Mississippi Une puissante tornade fait une dizaine de blessés


Il semble que les États-Unis sont très éprouvé depuis quelques temps, si ce n’est pas depuis quelques années : tempêtes, inondations, tornades …  La nature semble vraiment capricieuse chez nos voisins
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Mississippi

Une puissante tornade fait une dizaine de blessés

 

Une puissante tornade fait une dizaine de blessés

Crédit photo : gracieuseté, YouTube

Une puissante tornade a blessé au moins une dizaine de personnes et fait d’importants dommages à Hattiesburg au Mississippi.


(Crédit photo: Reuters)

«En ce moment, la chose la plus importante pour nous est de s’assurer que tous les gens sont en sécurité», a affirmé Robert Latham, directeur de la Mississippi Emergency Management Agency.

(Crédit vidéo: YouTube)

M. Latham a confirmé que la tornade a touché terre dans le comté de Marion faisant d’important dégâts à Hattiesburg.


(Crédit photo: Reuters)

«En quelques secondes, tout a changé, a expliqué Sara Lawrence, qui vit à Hattiesburg. Je n’ai pas vu beaucoup d’avertissement. J’ai entendu les sirènes et tout semblait bien à l’extérieur. J’ai commencé à me préparer pour aller dans la salle de bain. Tout à coup, toutes les lumières se sont éteintes et il faisait noir dehors.»

(Crédit photo: Reuters)

Un avis de tornade a été émis pour le sud du Mississippi ainsi que l’Alabama.

http://tvanouvelles.ca

Parole d’enfant ► Un chat dans la gorge


Les enfants prennent les explications aux mots … et un chat des fois ça griffe
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Un chat dans la gorge

 

« Enceinte de 7 mois 1/2, je suis facilement écoeurée et je tousse. Un soir en la couchant, pour ne pas paniquer ma fille. Je lui dis « c’est rien maman a un chat dans la gorge »…


Deux jours plus tard, me revoici à tousser. Elle dit à mamie et moi : « Le chat, il va griffer le bébé » »

Clementine 3 ans

Le saviez-vous ►Indiens Jivaros : Des réducteurs de têtes


Une pratique, des rituels, qui ont perduré depuis des lustres .. qui peut-être encore aujourd’hui la réduction des têtes est pratiquée .. Des croyances, mélée au prestiges, ces têtes ont marqué l’histoire de ces peuples de Jivaros
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Indiens Jivaros : Des réducteurs de têtes

 

Tete réduite Jivaros d'un singe

La réduction de tête a été aussi appliquée aux animaux comme ce singe. © dinosoria.com

 

Popularisés par la littérature d’exploration et les films d’aventure, en raison de leur technique de réduction des têtes, les Indiens Jivaros font encore partie aujourd’hui des peuplades les plus primitives d’Amérique du Sud.

C’est d’ailleurs certainement la peur qu’ils ont toujours inspirée à leurs ennemis qui leur a permis de survivre à l’invasion des Européens.

Si la sinistre réputation des Jivaros a été connue après l’annexion de l’Amérique du Sud par les Blancs, elle était déjà célèbre bien avant. Les Incas, eux-mêmes, les craignaient.

Vers 1450, les soldats de Tupac Yupanqui éprouvaient déjà une réelle répulsion vis-à-vis de ces Indiens. Ils étaient réputés pour être de féroces combattants, mais surtout, les Incas savaient qu’ils ne faisaient aucun prisonnier.

Ceux qui étaient pris étaient décapités. Leurs têtes étaient alors réduites pour devenir moins grosses qu’un poing.

Après de sanglants affrontements, les Incas finirent par remporter la victoire. Cependant, ils ne purent soumettre totalement les Jivaros. Les rescapés se réfugièrent dans la forêt immense et impraticable d’Amérique du Sud.

Les Jivaros font partie d’un petit groupe linguistique isolé. Ils vivent de la chasse, de la pêche et de la cueillette.

L’unité sociale des Jivaros est la famille. Cette notion est prise dans le sens large du terme c’est-à-dire que chaque famille composée de plusieurs générations vit regroupée dans une grande maison. Cette maison est divisée en deux parties, l’une pour les hommes et l’autre pour les femmes.

Chaque habitation fait partie d’un groupe de maisons dont la cohésion repose sur les liens familiaux.

