d’accepter que tous les désirs ne soient pas comblés. Chacun doit apprendre la différence entre un désir et sa réalisation…

« Alors, tous les désirs ne peuvent se réaliser, même si on le désire ? »

« Non, seulement certains. Et nul ne sait à lavance lequel de ses désir sera seulement entendu, lequel sera comblé, lequel sera rejeté, lequel sera agrandi jusqu aux étoiles !

C’est cela, le grand secret de la vie. D’être imprévisible, jamais asservie et en même temps, immensément généreuse face aux désirs des humains. »

Des rumeurs disent que le Magicien des Peurs pourrait passer dans notre pays… •

Jacques Salomé .

Norvège Prof renvoyée pour avoir fait goûter son sang à ses élèves


Il y a des professeurs qui ont vraiment des idées bizarres … et on se demande bien ce qu’ils ont dans la tête surtout quand ils enseignent a des touts petits
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Norvège

Prof renvoyée pour avoir fait goûter son sang à ses élèves

 

Prof renvoyée pour avoir fait goûter son sang à ses élèves

Crédit photo : archives Reuters

TVA Nouvelles

Une histoire digne des films de la série Twilight: une institutrice norvégienne a été renvoyée après que ses élèves aient goûté à son sang.

La professeure avait apporté une fiole de son sang pour montrer à ses jeunes élèves âgés de 3 à 6 ans. Ils ont d’abord regardé le sang et ont ensuite insisté pour le toucher, ce à quoi l’institutrice a dit oui.

Les enfants ont touché au sang avant de demander comment nettoyer leurs mains.

«Elle a mis son doigt dans sa bouche. Tous ont emboîté le pas», a raconté Lise Soemme Andersen, la directrice de l’école, au journalMetro.

«Les parents sont mortifiés, choqués et secoués», a-t-elle ajouté.

Les autorités sanitaires ont reconnu que l’acte représentait un faible taux de transmission de maladies. Elle a été soumise à différents tests pour s’assurer qu’elle n’était pas atteinte du sida ou de l’hépatite B.

http://tvanouvelles.ca

Le saviez-vous ► Expression : Avoir un nom à coucher dehors


Avec les gens qui voyagent ou qui s’installent dans des pays adoptif, il n’est pas rare d’avoir des noms difficile a prononcer. Mais il fut un temps qu’avoir un nom étranglés étaient des exclus
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Avoir un nom à coucher dehors 

 

Avoir un nom très difficile à prononcer et/ou à retenir.

Aujourd’hui, que vous vous appeliez Andreszjw Kraszwieskichigawa ou Hildegarde von Geschwätzschwarzwaldzahnartz, on vous accepte à l’hôtel sans aucune difficulté.

Mais autrefois, au Moyen Âge et bien après, en ces temps reculés où les sirènes des patrouilles de police ne résonnaient pas encore, où il était impossible de mettre deux litres de super dans sa mobylette (à condition d’en avoir inventé une) et où les brigands troussaient la gueuse et détroussaient le gueux, les aubergistes étaient d’un naturel extrêmement méfiant.

Une fois la nuit tombée, pour se faire admettre dans une auberge, il fallait montrer patte blanche, c’est-à-dire d’abord énoncer son patronyme. Et celui qui n’avait pas un nom très ‘chrétien’ avait de fortes chances de se voir éconduire et de devoir passer son chemin ou coucher à l’écurie.

(Ensuite, une fois admis, la tenue vestimentaire et la noblesse du nom avaient leur importance pour l’affectation des plus belles ou plus inconfortables chambres)

Quand on sait que les auberges étaient nettement moins répandues que les hôtels ou motels aujourd’hui et qu’il y avait de très faibles probabilités de pouvoir se faire prendre en stop pour tenter de se faire accepter au suivant, celui ayant un nom à coucher dehors avait intérêt à avoir de quoi bien se couvrir pour passer la nuit.

http://www.expressio.fr

Des mots sur les mots


Les troubles d’apprentissages se détecte au primaire, savoir les reconnaitre pour être diagnostiqué peut donner une nouvelle orientation sur l’éducation .. car il y a parmi eux qui réussiront a pousser leur études malgré les difficultés rencontré
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Des mots sur les mots

 

NATHALIE CÔTÉ, collaboration spéciale
La Presse

Les troubles d’apprentissage sont d’origine neurologique et sont permanents. Ils ne sont pas liés à une déficience intellectuelle, à un problème d’ouïe ou de vue, ou encore à un manque de stimulation.

