Une belle définition de l’amour …
Nuage
Pomme d’amour
« Chaque pomme est une fleur qui a connu l’amour. »
de Félix Leclerc
Une belle définition de l’amour …
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Pomme d’amour
« Chaque pomme est une fleur qui a connu l’amour. »
de Félix Leclerc
Rien ne se créer sans que les conditions se sont réuni pour qu’un événement arrive … Certaines de ces conditions peuvent être hors de notre contrôle, cependant nous avons la faculté de diriger nos pensées, notre attitude
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Un climat favorable
Que fait-on lorsqu’on veut faire éclore un œuf ? On le maintient pendant le temps voulu à la bonne température. Chacun sait que les framboises ne poussent pas en hiver, à moins qu’on ne les cultive en serre. Chacun sait également qu’un poisson d’eau douce ne peut vivre dans l’eau de mer.
De ces constatations, que l’on peut multiplier, nous tirons cette conclusion : rien, en ce monde, ne peut se manifester à moins d’être dans un climat favorable.
Chaque fois que je fais pour la millionième fois une constatation de ce genre, je m’apitoie sur la sottise de notre moi-moi-moi. Nous sommes à même d’étudier le livre de la nature, d’y recueillir les leçons de sagesse les plus fructueuses et nous vivons en aveugles au Pays des Merveilles !
Ce climat, cette atmosphère, croyez-vous vraiment les créer en vous ? Admettez-vous une fois pour toutes que le bonheur puisse fleurir autrement que dans une atmosphère de confiance, d’espérance, de foi ? Êtes-vous bien persuadé que l’abondance, la santé, la paix, ont leur climat ?
Chacune de vos pensées de doute, de découragement, de peur, chacune de vos rancunes, chacune de vos colères font souffler une brise glaciale sur votre jardin intérieur. Et vous savez qu’une brise glaciale fait périr dans leur fleur l’espoir des vergers.
Dites-vous bien que tant que vous n’aurez pas modifié le climat de vos pensées, vous ne parviendrez point à voir éclore vos espérances.
– Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur, p. 201
Bien c’est un truc comme un autre .. moi il fut une époque que je lisais le dictionnaire Larousse quand je n’avais pas de livre a lire avant de m’endormir
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Un institut hospitalier de la région de Bordeaux a instauré une bien étrange manière pour arriver à vaincre les insomnies de ses patients.
Plutôt que de les assommer de médicaments divers pour les endormir, les infirmières viennent chaque soir lire l’annuaire du téléphone aux malades.
Petite particularité, l’annuaire lu est celui de la région de naissance du patient, tout l’institut est formel : ça marche très bien !
Le Canada est vaste, malgré la surpopulation des grandes villes, le Canada offre une nature époustouflante, des paysages irréels .. et ce sans compter quand la neige décide de sculpter l’environnement ..
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Le Canada d’un océan a l’autre
Lac Moraine, situé dans la province d’Alberta,
Le Rocher Percé est un symbole de la Gaspésie
Le parc national de Banff
Le lac Emerald
Les chutes Montmorency figées par le froid
Les trois chutes du Niagara
© karlsson_foto – Fotolia.com
Le lac Ontario à l’infini
Les aurores boréales
Le Nunavik : le Grand Nord
Comment ce petit chaton s’est rendu dans la statue d’Abraham Lincoln ? Se peut-il qu’une personne ai eu l’idiotie de le faire glisser dans ce monument .. ? Il a été chanceux malgré tout d’être secouru et adopté
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Ce petit chaton est un miraculé ! Si sa vie a plutôt mal commencé, l’animal âgé de seulement 3 semaines se révèle être finalement un grand chanceux…
C’est en Floride, aux Etats-Unis, que le petit chat est né, et qu’il a été sauvé. Son histoire est incroyable !Pendant plusieurs jours, il est resté coincé dans une statue de l’ancien président américain Abraham Lincoln. Comment ? Cela reste un mystère.
Mais le plus important est sans doute qu’il ait pu être secouru, grâce aux habitants de la ville de Clermont. Ceux-ci ont en effet entendu des miaulements pendant 3 jours, et ont mis du temps avant de découvrir leur provenance.
Les cris venaient d’une statue d’Abraham Lincoln du musée Presidents Hall of Fame, qui renferme de nombreux souvenirs des présidents américains, et des répliques de nombreuses pièces de la Maison Blanche.
Alerté, le personnel du musée a appelé les pompiers, et contacté l’association de protection animale Humane Society.
Daniel Davis, un membre de l’association, s’est joint aux secouristes pour les aider à libérer le chat de son piège. Pour s’assurer que l’animal était réellement emprisonné dans la statue, il l’a appelé en imitant des miaulements. Il a alors obtenu une réponse, et sans plus attendre, les pompiers se sont mis au travail.
Pour secourir le chat, ils ont du découper une ouverture dans le dos de la statue. Un homme a alors pu se glisser à l’intérieur.
C’est dans cette statue que le petit chat était emprisonné
Après plusieurs minutes d’attente et de tension, le pompier est ressorti avec un tout petit chaton entre les mains.
