Parole d’enfant ► Recette d’eau de mer


Voilà un enfant qui a compris que l’eau de mer n’est pas tout a fait comme on l’imagine …
Nuage

 

Recette d’eau de mer

 

 

« Maman,pour faire de l’eau de mer, il faut :
– de l’eau,
– beaucoup de sel
– et du pétrole !
»

Tom 5 ans

La vie, un jardin


La vie comme un jardin et nous en sommes les jardiniers .. savoir cultiver ce qui nous fait du bien et délaissé ce qui nous rend triste permet de mieux vivre
Nuage

La vie, un jardin

 

« La vie s’apparente à un jardin.
 
Les feuilles flétrissent et les fleurs se fanent naturellement. C’est seulement si nous éliminons les déchets que nous profiterons pleinement de la beauté des nouvelles feuilles et  fleurs.
 
De même, nous devons éliminer de notre esprit les expériences mauvaises, sombres du passé.
 
Vivre, c’est se souvenir d’oublier.
Pardonne ce qui doit être pardonné.
Oublie ce qui doit être oublié
.
 
Embrasse la vie avec une vigueur renouvelée. Nous devrions pouvoir accueillir chaque instant de la vie avec un regard neuf, telle une  fleur fraîchement éclose. »

 
 
Mata Amritanandamay.

Le Saviez-Vous ► Madame, Mademoiselle … Ce n’est pas tendance


Madame ou mademoiselle … Mieux vaut dire madame, pour ne pas tenir compte du statut matrimonial .. mais veuve, divorcé, épouse de .. alors que l’homme demeure monsieur .. était nettement discriminatoire .. Bref a travers les années ont peut voir toutes l’évolution qui a amener a madame  et voir même la suppression dans certains documents officiels.. et que la femme garde son nom de famille même après le mariage
Nuage

Madame, Mademoiselle … Ce n’est pas tendance

Historique

Ma-dame est un terme du Moyen-Age, et correspond à Mon-sieur, Monseigneur ou Messire, termes équivalents apparus à différentes époques mais de même étymologie.

Ma-demoiselle vient du bas-latin « dominicella », diminutif de « domina » (maîtresse de maison, qui a donné « dame »). « Mademoiselle » est ainsi un diminutif de « Madame », ce qui revient à dire « Madamette ».

Jusqu’au XVIIIe siècle, la distinction entre « Madame » et Mademoiselle » n’est pas le mariage mais le statut social, « Madame » étant une femme de la haute noblesse, titrée et « Mademoiselle » étant une femme de la petite noblesse, non titrée (mariées ou non).

À partir du XVIIIe siècle, le terme « demoiselle » est associé au statut marital, désignant la femme comme vierge et « à marier ». L’équivalent mon-damoiseau est tombé en désuétude.

Le code Napoléon de 1804 prévoit que les femmes ne s’émancipent plus par le mariage et demeurent « mineures » à vie, privées de droits civils comme les enfants. Elles passent de la tutelle de leur père (demoiselle) à celle de leur mari (dame). Depuis 1938 et l’abrogation du Code Napoléon, toute femme, à sa majorité, devrait être nommée « dame » et non plus « demoiselle ».

Et ailleurs ?

La distinction madame/mademoiselle n’existe pas ou bien est tombée en désuétude dans beaucoup de pays (Etats-Unis, Allemagne, Portugal, Danemark…). Au Québec, ce terme témoigne d’une pensée si archaïque qu’appeler une femme « mademoiselle » est très très mal perçu.

Le « Mademoiselle » des actrices

Certaines actrices se font appeler « mademoiselle ». Au-delà d’une appellation jugée plus flatteuse, il s’agit en fait d’une tradition qui remonte au XVIIe siècle. Les actrices n’avaient pas le droit de se marier religieusement – le mariage civil n’existait pas – car l’Eglise excommuniait les actrices, jugeant ce métier de « mauvaise vie ».

Le nom de naissance

La loi du 6 fructidor an II (23 août 1794), toujours en vigueur, dispose qu’ « aucun citoyen ne pourra porter de nom  ou de prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance ».Le seul nom reconnu officiellement pour les femmes comme pour les hommes est donc le nom attribué à la naissance. Les documents d’identité, les actes officiels ainsi que les dossiers administratifs doivent donc être établis à ce nom. On a longtemps parlé de « patronyme », puisqu’il s’agissait du nom transmis par le père, mais on parle aujourd’hui de « nom de famille », puisque les parents peuvent choisir de transmettre le nom du père, le nom de la mère, ou les deux noms accolés, et dans l’ordre de leur choix.

