La vache mélomane


Une bien drôle d’histoire qui fait référence a la communication avec les autres .. Quelques fois, même parlant de la même langue nous avons des difficultés a se comprendre .. Il s’agit juste de choisir un vocabulaire que l’autre comprend .. Il y a des conflits qui ont commencé par une mauvaise compréhension de mots employés
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La vache mélomane

 

 



Michal et Kental se chamaillaient et cherchaient à savoir lequel d’entre eux écrivait la plus belle musique.

— C’est moi disait Michal, mes mélodies font pleurer les femmes du monde !
— Non, c’est moi ! rétorquait Kental, mes lieds sont plus entraînants qu’une valse viennoise !
— Tu ne saurais pas émouvoir une vache mon pauvre Michal.
— Ah ! Parce que tu crois que tes lieds la feraient danser ?

La dispute allait bon train quand un paysan vint à passer sur le chemin. Il emmenait sa vache aux champs. Les deux musiciens virent là l’occasion de mettre un terme à leur différent

— Holà paysan ! Verrais-tu un inconvénient à ce que nous jouions pour ta vache ?
— Ma foi, si ça peut vous faire plaisir… Elle ne s’en portera pas plus mal.

Michal dégourdit ses doigts, accorda sa balalaïka et joua la plus belle mélodie slave jamais entendue par une vache… sans résultat : la bête rumina et ne bougea pas une oreille. Michal, vexé, passa la main à son rival qui ne fit pas mieux. Le lied enfiévré ne parvint même pas à faire lever une patte au bovin.

— C’est peine perdue. Ta vache n’a pas l’oreille musicale, reprocha Michal au paysan.

— Dame ! C’est que vous lui cassez les oreilles, répondit le paysan. Si vous consentez à me prêter votre instrument, je saurai, moi, lui jouer une ritournelle.

Intrigués, Michal et Kental cédèrent la balalaïka.
Le paysan fit de son mieux pour imiter le vrombissement des mouches et le meuglement des petits veaux. Aussitôt la vache dressa l’oreille, balança sa queue et s’approcha du musicien pour écouter jusqu’au bout cette musique qui, enfin, lui parlait.

Auteur inconnu

Truc express ►Que ça brille


On aime quand le chrome brille, ca l’air encore plus propre …
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Que ça brille

 

Facile à nettoyer, le chrome des éléments de salle de bains, ne nécessite qu’un coup de chiffon. Pour le faire briller, saupoudrez de farine votre linge à épousseter.

Pour nettoyer la base en chrome des tables et des étagères qui présentent des piqures avec les années. utilisez une laine d’acier très fine et quelques gouttes de savon à vaisselle. Frottez délicatement, rincez et polissez à l’aide d’un chiffon humide, puis un chiffon sec.

7 Jours/ Les meilleurs trucs de Madame Chasse-taches/ Louise Robitaille/Septembre 2012

Jeux vidéo: nos enfants y perdent-ils?


Les jeux vidéo sont t’il responsables de tous les maux de la société d’aujourd’hui ? Il est clair que beaucoup trop de temps sont passé a jouer a des jeux vidéo a comparé a l’activité physique. Cependant, les jeux vidéo ont quand même un impact positif pour beaucoup de jeunes en autant que des règles soient mit en place  pour être respecté
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Jeux vidéo: nos enfants y perdent-ils?

 

Baladeur tactile, tablette, ordinateur, console portable ou fixe... Au sein de... (Photothèque La Presse)

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

MÉLISSA PROULX, COLLABORATION SPÉCIALE
La Presse

Baladeur tactile, tablette, ordinateur, console portable ou fixe… Au sein de la famille d’Anika Gaudet et de son conjoint (six enfants de 2 à 19 ans), chaque enfant (à part les jumeaux de 2 ans) a son support numérique de jeux vidéo.

 «Pour assurer un rapport sain à l’activité, nous avons établi une règle d’or: il est possible de jouer à des jeux vidéo tant et aussi longtemps que ceux-ci n’ont pas de conséquences sur l’humeur, le caractère et qu’ils n’empêchent pas de remplir les corvées journalières.»

Jusqu’à maintenant, la règle a fait ses preuves: aucun enfant n’a développé de problèmes de comportement notables. Mais la mère de famille reste sur ses gardes.

Le temps écran

Devant l’immense popularité des jeux vidéo, les parents et les spécialistes de la santé sonnent l’alarme. Surplus de poids, comportements agressifs, problèmes d’apprentissage, de dépendances, isolement social, les jeux vidéo ont souvent mauvaise presse.

«Cela demeure des jeux et le jeu est le langage de l’enfant, rappelle la neuropsychologue Francine Lussier. C’est à travers lui qu’il apprend, qu’il a des interactions.»

Or, les coffres à jouets de la famille moderne regorgent d’appareils numériques favorisant l’inertie et dans certains, l’isolement.

Selon le Bulletin 2012 de l’activité physique chez les jeunes de Jeunes en forme Canada, les jeunes Canadiens de 10 à 16 ans passent en moyenne 7 heures 48 minutes par jour devant les écrans (télévision, ordinateur, appareil électronique).

