L’esprit de la Terre


Quand nos ancêtres sont venu par erreur fouler la terre du Nouveau Monde, les Premières Nations ont compris que l’homme blanc n’avait  la reconnaissance envers la Terre mais plutôt une insolence sans limite envers elle
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L’esprit de la Terre

 

L’esprit de la terre pourrait-il aimer l’homme blanc ? Partout où il la touche, il laisse une plaie.

Anonyme

Le passage de Sandy dévoile des lettres d’amour


L’ouragan Sandy a détruit beaucoup et a laissé un gout amer derrière elle, enfin pas tout à fait .. car son passage a permis de mettre a jour des vestiges d’amour qui autrefois avait vécu des moments forts et qui renaissent pour redonner l’espoir que l’amour existe toujours après que la désolation, la catastrophe fut de passage …
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Le passage de Sandy dévoile des lettres d’amour

 

Des lettres d'amour ont permis à l'espoir de renaître suite au désastre au New Jersey. (Photo: CNN)
Des lettres d’amour ont permis à l’espoir de renaître suite au désastre au New Jersey. (Photo: CNN)

MétéoMédia


 Aux États-Unis, c’est une histoire touchante qui a été mise à jour hier dans les décombres laissés par la tempête Sandy. Il s’agit d’une vieille et romantique histoire d’amour.


Des lettres datant de 70 ans ont été retrouvées dans les décombres suite au passage de la tempête Sandy. (Photo: CNN)

En effet, Kathleen Chaney, une résidente d’Atlantic Highlands au New Jersey a découvert, lors d’une promenade au bord du littoral, une pile de lettres datant des années 40.

Le papier était très humide et Mme Chaney a laissé sécher les lettres pendant plusieurs jours sur le bord de son foyer avant des les ouvrir.

Ce courrier attaché avec un ruban rose a révélé une correspondance entre deux fiancés du Vermont.

Les lettres avaient été rédigées entre 1942 et 1947 par Dorothy Fallon, de Rumson au New Jersey, à son fiancé Lynn Farnham, du Vermont.

Mme Chaney s’est mise à la recherche du couple afin de pouvoir leur redonner les lettres.

Elle a donc tenté de trouver l’auteure des lettres sur Facebook et sur d’autres sites.

Selon Mme Chaney, qui a lu les lettres, Lynn Farnham était basé à Pearl Harbor au cours de la Deuxième Guerre mondiale.

Lynn Farnham ainsi que l’un de leurs deux enfants sont décédés, mais Dorothy Fallon, l’auteure des lettres, est toujours vivante et réside actuellement dans une résidence pour personnes âgées.

Personne ne sait pour le moment qui avaient préservé les lettres, pour ensuite les perdre durant la tempête, mais elles ont beaucoup de valeur aux yeux de celles qui les a trouvées.

Avec CNN

http://www.meteomedia.com

Concours de toilettage pour chien


Comment peut-on faire subir ce genre de supplice pour un chien, colorant, spray, teinture .. rien de naturel pour ces animaux… C.est une honte, une cruauté envers les animaux … Il devrait avoir des sanctions sévères ..Le pire c’est qu’on dirait que c’est  toutes des femmes qui font en sorte que leur chien soit  ridicule
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Concours de toilettage pour chien

 

Le Saviez-vous ► Vrai ou Faux : La soupe au poulet guérit le rhume


Je crois qu’on soigne ou non un rhume, cela ne change pas vraiment … le rhume fait son temps .. par contre chercher a diminuer les symptômes peut aider a mieux passer au travers .. C’est pour cela que dépenser pour des sirops sauf sous l’avis du médecin .. ca ne vaut pas la peine alors qu’un bouillon de poulet fait un grand bien si ce n,est qu’aider a dégager des sécrétions … Moi, quand j’ai le rhume, j’aime bien un bouillon de poulet bien poivrée et persillé
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La soupe au poulet guérit le rhume

 

FAUX


Ce n’est pas d’hier qu’on sert un bon bol de soupe au poulet aux enrhumés. En effet, selon des écrits grecs, on l’utilisait déjà comme « remède » au 12e siècle.