Le nom d’usage

Chaque conjoint dans le cadre du mariage peut prendre le nom de son époux, mais il s’agit d’un nom d’usage. Aujourd’hui, un homme marié peut également prendre le nom de son épouse en nom d’usage, mais on ne parle pas pour autant dans le langage ou dans les formulaires administratifs de « nom de jeune homme ». Il n’y a donc aucune raison d’appeler le nom de naissance d’une femme « nom de jeune fille », puisque il s’agit non pas d’un nom temporaire, qu’elle porterait pendant sa jeunesse, jusqu’au mariage,  mais de son seul véritable nom.  Une circulaire du Premier ministre du 4 novembre 1987 « relative à la mise en oeuvre des dispositions applicables au nom d’usage » prévoit d’ailleurs la substitution de la rubrique « nom d’époux » par une rubrique « nom d’usage ».

Madame/Mademoiselle en quelques dates

1967 : Circulaire FP n° 900 du 22 septembre 1967 :les mères célibataires peuvent se faire appeler Madame.

1970 : Circulaire du 29 septembre 1970 relative à la suppression des mentions « Madame veuve X » et « Madame Y épouse divorcée de Z »: élimination de toutes mentions susceptibles d’être discriminatoires ou indiscrètes.

1972 : Décision du garde des sceaux autorisant explicitement toute femme de plus de vingt et un an, mariée ou non, à être appelée « madame ».

1974 : Circulaire FP n° 1172 du 3 décembre 1974 relative à la suppression des mentions telles que « Veuve X », « Épouse divorcée Y », « Mademoiselle A », dans les correspondances administratives adressées aux femmes.

1983 : Question écrite au Sénat n°5128 du 3 mars 1983 établissant le statut des appellations des femmes : aucun texte juridique ne codifie les appellations « madame » et « mademoiselle » et l’existence de deux termes pour désigner les femmes par leur statut matrimonial constitue une discrimination sexiste. Il incombe aux intéressées de choisir leur civilité. Aucun texte ne prévoit non plus que le mariage emporte changement de nom des époux. L’apposition des mentions « épouse », « divorcée » ou « veuve », suivie du nom du conjoint est contraire à la loi.

1986 : Circulaire du 26 juin 1986 : l’homme marié peut avoir le droit d’user du nom de sa conjointe par adjonction à son patronyme. En revanche la substitution n’est pas autorisée (alors qu’elle est tolérée, même si elle est illégale, pour la femme mariée).

2005 : Question écrite au Sénat du 3 novembre 2005 : demande réitérée de retirer la mention à la distinction « Madame », « Mademoiselle », « Monsieur » dans les documents et formulaires officiels, dans la mesure où la mention du sexe apparaît suffisante et que ces civilités ne relèvent pas de l’état civil.

2006: Question écrite au Sénat n°24509, sur la persistance dans les documents et logiciels administratifs d’une appellation différenciée pour les femmes, discriminatoire en ce qu’elle opère une distinction de statut pour les femmes en fonction de l’organisation de leur vie privée, ce qui n’est pas le cas pour les hommes qui sont nommés d’un nom générique « monsieur » indépendamment de leur vie privée. Confirmation du garde des sceaux que ces appellations discriminatoires ne reposent sur aucune disposition législative ou réglementaire. Ne constituant pas un élément de l’état civil, elles ne peuvent être imposées.

2011 : Question écrite au Sénat, n°19749 du 4 août 2011: le sujet a été maintes fois évoqué au cours des trente dernières années, et cette discrimination a été condamnée dans pas moins trois circulaires ministérielles (circulaires FP 900 de 1967, FP 1172 de 1974, circulaire CNAF n° 1028 – 410 de 1978).Il faut mettre un terme à ce débat et à une situation discriminatoire.

http://madameoumadame.fr

Une ingénieuse idée pour apprendre à son chat comment utiliser les toilettes !


Bon c’est une pub pour vendre des sortes d’anneaux pour aller sur la toilette ainsi apprendre au chat a utiliser la toilette au lieu de la litière..  D’après la vidéo, cela semble facile mais bon … la litière ce n’est pas si terrible  Il semble que cela se vend aussi au Québec.
Nuage

 

Une ingénieuse idée pour apprendre à son chat comment utiliser les toilettes !

 

Vous en avez marre de nettoyer sans cesse le bac à litière de votre chat, et rêvez de le voir utiliser les toilettes comme tous les autres membres de la famille ?

