Nous avons tous besoin d’une oreille pour sentir que nous existons, que nous vivons ..
Nuage
L’Écoute
« N’être plus écouté : c’est cela qui est terrible lorsqu’on est vieux. »
Albert Camus
Nous avons tous besoin d’une oreille pour sentir que nous existons, que nous vivons ..
Nuage
L’Écoute
« N’être plus écouté : c’est cela qui est terrible lorsqu’on est vieux. »
Albert Camus
Vous connaissez ce jeu ou on cache quelque chose dans un verre et on les mélange pour que l’autre trouve ou est caché l’objet … voici un chat qui réussit a tout coup
Nuage
Un chat champion du jeu des gobelets
En principe nous sommes en hiver .. et il reste sûrement plusieurs semaines de froids et de neige .. de déneigement, de sel sur le trottoirs et routes .. Et les chiens dans cela … comment les protéger de cet saisons qu’ils aiment mais avec certaines précautions pour éviter de mauvaises surprises
Nuage
Le froid est de retour, et la neige attendue dans de nombreuses régions ! Une nouvelle qui ne réjouira pas que les bambins. Les chiens aiment eux aussi batifoler dans la neige.
Mais attention, si vous pouvez laisser sortir vos toutous, ne le faites pas sans prendre quelques précautions.
Il est notamment très important de bien prendre soin des coussinets de votre chien lorsqu’il se balade et joue dans la neige.
Pensez à bien sécher ses pattes après la promenade, en insistant bien sur les zones situées entre les coussinets.
Afin de lui éviter des gerçures et gelures, vous pouvez également appliquer préventivement sur les pattes de votre chien une pommade spéciale, à base de cire, que vous trouverez chez votre vétérinaire.
D’autres zones du corps sont particulièrement sensibles au froid, et risquent d’être irritées par la neige. C’est notamment le cas des testicules, dont la peau est très fine. Une pommade peut également y être appliquée avant de laisser votre compagnon à 4 pattes batifoler dans la neige.
Vous ne pourrez pas empêcher votre chien de manger un peu de neige. Toutefois, prenez garde à ce qu’il n’en ingère pas trop, afin d’éviter d’éventuels troubles digestifs.
Une trop grande ingestion de neige peut en effet engendrer de sévères gastrites, et d’importantes diarrhées.
Le sel de déneigement est nocif pour les chiens, qui peuvent souffrir d’irritations s’ils sont restés en contact trop longtemps avec ce produit.
Pensez donc à bien rincer les pattes de votre animal à l’eau claire après la promenade. Et pendant la balade, assurez-vous qu’il n’ingère pas de sel. Celui-ci peut provoquer une intoxication et donc des vomissements et des diarrhées.
En cas d’ingestion très importante, des troubles nerveux peuvent même se manifester.
Comme chez l’homme, la réverbération du soleil sur la neige peut engendrer des troubles oculaireschez le chien.
Il est donc vivement conseillé d’éviter une exposition trop longue à cette réverbération. Et si vous avez l’intention de partir en vacances à la montagne avec votre chien, n’hésitez pas à en parler avant à votre vétérinaire.
Il existe en outre des crèmes solaires spécialement conçues pour les chiens, qui protégeront votre compagnon contre les brûlures.
Armés de tous ces conseils, il ne vous reste plus qu’à profiter comme il se doit de la neige annoncée !
Après le lézard voici une belle grenouille s’est présenté sous son plus beau jour … a pour effet de s’inquiété pour sa survie .. car son environnement semble en danger ..
Nuage
La grenouille se distingue également par la couleur de sa palmure, de ses cuisses et par sa grande taille puisque les mâles mesurent – hors pattes – de 7,2 à 8,5 cm et les femelles environ 9 cm.
PHOTO JODI ROWLEY, AFP
Agence France-Presse
Sydney
Une nouvelle espèce de grenouille volante, sensiblement plus grosse que les autres spécimens de la même famille, a été récemment découverte au Vietnam par des scientifiques australiens et vietnamiens.
La «Rhacophorus helenae» possède «un ventre blanc clair et un blanc d’oeil très blanc» alors que l’espèce la plus proche présente un ventre jaune citron et un blanc d’oeil jaunâtre, a déclaré à l’AFP la biologiste australienne Jodi Rowley.
La grenouille se distingue également par la couleur de sa palmure, de ses cuisses et par sa grande taille puisque les mâles mesurent – hors pattes – de 7,2 à 8,5 cm et les femelles environ 9 cm.