Leur définition est toujours source de débats. Pour l’Association québécoise des troubles d’apprentissage (AQETA), ils touchent spécifiquement la lecture, l’écriture et les mathématiques. D’autres experts incluent également d’autres troubles ayant un impact négatif sur les apprentissages.

Attention! Il n’est pas anormal pour des enfants de première année d’éprouver certaines difficultés à lire, à écrire et à compter.

«Ils sont en apprentissage, souligne Isabelle Boutin, orthopédagogue chez Parcours d’enfants. On peut déjà voir certains indices, mais c’est généralement vers la troisième ou la quatrième année que le diagnostic est établi.»

DYSCALCULIE

Trouble relatif à l’apprentissage du calcul et à la capacité à manier les nombres.

DYSLEXIE

Trouble touchant l’apprentissage de la lecture. La personne dyslexique a de la difficulté à décoder les mots écrits.

DÉFICIT D’ATTENTION

Il s’agit d’une difficulté à maintenir son attention. L’enfant sera souvent qualifié de distrait. S’il souffre aussi d’hyperactivité, l’élève aura alors un important besoin de bouger et dérangera. Plusieurs dyslexiques ont également un déficit d’attention.

DYSPRAXIE

Altération de la capacité à exécuter des mouvements de façon automatique. Autrement dit, la personne atteinte de dyspraxie doit contrôler consciemment chaque mouvement nécessaire pour tracer une lettre, par exemple.

DYSORTHOGRAPHIE

Trouble lié à l’apprentissage de l’orthographe. La plupart des jeunes dyslexiques sont aussi dysorthographiques.

DYSPHASIE

Trouble qui touche l’expression et la compréhension du langage.

Sources: Isabelle Boutin, orthopédagogue chez Parcours d’enfants, et le livre Dyslexie et autres maux d’école, de Marie-Claude Béliveau

http://www.lapresse.ca

Prévenir le vol d’identité


Le vol d’identité peut arriver a n’importe qui et cela occasionnent beaucoup de problèmes .. On peut diminuer les risques en prenant certaines précautions …
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Prévenir le vol d’identité

 

PAR JULIE CHAMPAGNE  | PHOTO: SHUTTERSTOCK

Le vol d’identité, c’est quoi ?

Il est question d’usurpation d’identité aussitôt que les renseignements personnels d’un individu sont recueillis et utilisés par quelqu’un qui se fait passer pour lui et qui utilise ces informations à des fins frauduleuses.

Conseil de sécurité pour minimiser les risques

En tout temps…

… on s’assure de connaître les fins auxquelles ses renseignements personnels sont destinés. En cas de doute, on pose des questions.

… on ne fournit sa date de naissance, son adresse de courriel et autres détails que si c’est absolument nécessaire. On ne communique ces renseignements qu’aux sociétés que l’on connaît et en qui on a confiance.

… on protège son numéro d’assurance sociale. L’identité d’une personne est étroitement liée à cette pièce d’information, qui donne accès à ses rapports de crédit et aux bases de données gouvernementales.

… on choisit des mots de passe difficiles: surtout pas le nom de son conjoint, de son animal domestique ou son numéro de téléphone! On combine idéalement des chiffres, des lettres majuscules et minuscules, ainsi que des symboles (#, $, %, !).

En ligne…

… on utilise toujours des méthodes sécurisées pour fournir des renseignements personnels, surtout quand il est question d’informations financières, comme un numéro de carte de crédit ou de compte bancaire.

… on vérifie toujours qu’il y a un cadenas au coin droit en bas de l’écran lorsqu’on remplit des formulaires.

… on n’envoie jamais de renseignements personnels par courriel; ce n’est pas un mode de transmission sécurisé.

… on s’assure que ses pare-feu informatiques et ses logiciels-espions sont mis à jour pour protéger ses renseignements personnels.

… on se méfie de l’hameçonnage, une stratégie criminelle qui consiste à envoyer un courriel demandant de fournir des renseignements personnels précis au nom d’une organisation réputée, et de cliquer sur un lien menant vers un site Web falsifié imitant à la perfection celui de l’institution. Les entreprises sérieuses ne demandent jamais de renseignements importants par courriel.