L’invention de Jo Lapidge, une Australienne de 48 ans, devrait alors vous séduire ! La LitterKwitter est un dispositif visant à apprendre aux chats à utiliser les toilettes Une idée que Jo a eu en regardant le film Mon beau-père et moi, dont Ben Stiller partage l’affiche avec Robert de Niro.

Il y a quelques années, Jo a adopté un chaton Burmese, qu’elle a appelé Doogal. Mais son bonheur auprès de ce chat adorable a quelque peu été entaché par la corvée de la litière.

« Quelques semaines après son arrivée, son bac à litière a commencé à me rendre malade. (…) Dès que je le nettoyais, il s’y précipitait pour le réutiliser » raconte-t-elle.

La révélation de Jo

Puis Jo a vu Mon beau-père et moi, et elle a eu une véritable illumination lorsqu’elle a découvert la scène dans laquelle Ben Stiller partage les toilettes avec le chat M. Jinx !

Jo a crée 15 prototypes avant de parvenir au résultat qu’elle commercialise aujourd’hui sous le nom de Litter Kwitter.

« Doogal a été formé sur le premier des 15 prototypes et il est devenu un membre beaucoup plus civilisé de notre famille » raconte Jo. « Les chats enterrer leurs excréments pour en masquer l’odeur qui dans la nature peut attirer les prédateurs. Un chat toilettes dont les déjections disparaissent avec l’eau des toilettes ressent la même satisfaction psychologique ».

2 mois pour faire de votre chat un membre civilisé de la famille !

La LitterKwitter est plus efficace avec les chatons, puisqu’ils n’ont pas de mauvaises habitudes dont ils doivent se débrarasser. Mais n’importe quel chat peut apprendre à utiliser les toilettes grâce au dispositif de Jo.

La première étape de cet apprentissage consiste à placer un pot rempli de litière près des WC. Une siège en plastique, dans lequel peut être déposée de la litière est ensuite fixé aux toilettes. Il est enfin remplacé par un disque proposé en différentes tailles pour s’adapter à tous les chats.

En 8 semaines seulement, affirme Jo, votre chat sera capable de faire ses besoins comme les humains !

La LitterKwitter est vendue 49 euros dans le commerce. Vous la trouverez dans bon nombre d’animaleries.

 

http://wamiz.com

VIH-Sida: un premier cas de guérison d’un nouveau-né infecté


C’est une bonne nouvelle pour ce bébé, qui a été contaminée par sa mère du virus du Sida .. Peut-être que cette façon de traitée sera salutaire pour plusieurs bébés et auront droit a un avenir plus normal
Nuage

 

VIH-Sida: un premier cas de guérison d’un nouveau-né infecté

 

Une équipe de virologues américains a annoncé dimanche le premier cas de guérison fonctionnelle d’un enfant contaminé à la naissance avec le virus du sida (VIH) transmis par sa mère séropositive non traitée.

Il ne s’agit pas d’une éradication du virus mais du fait que sa présence est tellement faible que le système immunitaire de l’organisme peut le contrôler sans traitement antirétroviral, expliquent les virologues.

La seule guérison complète officielle reconnue au monde est celle de l’Américain Timothy Brown dit le patient de Berlin. Il a été déclaré guéri après une greffe de moelle osseuse d’un donneur présentant une mutation génétique rare empêchant le virus de pénétrer dans les cellules. Cette greffe visait à traiter une leucémie.

Dans le cas de l’enfant pouvant désormais contrôler sans traitement son infection, il avait reçu des antirétroviraux moins de 30 heures après sa naissance.

Ce traitement précoce explique probablement sa guérison fonctionnelle en bloquant la formation de réservoirs viraux difficiles à traiter, selon les chercheurs qui ont présenté ce cas à la 20è conférence annuelle sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI) réunie ce week-end à Atlanta (Géorgie).

Ces cellules contaminées « dormantes » relancent l’infection chez la plupart des personnes séropositives dans les quelques semaines après l’arrêt des antirétroviraux.

« Faire une thérapie antirétrovirale chez les nouveau-nés très tôt pourrait permettre d’obtenir une très longue rémission sans antirétroviraux en empêchant la formation de ces réservoirs viraux cachés », souligne le Dr Deborah Persaud, une virologue du Centre des enfants de la faculté du centre hospitalier universitaire Johns Hopkins à Baltimore (Maryland, est), principal auteur de cette étude clinique.