Jodi Rowley, de l’Australian Museum de Sydney, a découvert l’amphibien dans la forêt du Sud-Vietnam.
«Ce qui est rare dans cette découverte en particulier, c’est le fait que j’ai découvert cet individu à moins de 90 kilomètres du centre de Ho Chi Minh-Ville, l’une des plus grandes villes d’Asie du Sud-Est», a expliqué Jodi Rowley à l’AFP.
Les chercheurs doivent maintenant déterminer si la grenouille est menacée. Des spécimens ont été uniquement observés dans les forêts des provinces de Binh Thuan et Dong Nai.
Or «c’est une forêt de plaine (…) pour laquelle la perte d’habitat est un gros problème», a souligné Jodi Rowley.
Les travaux de la biologiste, associée à des chercheurs de l’université de Ho Chi Minh-Ville et du Zoologisches Forschungsmuseum Alexander Koenig de Bonn (Allemagne), ont été publiés dans la dernière édition du Journal of Herpetology.
Peut-être, êtes vous ceux que la sardine vous fait virer vert … ou d’autres comme moi, finissent par y prendre goût.. sont un aliment de choix qui génèrent beaucoup de qualité nutritive … mais comme c’est un poisson que tout le monde veut autant les prédateurs sous l’eau que l’être humain … il y a de quoi a craindre pour leur survie
Nuage
PHOTO PHOTOS.COM
SANDRA LAFFONT
Agence France-Presse
Paris
Les sardines en boîte fêtent leurs 200 ans et les conserveries misent sur le capital sympathie de ce produit populaire et pratique pour faire accepter aux consommateurs des hausses de prix inévitables tant l’approvisionnement devient compliqué.
«La sardine est prise en tenaille entre l’augmentation de la demande mondiale et la nécessité de préserver les ressources sur nos côtes», explique Jean-François Hug, PDG de la conserverie Chancerelle-Connétable.
Et la Fédération des industries d’aliments conservés (Fiac), qui défend notamment les intérêts des conserveries de poissons, mise sur cette célébration pour faire part de ses difficultés.
Aujourd’hui considérée comme un produit bon marché, la sardine en boîte a longtemps été un produit de luxe.
La première mise en boîte de sardines à lieu à Nantes en 1810, rappelle la Fiac. Joseph Colin essaie alors de conserver des sardines. D’abord dans des pots de grès, mais elles périment au bout d’un mois. L’invention de l’appertisation (Nicolas Appert, 1795), une alternative au salage ou au fumage qui permet de conserver les aliments en les stérilisant, lui ouvre de nouvelles voies.
La boîte de conserve est née…
Jusqu’à la Première Guerre mondiale, c’est un produit de luxe. Le poisson est étêté, éviscéré, grillé et mis en boîte à la main, par des femmes, détaille Jean-Christophe Fichou, historien.
Mais la sardine bretonne et vendéenne commence déjà à se faire rare. Les conserveries n’ont d’autres choix que d’importer du poisson de Méditerranée ou du Maroc et du Portugal.
Problème : les qualités gustatives ne sont pas les mêmes notamment à cause de la congélation du produit durant son acheminement, selon le professeur, enseignant en classes préparatoires à Brest.
La bourgeoisie se détourne donc de la sardine qui devient en parallèle un produit populaire et bon marché grâce à la mécanisation. Mais la concurrence internationale et la recherche de compétitivité mettent fin à cet âge d’or.
Si la France comptait plus de 230 conserveries vers 1960, il n’y en a plus que 16 actuellement, selon la Fiac.
De plus en plus rare
Celles qui ont survécu ont dû se diversifier avec le thon ou le maquereau.
Et aujourd’hui la profession est face à un nouveau défi, celui de la préservation de la ressource.
Les pêcheurs français ont débarqué peu de sardines en 2011, quotas obligent. Et à l’étranger (Maroc, Portugal, Espagne), il fut difficile de s’approvisionner en raison de la concurrence à l’achat de pays émergents qui se sont mis à la sardine, protéine bon marché par excellence, rappelle la Fiac.
Résultat: à l’achat la sardine coûte 35 % plus cher qu’en 2009, estime la Fiac qui précise que le poisson représente 45 à 65 % de la valeur du produit.
Or le prix des conserves de poisson n’a augmenté que de 2,5 % en deux ans, à 8,30 euros le kg en moyenne en 2011.
Dans ces conditions, «la structure de prix de la sardine, comme des autres conserves de poisson, va changer», prévient Pierre Commere, délégué général de l’industrie du poisson.
