Parole d’enfant ► La lune !! Papa


Je pense que tout parent serait prêt a aller chercher la lune pour leur enfants .. si cela était possible
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La lune  !!  Papa

 

 

« Pierre-Antoine à son papa observant le ciel étoilé : « papa, quand tu seras plus grand, tu pourras aller me chercher la lune ?  » »

Pierre-Antoine 2 ans

Je suis riche de ce que je suis…


L’argent étant un moyen d’échange devient le moyen pour vivre. Mais il est essentiel que l’argent ne créer des besoins qui viennent encombrer nos relations et notre rôle dans la société Nous ne devons pas être esclave  de l’argent
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Je suis riche de ce que je suis…

 


-« Dis Maman, c’est quoi l’argent, la richesse?  Faut-il beaucoup d’argent pour vivre?
 
-L’argent est une énergie, un moyen d’échange. Notre société vit au-dessus de ses moyens et se crée des besoins. Il est lié au sentiment de valeur de la personne, à sa sécurité.
 
A partir de quel montant se sent-on libre?
 
Parfois, on oublie que réussir dans la vie , ne signifie pas réussir sa vie.
 

On n’achète pas l’amour, la créativité, la paix, la richesse intérieure…
La prospérité est un état d’esprit. L’argent correspond à la qualité d’amour que l’on se porte, c’est sa forme matérielle. Il est lié à l’estime de soi, au sentiment de mérite que l’on s’attribue.
 
Nous créons nos limites empêchant notre pouvoir de s’exprimer. Celles-ci viennent de nos croyances. Change tes croyances et ta vie changera. »

 
 
Extraits du livre « Le chemin du bonheur ».

5 bonnes raisons de ne pas suivre une diète amaigrissante


Beaucoup se sont mit au régime en début de Janvier et probablement la plupart ont laissé tombé .. car souvent les régimes choisi ne répondent pas aux besoins de la personne … En fait .. être bien dans sa peau est d’abord la base pour trouver son poids santé .. tout en ayant de bonnes habitudes alimentaires
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5 bonnes raisons de ne pas suivre une diète amaigrissante

Pour bien des gens, les résolutions de début d’année riment avec régimes. De plus, les modèles de beauté valorisés par notre société poussent de nombreuses personnes à se lancer dans la quête du corps parfait, et ce, au détriment de leur santé et de leur bien-être.

La minceur est-elle réellement un gage de bonheur et de réussite? Et si le problème se situait au niveau de la perception de notre poids plutôt qu’au niveau de notre poids comme tel? Quelles que soient les motivations à vouloir perdre du poids, voici 5 bonnes raisons de ne pas suivre de diète amaigrissante.
 
 
1. Les diètes comportent des risques pour votre santé physique.

La plupart des diètes sont associées à des carences en vitamines, en minéraux et en énergie. Elles peuvent également avoir des répercussions négatives sur votre santé : risques de déshydratation, fatigue intense, difficulté à vous concentrer, troubles de la digestion, perturbation hormonale, etc.

Votre corps a besoin de l’énergie, des vitamines et des minéraux fournis par les aliments pour bien fonctionner. En le privant de nourriture, vous l’exposez à différents problèmes de santé physique.

Avant de suivre une diète amaigrissante, tous devraient se poser les questions suivantes : Est-ce que votre poids actuel représente vraiment une menace pour votre santé? Est-ce que votre poids est suffisamment élevé pour augmenter votre risque de développer certaines maladies comme le diabète, les maladies cardiaques et l’hypertension?

Si votre poids représente réellement un risque pour votre santé, penchez-vous sur les causes pouvant expliquer votre format corporel. Est-ce l’hérédité, la prise de médicament, l’état de santé, les habitudes alimentaires, la sédentarité ou les diètes à répétition? Maintenant, sur quels facteurs désirez-vous et pouvez-vous travailler de façon réaliste? L’adoption de saines habitudes de vie, comme manger sainement et être plus actif, contribue à l’amélioration de la santé, peu importe le type de silhouette.

 

2. Les diètes comportent des risques pour votre santé mentale.

Le fait de se priver de nourriture, malgré la sensation de faim, vous amène à développer une relation négative avec la nourriture et avec le plaisir de manger. Dans certains cas, la nourriture devient une telle préoccupation qu’elle prend la forme d’une obsession, ce qui peut engendrer des troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie, compulsions alimentaires). De plus, les nombreux échecs subis par les personnes qui suivent des diètes entraînent une détérioration de l’estime de soi.