C’est ce qui s’est apparemment passé avec cet enfant, estime cette chercheuse.

Les tests avaient montré une diminution progressive de la présence virale dans le sang du nouveau-né jusqu’à ce que le virus soit indétectable 29 jours après la naissance.

L’enfant a été traité avec des antirétroviraux jusqu’à 18 mois, âge à partir duquel les médecins ont perdu sa trace pendant dix mois. Pendant cette période il n’a pas eu de traitement antirétroviraux.

Les médecins ont procédé alors à une série de tests sanguins dont aucun n’a détecté la présence de VIH dans le sang.

La suppression de la charge virale du VIH sans traitement est excessivement rare étant observée dans moins de O,5% des adultes infectés dont le système immunitaire empêche la réplication du virus et le rend cliniquement indétectable, précisent ces virologues.

Selon eux, ce cas pourrait changer la pratique médicale actuelle en mettant en lumière le potentiel d’un traitement antirétroviral très tôt après la naissance d’enfants à haut risque.

Mais soulignent ces chercheurs le premier objectif est d’empêcher la transmission de la mère à l’enfant.

Les traitements antirétroviraux de la mère permettent actuellement d’éviter de transmettre le virus au foetus dans 98% des cas, précisent-ils.

La recherche a été financée par les Instituts nationaux de la santé et l’American Foundation for AIDS Research.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Dormez-vous sur vos deux oreilles ?


A certaines périodes nous éprouvons des difficultés a dormir, mais quand cela dure plus longtemps, il est nécessaire de trouver les causes et des moyens pour être en mesure de récupérer
Nuage

 

Dormez-vous sur vos deux oreilles ?

PAR LOUISE BOUCHARD  | PHOTO: ISTOCK

 

Nous passons en moyenne le tiers de notre vie à dormir. Cependant, tout le monde ne tombe pas si facilement dans les bras de Morphée… Voici des trucs pour retrouver la route des songes.

Dès que nous nous endormons, un escadron de combattants cellulaires s’affaire à réparer, nettoyer, réguler, régénérer et revitaliser notre corps et notre esprit. Au cours des 5 stades du sommeil se succèdent une foule d’opérations nécessaires au renouvellement du système immunitaire, à la restauration de la mémoire, à la sécrétion de l’hormone de croissance, à la relaxation musculaire et à la neutralisation du stress, lesquels assurent un sommeil bienfaisant et réparateur. C’est pourquoi bien dormir est essentiel pour se réveiller en pleine forme et être efficace tant sur le plan physique qu’intellectuel. Il suffit d’ailleurs de mal dormir pendant une ou deux nuits pour en ressentir les contrecoups durant la journée — grand manque d’énergie, irritabilité, difficultés de concentration et des trous de mémoire, etc. Et quand il y a privation chronique, des conséquences aussi importantes que l’obésité, la dépression, le diabète et les maladies cardiovasculaires peuvent s’ensuivre. Voici 9 mythes et réalités à propos du sommeil.

1. Tout le monde devrait dormir 8 heures par nuit

FAUX

La durée idéale de sommeil varie d’un individu à l’autre. Bien que la moyenne se situe entre 7 et 8 heures par nuit pour un adulte, 6 heures suffisent pour certaines personnes, alors que 9 à 10 heures sont nécessaires pour d’autres. Pour savoir si le temps alloué au sommeil est suffisant, on porte une attention particulière aux critères suivants:

  • avoir l’énergie nécessaire pour mener ses activités normales durant toute la journée;
  • être attentif et réussir à se concentrer;
  • ne pas connaître de périodes de somnolence;
  • ne pas ressentir l’épuisement.

Les besoins en sommeil fluctuent aussi selon l’âge:

  • bébé naissant: de 14 à 18 heures
  • enfant de 2 ans: de 10 à 14 heures
  • enfant: de 10 à 12 heures
  • adolescent: de 9 à 10 heures
  • adulte: de 7 à 9 heures
  • personne âgée: de 6 à 8 heures

2. Les troubles du sommeil ne touchent que les personnes angoissées

FAUX

Environ 40 % des adultes expérimentent des troubles du sommeil au cours d’une année; c’est un moyen que prend le corps pour signaler que quelque chose ne tourne pas rond. Le problème — difficulté à s’endormir, éveil nocturne, réveil précoce — peut être occasionnel, durer quelques jours ou quelques semaines, ou se prolonger durant des mois et devenir chronique. L’anxiété, les mauvaises habitudes de sommeil, le stress lié au travail, à la situation financière ou à la vie de famille, certains médicaments, la caféine, l’alcool, le bruit, les douleurs, le décalage horaire et le manque d’activité physique peuvent aussi contribuer à l’insomnie.