Sur les sites de réseautage social (Facebook, MySpace, Twitter)…

… on s’assure de lire et de comprendre les politiques de protection de la vie privée.

… on limite le nombre de personnes qui ont accès au profil et aux photos qu’on fournit, ainsi que celles qui peuvent trouver, en effectuant une recherche, le profil qu’on a donné.

… on n’accepte que les demandes de ceux que l’on connaît dans la vraie vie.

… on pense aux conséquences des informations divulguées. Par exemple, pour un fraudeur malicieux, une seule photo peut en dire long sur le lieu de résidence, l’employeur, la marque de la voiture, les dates des vacances, etc., de quelqu’un.

À la maison et en public…

… on déchiquette les documents contenant des renseignements personnels, comme son nom et son adresse.

… on fait en sorte que son portefeuille et son sac à main ne soient pas facilement accessibles lorsqu’on se trouve dans un lieu public.

… on ne perd pas sa carte de débit ou de crédit de vue au moment d’un achat, et on s’assure que celle qui est remise est bien la carte qu’on a donnée.

… on ne fournit jamais de renseignements personnels au cours d’un appel qu’on n’a pas sollicité, même si l’interlocuteur prétend représenter une société légitime.

… on verrouille sa boîte aux lettres, si c’est possible. Si on s’absente, on demande à une personne de confiance de ramasser le courrier.

Si je suis victime d’un vol d’identité, je fais quoi ?

1. Je communique avec tous les organismes concernés: les institutions qui m’ont prêté de l’argent, les compagnies qui m’ont vendu un produit, le service de police de notre localité, etc.

2. Je contacte les principales agences canadiennes de renseignements de crédit afin qu’elles m’envoient une copie de mon dossier de crédit.

Je pourrai ainsi vérifier si le fraudeur a ouvert des comptes ou contracté des dettes en mon nom. Je fais également ajouter à mon dossier de crédit une alerte de fraude demandant aux créanciers de me contacter avant d’ouvrir de nouveaux comptes ou de modifier mes comptes existants.

Info:
TransUnion Canada: 1 877 713-3393
Equifax Canada: 1 800 465-7166

3. Je contacte le Centre national d’appels PhoneBusters, dont le mandat est de recueillir des renseignements sur les plaintes en matière de vol d’identité et d’assister les victimes.

Info:
PhoneBusters: 1 888 495-8501

4. Je dépose une plainte en ligne sur la Passerelle d’information pour le consommateur canadien du Bureau de la consommation, d’Industrie Canada. Je signale également la perte ou le vol de tout document émis par le gouvernement au ministère compétent.

5. Je prends en note de tous les gestes que je pose et des sommes que je débourse pour rétablir ma réputation et corriger mon dossier de crédit.

Pour en savoir plus
http://monidentite.isiq.ca

http://www.moietcie.ca

Fukushima, deux ans après: Les débris du tsunami en mer pour des décennies


Fukushima, avant le tsunami, le monde en général ne connaissait pas ce coin du monde et depuis la catastrophe, cela fait partie de l’histoire de la planète et ces conséquences seront pour des décennies apparent quelque part dans l’océan ..
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Fukushima, deux ans après: Les débris du tsunami en mer pour des décennies

 

Des volontaires nettoient des photos retrouvées parmi les débris laissés par le tsunami, à Kesennuma le 10 mars 2013

Des volontaires nettoient des photos retrouvées parmi les débris laissés par le tsunami, à Kesennuma le 10 mars 2013TOSHIFUMI KITAMURA AFP

JAPON – Cinq millions de tonnes de débris ont été engloutis par l’océan…

 

Les vagues immenses qui ont frappé le Japon en mars 2011 ont charrié dans la mer une quantité sans précédent de déchets: cinq millions de tonnes de débris d’immeubles, voitures, bateaux, mobilier urbain… et dont une partie va encore voguer des décennies. Environ 3 millions et demi de tonnes ont immédiatement coulé, selon les chiffres officiels du Japon, et quelque 1,5 million de tonnes de plastique, filets de pêche, bois, containers à poissons, ferraille… sont partis au large.

