Être nous-même


Ce sont a nos valeurs, a ce que nous croyons, ce que nous aimons qui fait de nous se que nous sommes .. alors c’est ce que nous devons être …
Nuage

Être nous-même

 

Le seul véritable échec est de ne pas être fidèle à ce que nous croyons au plus profond de nous-même.

Cannon Farrar

Le Saviez-vous ►Les chiens d’avalanche, ces sauveteurs pas comme les autres


Quand une avalanche se déclare mieux vaut ne pas être sur son passage car sous son emprise est peut être mortelle … C’est une question de temps pour faire la différence entre la mort et la vie dans un cas d’avalanche et retrouver les victimes et primordial  Donc, il faut avoir du flair et quel animal est capable de flairé mieux que l’homme si ce n’est que le chien ?
Nuage

Les chiens d’avalanche, ces sauveteurs pas comme les autres

 

La montagne est aussi belle que dangereuse, surtout lorsque l’hiver vient, et avec lui les risques d’avalanches de neige.

Les chiens, bien plus rapides et efficaces que les hommes

Plus rapides, et donc plus efficaces que les hommes, les chiens sont irremplaçables dans des situations d’extrême urgence telles que la recherche de personnes ensevelies sous la neige.

En quelques minutes seulement, ils couvrent des zones qui demanderaient des heures de travail aux pisteurs.

La survie des victimes d’avalanche est une question de minutes. La rapidité est donc primordiale pour espérer les sauver.

(…)

Quelles races de chiens sont adaptées à la vie en haute-montagne ?

Si le Saint-Bernard est bien souvent le premier auquel on pense lorsque l’on évoque les chiens sauveteurs, cette race n’est pas adaptée à la vie en montagne en hiver. Trop lourd, il manque d’efficacité, et la neige se colle à ses longs poils.

Ce sont essentiellement des Bergers Allemands et des Bergers Belges qui sont mobilisés. Ces chiens s’adaptent vite aux conditions de la haute-montagne.

Leur pelage change et les protège plus efficacement du froid. Leurs coussinets se transforment aussi. Ils durcissent afin de mieux supporter la neige et le sel qui ont tendance à irriter les pattes des chiens.

D’autres races, telles que le Boxer, le Golden Retriever ou le Labrador sont aussi parfois formées au sauvetage de victimes d’avalanche.

La formation

Les chiens sauveteurs doivent naturellement être formés avant de participer à des sauvetages en montagne. Ils commencent cette formation à l’âge de 1 à 4 ans, et  il faut compter à peu près 1 an et demi d’entraînement pour qu’un chien soit prêt et mobilisé sur des missions.

Ils apprennent alors à reconnaitre une odeur particulière du corps humain, qui remonte à la surface du manteau neigeux. Grâce à leur incomparable flair, les chiens peuvent repérer cette odeur, même lorsque les victimes sont ensevelies sous une couche de neige atteignant plusieurs mètres.

Les chiens ne connaissent pas la notion de travail, et leur formation est  avant tout un jeu pour eux. L’entraînement s’articule autour de différents exercices, certains visant à développer leur rapidité de découverte, et d’autres à leur apprendre la persévérance.

Une confiance sans faille entre le chien et son maître

Si la formation des chiens est bien sûr indispensable, la relation qu’ils entretiennent avec leur maître est elle aussi primordiale.

Une complicité et une confiance sans faille doivent naître entre l’animal et l’homme.

Un chien sauveteur reste ainsi généralement auprès du même maître tout au long de sa carrière, et très souvent toute sa vie. La relation liée est en effet si forte qu’il est inenvisageable de séparer les deux compagnons de travail.

http://wamiz.com/

Le hamster affamé et sa friandise 2 fois plus grosse que lui !


Il faut avouer que ce petit gourmand a été en mesure de résoudre un gros problème .. pourquoi n’avoir qu’une seule grande friandise quand on peut 4 petits … et il reste peut-être une petite place .. Autre chose ??
Nuage

Le hamster affamé et sa friandise 2 fois plus grosse que lui !

 

Vous pensez que ce hamster a les yeux plus gros que le ventre ? Eh bien vous vous trompez ! Visiblement affamé, le petit rongeur n’est pas du genre à gâcher la nourriture.

Sa friandise est 2 fois plus grosse que lui ? Aucun problème, il l’engloutira tout de même toute entière, sans en laisser une miette.

Quel talent ! Le craquant hamster relève son challenge avec une facilité déconcertante. Il a bien mérité… une autre friandise !