3. Il est bénéfique de se créer un rituel du sommeil

VRAI

Tout comme on prépare les enfants au dodo en instaurant la routine bain-pyjama-histoire, les adultes et les ados devraient, eux aussi, adopter un rituel, surtout s’ils ont du mal à s’endormir. On peut:

  • s’accorder une heure de transition avant d’aller au lit (cesser de travailler, fermer l’ordinateur, lire, écouter de la musique, mettre son pyjama, méditer ou pratiquer des exercices de relaxation, prendre un bain à 37 °C maximum, etc.);
  • se diriger vers la chambre, fermer les rideaux, ouvrir les draps, se démaquiller et se brosser les dents lorsque les yeux piquent et qu’on se met à bâiller. Refaire les mêmes gestes dans le même ordre donne au cerveau le signal que l’heure du coucher est imminente.

4. Le dérèglement de l’horloge biologique affecte le sommeil

VRAI

Il n’y a pas de mal à être couche-tôt/lève-tôt ou couche-tard/lève-tard. Les  problèmes apparaissent lorsque le sommeil est décalé par rapport à la moyenne ou à son horaire. Par exemple: incapacité à fermer l’œil avant 3 h du matin et grande difficulté à se lever à une heure «normale». Dans ce cas, il faut resynchroniser l’horloge biologique, soit par la luminothérapie — au réveil, à l’heure ciblée, s’exposer de 30 à 60 minutes à la lumière d’une lampe à haute intensité (de 5 000 à 10 000 lux), qui stimule les cellules nerveuses et régule la sécrétion de la mélatonine, une hormone clé du sommeil. L’utilisation d’un simulateur d’aube peut aussi aider au réveil. Pour certains, la chronothérapie s’impose: on rétablit le rythme du sommeil (rythme circadien) en décalant graduellement les heures d’endormissement sur une période de 2 semaines.

5. La prise de somnifères est la solution idéale

FAUX

Les spécialistes estiment que les somnifères ne devraient être prescrits que pour 3 ou 4 semaines afin d’éviter l’accoutumance. Certains de ces médicaments modifient le schème du sommeil: diminution du sommeil lent profond et du sommeil paradoxal et augmentation du sommeil lent léger. De fait, la personne dort plus longtemps, mais son sommeil est moins réparateur. Les somnifères aident momentanément les insomniaques à trouver le sommeil, mais ils n’éliminent pas les causes de l’insomnie.

6. La température corporelle influence l’endormissement

VRAI

Pour passer à l’étape du sommeil, le corps doit abaisser sa température interne. Maintenir une température trop élevée dans la chambre à coucher, porter un pyjama trop chaud, prendre un bain dont l’eau excède 37 °C et faire une séance tardive d’exercices physiques toniques sont autant d’éléments qui empêchent l’endormissement et perturbent le sommeil. Les bouffées de chaleur nocturnes liées à la ménopause peuvent également mener à l’insomnie.

7. L’activité physique favorise le sommeil

VRAI

Se dépenser physiquement entraîne une saine fatigue et fait augmenter la production d’endorphines, qui détendent l’organisme. Selon les experts, 30 minutes de marche rapide suffisent à produire un effet régulateur sur le sommeil. Toutefois, il vaut mieux éviter les efforts intenses le soir, car ils font grimper la température corporelle. L’exception à la règle: les ébats amoureux, qui constituent un excellent somnifère!

8. Le lit n’a aucune incidence sur la qualité du sommeil

FAUX

Un matelas doit soutenir uniformément toutes les parties du corps. S’il est trop mou, il peut donner des courbatures. S’il est trop dur, il peut causer des points de pression douloureux au niveau des hanches et des épaules. Après 10 ans et 30 000 heures de loyaux services, un matelas doit être remplacé. Pour l’oreiller, on favorise un modèle ergonomique ou de forme plutôt aplatie (et non pas gonflée et moelleuse), et ayant reçu un traitement antiacariens et antibactériens.