Si vous avez une relation difficile avec votre corps et avec les aliments, il vous faudra travailler d’abord sur ces éléments avant de vous lancer dans un processus d’amaigrissement. Plutôt que de consacrer votre énergie à essayer de maigrir à tout prix, et ainsi vous conformer à un modèle corporel unique, commencez par améliorer vos habitudes de vie.

3. Les diètes ne sont généralement pas efficaces et peuvent mener à un gain de poids.

En réponse à cette peur de l’obésité, de nombreuses personnes préoccupées par leur poids entrent dans le cycle de la restriction alimentaire et des diètes à répétition. Bien qu’elles réussissent parfois à perdre du poids à court terme, la majorité des personnes qui suivent des diètes finissent, a long terme, par reprendre le poids perdu – et même plus. Ainsi, les personnes préoccupées par leur poids seraient plus enclines à développer un problème d’obésité.

Le corps réagit à une diète de la même manière qu’à une famine : en réduisant sa consommation d’énergie. Lorsque vous recommencez à manger comme avant, ou plus qu’avant à cause de la privation imposée, votre corps a tendance à entreposer sous forme de graisses les calories qu’il reçoit enfin. Vous reprenez donc le poids perdu, et souvent davantage.

 

4. Les diètes font fondre les muscles plutôt que la graisse.

Les diètes restrictives promettent généralement une perte de poids très rapide. Toutefois, une perte de poids très rapide s’explique généralement par une déshydratation et une perte de masse maigre (muscle) plutôt que par une perte de graisses. Et dire que les muscles brûlent plus efficacement les calories que les graisses! En d’autres termes, pour éviter de reprendre le poids perdu, vous êtes condamné à continuer le même régime restrictif à long terme. Une perte de poids graduelle (1 à 2 livres ou 0,5 à 1 kilo par semaine maximum) favorise la perte de graisse et non de muscle.

5. Au lieu de suivre des diètes, tous auraient avantage à améliorer leurs habitudes de vie.

L’apparition et l’évolution des maladies dépendent d’une multitude de facteurs autres que le poids. L’hérédité, une mauvaise alimentation, le stress et la sédentarité sont tous responsables à des degrés différents des maladies qui nous affligent.

Contrairement à la croyance populaire, une personne ronde n’est pas nécessairement en mauvaise condition physique, et une personne mince n’est pas nécessairement en santé. Par contre, l’amélioration des habitudes de vie (saine alimentation, activité physique, gestion du stress) diminue le risque de développer des maladies chez les personnes de tous gabarits.

Et n’oubliez pas qu’il est naturel, dans une population, de retrouver des individus aux silhouettes variées. Au lieu de lutter contre votre nature en essayant d’atteindre un poids irréaliste, pourquoi ne pas viser l’atteinte de votre poids naturel, celui dans lequel vous vous sentez bien et qui ne vous expose pas à des problèmes de santé.
 

 
QUELQUES INDICES D’UNE SAINE MÉTHODE DE PERTE DE POIDS :
 
La méthode est personnalisée, c’est-à-dire qu’elle tient compte de votre poids, de votre âge, de vos activités quotidiennes, de votre condition physique et de vos préférences.

La méthode recommande la modification graduelle de vos habitudes de vie (alimentation, activité physique) à moyen terme et non pas des changements draconiens sur une courte période.

La méthode recommande une perte de poids graduelle, soit de 1 à 2 livres (0,5 à 1 kilo) par semaine au maximum.

La méthode encourage l’adoption d’une alimentation équilibrée et variée : 1) Vous mangez à votre faim en écoutant vos signaux de faim et de satiété. 2) Aucun aliment n’est interdit. Vous accordez tout simplement plus de place aux aliments qui ont une plus grande valeur nutritive comme les légumes, les fruits, les grains entiers, les viandes maigres et leurs substituts, et les produits laitiers.

La méthode encourage la pratique régulière d’activité physique, de façon progressive, en tenant compte de vos préférences, de votre âge et de votre condition physique.