Pour y faire face, les industriels comptent sur son capital sympathie.
En 2011, près de 95 % des ménages français ont acheté au moins une conserve de poisson, thon en tête, soit plus de 108 000 tonnes de conserve, pour près de 900 millions d’euros, fait valoir la Fiac.
Le secteur pourra aussi s’appuyer sur un nouvel âge d’or de la sardine de luxe, relève M. Fichou.
Et sur les qualités du produit: «sa richesse en Oméga 3, en calcium (grâce à ses arrêtes, ndlr), et les bienfaits de l’huile d’olive», enumère Caroline Hilliet Le Branchu, patronne de la Belle-Iloise, maison familiale créée en 1932.
Un lézard bien différents de ce que l’on connait … mais ses caractéristiques lui permet de vivre sous terre …Espérons que malgré sa découverte il continura a vivre sans trop de problème dans son environnement
Nuage
Cette espèce présente une combinaison unique de caractéristiques anatomiques au sein des vertébrés terrestres que sont les amphibiens, les reptiles, les mammifères et les oiseaux.
PHOTO AFP
Agence France-Presse
Une nouvelle espèce de lézard fouisseur, nommé «Moby Dick» pour sa ressemblance avec un cétacé, a été découverte à Madagascar par une équipe internationale de chercheurs, a annoncé mardi le CNRS (Centre national de recherche scientifique) mardi à Montpellier, en France.
Baptisée par les chercheurs «Sirenoscincus mobydick» en allusion au célèbre cachalot albinos du roman de Herman Melville, cette espèce présente une combinaison unique de caractéristiques anatomiques au sein des vertébrés terrestres que sont les amphibiens, les reptiles, les mammifères et les oiseaux.
Les travaux de l’équipe de chercheurs français, malgaches, américains et allemands ont été publiés fin décembre dans la revue Zoosystema, a indiqué le CNRS. Le lézard «Moby Dick» découvert dans les forêts sèches du nord-ouest de Madagascar a subi une évolution diamétralement opposée à celle des autres espèces de lézard sans pattes, précise cette même source.
En effet, cet animal présente une peau dépigmentée et ses yeux ont presque disparu car quasiment inutiles puisqu’il vit sous terre.
«Moby Dick» a également perdu ses pattes postérieures mais a conservé des membres antérieurs. Un «plan d’organisation morphologique» qui rappelle celui des cétacés, souligne le CNRS.
Ne vous surprenez pas si vous voyez des adresses avec des accents .. sur les sites .ca. Une nouveauté qui va permettre probablement d’avoir plus d’adresse ..et des variantes sur d’autres adresses
Nuage
Photo Fotolia.com
Agence QMI
OTTAWA – Il sera désormais possible de créer des adresses internet .ca qui incluent tous les caractères français, dont les accents.
L’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet (ACEI), qui gère le domaine Internet .ca, indique dans un communiqué qu’il est maintenant possible d’orthographier les noms de domaine français avec les caractères suivants: é, ë, ê, è, â, à, æ, ô, œ, ù, û, ü, ç, î, ï et ÿ.
«Les noms de domaine pourront dorénavant correspondre exactement aux noms, aux raisons sociales des entreprises et aux marques de commerce», estime Byron Holland, président et chef de la direction de l’ACEI.
Dans le passé, seules les lettres de a à z, le trait d’union et les chiffres de 0 à 9 pouvaient être utilisés.
L’ACEI précise que «quiconque enregistre, ou a déjà enregistré, un nom de domaine se voit automatiquement accorder le droit exclusif d’enregistrer toutes ses variantes, mais sans pour autant se trouver dans l’obligation d’y veiller.»
«Par exemple, seul le titulaire de http://www.cira.ca aura le droit d’enregistrer http://www.cirà.ca, http://www.çira.ca et http://www.cïra.ca»
Cela peut arriver a tout le monde d’avoir une chute de tension, c’est souvent bénin et passager .. sinon, en parler avec son médecin pour vérifier que rien d’autre ne cloche
Nuage
Vous venez de vous lever ou d’apprendre une nouvelle étonnante et soudain… vous vous sentez faible, voire au bord de l’évanouissement?
Il s’agit sans doute d’une chute de tension: un phénomène fréquent et souvent bénin que l’on peut limiter en adoptant quelques bonnes habitudes.
Qu’est-ce qu’une chute de tension?