9. La microsieste revivifie l’organisme

VRAI

D’une durée de 15 à 20 minutes, la microsieste de milieu de journée repose, permet de décrocher, de penser plus clairement et d’éviter le fameux «coup de barre» d’après-midi. À noter: il n’est pas nécessaire de dormir pour en bénéficier, car le simple fait de se retirer et de se calmer fait du bien sur les plans psychologique et physiologique. Toutefois, la microsieste est déconseillée aux insomniaques chroniques.

http://www.moietcie.ca

5 comportements à modifier pour vivre plus longtemps en santé


On meurt tous un jour, mais reste à savoir si nous voulons en attendant une meilleur qualité de vie. Avec les choix que nous avons nous avons tendance a faire de mauvais choix et de choisir ce que l’on croit être la facilité
Nuage

 

5 comportements à modifier pour vivre plus longtemps en santé

 

PAR LUCIE TURGEON  | PHOTO: SHUTTERSTOCK

Peut-être ne le savez-vous pas, mais vous risquez de passer les dernières années de votre vie malade et invalide. Heureusement, il suffit de modifier 5 comportements pour éviter le pire.

À l’occasion du Mois du cœur, la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC fait ce constat alarmant. En effet, les recherches montrent qu’il existe en moyenne un écart de 10 ans entre l’espérance de vie et la durée de vie en bonne santé.

«S’ils ne changent pas de mode de vie rapidement, bien des gens risquent de trouver très pénibles les dernières années de leur vie», indique le Dr George Honos, chef du service de cardiologie du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) et porte-parole de la Fondation des maladies du cœur du Québec.

La bonne nouvelle: il est possible de changer la donne en modifiant certaines habitudes. Pour vous convaincre, voici le nombre d’années de qualité de vie que vous pourrez gagner en modifiant ces 5 comportements.

1. Être sédentaire : 4 années de qualité de vie

L’inactivité physique est un problème, car elle augmente le risque de surpoids», explique le Dr Honos.

Or, le surplus de poids ou l’obésité représente un important facteur de risque du diabète de type 2 et de l’hypertension artérielle, 2 affections associées aux maladies cardiovasculaires.

«Il faut trouver une façon de bouger chaque jour», affirme le cardiologue.

On recommande 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée (marche rapide, vélo, etc.) à vigoureuse (course à pied, ski de fond, etc.) par semaine.

2. Manger mal : 3 années de qualité de vie

Une mauvaise alimentation a un impact direct sur la santé de votre cœur.

«Les aliments riches en gras saturés et en gras trans sont responsables de l’augmentation du taux de cholestérol dans le sang, notamment celui du mauvais cholestérol LDL», raconte le Dr Honos.

Ce dernier est néfaste, car il a tendance à se déposer sur les parois des artères, notamment celles du cœur.

«Les aliments riches en sel peuvent accroître la pression artérielle ou rendre son traitement plus difficile», ajoute le spécialiste.

Pour améliorer son alimentation, on recommande de consommer de 5 à 10 portions de fruits et de légumes par jour, de limiter notre consommation d’aliments gras (charcuteries, pâtisseries, biscuits, etc.), de manger moins souvent au restaurant, de réduire notre consommation de sel et de boissons sucrées, d’éviter les aliments préparés, et d’augmenter notre apport en fibres.

 

3.  Fumer : 2 années de qualité de vie

Le fait de fumer augmente jusqu’à 4 fois les risques de maladies cardiovasculaires.

«Le tabac accélère le processus d’athérosclérose, un des principaux facteurs de risque de maladies cardiovasculaires, indique le Dr Honos. La cigarette accroît aussi l’inflammation des plaques d’athérosclérose, ce qui les rend plus vulnérables à la rupture et pourrait provoquer une crise cardiaque ou un AVC.»

Le tabagisme réduit aussi le calibre des vaisseaux sanguins, ce qui n’est pas l’idéal lorsqu’on a déjà les artères bouchées. Bref, il est primordial d’arrêter de fumer.

4. Boire de l’alcool avec excès : 2 années de qualité de vie

«L’abus d’alcool augmente la tension artérielle, l’un des principaux facteurs de risque de maladies cardiovasculaires, assure le Dr Honos. Très calorique, l’alcool peut également mener au surpoids qui, à son tour, entretient l’hypertension artérielle et le diabète de type 2.»

Morale de l’histoire: il faut boire avec modération, c’est-à-dire pas plus de 2 consommations par jour pour un maximum de 10 consommations par semaine pour les femmes et pas plus de 3 consommations par jour pour un maximum de 15 consommations par semaine pour les hommes.

5. Être stressé continuellement : 2 années de qualité de vie

Un excès de stress peut faire grimper la tension artérielle et nous empêcher d’avoir un mode de vie sain. Bien des gens réagissent au stress en mangeant trop, en buvant trop et/ou en fumant.