Les Jivaros aujourd’hui. © P. Ramirez

Les Jivaros sont aussi des guerriers. Leur société est égalitaire et ils ne se dotent d’un chef qu’en cas de conflit. Mais, ces conflits sont nombreux. Les Jivaros ont pour ennemi héréditaire les Achuaras, une tribu voisine.

Quand les Achuaras ne suffisent plus à assouvir les instincts sanguinaires de la communauté, les Jivaros s’entre-tuent entre eux sous divers prétextes. La vraie raison est le prestige guerrier.

Les Tsantsas
Le plus grand guerrier est celui qui tue le plus d’ennemis
. De chacune de ses victoires, il conserve un petit souvenir : une tête décapitée puis réduite.

Cette tradition a surtout pour objectif que l’esprit du mort, le muisak, ne revienne pas se venger.

Pour éviter cette vengeance d’outre-tombe, le guerrier accomplit un rituel complexe destiné à emprisonner l’âme du mort dans sa propre tête, soigneusement réduite, et appelée tsantsa.

La réduction des têtes
La préparation de la tête dure plusieurs jours ; opérations pratiques alternent avec cérémonies magiques.


Pour éviter tout risque de décomposition, la réduction commence dès le retour vers le village. Les paupières sont cousues pour que le mort ne puisse voir ce qui l’entoure. La peau racornie est peinte en noir afin que l’esprit du défunt soit plongé dans l’obscurité pour l’éternité.

Tête réduite Jivaros exposée dans un Musée du Pérou. © dinosoria.com

Les os du crâne, préalablement enlevés, les yeux et les dents sont jetés en offrandes aux anacondas.

Une fois ce rituel achevé, un trou est percé au sommet de la tête réduite et un lien y est passé. Le tsantsa est alors enveloppé dans une toile puis déposé dans une jarre de terre conservée par le guerrier.

Il ne ressort les têtes de ses ennemis que pour les porter autour du cou lors des fêtes.

Les Jivaros aujourd’hui

À partir du 19e siècle, les Jivaros ont commencé à échanger les têtes réduites contre divers objets et armes. Les trafiquants ont revendu les têtes en Europe. Ce sont toujours des curiosités très recherchées par les collectionneurs et les musées.
Un trafic de faux tsantsas est d’ailleurs très florissant.

Aujourd’hui, les Jivaros, jamais réellement pacifiées par les Blancs, vivent toujours dans la forêt. Ce groupe amérindien est présent dans les forêts tropicales de la haute Amazone ; en Équateur et au Pérou. La population est estimée à environ 5000 individus.

Ils se font la guerre épisodiquement. Il arrive, dit-on, que certains muisaks soient encore réduits à l’obscurité éternelle.

Cette pratique semble toujours perdurer, bien que beaucoup plus rarement, malgré la sévérité des lois équatoriennes et péruviennes.

V.Battaglia (11.2005)

http://www.dinosoria.com

 

6 INDICES QUI INDIQUENT QUE VOTRE CHAT EST MALADE


Les chats n’aiment pas montré leur vulnérabilité alors quand ils sont malades souvent ils se cachent .. Il faut vraiment être attentif a tout changement pour voir si un chat est malade
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6 INDICES QUI INDIQUENT QUE VOTRE CHAT EST MALADE

 

Vous êtes-vous déjà demandé si votre chat était malade? Voici 6 indices qui devraient vous renseigner à ce sujet.

Par Karen Asp de The Daily Cat

Minou est-il malade?

 

Crédit photo: iStockphoto/mehmetali ertek

Les chats sont des créatures sournoises, habiles à dissimuler n’importe quoi, depuis des stylos jusqu’aux pinces à cheveux et à leurs maladies. On peut trouver mille et une raisons à ce comportement. mais une théorie veut que cela tienne à leur profil génétique.

«Comme tous les animaux sauvages, les chats peuvent éprouver le besoin de dissimuler leur maladie pour ne pas donner l’impression qu’ils sont vulnérables,» déclare Marie S. McCabe, DMV, vice-présidente de la division Human Animal Bond au sein de l’American Humane Association.

Si vous connaissez votre chat à la vue et au toucher, vous entendrez probablement ce que veut dire le terme «normal» dans son cas. Voici six indices qui peuvent vous renseigner.

Indice #1: Un changement de poids

 

Chez la plupart des chats, une perte de poids n’est pas normale et peut signaler qu’il est malade, déclare India Lane, DMV, professeure associée de médecine au collège de médecine vétérinaire de l’université du Tennessee à Knoxville. Par contre, s’il engraisse, c’est probablement qu’il mange trop.