Cependant, très peu d’études se sont penchées sur le fondement scientifique de cette pratique. En fait, aucune n’a documenté la question de savoir si la soupe au poulet favorise ou non la guérison du rhume.

Par ailleurs, selon deux (!!) études, elle pourrait aider à soulager un de ses symptômes : la congestion. Comme on dit, c’est mieux que rien!

La première étude indique que c’est en favorisant la liquéfaction du mucus que la soupe au poulet dégagerait les voies respiratoires.

Lorsqu’elle a été comparée à l’eau froide et à l’eau chaude, elle s’est révélée la plus efficace, suivie de l’eau chaude. Ces résultats suggèrent donc que la chaleur a un effet et que le facteur « soupe au poulet » apporte quelque chose de plus.

La deuxième étude, pour sa part, a mis en lumière les propriétés anti-inflammatoires probables de la soupe au poulet. Avant d’aller plus loin, précisons que la plupart des symptômes du rhume découlent des réactions inflammatoires secondaires à l’infection virale. Les résultats de cette étude indiquent que la soupe au poulet freinerait la mobilisation des molécules pro-inflammatoires. Ce faisant, il est logique de penser qu’elle pourrait alléger les symptômes du rhume, dont la congestion. On ne sait pas à quelles substances précises on doit ce phénomène, mais il semblerait qu’elles soient surtout concentrées dans le bouillon.

Soupe de grand-maman ou soupe commerciale?

Étonnamment, les soupes commerciales présentaient aussi des effets anti-inflammatoires, bien que ceux-ci varient grandement d’une marque à l’autre. Il faut préciser que l’expérimentation s’est déroulée in vitro (en laboratoire). Des études chez des enrhumés en « chair et en os » s’avèrent donc nécessaires. Si vous voulez être « cobaye », sachez que la « dose » utilisée correspondait à une portion de 375 ml (1 ½ tasse), pour une personne de 70 kg.

Deux études sont encore trop peu pour se prononcer avec certitude sur quoi que ce soit. Pour autant que l’on sache, la soupe au poulet pourrait aider à rendre le rhume moins pénible à vivre, mais il est impossible de savoir si elle favorise ou non sa guérison. Cela dit, peu importe ce que les découvertes futures nous réservent, quand on est aux prises avec un rhume, la soupe au poulet est, et restera, un aliment des plus réconfortants!

http://extenso.org

Quand la peur de grossir fait grossir…


Le culte de la minceur qui nous poursuit partout .. l’époque du bien paraitre,qu’importe les moyens .. Des régimes a ne plus finir, qui promettent des pertes de kilos .. des téléréalités de régimes .. Alors a quand on va se nourrir selon nos besoin ?      Quand, manger n’est plus un casse tête .. aimer bien mangé sans pour autant bouffer ses émotions
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Quand la peur de grossir fait grossir…

 

Catherine Dijuste et Anne-Claire Si Fodil – Image & Alimentation

De plus en plus de médecins, de diététiciens, de nutritionnistes tirent la sonnette d’alarme en dénonçant les dangers des régimes restrictifs. Malgré ces mises en garde, l’équation selon laquelle « bonheur = minceur et minceur =privations » continue de régir la vie de beaucoup de personnes. S’appuyant sur des croyances solidement ancrées et les expériences des uns et des autres, elles se soumettent, pendant quelques semaines, à des règles alimentaires dictées de l’extérieur. Malheureusement, les effets de ces démarches sont le plus souvent inversement proportionnels aux espoirs qui les motivent. Quand la peur de grossir fait grossir : focus sur les limites des régimes restrictifs.