 

http://wamiz.com

La retraite pour les chimpanzés de la science aux États-Unis


Il est temps qu’on laisse les singes tranquilles et qu’on trouve d’autres moyens pour faire des recherches .. Sommes nous pas plus intelligents ??? Alors comment se fait-il qu’en 2013 que ces savants chercheurs font leur expériences sur des animaux
Nuage

 

La retraite pour les chimpanzés de la science aux États-Unis

 

L'agence fédérale avait annoncé en 2011 qu'elle comptait... (Photo Timothy Chong, Reuters)

L’agence fédérale avait annoncé en 2011 qu’elle comptait estomper progressivement les recherches les plus effractives effectuées sur les chimpanzés.

PHOTO TIMOTHY CHONG, REUTERS

Associated Press
La Nouvelle-Orléans

Les scientifiques du gouvernement américain ont accepté que les centaines de chimpanzés utilisés lors d’expériences financées par Washington soient envoyés à la retraite dans un sanctuaire national.

Les groupes de défense des animaux se sont réjouis de cette décision.

Le comité mis sur pied par le National Institutes of Health des États-Unis a également décidé de sabrer dans le financement consacré à l’étude des chimpanzés en laboratoire, en plus d’interdire tout retour à leur reproduction à des fins de recherche.

Neuf chimpanzés sont arrivés mardi au sanctuaire Chimp Haven, près de Shreveport, en Louisiane. Sept autres sont attendus jeudi et 95 autres au cours des prochains mois. Le sanctuaire devrait éventuellement accueillir environ 300 singes.

L’agence fédérale avait annoncé en 2011 qu’elle comptait estomper progressivement les recherches les plus effractives effectuées sur les chimpanzés.

Le document de 86 pages adopté par le NIH décrit comment les animaux devraient maintenant être soignés et stipule que les chimpanzés ne devraient être utilisés qu’en dernier recours, s’il s’agit de la seule manière d’étudier une menace à la santé humaine. La recherche devra alors être autorisée par un comité indépendant composé notamment de membres du public.

Des groupes comme People for the Ethical Treatment of Animals et la Humane Society ont applaudi cette décision. Ils ont par contre déploré que 50 chimpanzés aient été mis de côté en cas de l’approbation d’éventuelles expériences, même s’ils se réjouissent que ces animaux aient dorénavant droit à de meilleures conditions de vie.

http://www.lapresse.ca

Apologie de la boulette


Voilà un peu l’histoire de la boulette qui peut-être vous ne verrez plus la boulette de la même manière, ni faire les boulettes avec un mélange de votre crue .. au creux de vos mains … sans penser qu’il y a des temps immémoriaux .. les gens faisaient la même chose que vous
Nuage

Apologie de la boulette

 

Des boulettes poêlées, plongées dans un bain de... (Photo : Bernard Brault, La Presse)

Des boulettes poêlées, plongées dans un bain de friture, mijotées en sauce, à la vapeur, en soupe, en sandwich, sur la pizza, crues, farcies; c’est l’art subtil d’accommoder les restes, symbole par excellence d’une cuisine familiale, nostalgique et économique.

PHOTO : BERNARD BRAULT, LA PRESSE

MÉLANIE ROY, COLLABORATION SPÉCIALE
La Presse

Certains suggèrent que la boulette serait la plus ancestrale des traditions culinaires, qu’elle témoignerait d’un moment de raffinement dans la confection des plats cuisinés.

C’est du moins l’hypothèse défendue par Michèle Stroun dans son Histoire de boulettes du néolithique à nos jours, ouvrage dans lequel elle se lance en quête du commencement, de la naissance de la boulette originelle, mère de toutes les autres.

C’est dans le nord de l’Inde, dans le Penjab, 4000 ans avant notre ère, que Michèle Stroun se laisse aller à quelques spéculations archéologiques. Là-haut, on a trouvé les vestiges de deux grandes cités disparues, Harappa et Mohenjo Daro. Des civilisations prospères et avancées, qui possédaient, entre autres, des cuisines dans lesquelles on a trouvé des ustensiles conçus pour faire à manger: poêles en cuivre, vaisselles et plats, couteaux, mortiers.

Les recherches ont démontré qu’on mangeait de la viande attendrie au pilon, cuite dans l’huile de sésame et assaisonnée de moutarde, de curcuma et de gingembre. Si les traces d’épices ont pu être dépistées, c’est uniquement parce qu’elles avaient été incorporées au mélange. Faut-il y voir le premier ancêtre de la boulette? Les réflexions de Stroun mènent à cette conclusion. Si elles s’avèrent justes, la boulette serait ni plus ni moins une «invention» contemporaine de celle de la roue.

Selon Pierre-Brice Lebrun, auteur d’un rigolo Petit traité de la boulette, sa naissance croiserait plutôt, à la même époque, une découverte autrement historique: celle des épices.