«Le tsunami aurait éjecté dans l’océan Pacifique au minimum l’équivalent de 3.200 années de déchets rejetés en mer par le Japon en situation de routine», estime l’ONG française Robin des Bois, spécialisée dans les questions de gestion de débris post-catastrophe. Et pour le seul plastique, le volume dispersé en quelques heures dans Pacifique serait équivalent à celui accumulé depuis plusieurs décennies dans l’Atlantique et le Pacifique réunis, ajoute-t-elle.

Des docks en béton et des Harley Davidson…

Début 2012, les premiers débris -les plus légers et avec le plus de prise au vent- ont échoué sur les côtes de l’Oregon, de l’Etat de Washington, au sud de l’Alaska et de la Colombie britannique (Canada). D’autres ont suivi: une moto Harley-Davidson dans un container, un ballon de football avec le nom de son propriétaire dessus, un voilier… Deux docks flottants en béton en provenance du port de pêche de Misawa, préfecture d’Aomori (nord-est), ont gagné l’un l’Oregon, l’autre l’Etat de Washington, avec huit mois d’écart. Une double odyssée qui illustre bien que, contrairement à ce qu’on pensait, il n’y pas eu de débarquement massif de déchets.

Les données de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), l’agence américaine de l’océan et de l’atmosphère, «montrent que les débris ne forment plus une masse unique», indique Sherry Lippiatt, coordinatrice régionale en Californie du programme sur les déchets marins de la NOAA.

«Depuis deux ans, ils ont été dispersés dans le vaste océan Pacifique nord», ajoute-t-elle.

Et il est difficile de savoir combien flottent encore à la surface et où exactement. Beaucoup ont dû couler, se charger d’eau, et leur dispersion rend vaine toute observation par avion ou satellite.Danger pour la navigation. En revanche, des observations réalisées par des marins et des pêcheurs ainsi que des modèles informatiques laissent penser que le gros des débris qui se déplacent le plus lentement se trouve au nord et à l’est d’Hawaï.

Les micro-déchets avalés par les poissons?

 

Simon Boxall, du Centre océanographique national britannique (NOC), explique que la plupart des épaves sont emportées dans un courant circulaire qui part du Pacifique nord, et finissent pris au piège dans un tourbillon situé entre Hawaï et le Pacifique, connu comme la «Grande zone d’ordures du Pacifique» (GPGP pour Great Pacific Garbage Patch).

«Certaines pourraient y rester de trente à quarante ans», dit-il.

Les débris pris dans la partie nord du courant ont, eux, tendance à s’en séparer et se diriger vers les côtes d’Amérique du Nord, selon Simon Boxall. Aussi, on découvrira encore pendant des années des traces du drame japonais en se promenant sur la plage.

«La plupart sont sans danger», assure Simon Boxall, ajoutant que le matériel radioactif de la centrale nucléaire de Fukushima était «évidemment» une exception.

«Les hydrocarbures ont été dispersés dans l’océan depuis longtemps, ainsi que le gros des produits chimiques. Les gros objets en revanche représentent encore un danger pour la navigation», détaille-t-il.

Une interrogation subsiste pour les plastiques dégradés en microparticules. Des études réalisées précédemment sur des moules et des poissons de la mer du nord indiquent qu’elles sont avalées par certaines espèces et restent dans leur système digestif.

«On parle beaucoup de micro-déchets de plastique, mais on ne sait rien sur les nano-particules», souligne François Galgani, spécialiste des déchets plastiques à l’Institut français pour l’exploitation de la mer (Ifremer).

Reste aussi pour lui, le «gros problème de la dispersion des espèces invasives» transportées par les débris. Les autorités américaines ont d’ailleurs pris grand soin de nettoyer les docks en provenance du port de Misawa pour éviter la prolifération de dizaines d’espèces marines qui l’avaient colonisé.

Avec AFP

http://www.20minutes.fr

COMMENT RECONNAÎTRE UN MANIPULATEUR


Il semble que les manipulateur ont a peu près les mêmes tactiques pour arriver a leur fin dans un couple, en les rabaissant tout en leur donnant quelques flatteries pour les amadouer et les manipuler encore plus la prochaine fois
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COMMENT RECONNAÎTRE UN MANIPULATEUR

 

Crédit photo: Thinkstock/Hemera

Mary Casey, psychologue de Sydney, suggère des stratégies permettant de faire face aux manipulateurs!