Votre vétérinaire peut vous aider à déterminer le poids normal de votre chat selon son âge et sa race, mais vous pouvez aussi observer le corps de votre animal. En premier lieu, regardez-le d’en haut. Vous devriez voir sa ligne de taille. Ensuite, regardez-le de côté et remarquez si son abdomen est en saillie. Un chat de taille normale n’a pas un gros ventre. Enfin, mettez vos mains sur le dos de l’animal: vous devriez sentir ses côtes.

Indice #2: Une fourrure en mauvais état

 

Quand les chats sont nerveux, leur poil devient noueux et ils en perdent beaucoup. Si tel est le cas, un changement d’environnement — comme un déménagement — peut en être la cause, déclare le docteur McCabe. Si l’animal ne fait plus sa toilette et que sa fourrure paraît emmêlée ou squameuse, il y a lieu de s’inquiéter car les chats sont généralement soucieux de la qualité de leur poil.

Indice #3: Une mauvaise haleine et des gencives décolorées

 

Si vous vérifiez régulièrement les gencives et les dents de votre chat, vous remarquerez les changements qui s’y produisent. Des gencives décolorées ou des cernes pâles dans les oreilles ou autour des globes oculaires — chez les chats qui ont les gencives noires — sont un indice de morbidité. Ce changement de couleur peut signaler une mauvaise circulation et une maladie. En outre, examinez ses dents et assurez-vous qu’il n’y a ni plaque, ni tartre. Autre signe: une haleine fétide qui ne vient pas de ce qu’il a mangé.

Indice #4: Des pupilles dilatées

 

Regardez votre chat dans les yeux. Vous devriez voir dans chaque œil des pupilles de même taille environ et qui ne sont pas dilatées. Dans certaines maladies, les pupilles se dilatent et demeurent dilatées, dit le docteur Lane. Une pupille peut même vous sembler un peu plus grosse que l’autre.

Indice #5: Une respiration courte et rapide

 

Des problèmes respiratoires devraient également attirer votre attention, mais il faut que vous observiez attentivement votre chat pour le remarquer. En y repensant, vous vous rendrez peut-être compte que votre chat se cache ou se roule en boule et que sa respiration est courte et rapide.

Indice #6: Des changements de comportement

 

Les indices précédents se rapportent à des problèmes physiques, mais ici nous parlons de changements de comportement. Par exemple, quelque chose ne va pas si votre animal se met à uriner ou à déféquer ailleurs que sur sa litière, à faire des efforts sur sa litière, à se cacher dans des endroits bizarres, à ne pas répondre aux sollicitations des membres de la famille, à devenir agressif ou irritable ou à faire des sauts contre les murs.

Même en connaissant bien tous ces indices, comment saurez-vous qu’il est nécessaire de consulter un vétérinaire? Le docteur Lane précise que la présence de trois des indices mentionnés ci-dessus devrait vous amener immédiatement chez le vétérinaire : des difficultés respiratoires, une modification des pupilles ou de la difficulté à uriner ou à déféquer. Dans les autres cas, surveillez votre chat pendant quelques jours. Si vous soupçonnez la présence d’un problème morbide, appelez le vétérinaire sans délai.

http://selection.readersdigest.ca/

A 25 ans, il perd toutes ses dents suite à une addiction au Coca


C’est dramatique de ne pas boire de l’eau et se désaltérer qu’avec des boissons gazeuses .. la santé en prend un coup et il semble que les dents aussi en souffrent
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A 25 ans, il perd toutes ses dents suite à une addiction au Coca

 

Le Coca-Cola contient l'équivalent de 18 morceaux de sucre, selon la revue 60 millions de consommateurs. © REUTERS ()

Le Coca-Cola contient l’équivalent de 18 morceaux de sucre, selon la revue 60 millions de consommateurs. © REUTERS

William Kennewell a seulement 25 ans mais il n’a déjà plus de dents. La raison ? Une surconsommation de soda.

Ce jeune Australien porte aujourd’hui un dentier car ses dents ont pourri suite à une trop forte consommation de Coca-cola. Le jeune homme pouvait boire jusqu’à 6 à 8 litres de soda par jour.

Son dentiste l’avait pourtant prévenu, mais son addiction était trop forte.