Beaucoup d’études le démontrent: tout régime restrictif est suivi, à plus ou moins long terme d’un retour au poids initial et parfois d’une prise de poids supplémentaire [1] Pire, une perte de 10 à 15 % de la masse corporelle est facteur de risques en termes de survenue de troubles graves du comportement alimentaire (Bernard Waysfeld, Psychiatre-nutritionniste Paris 2012).

Pourtant, d’échecs en déconvenues, nous enchainons les régimes et les périodes de « relâche ». C’est de cette manière que nous dérégulons complètement notre organisme, l’exposant paradoxalement au surpoids, à l’obésité et aux troubles des conduites alimentaires et métaboliques.

Cela dit, le quotidien des personnes en souffrance avec leur poids n’est pas confortable. En glorifiant à outrance la minceur, notre société du «paraitre » qui est aussi celle de la surabondance alimentaire, discrimine tous ceux qui s’écartent du modèle en vigueur : celui qui prouve à tous que l’on sait se contrôler et donc, que l’on est une personne digne d’intérêt.

Or notre société prend du poids et elle s’en inquiète. Pour y remédier elle multiplie les études et les campagnes de prévention.

Principalement centrées autour des questions nutritionnelles et occultant le psychologique et l’émotionnel, elles se révèlent au final inefficaces voire contre-productives. Littéralement « gavés » à longueur d’année de conseils sur la bonne manière de nous nourrir, nous nous trouvons au cœur d’une immense cacophonie qui ne fait qu’accroitre notre anxiété. Se nourrir devient un sujet de préoccupations quotidien, on en oublie l’essentiel : manger est avant tout un besoin vital.

Crédit photo : Image & Alimentation

Naturellement, le besoin alimentaire est signalé par différents facteurs biologiques qui indiquent quand nous devons nous nourrir, la qualité et la quantité nécessaire et le moment où cela devient suffisant. Ce système est très précis : il s’appuie sur nos sensations alimentaires : la faim, le rassasiement et la satiété. C’est pourquoi il est très important de ne pas considérer sa faim comme une ennemie à combattre à tout prix mais comme un signal à écouter attentivement, sous peine de créer soi-même les bases d’un trouble bien connu et décrit par les spécialistes du comportement alimentaire  [2]: la restriction cognitive. 

Jean-Philippe Zermati, médecin nutritionniste en donne la définition suivante :

«  L’intention de contrôler ses apports caloriques en s’imposant un ensemble d’obligations et d’interdictions alimentaires dans le but de maigrir ou de ne pas grossir. » (JP Zermati, cours magistral sur la restriction cognitive, 2009).

Vous ne mangez pas quand vous avez faim parce que ce n’est pas l’heure ? Vous finissez votre assiette alors que vous n’avez plus faim sous prétexte que c’est la quantité à laquelle vous avez droit ? Vous vous privez d’un aliment que vous aimez, craignant qu’il ne vous fasse grossir, au profit d’un autre diététiquement correct mais que vous n’aimez pas vraiment ? Vous arrive t-il de vous « gaver » d’un aliment sous prétexte qu’il ne fait pas grossir afin de prévenir toute envie d’un aliment apprécié mais « interdit » ? Si oui, c’est que vous êtes en état de restriction cognitive et les conséquences peuvent être catastrophiques pour votre bien-être physiologique et psychologique.

La réalité est que la restriction cognitive favorise la prise de poids. Les prises alimentaires n’étant plus guidées par la faim et la satiété mais décidées par la pensée ou régies par des émotions, les sensations alimentaires se brouillent puis s’effacent. On a « déparamétré » notre pilote automatique : on ne peut plus s’y fier. On va donc alterner des phases de contrôle alimentaire avec des phases de désinhibition et de perte de contrôle (compulsions, grignotages, « faims » nocturnes…).

Plus grave, la restriction cognitive en entrainant des insatisfactions sensorielles répétées et des frustrations régulières, contrarie notre équilibre émotionnel et peut engendrer de très sérieux troubles des conduites alimentaires. Or il se trouve que nous associons volontiers comportement alimentaire et estime de soi. On comprend dès lors comment la restriction cognitive peut provoquer un effondrement sérieux de la personnalité voire des états dépressifs.

