La parole


Souvent le silence est mieux que la parole .. Notre langue peut devenir un obstacle causé par les mots que nous laissons échapper ..
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La parole

 

 

« Tant que tu n’as pas parlé, la parole est en ton pouvoir, mais échappée de ta bouche, elle te tient en son pouvoir.  »

Abu Shakour

COMMENT MATER UN VILAIN RHUME


Peut-on évité la grippe ou le rhume qui sévit surtout en hiver ??  Difficile surtout quand notre entourage est contaminé .. Cependant on peut quand même se protéger et tant mieux si la grippe ou le rhume passe sans nous dire bonjour
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COMMENT MATER UN VILAIN RHUME

 

Tiré de : Stealth Health, Reader’s Digest Canada

Fatigué d’avoir le nez qui coule? La prochaine fois qu’un début de rhume ou de grippe se manifeste, essayez une des ces stratégies pour ne lui laisser aucune chance!

Utilisez  votre jointure pour vous frotter les yeux

Vous aurez ainsi  moins de chances d’être contaminé par les virus qu’en utilisant le bout de vos doigts. Ceci est particulièrement important, car l’œil représente une porte d’entrée parfaite pour les microbes. Une personne frotte en moyenne ses yeux, son nez ou son visage de 20 à 50 fois par jour, rappelle Jordan Rubin, auteur du livre The Maker’s Diet.

Votre brosse à dents: 10 secondes au micro-ondes

Vous croyez que votre brosse à dents est propre? Vous avez raison, mais lorsque vous avez terminé de l’utiliser, elle devient une cible de choix pour les germes. Stérilisez-la au micro-ondes avant de l’utiliser ou remplacez-la à chaque mois (ou après un vilain rhume).

Lavez-vous les mains… souvent!

Le Centre de recherche sur la santé de la marine américaine a mené une recherche auprès de 40 000 recrues à qui on a demandé de se laver les mains cinq fois par jour. Cette mesure toute simple a permis de diminuer de 45% l’incidence de maladies respiratoires chez ces recrues.

Le gel antiseptique, un indispensable

Ayez toujours avec vous du gel antiseptique ou des serviettes désinfectantes. Vous pourrez ainsi vous nettoyer les mains à tout moment, même si l’évier le plus près se trouve à 100 kilomètres. Une méthode efficace, d’après une étude sur l’absentéisme lié aux infections (comme le rhume ou la grippe) dans les écoles primaires. Selon cette étude, les écoles qui utilisaient du gel antiseptique avaient un taux d’absentéisme d’environ 20% inférieur aux autres.

Surtout, ne pas culpabiliser!

Croyez-le ou non, mais vous culpabiliser vous rend plus vulnérable aux virus! C’est la conclusion à laquelle en sont arrivés des chercheurs après avoir observé plus de 200 travailleurs pendant trois mois. Même les travailleurs en contrôle de leur travail avaient plus tendance à attraper un rhume s’ils manquaient de confiance en eux ou s’ils se culpabilisaient lorsque les choses allaient mal.

Boîtes de mouchoirs: oubliez l’esthétique!

Achetez des paquets de six ou douze boîtes de mouchoirs et placez-les à des endroits stratégiques à la maison, au travail et même dans dans votre voiture. Il est important, pour réduire la propagation des germes, d’avoir des mouchoirs facilement disponibles pour que toute personne puisse se moucher ou éternuer de façon hygiénique.         

Un peu d’air frais dans la maison

Laissez une ou deux fenêtres légèrement entrouvertes durant l’hiver, spécialement dans les pièces où vous passez le plus de temps. Ceci est particulièrement important si vous vivez dans une maison neuve, où la circulation d’air fait les frais de l’efficacité énergétique. Une mesure simple qui fait des miracles dans la lutte aux germes!

Diminuez la température de votre maison de cinq degrés

L’air sec d’une maison surchauffée procure un environnement parfait pour le développement du virus du rhume. Lorsque les membranes muqueuses (nez, bouche et amygdales) s’assèchent, elles n’interceptent pas bien les germes. Baisser la température ambiante et utiliser un humidificateur aident à maintenir un niveau sain d’humidité dans l’air.

L’importance d’un hygromètre

Cet instrument permet de mesurer l’humidité. Le taux idéal dans votre maison se situe autour de 50%. Un taux constant de plus de 60% signifie que des moisissures pourraient apparaître dans vos murs, vos tapis, vos divans et votre cuisine. À l’inverse, un taux d’humidité de 40% (ou moins) signifie que l’air est sec et vous rend plus sensible aux microbes.