L’encadrement est assuré par des professionnels de la santé reconnus (diététiste-nutritionniste, kinésiologue et médecin).
 
http://extenso.org

Le dégriffage du chat remis en question


Je suis contre a 100 % contre le dégriffage d’un chat .. et même couper le petit tendon pour empêcher la griffe de sortir .. non mais quoi encore .. Un chat est un chat avec des griffes si on aime pas .. on a pas de chat c’est tout .. Toujours faire comme l’être humain veut c’est comme ceux qui coupe la queue ou les oreilles d,un chien pour l’esthétique .. moi je couperais bien des cerveaux a certains
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Le dégriffage du chat remis en question

 

Il est dans l'instinct du chat d'utiliser ses... (Photos.com)

Il est dans l’instinct du chat d’utiliser ses griffes. Il suffit donc de le rediriger de manière à ce qu’il le fasse de manière contrôlée.

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STÉPHANIE VALLET
La Presse

L’onyxectomie, communément appelée dégriffage, consiste en l’ablation des dernières phalanges des pattes des chats. C’est une pratique interdite dans la plupart des pays européens. Plus près de chez nous, elle est seulement considérée comme une faute professionnelle par l’Association de médecine vétérinaire en Nouvelle-Écosse (depuis 2012), en Ontario, au Nouveau-Brunswick, à l’Île-du-Prince-Édouard et à Terre-Neuve-Labrador, sur tout autre animal qu’un chat. Elle est même sanctionnée par un an de prison en Israël et par une amende de 40 000 $.

Une pratique répandue

Bien que l’Ordre des médecins vétérinaire du Québec l’ait identifiée comme non recommandée dans de nombreux communiqués, elle continue d’être pratiquée de manière légale à très grande échelle par les Québécois, pour des considérations purement pratiques.

«Si on ne sensibilise pas nos clients, 90 % d’entre eux nous demandent de dégriffer leur chat. On met beaucoup d’énergie à conscientiser les gens, mais ça reste encore la grande majorité. On a même créé des documents pour présenter les diverses options qui s’offrent pour éviter une telle opération, ce qui a pour résultat qu’une personne sur trois changera d’idée grâce à ça», explique Sarah Annie Guénette, médecin vétérinaire et propriétaire des hôpitaux vétérinaires Anima Plus.

De plus, il est dans l’instinct du chat d’utiliser ses griffes. Il suffit donc de le rediriger de manière à ce qu’il le fasse de manière contrôlée.

«Si le dégriffage doit malgré tout être effectué, on respecte un protocole strict antidouleur. Les risques entourant l’opération sont les mêmes que pour toute autre intervention aussi lourde que celle-ci. C’est l’équivalent de l’amputation d’un doigt chez l’homme. Alors, parfois après l’opération, une douleur fantôme peut se déclarer», précise la Dre Guénette.

Des alternatives

Plus recommandée, la ténectomie est une opération alternative qui ne convient pas à tous les propriétaires ni à tous les chats. Elle consiste à couper le petit tendon qui permettra au chat de sortir sa griffe. La guérison est beaucoup plus rapide que dans le cas du dégriffage, mais elle demande beaucoup d’attention.

«Le chat sort naturellement sa griffe de la petite gaine qui l’entoure pour la nettoyer régulièrement. Après une ténectomie, ce sera au propriétaire de le faire avec attention, car le chat ne pourra plus sortir lui-même sa griffe. Les bactéries qui s’y logent peuvent devenir une source de problèmes importants et il faudra couper avec beaucoup de soin les griffes de votre chat», explique la vétérinaire.

Autre alternative, cette fois très fortement encouragée par les vétérinaires: les Soft Paws. Elles permettront aux propriétaires d’apprendre à leur jeune chat à ne pas faire ses griffes n’importe où dans la maison.

«C’est la meilleure option chez le chaton. On va installer ces petits capuchons en plastique sur toutes les griffes avec de la colle [environ 35 $]. Le propriétaire pourra alors travailler à l’éduquer pour qu’il utilise par exemple un poteau à griffes. Le meilleur moyen de l’inciter à le faire est de le nourrir à cet endroit-là et d’en faire une véritable oasis féline!», dit-elle.

N’oubliez pas que si votre chat va dehors, il est indispensable qu’il ait des griffes pour se défendre ou même simplement pour grimper à un arbre. Tailler les griffes est aussi une bonne manière d’éviter les accidents à la maison.

Si l’interdiction du dégriffage est un enjeu important pour de nombreux amoureux des animaux, la coupe des oreilles et de la queue de certains chiens, s’effectuant uniquement sur des critères esthétiques, en est un tout aussi dramatique.

http://www.lapresse.ca

TORTICOLIS : À QUOI C’EST DÛ ?


Qui n’a pas eu le torticolis au moins une fois dans sa vie ? Une détestable situation… Mais il est possible de prévenir pour ceux que le torticolis est fréquent. A moins que le torticolis cacherait une affection plus grave
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TORTICOLIS : À QUOI C’EST DÛ ?