«Plus je mange, plus je grossis. Plus je grossis, plus je mange
Plus je mange, plus je me restreins. Plus je me restreins, plus je mange
Plus je mange, plus je me trouve nul. Plus je me trouve nul, plus je mange. »

Jean-Philippe Zermati
Cours magistral sur la Théorie de la restriction cognitive Paris 2009

On considère aujourd’hui que la restriction cognitive concerne la presque totalité des personnes en souffrance avec leur poids et leur image. Paradoxalement, alors que nous sommes en échec en matière de prévention et traitement de l’obésité, les régimes alimentaires basés sur la restriction et l’élimination systématique de certaines catégories d’aliments continuent d’être prescrits, partout dans le monde. Pour certains, ces régimes représentent même le seul bouclier contre la surabondance alimentaire.

Depuis quelques temps déjà, une autre voie s’offre aux personnes en difficulté avec l’alimentation [3] De plus en plus de spécialistes voient aujourd’hui la restriction cognitive comme un trouble du comportement alimentaire aggravant la problématique pondérale. De nombreux praticiens, formés à cette approche, se détournent donc des solutions classiques que représentent les « régimes ». Ils offrent un accompagnement qui n’est plus exclusivement nutritionnel ou diététique mais qui prend aussi en compte la psychologie du patient.

Ré-apprendre à manger selon ses sensations alimentaires, parvenir à gérer ses émotions, oublier la volonté de contrôle et apprendre l’écoute : une voie à découvrir pour trouver enfin la paix avec la nourriture et vivre en harmonie dans son corps.

1 : Mann T, Tomiyama AJ, Westling E, Lew AM, Samuels B, Chatman J.

Medicare’s search for effective obesity treatments: diets are not the answer. Am Psychol. 2007 Apr;62(3):220-33.

2 : Herman C.P, Mack.D., Restrained and unrestrained eating, J.Pers.,1975,4,647-660.

3 : Prise en charge bio-psycho-sensorielle

http://sante.journaldesfemmes.com

Théories de fin du monde : le pic de Bugarach interdit d’accès le 21 décembre


Ils n’ont pas vraiment le choix d’interdire l’accès a cet endroit quoiqu’ils devraient l’interdire bien avant sauf pour les résidents et avec permis .. du moins le temps qui reste avant le 21 décembre
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Théories de fin du monde : le pic de Bugarach interdit d’accès le 21 décembre

 

Bugarach, la montagne totemDDM

Le Pic de Bugarach, centre du monde le 21 décembre prochain ? C’est en tous cas ce que pensent les plus inquiets d’entre nous qui craignent une apocalypse peu avant Noël. Selon le calendrier maya, cette montagne de l’Aude serait la seule à être épargnée de l’anéantissement de la Terre.

Du coup, les plus illuminés risquent d’affluer à Bugarach d’ici le 21 décembre, tant la particularité du site a circulé sur internet et les réseaux sociaux. Après avoir mobilisé la quasi-totalité des gendarmes, le préfet Eric Freysselinard a décidé ce vendredi d’interdire purement et simplement l’accès au pic le 21 décembre prochain, ainsi que trois jours avant et deux jours après.

Les « fin-du-mondistes » devront donc trouver un nouveau refuge en cas d’apocalypse !

http://www.ladepeche.fr

La vitamine C prévient-elle le rhume?


Achetez vous des comprimés de vitamines C pour l’hiver, en prévention du rhume .. Une dépense inutile surtout que la vitamine C se retrouver dans beaucoup de fruits ..Par contre pour certains sportifs alors c’est autre chose
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La vitamine C prévient-elle le rhume?

 

Les suppléments de vitamine C sont très populaires pendant les mois d’hiver. Contrairement à la croyance populaire, la prise de suppléments de vitamine C pour prévenir l’apparition d’un épisode de rhume ou de le guérir semble inutile… sauf dans certaines situations où des individus sont soumis à un stress physique important.