« Tout a commencé au boulot, dans l’hôtellerie, où je préférais boire du coca, facile d’accès, plutôt que de l’eau dont je n’étais pas fan. C’est alors qu’on m’a dit qu’il ne me restait que 13 dents et qu’elles devaient toutes être enlevées » a-t-il expliqué.

« Mes dents étaient dans un état de décomposition si avancée que cela m’a provoqué un empoisonnement sanguin. Mais ma santé s’est améliorée avec la prothèse » a-t-il ajouté.

La consommation excessive de soda, et donc de sucre, a un effet néfaste sur la santé. Cette histoire devrait permettre aux autorités sanitaires australiennes de relancer la prévention auprès des jeunes gens consommant trop régulièrement des boissons sucrées.

http://www.ladepeche.fr

L’Influence de la météo sur notre corps


L’été on se plaint de la chaleur accablante, de trop ou pas assez de pluie , des orages ..  et l’hiver, du froid, des tempêtes … bref, la météo est un sujet de conversation en toutes saisons, mais aussi elle influence sur notre santé .. Savoir les risques .. nous pouvons minimiser les conséquences ..
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L’Influence de la météo sur notre corps

 

 

PAR GUILLAUME JOUSSET  | PHOTO: SHUTTERSTOCK

Les conditions météorologiques ont une incidence certaine sur la santé et risquent même d’aggraver les symptômes de certaines maladies, telles que la migraine et l’asthme. Mais ce n’est pas parce qu’on ne peut pas changer le temps qu’on est à sa merci!

Le temps qu’il fait dehors a un effet à l’intérieur du corps humain. Il ne s’agit pas là de croyances populaires, mais bien de science: la biométéorologie étudie l’effet de la météo sur les êtres vivants. Peu pratiquée au Québec, elle est déjà utilisée en Europe, notamment en Allemagne, où le bulletin météorologique intègre les différentes maladies susceptibles d’être aggravées par la météo.

Le météorologue Denis Bourque est l’un des pionniers de la biométéorologie au Canada, où il étudie, avec le médecin torontois John Bart, l’effet de la météo sur la santé. Le fruit de leurs efforts est en ligne depuis le début de l’année: le site MediClim (http://mediclim.com) propose gratuitement un bulletin météo et envoie par courriel des alertes aux 10 000 personnes inscrites quand les conditions météorologiques locales sont susceptibles de détériorer leur santé.

«Pour l’instant, cela concerne les personnes atteintes de migraine, d’asthme, d’arthrite ou de maladies cardiaques et vasculaires», précise Denis Bourque.

Pour déclencher la migraine, il faut la conjonction de plusieurs facteurs, comme la consommation d’alcool, le manque de sommeil, une lumière vive et une modification brusque du temps, (en période d’orage).

«On ne peut rien changer à la météo. Mais, tout comme on prend un parapluie lorsque de la pluie est annoncée, on peut éviter d’accumuler les déclencheurs de migraine en refusant, par exemple, un verre de vin les jours où les facteurs de risque sont élevés», explique-t-il.

Si climat et santé sont indissociables, chaque personne subit l’influence de la météo de manière différente.

«Des études ont montré que 51 % des migraineux pouvaient considérer la météo parmi les facteurs déclenchants», explique Denis Bourque.

En période de grands froids ou de fortes chaleurs, notre organisme doit maintenir une température constante, ce qui peut demander beaucoup d’énergie. Ainsi, en dessous de -5 ?°C, le froid double les risques d’infarctus du myocarde, car il favorise la viscosité du sang.

Moins liquide, celui-ci peut former des caillots et obstruer les artères. Le froid dessèche littéralement la peau, d’où l’importance de l’hydrater régulièrement. Il peut aussi déclencher de violentes crises chez les asthmatiques. Ainsi, il faut protéger ses voies respiratoires à l’aide d’une écharpe pour «réchauffer» l’air avant qu’il ne pénètre dans les poumons.

«Si on prévoie une activité en plein air, on doit prendre quelques bouffées de son bronchodilatateur avant de sortir», recommande le pneumologue Pierre Larivée.

 Quant aux périodes chaudes, elles favorisent notamment les crises d’asthme et d’allergie. Une hydratation insuffisante peut même entraîner des infections urinaires ou rénales. L’important, c’est de se protéger dès le début de la chaleur ou du froid, car le corps est plus vulnérable s’il n’a pas eu le temps de s’habituer.

La météo influence la qualité de l’air, et celui-ci a un effet direct sur la santé.

«Chaque jour, 7 200 litres d’air passent par nos poumons», affirme Pierre Larivée.