Tiré de HealthSmart Magazine, juin 2011

La première étape, dit-elle, consiste à reconnaître les tactiques qu’emploie le manipulateur. En voici quelques-unes :

La négation : il nie carrément avoir fait du mal

La distraction : il change de conversation pour esquiver le sujet en cours ou pour gagner du temps (« il ne s’agit pas de moi, mais de toi »).

La menace : il emploie des moyens détournés ou directs pour vous signifier son intention de vous faire du mal (« je ne sais pas pourquoi je suis encore avec toi, ça ne marche plus entre nous »). 

La culpabilité : il laisse entendre que vous êtes égoïste pour vous faire sentir coupable et pour susciter en vous le désir de vous amender ( « je dépense de l’argent pour t’offrir ce cadeau et voilà comment tu me remercies ») 

La flatterie : il use de paroles flatteuses pour gagner votre faveur ( «je n’ai pas cessé de penser à toi aujourd’hui et j’ai cru qu’acheter ce petit cadeau te ferait plaisir »).

Le blâme : il se démet subtilement de sa responsabilité et la reporte sur vous (« vas-tu encore te mettre dans tous tes états? »)

La tromperie : il dissimule la vérité ou la déforme, ses propos sont flous et il se justifie par des excuses ridicules (« C’est le comportement classique du partenaire infidèle »,
affirme la psychologue).

 

http://selection.readersdigest.ca

Les femmes enceintes voient leurs pieds s’allonger


Y’a pas a dire, la femme subit plusieurs changements durant sa vie et pendant une première grossesse on a constater d’autres changements qui peuvent arriver et qui peuvent avec les années expliquées certains maux déformation du pied, arthrite et problèmes aux hanches
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Les femmes enceintes voient leurs pieds s’allonger

 

GARO/PHANIE/phanie

Pendant la grossesse, les ligaments du pied s’assouplissent sous l’action de deux hormones, les œstrogènes et la relaxine.

Elles étaient nombreuses à le soupçonner et une étude le confirme: une première grossesse entraîne souvent une déformation des pieds.

Une grossesse est une source de bouleversements pour bien des femmes, émotionnellement et physiquement. Parfois même à un point que l’on n’imagine pas: être enceinte modifierait la structure des pieds des futures mères, selon uneétude américaine parue dans la revue American Journal of Physical Medicine and Rehabilitation. Une première grossesse peut leur faire gagner jusqu’à 1 cm de longueur.

C’est un spécialiste en orthopédie, le Dr Neil Segal, professeur à l’université de l’Iowa, qui a eu l’idée de cette étude après avoir entendu des patientes raconter qu’elles avaient changé de pointure de chaussures en devenant mère. Il a donc pris les mesures d’une cinquantaine de femmes, pendant le premier trimestre de leur grossesse et cinq mois après la naissance du bébé. Son travail montre que 60% à 70% d’entre elles présentaient après l’accouchement des pieds plus longs et plus larges.

Irréversible

Les mesures ont révélé que la voûte plantaire perdait en profondeur et en rigidité sous l’effet de la grossesse.

«Pendant la grossesse, les ligaments des pieds s’assouplissent sous l’effet conjugué de deux hormones, l’œstrogène et la relaxine, dont la production est maximale à 12 semaines. Ce pied devenu plus malléable se voit appliquer de nouvelles forces du fait du déplacement du centre de gravité de la femme enceinte vers l’avant à mesure que son ventre grossit», explique le Dr Segal au Figaro. Au final, le pied «s’aplatit», gagnant de 2 à 10 mm en longueur.

Le médecin estime que ces changements sont irréversibles car, alors que certaines modifications musculo-squelettiques également observées chez les femmes enceintes au niveau des poignets et de la colonne vertébrale s’effacent trois mois après la naissance, celles constatées sur les pieds sont toujours présentes cinq mois après l’accouchement.

Ce phénomène serait néanmoins propre à la première grossesse, car l’arrivée d’un deuxième ou troisième enfant ne semble pas intensifier la déformation. Le Dr Segal prévoit de poursuivre ses recherches car, selon lui, cette déformation pourrait expliquer pourquoi les femmes souffrent plus fréquemment de fasciite plantaire (étirement d’une membrane qui rejoint le talon et les orteils), d’arthrite du genou et de la hanche et de douleurs lombaires quand elles avancent en âge

http://sante.lefigaro.fr