 

  • Torticolis : à quoi c'est dû ?
  • © WavebreakmediaMicro – Fotolia.com

  • Tout le monde ou presque a déjà eu un torticolis au cours de sa vie. Douloureux, il peut devenir handicapant au quotidien. Alors à quoi est-il dû et comment le soigner ?

 

Un torticolis, qu’est-ce que c’est ?

Le torticolis est une affection bénigne et très fréquente. Lié à la contracture de certains muscles du cou, il se manifeste par une douleur et une gène au niveau des mouvements du cou et de la tête. Ces symptômes sont généralement localisés au niveau du plus gros muscle du cou : le sterno-cléido-mastoïdien. Mais la douleur peut parfois irradier vers le dos et les épaules. Dans certains cas peu fréquents, le torticolis peut se ressentir jusqu’aux mains et aux doigts.

Comment se déclenche un torticolis ?

Le torticolis survient généralement après un mouvement brusque du cou, un problème ligamentaire ou vertébral ou une mauvaise position au sommeil. Il peut aussi subvenir suite à une infection (état grippal, infection des dents, de la gorge…). La plupart du temps, il apparaît le matin au réveil.

Qui est concerné par le torticolis ?

Tout le monde peut être concerné par le torticolis. Les personnes ayant eu un accident de la route sont parfois plus sujettes aux torticolis que les autres. Les femmes seraient également plus touchées par le torticolis que les hommes, tout comme les personnes âgées de 30 à 60 ans.

Comment soigner un torticolis ?

Le meilleur des traitements pour venir à bout d’un torticolis est le repos. Pour soulager la douleur, vous pouvez aussi appliquer localement une pommade décontracturante ou anti-inflammatoire. La prise d’aspirine et d’anti-inflammatoires par voie orale peuvent également soulager la douleur, alternés avec des décontracturants. L’application de compresses chaudes (bouillotte, écharpe…) permet enfin de décontracter les muscles du cou. Grâce à ces traitements simples, un torticolis disparaît habituellement spontanément en quelques jours.

Que faire si le torticolis ne disparaît pas ?

Dans certains cas, le torticolis peut cacher une autre affection : maladie inflammatoire, neurologique, tumorale ou infectieuse… Lorsque le torticolis ne disparaît pas, ou s’il revient de façon répétée, il s’avère donc nécessaire de faire un bilan médical plus complet. N’hésitez pas à prendre rendez-vous chez votre médecin, notamment si votre torticolis s’accompagne de fièvre. Celui-ci vous proposera peut être de réaliser une radio (parfois une IRM, voire une prise de sang) afin de comprendre l’origine de votre torticolis et de prendre les mesures nécessaires.

Comment éviter le torticolis ?

Si vous êtes particulièrement sujet aux torticolis, certains réflexes peuvent vous aider à l’éviter. Couvrez-vous le cou en cas de froid à l’aide d’une écharpe, adoptez une position de travail ergonomique pour éviter d’avoir le cou « cassé » (bureau et chaise à bonne hauteur), optez pour un oreiller confortable voire ergonomique, regardez la télévision face à l’appareil et non pas sur le côté et évitez de tenir votre téléphone portable entre l’épaule et l’oreille lorsque vous téléphonez : ces bons réflexes devraient vous permettre de prévenir la survenue du torticolis.

http://www.topsante.com

Angleterre Igloo à vendre: 1,5 million $


Une annonce qui piquera la curiosité un igloo a vendre et ce a plus d,un million de dollars … on se demande  ce qu’il y a bien de spécial … mais qui laisse plutôt a réfléchir
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Angleterre

Igloo à vendre: 1,5 million $

 

Igloo à vendre: 1,5 million $

Crédit photo : gracieuseté, rightmove.co.uk

TVA Nouvelles

Un Britannique a décidé de mettre en vente son igloo pour la modique somme de 1 million de livres sterling, soit environ 1,5 million de dollars canadiens.

Sur le site immobilier rightmove.co.uk, l’homme présente son logis de la ville de Clifton, dans la région de Bristol, comme étant: écologique, construit récemment et doté d’un superbe toit cathédrale. Il ajoute également qu’il y règne une «atmosphère rafraîchissante».


(Crédit photo: gracieuseté, rightmove.co.uk)

Pour ceux qui voyageraient fréquemment au pôle Nord, l’habitation se situe seulement à 6780 km de là, c’est donc «pratique pour les navetteurs», de dire l’auteur.