Le sauna une fois par semaine

Pourquoi? Une étude autrichienne publiée en 1990 a démontré que les volontaires qui utilisaient le sauna fréquemment avaient la moitié moins de rhumes que ceux qui n’y allaient pas du tout et ce, durant les six mois qu’a duré l’étude. Avis aux intéressés: il est possible que l’air chaud inspiré tue le virus du rhume. De nos jours, la plupart des gyms possède des saunas.

Inspirez un peu d’air chaud de votre sèche-cheveux

Cela semble un peu fou, mais attention! Une étude menée par l’hôpital Harvard en Angleterre a montré que les personnes qui inspiraient de l’air chaud avaient moins de la moitié des symptômes du rhume que les autres qui respiraient l’air à température ambiante. Réglez la température de votre séchoir à chaud -mais pas trop- et tenez-le à environ 40 cm de votre visage. Respirez l’air par votre nez aussi longtemps que vous le pouvez (20 minutes est la durée idéale).

Un supplément d’ail par jour

Lorsque 146 volontaires d’une étude ont reçu un supplément d’ail par jour ou un placebo pendant douze semaines entre les mois de novembre et février, ceux qui prenaient l’ail avaient moins tendance à attraper le rhume. Si par malheur ils en attrapaient un, les symptômes étaient toutefois moins intenses et ils s’en remettaient plus vite.

Un yogourt à chaque jour

Une étude de l’Université David de Californie a montré qu’une personne qui mangeait quotidiennement un yogourt (probiotique ou non) attrapait le rhume 25% moins souvent que ceux qui n’en mangeaient pas. Petit truc: commencez à manger du yogourt durant l’été pour être immunisé avant la saison du rhume et de la grippe.

Lessive: pas de paresse!

Changez ou nettoyez vos serviettes à main aux trois à quatre jours durant la saison du rhume et de la grippe. Nettoyez-les à l’eau chaude pour tuer les germes.

http://selection.readersdigest.ca

Un sauvetage dans l’urgence


Faut vraiment être sans coeur pour jeter dans une épaisse mare de goudron que les chiens étaient sur le point de mourir s’il la providence n’était pas elle aussi a ce triste rendez-vous Les chiens avaient peur, mordaient … mais ils ont été heureusement sauvé
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Un sauvetage dans l’urgence

 

Le 7 janvier dernier, 2 jeunes chiens ont été sauvés au Chili alors que piégés dans une fosse à goudron, ils étaient promis à une mort certaine, lente et terriblement cruelle.

C’est une équipe de jeunes gens, membres de AXIOS Aisor,  qui a secouru les malheureux animaux, jetés volontairement dans ce piège dans la région d’Antofagasta, au nord du Chili.

Pour libérer les chiens, les sauveteurs improvisés ont utilisé ce qu’ils avaient sous la main : des cordes, des pneus, et la force de leurs bras.

Et leur persévérance a payé, puisque que les 2 animaux ont pu être sauvés.

Une fois sortis du goudron, ils ont été soigneusement nettoyés, et pris en charge par une équipe de vétérinaires appelée sur place.

Les personnes qui ont jeté les chiens dans ce piège, elles, n’ont hélas pas encore été retrouvées, ni même identifiées…

« C’est une honte« , s’insurge l’homme qui a publié les vidéos de ce sauvetage sur Internet. Il réclame une punition à la hauteur de la cruauté de cet acte, une véritable torture qui aurait tué les deux chiens si leurs sauveteurs ne les avaient pas découverts à temps…

Mon ordi mon meilleur ami


Comme dans toute chose, au début nombre d’entre nous ont eu une certaines dépendance a Internet .. quand ils ont commencé a communiqué via les forums, blog, Facebook, twitter, jeux, le chat etc .. mais généralement on s’aperçoit qu’après Internet la vie existe .. Alors d’autres cette dépendance viens envahir la vie réelle, de la maison au travail et sacrifiant bien des activités et loisirs
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Mon ordi mon meilleur ami

PAR MARTHE MARTEL  | PHOTO: ISTOCK

Quand notre ordinateur devient notre plus fidèle ami et qu’il n’y a plus de place pour rien d’autre, il y a lieu de se poser des questions, surtout si notre entourage se sent négligé. Pistes de réflexion.