L’animal et son héros ont été accueillis sous les acclamations des nombreuses personnes venues assister àce drôle de sauvetage, qui a été filmé par une chaîne de télévision. Une serviette chaude et de la nourriture attendaient le chaton, qui est en ce moment soigné pour une déshydratation.
Et sans aucune hésitation, spectateurs et secouristes ont décidé de le baptiser Abe, le surnom qui était donné à Abraham Lincoln.
Quel autre nom aurait bien pu porter ce chat ?
Le chaton souffrait de déshydratation
Tandis que les pompiers continuent aujourd’hui de s’interroger sur la façon dont Abe a bien pu entrer dans la statue – il y a bien un trou dans le monument, mais trop haut pour le chat ait pu y sauter -l’animal a déjà trouvé un foyer.
Le conservateur du musée a en effet décidé de l’adopter.
Il est vrai qu’habiter une vieille maison on a surement tous l’espoir de trouver un trésor ou du moins des articles provenant d,un lointain passé .. mais un squelette, c’est mieux que rien ..
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Des fouilles./Photo d’illustration DR
Un habitant du hameau de Brussac qui entreprenait des travaux de rénovation dans sa vieille bâtisse nourrissait le secret espoir de tomber sur un trésor enfoui. Il a bel et bien fait une trouvaille surprenante ce lundi, mais pas celle à laquelle il s’attendait. En effet, Teddy Bréhaut a mis au jour un squelette humain dans sa maison de 1717.
« J’ai aperçu une forme jaunâtre et je me suis dit : tiens des sous ! », raconte l’homme de 31 ans dans Direct Matin et Midi Libre. « A Paris, il n’est pas rare que les artisans, au cours de leurs travaux, tombent sur des sommes d’argent importantes, de véritables trésors » explique-t-il.
Mais cette fois, le trésor n’était pas en forme de pièces d’or mais bel et bien de squelette.
« Le premier travail est de dater le corps. Si la mort est récente, on s’oriente alors vers une piste criminelle. S’il s’agit d’une vieillerie, c’est classé sans suite »
a annoncé le procureur de la République de l’Aveyron, tout en précisant que dans la majorité des cas, les squelettes découverts dataient du Moyen-Age.
D’après les premières constatations du légiste, il s’agirait bien du cadavre d’un homme, mort il y a plusieurs siècles, les pierres l’entourant constituant un tombeau typique du Moyen-Age. La Direction régionale des affaires culturelles est chargée de poursuivre les investigations dans la bâtisse, un nouvel espoir pour Teddy Bréhaut de découvrir un véritable trésor.
Personnellement, je ne peux que dire bravo a cette honnêteté, Cette argent, peut provenir de n’importe ou. Malgré l’étourderie de perdre autant d’argent, il a été vraiment chanceux
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Ce sac rempli de billets de mille dollars de Singapour avait été oublié dans un taxi par un couple thaïlandais.
PHOTO: AFP
Agence France-Presse
Singapour
Un chauffeur de taxi de Singapour a trouvé sur la banquette arrière de son véhicule 1,1 million de dollars de Singapour (environ 900 000 $), avant de les ramener à ses propriétaires.
«Peu m’importe l’argent», a-t-il expliqué.
Sia Ka Tian, 70 ans, ne croyait pas avoir retrouvé une telle somme quand il a découvert un sac de plastique gonflé de billets de mille dollars à l’arrière de son véhicule.
Sia Ka Tian, chauffeur de taxi à Singapour.
PHOTO: AFP
«J’étais certain qu’il y a avait au moins 200 000 dollars», a-t-il raconté au quotidien singapourienThe Straits Times de mardi.
Mais une fois le butin ramené au service des objets perdus de sa société de taxis, ses collègues ont en fait compté 1,1 million de dollars de Singapour.
«Peu m’importe l’argent. Ça ne m’appartient pas. Alors qu’est-ce que j’en ferais?», a expliqué le septuagénaire, chauffeur de taxi depuis 31 ans.
Le couple thaïlandais propriétaire du sac, qui avait signalé la perte, a quand même versé au chauffeur une récompense, dont le montant n’a pas été précisé.
Ce n’est pas la première fois que l’honnêteté des Singapouriens est établie: en 2009, un autre chauffeur de taxi a rendu à ses propriétaires des lingots d’or d’une valeur de 377 000 dollars de Singapour (307 000 $).
Il y a un problème de communication évidente entre ministère des Transports du Québec et Hydro-Québec. Il est curieux que qu’on asphalte quand même une route quand cela sera a refaire dans quelques semaines … C’est vraiment avoir le sens de l’économie
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La nouvelle est apparue en Une du journal canadien National Post.
PHOTO CAPTURE D’ÉCRAN
CLAUDE PLANTE
La Tribune
(Sherbrooke) L’histoire du fameux poteau qui s’est retrouvé au milieu de la chaussée, dans le secteur Johnville de Cookshire-Eaton, a fait le tour du Canada.
Plusieurs médias en ont parlé, souvent avec moquerie. Des commentateurs et des blogueurs se demandaient comment on a pu asphalter une route en laissant un poteau de transport d’électricité en place.