La chute de tension correspond à une baisse soudaine de la pression exercée par le sang sur les parois des artères, entraînant différents symptômes: étourdissement, vision brouillée, nausées, accélération du rythme cardiaque…
Les causes de la chute de tension sont complexes, la pression artérielle étant régulée par de nombreux mécanismes qui mettent en jeu le cœur, mais aussi les vaisseaux sanguins et le système nerveux.
Si le fait d’avoir habituellement une tension basse – pression systolique inférieure à 10 ou 11 cm Hg (centimètres de mercure) – peut favoriser les chutes de tension, ces deux phénomènes ne sont pas directement liés.
Les chutes de tension sont davantage la conséquence d’une tension «labile», caractérisée par des variations fréquentes et très marquées (tension très haute ou très basse).
Les chutes de tension apparaissent souvent au moment d’un changement de position, le plus souvent lors du passage de la position couchée à la position debout. On parle alors d’hypotension orthostatique.
La chute de tension peut également être déclenchée par une forte émotion. Une voiture surgit du coin de la rue alors que vous vous apprêtiez à traverser? Vous tombez soudain sur un ami que vous n’aviez plus vu depuis vingt ans? Il se peut que votre tension chute brutalement sous l’effet de l’émotion.
Les chutes de tension représentent un phénomène fréquent et souvent bénin.
Néanmoins, si elles se répètent fréquemment et/ou sont associées à d’autres symptômes comme une fatigue excessive ou un essoufflement, elles peuvent parfois témoigner d’un problème cardiaque. Il est donc important d’en parler à votre médecin.
Article publié par Julie Luong, journaliste santé
Sources : Dr Vanhalewyn, coordinateur de la SSMG (Société Scientifique de Médecine Générale)
Le monde est depuis toujours en changements .. la génétique et l’archéologie sont la pour le prouver que des immigrations avec leur connaissances, leurs outils, leur animaux ont voyager a travers le monde … pour former des familles, des clans ..
Nuage
Sydney, en Australie
PHOTO: ARCHIVES AFP
Agence France-Presse
Washington
L’Australie qu’on pensait avoir été isolée entre l’arrivée des premiers humains il y a 40 000 ans et la venue des Européens au 19e siècle, a connu une vague d’immigration depuis l’Inde il y a environ 4000 ans, selon une analyse génétique publiée lundi aux États-Unis.
Les auteurs de l’étude expliquent que ces immigrants auraient aussi apporté certains outils de pierre de petite taille appelés microlithe ainsi que le dingo, un chien sauvage trouvé en Australie.
Les datations de ces outils et des restes fossilisés de ces animaux, les font remonter à environ 4000 ans, précisent ces scientifiques du Max Planck Institute en Allemagne, auteurs de cette recherche parue dans les Annales de l’Académie américaine des sciences (PNAS) datées du 14-18 janvier.
Ces chercheurs ont comparé certaines variations génétiques des aborigènes d’Australie à celles des populations de Nouvelle-Guinée, d’Asie du Sud-Est et d’Inde.
«Les résultats laissent penser à un flux substantiel de gènes d’Inde vers l’Australie il y a 4.230 ans, bien avant les premiers contacts avec les Européens», explique Irina Pugach du Max Planck Institute et principal auteur de la recherche.
«Cette période coïncide aussi avec de nombreux changements dans les données archéologiques en Australie comme la technologie des outils de pierre et la manière de transformer les plantes», poursuit-elle.
«Dans la mesure où nos détectons le flux de gènes d’Inde vers l’Australie autour de cette même période, il est probable que ces changements et l’apparition du dingo soient liés à cette migration», conclut Irina Pugash.
Cette analyse génétique révèle également une origine commune des populations aborigènes d’Australie, de Nouvelle-Guinée et des Mamanwa, un groupe Negritos des Philippines qui remonte de 35 000 à 45 000 ans.
Durant cette période, l’Australie et la Nouvelle-Guinée ne formaient qu’un seul bloc géographique appelé Sahul.
Selon ces chercheurs, ces trois groupes ont divergé les uns des autres il y a environ 36 000 ans.
«Cette découverte conforte l’hypothèse selon laquelle ces populations descendent d’un premier flux de migration d’Afrique par le Sud tandis que d’autres groupes sont arrivés plus tard», précise Mark Stoneking du Max Planck Institute, un des co-auteurs de l’étude.
Ces données génétiques indiquent également que les aborigènes australiens et les Nouveaux-Guinéens ont divergé plus tôt dans l’histoire du Sahul et non pas quand la Nouvelle-Guinée et l’Australie ont été séparées par la montée du niveau de l’océan il y a environ 8000 ans, relève-t-il.