Cybersexe, casinos virtuels, clavardage, courriels, achats en ligne… La dépendance à l’ordinateur peut prendre différentes formes et cacher plusieurs problèmes. Et parfois, il est difficile de faire la différence entre une personne qui apprécie tout simplement Internet et une autre pour qui son utilisation pose un réel problème. Pour le psychologue Michel Campbell, il n’y a aucun mal à naviguer chaque jour sur le Net si on continue à «nourrir» toutes les sphères de sa vie et si on peut se passer de l’ordinateur. Mais si la «vie virtuelle» affecte les relations sociales et familiales, le travail ou les revenus, il y a lieu de penser qu’on a une dépendance. 

En congé de maternité, Marie-Claude commence toujours sa journée en faisant le tour de ses blogues préférés et elle a même crée le sien, sur lequel elle écrit régulièrement. Elle y trouve du soutien dans son nouveau rôle de maman. Dans un tel cas, il n’y a rien à redire, mais pour Julie, c’est autre chose. Célibataire âgée de 35 ans, cette dernière s’est forgé un personnage virtuel et elle échange avec un homme qu’elle a connu sur un site de rencontres. Ils s’excitent mutuellement, et elle adore ce petit jeu. Mais voilà que, depuis quelque temps, elle vérifie ses messages de 20 à 30 fois par jour, même quand elle est au travail… Là, il y a vraiment un problème!

Ce qui caractérise une dépendance, c’est la souffrance qui l’accompagne.

«Il y a des gens pour qui l’ordinateur prend tellement de place qu’ils n’ont plus de qualité de vie; certains dépensent une fortune pour s’abonner à des sites, d’autres remplissent leurs cartes de crédit en jouant au casino virtuel… Ils ont des remords, ils présentent des symptômes de dépression et des signes physiques de détresse», souligne le psychologue Jean-Pierre Rochon, qui a créé un site Internet pour venir en aide aux cyberdépendants.   

Toutefois, comme les alcooliques, les cyberdépendants passent souvent par une phase de déni. C’est la réaction de leur entourage, victime de la situation, qui les amène alors à entreprendre une thérapie. Par exemple, Lucie, 40 ans, a décidé de consulter après que son conjoint l’a menacée de la quitter. Il lui reprochait de passer tout son temps sur le Net. Et lorsqu’elle a prétexté un surplus de travail pour ne pas participer à une escapade familiale afin de pouvoir répondre à ses courriels, ç’a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.  

Les accros du Net sont incapables de résister à l’appel de cette technologie qui les attire; ils consomment, puis se sentent coupables… et ils recommencent. Selon Jean-Pierre Rochon, les cyberdépendants ressentent la même excitation et ont les mêmes réactions biochimiques que les autres types de dépendants lorsqu’ils sont en contact avec «leur substance». Et si on les prive de celle-ci, ils présentent des symptômes de sevrage. Par exemple, quand Lucie a été privée de son ordinateur pendant une semaine parce qu’il était en panne, son conjoint lui a fait remarquer qu’elle était impatiente et agressive. Il arrive également que les cyberdépendants aient déjà eu d’autres dépendances.

«Ce sont des gens qui ont une tendance à être compulsifs», affirme Michel Campbell.

Sur le Net, Lucie avait son groupe de correspondants réguliers, dont deux hommes qu’elle affectionnait particulièrement. Elle aimait cette «amitié amoureuse» aux limites floues qu’elle entretenait.

«Pour la première fois depuis longtemps, je me sentais écoutée, admirée, désirée… Un de mes contacts m’envoyait même des poèmes. Je savais qu’il était marié, lui aussi, mais je me disais qu’on ne faisait de mal à personne», souligne Lucie, qui a finalement entrepris une thérapie.

Lucie refusait-elle de s’avouer que son couple battait de l’aile? Fuyait-elle la réalité? Est-elle dépendante affective? Internet lui donnait-il cette facilité à communiquer qui lui fait tant défaut dans la vie? Selon Michel Campbell, les situations pouvant mener à la cyberdépendance sont multiples.

«On retrouve chez les gens compulsifs un taux élevé de problèmes affectifs ainsi qu’un manque de confiance en soi et d’estime de soi», dit-il. 

Quant à Jean-Pierre Rochon, il pense que certaines personnes sont capables de se sortir seules d’une dépendance au Net, même si la plupart ont besoin d’une aide extérieure.

«La cyberdépendance, ça se traite. Toutefois, ça dépend du degré d’investissement de la personne qui vient en thérapie», dit-il.