Les gens qui souffrent de problèmes respiratoires doivent faire particulièrement attention à tout ce qui pourrait irriter leurs voies respiratoires, comme la pollution, le pollen ou l’humidité.

En période de grandes chaleurs, la pollution atmosphérique se fait encore plus ressentir. Le smog, formé d’un mélange de particules fines de polluants atmosphériques et d’ozone, est alors particulièrement néfaste, et accroît les problèmes respiratoires et cardiovasculaires.

La météo a une influence directe sur la concentration de pollen dans l’atmosphère. Le soleil, la chaleur et le vent vont favoriser sa dissémination. Les pollens sont encore plus nocifs lorsqu’ils sont combinés au smog. Si on est allergique ou asthmatique, on doit vérifier le taux de pollen avant de sortir. On doit aussi éviter d’aller dehors très tôt le matin ou par temps chaud et venteux. Enfin, on doit privilégier les activités extérieures après une bonne pluie, car les pollens sont alors moins nombreux.

Par temps humide ou froid, les douleurs articulaires se réveillent. Certains arthritiques affirment même pouvoir prévoir l’arrivée de la pluie en raison de l’augmentation de leurs douleurs.

«C’est un mythe», assure le rhumatologue Mark Hazeltine.

Les effets du temps sur les affections articulaires n’ont été étayés par aucune étude scientifique. Il est possible que certaines personnes soient sensibles aux conditions météorologiques, mais il est difficile de faire le lien entre les crises arthritiques et l’arrivée d’un temps froid et humide. On ne doit pas s’empêcher d’être actif; si les douleurs sont plus fortes par temps de pluie, on doit adapter sa médication.

«Il y a des gens, comme les amoureux du ski, qui se réjouissent de l’arrivée du froid!» rigole le psychologue Nicolas Chevrier.

Selon lui, tout dépend de la perception qu’on a, et aussi de l’importance qu’on accorde à la météo.

«Tout d’abord, on doit prendre conscience de l’influence néfaste de la météo sur le moral. Puis, on doit se poser cette question: pourquoi est-on moins en forme par tel ou tel temps? Il faut essayer de voir les choses en imaginant les moments agréables à vivre pendant ces périodes», explique l’expert.

La dépression saisonnière touche de nombreuses personnes en automne et en hiver. Elle s’estompe naturellement au retour du printemps et est essentiellement due au manque de lumière naturelle.

«Les symptômes sont une fatigue chronique, un grand besoin de sommeil, de l’irritabilité et une augmentation de l’appétit, qui peut entraîner une prise de poids», explique le psychologue. Pour prévenir cette dépression, il est bon de marcher au moins une heure par jour, de préférence le matin, quand le soleil est le plus fort.

«On peut aussi faire de la luminothérapie en s’exposant quotidiennement à une forte lumière. La lampe doit éclairer à 10 000 lux pour être efficace», assure-t-il.

L’idéal, selon lui, est de combiner la luminothérapie avec des habitudes de vie saines.

«Cela empêche la dépression saisonnière de revenir chaque année», termine-t-il.

http://www.moietcie.ca

 

 

Lendemain de tempête dans le nord-est des États-Unis


Nous avons eu une bonne tempête de neige Vendredi dernier au Québec, mais les États-Unis y ont gouter, certains ont vue une telle accumulation .. que sortir par la porte était plutôt difficile. Reste que l’après tempête ..est toujours ardu de revenir a l’état normale
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Lendemain de tempête dans le nord-est des États-Unis

 

Une rue de Boston, après la tempête
Photo :  Gene J. Puskar

Les citoyens de la Nouvelle-Angleterre ont commencé l’éreintante tâche de se sortir d’une puissante tempête qui a laissé quelque 90 cm de neige au sol.

Quelque 510 000 résidences et places d’affaires demeuraient privées d’électricité samedi soir, une amélioration par rapport au bilan précédent qui faisait état de 650 000 clients. Mais certains d’entre eux risquent de demeurer dans le froid et le noir pendant plusieurs jours.

Les routes formant le corridor Boston-New York, dans lequel vivent près de 25 millions de citoyens, étaient totalement impraticables.

Des voitures ont été ensevelies dans des bancs de neige. Certains résidants ont été confrontés à une neige si lourde et si imposante qu’ils ne pouvaient pas ouvrir les portes de leur demeure.