On se trouve dans le sud-ouest de l’Inde cette fois, sur la côte de Malabar. La légende raconte qu’un pêcheur aurait eu l’idée de cueillir quelques grains de poivre pour en saupoudrer son riz et ainsi en améliorer le goût. Ce serait le point zéro de l’histoire des épices. Les baguettes, cuillères et fourchettes mettront encore quelques siècles avant d’être mises au point; aussi Lebrun imagine-t-il son pêcheur modelant avec ses doigts des petits tas faciles à consommer, avant de n’en faire qu’une bouchée…

Il faut se transporter dans la Rome antique pour trouver la première mention de la boulette dans un livre de recettes, le De re coquinaria d’Apicius, rédigé en latin vulgaire, dont la dernière version date du IVe siècle. On y apprend notamment que les Romains étaient experts dans la préparation des saucisses, hachis, quenelles, croquettes et autres… boulettes, auxquelles le deuxième chapitre est consacré. On y détaille des recettes simples: boulettes de grosses crevettes, boulettes à la brousse de brebis. D’autres légèrement plus surprenantes, comme ces boulettes à la vulve de truie, aromatisées de poireaux, de poivre, de pignons de pin et de brins d’aneth, ou celles composées de filets de paon, de mie de pain trempée dans le vin rouge et de myrtilles.

On raconte également que pendant l’Inquisition, pour piéger les juifs qui se déclaraient convertis, des informateurs servaient des albóndigas à base de viande de porc. Lorsque l’hôte annonçait la composition du plat, ceux qui refusaient ou recrachaient leur bouchée, ce qui trahissait leur véritable allégeance, étaient arrêtés sur-le-champ.

Depuis, les boulettes ont étendu leur souveraineté dans toutes les cultures et sur tous les continents: polpette, kefta, köttbullar, falafels, nuong, bitki, matzoh, knödel… Quelle gastronomie ne connaît pas la boulette, «à son aise dans toutes les cuisines», comme le rappelle Pierre-Brice Lebrun?

Poêlées, plongées dans un bain de friture, mijotées en sauce, à la vapeur, en soupe, en sandwich, sur la pizza, crues, farcies; c’est l’art subtil d’accommoder les restes, symbole par excellence d’une cuisine familiale, nostalgique et économique. Qui ne craint ni les variations, ni l’à-peu-près, ni l’improvisation. Il suffit d’associer des ingrédients qui font la paire, viande hachée, un reste de poisson cuit, légumineuse ou chair de saucisse, d’ajouter quelques herbes, épices, piment, ail, échalote, fromage, noix ou fruits secs, un oeuf pour lier la farce et de la chapelure pour enrober. Et entre les paumes de ses mains, de s’approprier un geste immémorial, mille milliards de fois répété.

http://www.lapresse.ca

É-U: les astéroïdes riches en métaux précieux attisent les convoitises


Imaginez s’il y a plus de 9000 astéroïdes qui se promènent dans l’entourage de la terre … avec les compagnies, plus les satellites divers et les déchets qui tournent autour de la terre … il va falloir des lumières de circulation la-haut … Après avoir puisée, essorée, vidée et détruite la terre,, l’espace pourquoi pas ??? !!!
Nuage

 

É-U: les astéroïdes riches en métaux précieux attisent les convoitises

 

Deep Space Industries prévoit de lancer à partir... (PHOTO JONATHAN ALCORN, REUTERS)

Deep Space Industries prévoit de lancer à partir de 2015 une flotte de sondes pour prospecter et exploiter des astéroïdes croisant à proximité de la Terre.

PHOTO JONATHAN ALCORN, REUTERS

Les astéroïdes potentiellement riches en métaux précieux ou en eau, sous forme de glace, attisent les convoitises d’investisseurs aux États-Unis, où une deuxième société en moins d’un an a annoncé mardi son intention d’exploiter cette manne céleste.

Deep Space Industries prévoit de lancer à partir de 2015 une flotte de sondes pour prospecter et exploiter des astéroïdes croisant à proximité de la Terre.

«Utiliser les ressources se trouvant dans l’espace est la seule façon de  pouvoir assurer un développement spatial durable», estime le directeur général de l’entreprise, David Gump.

«On découvre plus de 900 nouveaux astéroïdes passant près de la Terre chaque année et ces objets peuvent être aussi importants pour les activités spatiales de ce siècle que l’ont été les gisements de minerais de fer du Minnesota pour l’industrie automobile de Detroit au XXe siècle», explique-t-il dans un communiqué.

Deep Space Industries commencera à évaluer des cibles prometteuses pour l’exploitation minière avec des petits engins spatiaux de 25 kilos baptisés «FireFlies» («lucioles») qui devraient être lancés dès 2015 pour des missions de deux à six mois.