Toutefois, cette annonce, bien qu’amusante, visait surtout à éveiller l’intérêt de la population pour les sans-abri.


Le spacieux intérieur de l’igloo
(Crédit photo: gracieuseté, rightmove.co.uk)

«Malheureusement, tous ne pourront pas être au chaud et en sécurité cet hiver. Si vous avez trouvé cette annonce un tant soit peu amusante, s’il vous plaît, pensez à faire un don», conclut l’annonceur.

http://tvanouvelles.ca

Ontario Un torse humain retrouvé dans un conteneur à déchets


Et on recommence la saga des parties du corps qui manquent les autres membres … Cette fois-ci est-ce un crime relier aux vampirismes causé par un esprit plus que dérangé ?
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Ontario

Un torse humain retrouvé dans un conteneur à déchets

 

Ontario - Un torse humain retrouvé dans un conteneur à déchets

Photo Archives / Agence QMI

KITCHENER – Le torse d’une femme a été retrouvé dans un conteneur à déchets situé derrière un bâtiment à logements de Kitchener, en Ontario.

Ce sont des citoyens qui ont fait la découverte près du bâtiment de la rue Frederick, samedi, avant d’appeler les policiers vers 11 h.

La police régionale de Waterloo a confirmé, dimanche, qu’il s’agissait d’une femme blanche dont l’âge est inconnu. La victime portait un t-shirt avec l’inscription «forget princess, I want to be a vampire» (oublie princesse, je veux être un vampire).

Aucun autre membre de ce corps n’a été découvert sur les lieux.

«En ce moment, nous avons 28 policiers sur ce dossier, a indiqué l’inspecteur Kevin Thaler. Nous prenons ce genre de cas très au sérieux. Toutes les pistes seront explorées.»

Les policiers tentaient d’identifier la victime, dimanche.

«Nous allons vérifier les dossiers de personnes disparues, bien sûr, a ajouté le policier. Identifier cette dame est l’une des priorités dans cette enquête.»

La dépouille a été transférée dans un hôpital d’Hamilton, où une autopsie sera pratiquée lundi.


Les policiers étaient sur les lieux, dimanche, et ont bouclé le secteur afin d’interroger des voisins.

http://fr.canoe.ca

Lèpre: 200 000 cas par an malgré un traitement efficace et gratuit


La lèpre .. la plupart ont entendu de cette maladie dans la Bible, elle est donc connu depuis plus de deux milles ans .. Aujourd’hui, il semble que cette terrible maladie se guérit mais malheureusement, elle est toujours présente et ceux qui pensent que c’est juste dans les pays d’Afrique .. ils seront peut-être surpris de savoir que certains de nos voisins américains en sont atteint
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Lèpre: 200 000 cas par an malgré un traitement efficace et gratuit

 

Une personne atteinte de la lèpre est traitée... (PHOTO JUNIOR D. KANNAH, AFP)

Une personne atteinte de la lèpre est traitée à l’hôpital de la Rive de Kinshasa, en République démocratique du Congo, le 25 janvier.

PHOTO JUNIOR D. KANNAH, AFP

OLIVIER THIBAULT
Agence France-Presse
Paris

Grâce à un traitement efficace et gratuit, la lèpre, dont on célèbre ce week-end la 60e journée mondiale, n’est plus la maladie terrible qu’elle était pour les pays pauvres, mais touche toujours plus de 200 000 personnes par an.

Maladie contagieuse à évolution très lente, causée par une mycobactérie, la lèpre s’attaque aux nerfs et muscles, et finit par provoquer paralysie et infirmités définitives des membres et des yeux si elle n’est pas traitée à temps.

Spécialiste de la lèpre, le Britannique Stewart Cole reconnaît qu’il «y a eu d’énormes progrès dans le traitement et la maîtrise de l’épidémie. 16 millions de malades ont été traités par polychimiotherapie (PCT) et guéris.»

Ce traitement composé de trois antibiotiques, mis au point dans les années 80, est mis gratuitement à disposition dans les pays pauvres par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1995. Il permet de tuer le bacille et guérir un malade en six à douze mois.

De fait, après plusieurs campagnes de dépistage et traitement, «la lutte contre la lèpre s’est considérablement améliorée», note l’OMS dans un point sur la maladie réalisé en 2012.