Et son approche est différente selon qu’il s’agit d’un problème de cyberpornographie, de dépendance affective, de jeu compulsif, etc.

«Ce n’est pas un traitement simple, termine Michel Campbell. Il faut trouver quelqu’un qui a la formation nécessaire et qui sait comment traiter ce genre de problème.»

Sur son site Internet (www.psynternaute.com), Jean-Pierre Rochon énumère les signes diagnostiques de cyberdépendance. Si on répond à cinq critères pendant une période prolongée, on a probablement besoin d’aide professionnelle.

Êtes-vous cyberdépendant ?

  1. Préoccupation fréquente au sujet de notre comportement en rapport avec Internet;
  2. Intensité et durée des épisodes sur le Net plus importantes que souhaité;
  3. Tentatives répétées pour réduire, contrôler ou abandonner notre comportement virtuel;
  4. Temps important consacré à préparer les épisodes, à les entreprendre, ou à s’en remettre;
  5. Survenue fréquente d’épisodes de cyberdépendance au moment d’accomplir des obligations professionnelles, scolaires, familiales ou sociales;
  6. Activités sociales, professionnelles ou récréatives majeures sacrifiées;
  7. Perpétuation du comportement, même si on sait qu’il cause ou aggrave le problème;
  8. Besoin d’augmenter l’intensité ou la fréquence d’utilisation d’Internet pour obtenir l’effet désiré;
  9. Agitation ou irritabilité en cas d’impossibilité de s’adonner au comportement de cyberdépendance.

 

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Des Québécois atteints de maladies chroniques sans le savoir


Disons que cela ne me surprend pas vraiment étant donné la difficultés d’avoir des rendez-vous et un médecin de famille .. quand on a besoin d’un médecin on se prépare psychologiquement a attendre des heures et des heures a l’urgence ou a la semi urgence ..
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Des Québécois atteints de maladies chroniques sans le savoir

 

Une proportion notable de Québécois souffre de maladies chroniques sans  le... (Archives La Presse)

ARCHIVES LA PRESSE

LIA LÉVESQUE
La Presse Canadienne
Montréal

Une proportion notable de Québécois souffre de maladies chroniques sans le savoir, comme de l’insuffisance rénale chronique légère à modérée, de l’hypertension ou de l’hypercholestérolémie, révèle Cartagène.

Cartagène est un vaste projet de banque d’échantillons et d’informations biologiques sur la santé des Québécois, qui permet de suivre des cohortes au fil des ans. Pour la première phase seulement, les données concernant 20 000 personnes ont été colligées.

À ce jour, les chercheurs ont pu faire des constats qu’ils qualifient d’inquiétants, comme le fait que 90 pour cent des personnes atteintes d’une insuffisance rénale légère à modérée l’ignoreraient.

De même, une personne sur deux afficherait un taux de cholestérol sanguin trop élevé sans le savoir.

L’équipe de Cartagène veut recruter 17 000 autres Québécois pour mieux nantir sa banque de données. Il doit s’agir d’hommes ou de femmes âgés de 40 à 69 ans, demeurant à Montréal, Québec, Saguenay, Gatineau, Sherbrooke ou Trois-Rivières.

En entrevue, la directrice générale de Cartagène, Alexandra Obadia, a tenu à rassurer les gens qui pourraient être intéressés à participer, mais qui seraient encore hésitants. Toutes les données sont confidentielles et même l’équipe de Cartagène n’a pas accès aux données nominatives comme les coordonnées des participants.

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Le ronron du chat, un câlin qui guérit


Je crois que ceux qui aiment les chats vont sûrement être d’accord avec ce billet … car oui les chats ont quelques chose d’apaisant .. Ils sont juste la près de nous profitant du moments présent
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Le ronron du chat, un câlin qui guérit

 

Le chat est comme un violoncelle dont la... (Photo : Relaxnews)

Le chat est comme un violoncelle dont la musique s’amplifie en fonction de la taille de sa cage thoracique, qui fait office de caisse de résonance. Le ronron vient du larynx et ses vibrations sont un signe d’apaisement entre chats.

PHOTO : RELAXNEWS

Agence France-Presse

Le stress, l’insomnie ou l’anxiété peuvent aussi se soigner ponctuellement sans médicament grâce au ronronnement du chat, aux vertus thérapeutiques vantées par leurs maîtres et les professionnels animaliers.