«Le lien entre le stress et les maladies cardiovasculaires n’est pas encore bien compris, mais il existe», assure le Dr Honos.

Les recherches montrent que le stress peut contribuer à l’apparition d’une maladie du cœur ou d’un AVC.

«Il faut tout mettre en œuvre pour mieux gérer le stress en prenant du temps pour soi.»

Pour y arriver, on peut aller au spa, voir un film, prendre un bain chaud, lire un bon livre, etc. On peut aussi utiliser des techniques de relaxation comme le yoga ou la méditation.

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Comment traiter les entorses


Que ce soit un accident de sport ou en , tombant sur le trottoir, personne n’est à l’abri d’une entorse au pied. Quand cela est possible, il faut appliqué de la glace cela aidera avant de voir un médecin
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Comment traiter les entorses

 

Imaginez le scénario: vous êtes en ski, il fait beau, vous souriez, puis une... (Photos.com)

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CHANTAL GUIMONT, COLLABORATION SPÉCIALE
La Presse

Imaginez le scénario: vous êtes en ski, il fait beau, vous souriez, puis une plaque de glace vous surprend. Sans l’avoir vraiment vu venir, vous vous retrouvez au sol. En tentant de vous relever, vous ressentez une douleur atroce au genou droit. Vous devez vous rendre à l’évidence, vous avez une entorse.

Les patrouilleurs arriveront rapidement pour vous évacuer. Mais que faire en attendant? Si vous en êtes capable et si quelqu’un peut vous aider, vous pouvez enlever vos skis, mais ne touchez pas à vos bottes. L’effort nécessaire vous fera souffrir et vous risquez d’avoir froid.

Autre scénario: vous marchez dehors en cette belle journée d’hiver, puis vous glissez et vous vous tournez la cheville. La douleur ressentie vous fait craindre une entorse de la cheville, problème si fréquent, mais qui, lorsque bien guéri, ne laisse aucune séquelle.

Qu’est-ce qu’une entorse? Il s’agit d’un étirement ou d’une déchirure d’un ligament. Les ligaments sont des cordes qui relient les os entre eux au niveau de vos articulations. Cet étirement peut occasionner de la douleur, de l’enflure et une limitation des mouvements de votre articulation.

Dès que possible, appliquez de la glace. Il s’agit d’un geste facile et essentiel pour éviter une enflure très importante de votre articulation. Dix minutes de glace aux deux heures pendant quarante-huit heures suffisent. Assez rapidement après l’accident, tentez de mettre votre poids sur la jambe blessée. Ce simple test permet facilement et rapidement de déterminer les blessures qui nécessitent des soins urgents. L’intensité de la douleur n’est pas un bon indicateur de la gravité de votre blessure. Si vous avez entendu un bruit, il s’agit le plus souvent d’un ligament qui s’étire plutôt que d’un os qui s’est cassé. Parlez-en au médecin.

Les traitements de base sont: repos, glace, compression et élévation. Repos veut dire «béquilles» au début lorsque la mise en charge est difficile, habituellement moins d’une semaine. La glace, excellent anti-inflammatoire, la compression, à l’aide d’un bandage élastique qui soutiendra les ligaments blessés, et l’élévation, quelques centimètres au-dessus du coeur pendant quelques heures par jour, réduiront la douleur et l’enflure.

Vous devez vous rendre aux urgences si vous êtes incapable de vous porter sur votre jambe après l’accident ou si la douleur et la boiterie persistent quelques jours après l’accident. Que se passera-t-il aux urgences? Le médecin vous examinera, vérifiera la stabilité de votre articulation et demandera parfois une radiographie. Il vous conseillera le repos sportif, une immobilisation, des anti-inflammatoires si vous n’avez pas de contre-indications et de la réadaptation. Si votre blessure est plus complexe, on vous recommandera à un orthopédiste. Le plus souvent, la réadaptation et beaucoup de détermination sont amplement suffisantes pour guérir complètement votre entorse!

Il faut attendre le feu vert du médecin ou du physiothérapeute qui s’assureront que la guérison est suffisamment avancée et l’instabilité résolue avant de vous permettre de retourner au sport après une blessure significative. Le physiothérapeute vous suggérera également des exercices de proprioception. Ces exercices redonneront à vos articulations la capacité de s’ajuster aux différentes situations et préviendront de futures blessures. Vous serez ainsi capable de pratiquer de nouveau vos sports favoris!