Elle reconnaît néanmoins «que de nouveaux cas continuent de se produire dans pratiquement tous les pays d’endémie» avec des «poches» où la maladie est encore très présente.

«Depuis quatre ou cinq ans le nombre de nouveaux cas chaque année reste relativement stable avec plus de 200 000», souligne le Pr Cole qui dirige le Global Health Institute de l’École polytechnique de Lausanne.

D’après les chiffres de l’OMS, 219 075 nouveaux cas de lèpre ont été dépistés en 2011, contre 228 474 en 2010 (-4%)) et plus de 400 000 cas en 2004.

«L’OMS commence à se poser des questions. Ils nous ont dit pendant des années que si on continuait d’appliquer la PCT, l’incidence allait petit à petit atteindre zéro, mais ce n’est pas le cas et cela nous préoccupe», déclare le Pr Cole qui préside la Commission médicale et scientifique de la Fondation Follereau.

Projet de vaccin

Autre spécialiste de la lèpre, le médecin béninois Roch Christian Johnson souligne que la lèpre en Afrique demeure «endémique là où les systèmes de santé sont faibles avec des centres de santé éloignés de la population».

Dans les régions reculées, le dépistage précoce est difficile, souligne-t-il. Résultat: 12.000 personnes sont diagnostiquées chaque année en phase avancée et des séquelles irréversibles.

Dans un centre de soins pour lépreux à Davougon au Bénin, le père Christian Steunou témoigne:

«Quand j’ai commencé il y a 40 ans, la lèpre, c’était La maladie. Les gens ne nommaient jamais la lèpre, il disait La maladie.»

«Aujourd’hui ,c’est une maladie parmi d’autres. Ce n’est plus une maladie grave, mais une maladie méconnue qui hélas n’intéresse plus beaucoup de soignants et qui pourrait revenir si on n’y prend pas garde», indique-t-il dans un entretien par téléphone .

Il explique diagnostiquer encore de nombreux cas «multibacillaires», c’est à dire la forme la plus riche en bacilles et virulente.

«Nous découvrons trop de cas multibacillaires, c’est à dire très contagieux, ce qui veut dire que dans 10 ou 20 ans nous découvrirons de nouveaux lépreux qui auront été contaminés aujourd’hui».

La persistance de la maladie dans certaines poches malgré l’efficacité des traitements pourrait s’expliquer par l’existence de réservoirs du bacille ailleurs que chez l’homme, en particulier chez certains animaux, selon le Pr Cole.

Ses recherches ont permis de démontrer que certains tatous, un mammifère à carapace, étaient aux États-Unis porteur du bacille de la lèpre, ce qui pouvait expliquer certaines mystérieuses contaminations chez l’homme en Louisiane et au Texas.

Une équipe américaine de Seattle travaille actuellement à un projet de vaccin et va demander l’autorisation pour un tout premier essai (phase 1), explique le Pr Cole.

«L’idée de vacciner pourrait être très utile dans les coins reculés pour immuniser toute une population. Mais c’est un travail de longue haleine», déclare-t-il.

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Le mythe de la vitamine C


Une bonne alimentation, et le lavage de main demeure le meilleur moyen pour prévenir la grippe .. il ne sert a rien de prendre des complément de vitamine C …
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Le mythe de la vitamine C

 

Le mythe de la vitamine C

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La vitamine C : une alliée contre la grippe? Le jus d’orange et la vitamine C qu’il contient sont-ils vraiment bénéfiques en hiver? Possèdent-ils de véritables propriétés antigrippales?

 

C’est la question à laquelle répond e-sante.com, en rappelant les résultats d’une étude australienne sur le sujet. Cette dernière était l’une des premières à établir des preuves concernant ce qu’il serait convenu d’appeler le mythe de la vitamine C.

En étudiant de près une panoplie d’études publiées sur le sujet depuis deux décennies, on constate sans trop de difficultés qu’il s’avère clairement inutile de compter sur cette vitamine pour contrer les rhumes et grippes qui arrivent avec la saison froide.

Cependant, on note que les sujets qui ont consommé cette vitamine abondamment voyaient leurs symptômes de grippe ou de rhume durer moins longtemps que les autres. Mais cela ne les a pas empêchés de l’attraper.

On ne parle donc que d’un simple effet placebo, et encore, puisque les spécialistes le qualifient de « mineur » et de « discutable ».

Il faudra donc regarder ailleurs pour contrer les virus hivernaux, mais on rappelle que se laver les mains fréquemment est un geste concret pour contrer la grippe.

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