La société, en quête de clients et d’investisseurs, travaille avec la Nasa et d’autres firmes et organisations pour identifier les astéroïdes présentant le plus grand potentiel.

Ces sondes seront économiques, affirme Deep Space Industries: fabriquées avec des éléments de satellite miniaturisés à bas coûts, elles seront lancées à faible prix à bord de lanceurs transportant déjà de gros satellites de communications.

À partir de 2016, la firme commencera à lancer des sondes plus lourdes de 32 kilos, les «DragonFlies» («libellules»), capables d’atteindre un astéroïde et de rapporter sur la Terre des échantillons de 27 à 68 kilos lors de périples durant de deux à quatre ans.

D’ici 10 ans, Deep Space Industries prévoit d’exploiter des astéroïdes pour leurs métaux et d’autres matériaux qui permettront de construire de vastes plates formes de communication pour remplacer les satellites. À plus long terme, la société parie sur le déploiement sur orbite de centrales d’énergie solaire qui alimenteront la Terre.

Des métaux rares en quantité quasi illimitée

Enfin les créateurs de Deep Space Industries comptent extraire du platine d’astéroïde pour l’utiliser sur Terre notamment dans des systèmes antipollution.

En avril 2012 déjà, un groupe de riches investisseurs dont le milliardaire Larry Page, PDG de Google, avait dévoilé la première société de prospection et d’exploitation minière d’astéroïdes, Planetary Resources.

«Un grand nombre de ces métaux et minéraux rares sur notre planète se trouvent en quantité quasi illimitée dans l’espace», expliquait alors Peter Diamandis, co-fondateur et co-président de Planetary Resources.

L’extraction des richesses aura selon ces entrepreneurs de multiples retombées bénéfiques pour l’humanité et engendrera un jour une activité économique pesant des dizaines de milliards de dollars annuellement.

Un simple astéroïde de 500 mètres de long a autant de platine que toute la quantité de ce métal extrait dans l’histoire de l’humanité, selon les créateurs de Planetary Resources.

De plus, les astéroïdes proches de la Terre, qui contiennent beaucoup de glace d’eau, serviront «de sorte d’oasis» pour les expéditions d’exploration spatiale lointaines, fournissant les ressources nécessaires en eau et en carburant.

Sur les plus de 9000 astéroïdes recensés par la NASA dont l’orbite passe dans le voisinage terrestre, plus de 1500 sont d’un accès aussi facile que la Lune, selon ces investisseurs.

Planetary Ressources a déjà mis au point des télescopes spatiaux qui seront placés sur orbite terrestre basse d’ici 2014 pour repérer les astéroïdes prometteurs. La société prévoit elle aussi de lancer de petits engins spatiaux pour aller les explorer.

http://www.lapresse.ca

La mission qu’il s’est donnée: éliminer tous les chats néo-zélandais


C’est stupide de vouloir éliminer tous les chats .. même si je comprends que le gars veut protéger les oiseaux … mais les chats sont vraiment très utile .. je me souviens d’un reportage que des chercheurs étaient appelé a trouver un vaccin contre une épidémie qui a couter la vie a une bonne partie du village .. cela a pris des mois et des mois avant de trouver la source … les souris qui transmettaient la maladie .. et qu’il n’y avait aucun chat .. (ils avaient été tous morts a la suite de pesticides)Alors après avoir trouvé le vaccin, ils ont apporté des chats pour chasser les souris
Nuage

 

La mission qu’il s’est donnée: éliminer tous les chats néo-zélandais

 

Gareth Morgan a un rêve bien simple: que la Nouvelle-Zélande soit débarrassée... (Photos.com)

PHOTOS.COM

Associated Press
WELLINGTON

Gareth Morgan a un rêve bien simple: que la Nouvelle-Zélande soit débarrassée des chats domestiques qui menacent la survie d’espèces d’oiseaux. Mais le militant environnemental ne fait pas l’unanimité avec sa nouvelle campagne.

Gareth Morgan a appelé mardi ses compatriotes à s’assurer que le chat qui accompagne leur quotidien soit leur dernier afin de sauver les espèces d’oiseaux uniques en Nouvelle-Zélande.

Il a créé un site web, nommé Cats To Go, dépeignant un petit chat avec des cornes de diable, avec la mention: «Cette petite boule de poil que vous détenez est un tueur né.»

Il ne recommande pas aux gens d’euthanasier leurs chats –

«Pas nécessairement, mais il s’agit d’une option», est-il écrit.

Gareth Morgan, un économiste et un homme d’affaires bien connu, suggère aussi que les chats soient gardés à l’intérieur et que les autorités locales rendent l’inscription à un registre obligatoire.

La Nouvelle-Zélande compte une proportion de chats domestiques par rapport à la population parmi les plus importantes au monde.

http://www.lapresse.ca