Le gouverneur de l’État du Rhode Island, Lincoln Chafee, a averti que le danger existait toujours, même si les chutes de neige avaient cessé.

« Les gens doivent traiter cette tempête avec beaucoup de sérieux, même si elle est terminée. Si vous avez des problèmes cardiaques, soyez prudent en pelletant », a-t-il rappelé.

Le Massachusetts, le Rhode Island et le Connecticut avaient d’ailleurs fermé leurs routes à la circulation jusqu’à 16 h, sauf pour les urgences.

Aidée par des vents soufflant, par endroits, à près de 130 km/h, la tempête a été particulièrement intense dans le populeux corridor de l’Interstate 95 entre la ville de New York et l’État du Maine. La ville de Milford, au Connecticut, a été ensevelie sous plus de 96 cm de neige, tandis qu’il en est tombé plus de 81 cm à Portland, au Maine, effaçant un record datant de 1979. Bon nombre de communautés de l’État de New York et de la Nouvelle-Angleterre ont reçu plus de 60 cm.

Mais au final, la tempête aura été moins pire que ce qu’avaient craint les météorologues, et moins sévère que le « Blizzard de 1978 », à laquelle se réfèrent encore les résidants de longue date de la Nouvelle-Angleterre lorsque vient le temps de mesurer l’ampleur d’une tempête de neige.

Neuf morts
Selon les policiers, la tempête a fait au moins neuf morts. Entre autres, un homme de 74 ans qui circulait à pied est mort après avoir été renversé par une automobiliste dans l’État de New York. Dans le New Hampshire, un homme a été tué après avoir perdu le contrôle de son véhicule qui s’est écrasé contre un arbre. Dans la région de Boston, deux personnes, notamment un petit garçon de 12 ans, sont mortes empoisonnées au monoxyde de carbone pendant qu’elles aidaient à déneiger des voitures dont les tuyaux d’échappement étaient bouchés.

http://www.radio-canada.ca

Coup de chapeau Un mini parc d’attractions dans son sous-sol


C’est une très belle activité qu’un grand-papa crée de ses mains, de sa patience et de son imagination … Avec tout ce que l’on peut recycler, certains comme ce monsieur … arrive a faire des merveilles
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Coup de chapeau

Un mini parc d’attractions dans son sous-sol

 

Un mini parc d'attractions dans son sous-sol

Crédit photo : TVA Nouvelles

Guy L’Heureux a participé à de nombreux gros projets alors qu’il faisait partie d’une firme d’ingénieurs-conseils. Ce technicien en structure s’est penché sur la conception ou la réparation d’ouvrages tels que Manic-5 ou les centrales hydroélectriques de la Baie-James.

En même temps lorsqu’il rentrait chez lui, il chérissait un autre gros projet, mais à petite échelle.

Il s’est constitué rien de moins qu’un parc d’attractions dans son sous-sol. Sur une table qui fait 4 mètres par 4 mètres, il doit bien y en avoir une dizaine de ces manèges que vous n’aurez aucune difficulté à reconnaître. Ils ressemblent tellement de par leur conception et leur fonctionnement à ceux que nous croisons sur les vrais sites.

(TVA Nouvelles)

Si la réalisation de son projet qui s’échelonne sur une quarantaine d’années n’a pas de prix à ses yeux, M. L’Heureux est catégorique sur un autre aspect.

«En termes d’argent, non, ça ne m’a pas coûté une fortune. Tout fonctionne et tout a été conçu avec des matériaux recyclés comme des moteurs de séchoirs à cheveux ayant été jetés, des feuilles de préfini.»

Lorsqu’un de ses manèges décide de lui faire faux bond, genre ne plus fonctionner, il essaie de le relancer, mais certaines fois même pour un homme patient comme lui, y a pas d’acharnement.

Certains en pénitence

L’homme maintenant à la retraite et trois fois grand-papa transporte son miniparc Manègeville avec lui dans des expositions et c’est là qu’il retire sa paye.

«Quand je constate l’émerveillement dans les yeux des adultes surtout, je me dis que je ne perds pas mon temps.»

(TVA Nouvelles)


Encore aujourd’hui après toutes ces dizaines d’années, il continue de diversifier son produit.

Il aurait pu comme tant d’autres se tourner vers la conception de minis trains par exemple. Pourquoi des manèges?

«Parce que je suis le premier à sauter dans les manèges lorsque je me présente dans un parc d’attractions…ça me donne encore des idées.»

http://tvanouvelles.ca