Pour prévenir ou guérir les symptômes du rhume, les suppléments de vitamine C sont très populaires pendant les mois d’hiver. Chez les animaux, de nombreuses études ont montré que la vitamine C augmenterait la résistance à diverses infections causées par des virus ou des bactéries. Est-ce que l’humain bénéficie aussi de ces effets positifs?

Des chercheurs ont regroupé et analysé les résultats de 55 études scientifiques publiées dans les 64 dernières années pour répondre à la question suivante: Est-ce qu’il est possible de réduire la fréquence, la durée ou encore la sévérité des symptômes du rhume en prenant des suppléments de vitamine C (200 mg et plus par jour) avant l’arrivée des premiers symptômes ou dès l’apparition de ceux-ci?

La vitamine C peut-elle prévenir le rhume?

Autant d’épisodes de rhume

L’analyse des résultats de 29 études effectuées auprès de plus de 11 000 participants démontre que la prise de vitamine C n’est pas efficace pour prévenir le rhume chez l’humain. En d’autres mots, le nombre d’épisodes de rhume demeure le même, que l’on prenne ou non de la vitamine C.

Un peu moins de jours de symptômes

Les résultats de l’analyse et de la comparaison de près de 10 000 épisodes d’infections respiratoires montrent que la prise régulière de suppléments de vitamine C diminuerait significativement la durée du rhume, de 8 % chez les adultes et de 13,6 % chez les enfants. La plupart des études ont obtenu ces résultats avec des doses de 1 g par jour.

Toutefois, d’un point de vue pratique, il semble peu raisonnable pour un adulte d’ingérer des mégadoses de vitamine C tout au long de l’année si les seuls effets bénéfiques anticipés sont de réduire la durée des rhumes, qui surviennent seulement de 2 à 3 fois par année en moyenne chez les adultes. La prise régulière de vitamine C diminuerait un total de 12 jours de rhume par année à… 11 jours.

Par contre, chez les enfants de moins de 12 ans, les résultats suggèrent que la prise de vitamine C réduirait un total de 28 jours de symptômes du rhume par année à 24 jours par année. Afin d’obtenir des effets bénéfiques, la vitamine C doit être prise en prévention. Aucun bienfait n’est observé si la vitamine C est prise après l’apparition des symptômes.


Pas vraiment moins malade 

En ce qui a trait à la sévérité des symptômes du rhume à la suite de la prise de vitamine C, les effets sont moins clairs. En effet, la sévérité des symptômes est moindre lorsqu’on la mesure en jours d’absentéisme ou en jours où la personne est confinée à l’intérieur, mais elle est sensiblement la même lorsqu’on la mesure à l’aide d’échelles de sévérité.

Peut-on traiter un rhume avec de la vitamine C?

Dans le but de « casser » le rhume, certains prennent de la vitamine C aussitôt que leur nez commence à couler ou que leurs yeux deviennent larmoyants. Bien que peu d’études aient étudié les propriétés thérapeutiques de la vitamine C, cette pratique, selon les résultats de sept études, ne procurerait aucun bénéfice comparativement au placebo.

Sauf que…
Chez un sous-groupe de participants, à savoir des marathoniens, des enfants dans un camp de ski et des soldats en entraînement dans les régions subarctiques, la prise continue de vitamine C réduisait de moitié le risque d’attraper un rhume.

Ainsi, il semble que pour ces individus ayant subi un stress physique important (causé par l’activité physique ou par l’exposition au froid), la vitamine C procure des bénéfices importants. Les bénéfices ont été observés avec des doses allant de 250 mg à 1 g par jour.
Toutefois, un des auteurs de cette analyse soulève que ces effets
 
positifs ne sont certainement pas applicables à tous les athlètes et que d’autres études sont encore nécessaires avant de pouvoir généraliser ces résultats. Il reste de plus la dose précise de vitamine C à déterminer.