Les entorses sont évitables. Évitez de pratiquer votre sport préféré sans préparation, sans entraînement, fatigué, avec un équipement mal ajusté. Il est important d’être actif et de s’amuser, mais faites-le prudemment!

Urgentologue, chercheuse en médecine d’urgence pédiatrique, mère de trois enfants, sportive, la Dre Chantal Guimont est aussi professeure au département de médecine familiale et de médecine d’urgence de l’Université Laval et coanimatrice de l’émission Les docteurs à Radio-Canada.

http://www.lapresse.ca

Les couleurs que voient les animaux


Que serait le monde sans couleurs, .. des couleurs que nos yeux perçoivent pour transmettre les images au cerveau .. Mais les animaux eux quelles sont les couleurs qu’ils peuvent percevoir … Si plusieurs ont des couleurs limités .. leur anatomie compense autrement
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Les couleurs que voient les animaux

 

La science évalue la perception des couleurs des animaux en analysant les cellules en forme de cône dans leurs yeux

Les primages voient en couleur

Les singes d’Afrique et d’Asie et les grands primates voient comme les humains, c’est-à-dire que leurs yeux voient le rouge, le vert et le bleu. Par contre, de nombreux singes d’Amérique du Sud ne les voient pas. Et tout comme nous, les individus aveugles aux couleurs sont souvent des mâles.

Une vision nocturne aiguisée

Du chat domestique jusqu’au lion, c’est la même vision. Les félins sont aveugles aux rouge, mais voient le bleu, le jaune et le vert. Leur force est sans contredit leur vision nocturne, grâce à leurs pupilles très flexibles.

La vie en jaune

Les antilopes et les gazelles ont des yeux pour apercevoir les prédateurs de loin, le jour comme la nuit, tout autour d’eux. Ils voient le jaune, le vert et le bleu indigo.

Voir en gris flou

Non, le taureau ne perçoit pas le rouge, ni le boeuf ni la vache d’ailleurs. Tout est en gris dans leur monde visuel, mais ils ont une vision périphérique comparable à celle du cheval.

Voir par le nez

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Les chiens voient un peu mieux les couleurs que les chats. Ils perçoivent le noir, le blanc, le vert-jaune et le bleu-violet seulement, ils compensent ce manque par un odorat 20 000  fois plus sensible que le nôtre.

La vision périphérique du cheval

Petite visite chez Oncle Alexandre 002

Le cheval voit jaune, mais c’est tout. Cet animal ongulé compense son manque de perception du rouge et du bleu par une vision périphérique de 350 degrés

Un monde ultraviolet

Les nombreux cônes sensibles de l’abeille lui permettent de voir l’ultraviolet sur les fleurs gorgées de nectar. l’abeille voit toutes les couleurs, sauf le rouge, qu’elle perçoit comme le noir

Une structure visuelle fragmentée

Grâce à leurs yeux composés de dizaines de milliers de lentilles, la mouche et la libellule voient les mouvements des autres au ralenti. En général, les insectes perçoivent toutes les couleurs.

Des créatures de nuit

Les rats et les souris ont une rétine bien adaptés à la vision nocturne, mais ils ne voient aucune couleur.

Le chien, le chat, la souris, le rat et le lapin voient surtout le gris, le bleu et le jaune

Comment sait-on ?

Par l’analyse des cônes.

Dans l’oeil, il y a deux types de cellules nerveuses spécialisées dans la réception de la lumière et la conversion de celle-ci en image dans le cerveau. Les bâtonnets et les cônes. Les bâtonnets perçoivent le noir et le blanc et fonctionnent lorsque la lumière est faible. Les cônes fonctionnent en pleine lumière et permettent de voir les couleurs.

L’humain possède sept millions de cônes dans chaque oeil. Le même principe biologique s’applique à chaque animal. Les scientifiques déterminent le nombre de cônes et leur emplacement dans les yeux de l’animal mesurent les rayons de couleur qui le font réagir. Ils peuvent donc estimer quelles couleurs l’animal voit et à quel degré d’intensité il les voit.

L’avantage des cônes supplémentaires

Les oiseaux possèdent quatre types de cônes, En comparaison, l’humain en a deux et certains singes trois. Les quatrième cône des oiseaux leur permet de voir l’ultraviolet comme l’abeille. Les pigeons ont la meilleure perception des couleurs de toutes les animaux de la planète.

La Semaine/Tout Connaître/Grand reportage/ Paul Therrien/ Janvier 2013