En 24 heures, elle est devenue la nouvelle la plus lue sur le réseau rattaché à La Presse.ca des journaux de Gesca.
Le poteau a même fait la une du National Post avec un titre peu flatteur associant l’affaire au scandale de corruption qui fait rage actuellement au Québec. La nouvelle côtoie une autre sur la guerre dans la bande de Gaza.
La Presse Canadienne a aussi relayé l’histoire.
C’est sans compter que le mot «poteau» génère plusieurs gazouillis sur le réseau Twitter.
Rappelons que la région estrienne fait parler d’elle depuis lundi, depuis qu’on a appris que le ministère des Transports du Québec a fait réparer la route 251 qui passe dans le secteur de Johnville en laissant un poteau électrique en place.
Hydro-Québec n’a pas reçu les confirmations nécessaires pour le retirer à temps qu’à la fin octobre.
Texte complet dans La Tribune de mercredi.
La fidélité de ce chien n’est plus a prouvé alors que ses anciens maîtres lui ont fait faux bonds. Il y a encore des gens qui ne savent pas c’est quoi être responsable ..
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Il y a 3 ans, la famille de Chen a quitté sa maison d’Atlanta, aux Etats-Unis, et laissé derrière elle ce pauvre chien, un adorable Chow-Chow croisé.
Le pauvre animal abandonné n’a pas compris que ses maîtres ne reviendraient pas, ou n’a tout simplement pas voulu y croire. Et pendant 3 longues années, il est resté devant la maison vide où il avait vécu.Chassé par les voisins, il refusait de s’en aller
« Il a attendu, et attendu que ces gens reviennent à la maison » raconte Lisa Renstrom, une employée de l’association Chap’s Chow qui s’est occupé de Chen. « Il refusait catégoriquement de quitter cette maison. Les voisins lui jetaient des pierres, et tentaient de le chasser. Mais il ne voulait pas partir ».
La nuit, l’animal dormait sous l’abri à voitures de la maison. Toute la journée, il errait dans la cour. Et c’est dans une épicerie, non loin de là, qu’il obtenait de la nourriture.
Puis un beau jour, enfin, l’une des voisines a décidé d’agir. Elle a contacté Lisa Renstrom.
Cette dernière a alors a entrepris pendant quelques semaines de gagner la confiance de Chen en lui donnant à manger, avant de se mettre en quête d’un nouveau foyer pour l’animal abandonné.
Par chance, cette recherche n’a pas duré longtemps. Ben Rupp, un habitant de l’Ohio, passait depuis un moment au peigne fin tous les sites Internet dédiés pour trouver un nouveau chien.
L’homme venait de perdre son Chow-Chow âgé de de 13 ans, une chienne nommée Goldie. Et Ben a eu un coup de foudre immédiat pour Chen en le découvrant sur le site du refuge.
Touché par l’histoire du chien abandonné, et frappé par sa ressemblance avec son défunt compagnon, il n’a pas hésité une minute avant de réserver un avion privé et de s’envoler pour la Géorgie afin de rencontrer et adopter le chien.
Bien qu’elle se soit beaucoup attachée à Chen, c’est avec bonheur que Lisa Renstrom a fait ses adieux au Chow-Chow sur le tarmac, et l’a laissé s’en aller avec son nouveau maître.
Après avoir passé 3 ans à attendre le retour de ceux qui l’avaient abandonné, Chen a aujourd’hui enfin un foyer, et surtout, tout l’amour qu’il mérite…
On peut être dépressif et fatigué … mais on peu aussi être fatigué sans être dépressif .. et cette différence peut-être importante quand viens le temps d’analyser les symptômes
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La fatigue est l’un des signes de la dépression, mais elle peut avoir bien d’autres causes.
Autrement dit, se sentir fatigué ne signifie pas forcément que l’on est déprimé.Sachez différencier la fatigue de la dépression
Même si la fatigue fait partie des symptômes de la dépression, elle a ses propres caractéristiques et spécificités. Souvent liée à la charge de travail, la fatigue touche davantage les jeunes adultes actifs.
Elle se manifeste par des signes physiques, psychiques et intellectuels, souvent différents de ceux de la dépression.
Les causes de la fatigue sont variées, tandis que la dépression est plus souvent due au stress ou à susceptibilité génétique.
La fatigue touche davantage des adultes jeunes et actifs que des seniors, tandis que la dépression n’a pas de spécificité en fonction de l’âge.
Les symptômes de la fatigue sont plus intenses en fin de semaine, corrélés à la charge de travail. En revanche, ceux de la dépression sont plutôt stables sur cette échelle de temps.
Les symptômes de la fatigue:
Les symptômes de la dépression:
Tandis que la dépression nécessite une prise en charge spécifique, le traitement de la fatigue est le repos.
Connaissant ces signes distinctifs, il est plus facile de différencier ces deux entités.
En cas de doute ou de signes persistants malgré le repos, il est recommandé d’en parler à son médecin afin de trouver une prise en charge adaptée.
Stéphanie Koplowicz, Journaliste Santé