En conclusion
Pour la population générale, la prise de suppléments de vitamine C dans le but de prévenir l’apparition d’un épisode de rhume ou de le guérir semble tout à fait inutile.

Par contre, dans certaines situations où des individus sont soumis à un stress physique important, les preuves indiquent que la supplémentation (de 250 mg à 1 g par jour) pourrait avoir un effet bénéfique considérable, à savoir la diminution de l’incidence du rhume de moitié. Toutefois, il faut préciser que ces résultats ont été principalement observés chez des marathoniens et qu’on ne peut pas généraliser ces résultats à tous les types d’athlètes. D’autres études sont nécessaires avant de conclure quoique ce soit.

Les résultats montrent que, prise de manière préventive, la vitamine C peut diminuer la durée des épisodes du rhume d’environ un jour par année chez les adultes et d’environ quatre jours chez les enfants. Cependant, à ce propos, une question se doit d’être posée :

 

« Ce faible niveau de bénéfice justifie-t-il une prise continue et prolongée de suppléments de vitamine C? »

Rappelons que notre organisme ne peut pas emmagasiner de la vitamine C. Le surplus ingéré se retrouve… dans les urines!

Enfin, il est très facile d’obtenir assez de vitamine C par l’alimentation! Mangez beaucoup de fruits, particulièrement des fruits citrins (oranges, pamplemousses, etc.) et de légumes vert foncé, et le tour est joué!

http://extenso.org

Les plus anciennes pointes de lance


Anthropologie est une science qu’il faut accepter des remises en questions .. que de nouvelles découvertes changent les affirmations passés ..
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Les plus anciennes pointes de lance

 

Les pointes de lance en pierre découvertes en Afrique du Sud

Les pointes de lance en pierre découvertes en Afrique du Sud.  Photo :  Jayne Wilkins

Des pointes de lance en pierre découvertes en Afrique du Sud datent de 500 000 ans, soit 200 000 ans plus tôt que celles qui étaient mises au jour jusqu’ici, affirment des anthropologues canadiens et américains.

Les chercheurs Jayne Wilkins, de l’Université de Toronto, et Benjamin Schoville, de l’Université d’Arizona, pensent que ces pointes de pierre étaient travaillées pour qu’elles puissent être attachées à l’extrémité d’une lance. Selon eux, leur mise au jour est commune sur des sites archéologiques remontant jusqu’à 300 000 ans.

La nouvelle datation permet de penser que ces pointes étaient déjà utilisées durant la période de l’Homo heidelbergensis, le dernier ancêtre commun de l’homme moderne et de son cousin aujourd’hui éteint, l’homme de Néandertal.

« Bien que les Néandertaliens et les Homo sapiens utilisaient des pointes de lance en pierre, cette découverte est la première indication que cette technologie remonte à la période où ces deux espèces ont divergé. » — Jayne Wilkins

Cette découverte bouleverse ainsi, selon la chercheuse, notre compréhension des adaptations des premiers ancêtres de l’homme moderne avant même l’émergence de ce dernier.

Ainsi, des traits attribués à ce jour à l’homme moderne et à ses plus proches cousins éteints remonteraient plus loin dans la lignée.

« La raison pour laquelle les archers modernes équipent leurs flèches de pointes de métal fines comme des rasoirs est qu’elles sont beaucoup plus dévastatrices sur des proies qu’un simple bâton de bois taillé, et les ancêtres des hommes ont en fait découvert cela plus tôt que ce qu’on pensait. » — Benjamin Schoville

Contexte

Les pointes de pierre ont été retrouvées en 1979 lors d’une excavation sur le site de Kathu Pan 1, dans le nord-est de la province du Cap, en Afrique du Sud. En 2010, l’équipe dirigée par Michael Chazan de l’Université de Toronto a annoncé avoir daté les dépôts dans lesquels les pointes de lance ont été retrouvées à environ 500 000 ans.

http://www.radio-canada.ca