Jean-Yves Gauchet, vétérinaire à Toulouse, qui revendique la paternité en France de la «ronron thérapie», assure que le ronronnement «apaise» et agit comme «un médicament sans effet secondaire».

«Quand l’organisme lutte contre des situations pénibles, comme le stress, le ronronnement du chat émet des vibrations sonores apaisantes et bienfaisantes, un peu comme la musique», explique-t-il.

Le chat est alors comme un violoncelle dont la musique s’amplifie en fonction de la taille de sa cage thoracique, qui fait office de caisse de résonance. Le ronron vient du larynx et ses vibrations sont un signe d’apaisement entre chats.

«C’est le premier signal que la mère envoie à son petit, un appel de reconnaissance et d’apaisement qui fonctionne aussi avec l’homme», affirme le vétérinaire.

L’homme perçoit le ronron par son tympan, mais pas seulement.

«C’est par le tympan, mais aussi les corpuscules de Pacini, des terminaisons nerveuses situées au ras de la peau, que nous percevons le ronron qui émet des fréquences basses, entre 20 et 50 hertz. Des pensées positives et de bien-être sont alors transmises à notre cerveau», explique-t-il.

Et les vertus des chats, qui sont près de 11 millions dans les foyers français, ne se limitent pas au ronronnement.

«Le chat est un éternel bébé qui aime se faire cajoler et ne demande qu’à jouer et dans certains cas il comble un manque affectif pour ceux qui n’ont pas d’enfant», déclare-t-il.

Bars à chats au Japon

Voir mon billet Neko Cafés ou les cafés à chats

 

Victoria Houssay, 22 ans, est «rassurée et détendue» par la présence de Memphis, son troisième chat.

«Quand il ronronne sur mon ventre, je suis calme et détendue», confie la jeune femme. «Il vient de lui-même quand je suis triste, fatiguée ou malade et ça me fait du bien».

Dans les maisons de retraite acceptant les animaux, les chats réconfortent les résidents, confient les encadrants.

«Une de nos clientes souffre d’un trouble du comportement et seule la présence de son chat l’apaise, il l’aide à l’endormissement», témoigne Bruno Hardy, cadre de santé à la maison de retraite «Richard» à Conflans-Saint-Honorine (Yvelines).

Journaliste santé, Véronique Aiache a consacré un ouvrage à «La ronron thérapie», aux éditions Guy Trédaniel.

«C’est un puissant anti-stress, régulateur de la tension artérielle, boosteur des défenses immunitaires et un soutien psycho-moteur» note-t-elle rapportant les résultats d’une étude menée dans les années 1950 par le corps médical américain.

«À fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal. Les vibrations émises par le ronronnement ont d’ailleurs été reproduites par des kinésithérapeutes pour accélérer la cicatrisation osseuse», raconte-t-elle à l’AFP.

Au Japon, il existe même des «bars à chats», où les clients viennent se détendre après le travail, en buvant un thé tout en caressant les animaux.

La complicité entre le chat et l’homme trouve ses racines dans l’agriculture lorsqu’il faisait fuir les nuisibles il y a plusieurs millénaires.

Jean-Denis Vigne, chercheur au CNRS et archéologue, dit avoir découvert lors de fouilles à Chypre en 2005 les traces les plus anciennes d’une association entre l’homme et le chat «au sens affectif».

«Une sépulture d’un homme associée à un squelette de chat datant de 8.500 ans avant notre ère tend à prouver leur association dans la vie et dans l’au-delà», estime-t-il.

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Petit lecteur deviendra grand


Nous avons la chance d’avoir d’excellent livres pour enfant et tout petits. Donner le goût a la lecture se commence très tôt .. et les parents devraient montré l’exemple .. de prendre un livre pas du numérique, ordinateur et compagnie … mais un vrai de vrai livre … et de lire avec nos enfants
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Petit lecteur deviendra grand

 

Le livre est pourtant un jouet multifacette très...

Le livre est pourtant un jouet multifacette très riche, note Julie Brousseau, psychologue au Centre de réadaptation Marie Enfant du CHU Sainte-Justine.

LAURIE RICHARD

Le Soleil

(Québec) Un grand nombre de parents ne regardent pas de livres avec bébé. À quoi bon, se disent-ils, il ne comprend pas encore! Pourtant, les experts s’accordent pour dire que la lecture, même à l’âge de six mois, est bénéfique pour le développement des poupons. Il s’agit d’un investissement à long terme.

Bébé qui regarde le livre, enjoué, sur les genoux de maman, il le touche, gazouille… Cette publicité que l’on peut voir à la télévision ces jours-ci fait partie de la quatrième campagne Naître et grandir que la Fondation Lucie et André Chagnon a lancé en novembre. Celle-ci est axée sur l’éveil à la lecture en bas âge. Car selon une enquête menée par Léger Marketing pour le compte de la fondation en février dernier, plus de la moitié des parents interrogés ont indiqué ne pas s’adonner à la lecture avec bébé par manque d’intérêt ou de temps.

Le livre est pourtant un jouet multifacette très riche, note Julie Brousseau, psychologue au Centre de réadaptation Marie Enfant du CHU Sainte-Justine. «La lecture conjointe avec les parents est une activité extrêmement stimulante et des plus bénéfiques pour les tout-petits, explique-t-elle. Elle permet de développer son intelligence, sa motricité et son langage. C’est aussi un moment d’intimité pendant lequel le parent est seulement dédié à son enfant. On se parle, on crée des liens.»

La lecture permet aussi au bambin de bâtir sa capacité d’écoute. «Pour que les enfants apprennent à parler, ils ont besoin d’entendre parler. Les structures dans le cerveau se construisent en bas âge», spécifie la docteure Brousseau.

À quel âge peut-on commencer la lecture avec bébé? Dès trois à quatre mois, le petit pourra y porter attention; il est en mesure de découvrir l’objet avec ses doigts… et sa bouche. Les livres jouets à mâchouiller sont tout indiqués pour stimuler ses sens. Lorsqu’on débute, on ne doit pas utiliser des images extrêmement complexes. Une image, un mot. Des petits imagiers cartonnés et plus robustes seront parfaits pour l’exercice. L’enfant apprend alors à discriminer des éléments sur l’image, explique la docteure.

On peut éventuellement se tourner vers des textes simples : des livres qui couvrent les routines de la vie de l’enfant, comme l’heure du bain ou la journée à la garderie. Les imagiers sur les animaux ou les véhicules leur permettent également de faire un lien entre ce qu’ils voient et les mots de vocabulaire dont ils vont se servir. Vers trois ans, les contes peuvent s’ajouter à l’équation. Mais le bon livre à explorer reste celui qui intéressera l’enfant, soutient Mme Brousseau, comme une évidence.

Réussite scolaire

La psychologue Julie Brousseau affirme que la lecture en bas âge est LE geste à poser pour faciliter l’entrée scolaire de son enfant.

L’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (l’ELDEQ), réalisée entre 1998 et 2010 et rendue publique en décembre, a permis de suivre 2120 enfants chaque année de l’âge de 5 mois à 8 ans et deux fois par année ensuite jusqu’à 12 ans, soit à la fin du primaire. Selon cette dernière, plus les enfants lisaient pour le plaisir, peu importe leur sexe, plus ils avaient de chance de réussir l’épreuve de lecture obligatoire de la fin du troisième cycle du primaire.

Les parents se trouvent en amont dans l’équation. Les données de l’ELDEQ montrent que les petits à qui un parent ou un adulte ont fait la lecture vers un an et demi étaient plus nombreux, de manière proportionnelle, à lire pour le plaisir au moins une heure par semaine alors qu’ils étaient en sixième année. Cela même en tenant compte des facteurs comme le sexe et le milieu socioéconomique. Ils étaient aussi donc plus susceptibles d’avoir réussi l’épreuve de lecture.

Les chercheurs responsables concluent toutefois que l’accompagnement parental doit être présent durant tout le parcours scolaire pour obtenir de tels résultats. Car l’ELDEQ démontre aussi que les enfants encouragés par leurs parents à la lecture, même à 10 ans, ont un taux de réussite en lecture plus élevé.

Marie Gendron, directrice générale de l’opération sociétale Naître et grandir, indique que dès demain, ce seront des vedettes de la télé qui prendront le relais de la campagne publicitaire. Des capsules ont été tournées avec six personnalités québécoises qui nous feront part des beaux moments de lecture avec leur bébé.

Un petit roman gratuit d’une auteure québécoise renommée sera d’ailleurs inséré dans l’édition de février du magazine Naître et grandir. Ceux qui souhaitent connaître des trucs pour lire avec bébé peuvent aussi consulter le site Internet de la campagne :naitreetgrandir.com/fr/dossier/lire-aux-tout-petits/.

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