«Ils y sont rivés du matin au soir. C’est beaucoup trop», déplore le Dr Emmett Francoeur, pédiatre et Dr du programme de développement de l’enfant de l’Hôpital de Montréal pour enfants (HME).

Dans la famille d’Anika Gaudet, le temps de jeu excède rarement deux heures par jour, ce qui correspond aux directives canadiennes en matière d’activité physique pour les 5 à 17 ans, document présenté par la Société canadienne de physiologie de l’exercice et ParticipACTION.

Risques de dépendance

Avec la violence (voir autre texte), la dépendance pathologique compte parmi les principales inquiétudes des parents, comme en témoigne Anika Gaudet.

«J’achète occasionnellement la paix en envoyant mon fils de 6 ans jouer pendant qu’on prépare le souper. Chaque fois, je me dis qu’il risque de devenir accro ou antisocial. Il faut rester vigilant.»

Selon une étude longitudinale réalisée par l’Institut national américain sur les médias et la famille de l’Université de l’Iowa, près de 9% des enfants qui pratiquent les jeux vidéo risquent de développer une dépendance pathologique qui pourrait entraîner des troubles du sommeil, de l’anxiété, des problèmes asociaux, de la dépression.

«On perçoit une dépendance pathologique lorsque l’enfant ne pense plus qu’à jouer, que ses jeux se retrouvent dans ses dessins, qu’il vit des échecs scolaires», précise le Dr Francoeur, qui s’étonne toutefois que ce pourcentage soit aussi bas.

Comme lui, plusieurs spécialistes de l’enfance avaient anticipé plus de conséquences d’ordre psychique chez les grands joueurs. Or, les scientifiques n’ont pas prouvé que l’augmentation de cas de troubles de l’attention, d’hyperactivité ou d’agressivité était liée aux pratiques vidéo-ludiques des enfants.

Plusieurs chercheurs et médecins, dont le pédopsychologue français Michael Stora, défendent même le jeu vidéo à condition de ne pas en abuser et de bien encadrer le jeune joueur. Selon eux, les jeux vidéo améliorent les capacités cognitives, favorisent la mémoire, la logique, la concentration et la socialisation.

Des aspects positifs

Un jeune au tempérament solitaire, comme l’adolescent de 16 ans de la famille Gaudet, peut aussi profiter du jeu vidéo.

«Plus jeune, il devenait agressif lorsqu’on l’obligeait à se socialiser, explique Anika Gaudet. Un spécialiste nous a conseillé de privilégier des activités en solo. Au retour de l’école, il se retire dans sa lecture ou ses jeux vidéo. Il en a besoin et cela fonctionne.»

«Les adolescents ont parfois besoin de se retrouver seuls après une journée stressante. Dans certains cas, les jeux vidéo permettent de passer leur agressivité, leur frustration», note Marie-France Haineault, psychoéducatrice à l’HME. Lorsqu’il est employé intelligemment, le jeu vidéo peut être un excellent outil pédagogique.

«Malgré cela, le jeu spontané à l’extérieur demeurera toujours le choix le plus santé pour l’équilibre physique et mental de mes enfants», affirme Anika Gaudet.

Un avis que partagent les spécialistes interrogés qui qualifient la situation de l’obésité juvénile (31,5% au Canada) de très préoccupante.

 

PHOTO BERNARD BRAULT, LA PRESSE

Les jeux vidéo dans les hôpitaux

Grâce au programme Click (Child Life Interactive Computers for Kids) implanté dans 14 hôpitaux canadiens membres du Réseau Enfants-Santé, les jeunes patients ont accès à des tablettes électroniques, des consoles de jeux vidéo, des logiciels, des webcams et autres appareils numériques. Loin d’accroître leur isolement, les écrans et jeux vidéo aident ces enfants hospitalisés à rester en contact avec les membres de leur entourage, leur école, leur communauté.

«Ce serait une erreur de nier que l’internet et les jeux vidéo font partie de la vie des jeunes aujourd’hui. C’est à nous d’adapter nos stratégies en fonction de ce qui les attire et de tirer les bienfaits de l’activité», affirme Maureen Jones, coordonnatrice du programme Click et spécialiste du milieu de l’enfant au Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario.

Les jeux vidéo sont utilisés pour distraire et motiver les enfants, mais sont ils aussi employés par les thérapeutes, notamment pour travailler la motricité fine des enfants.

La violence et l’éducation

Giclements de sang, cris de douleurs, décapitation, carnage… Les jeux vidéo sont parfois le théâtre de scènes violentes très réalistes. Ces jeux dominent le marché et attirent de plus en plus de jeunes adeptes.

Chaque fois qu’un événement malheureux impliquant un jeune coiffe les manchettes, le débat refait surface: devrions-nous mettre les jeux vidéo violents au banc des accusés?

À ce jour, aucune étude n’a réussi à prouver hors de tout doute une relation causale entre la violence des jeux vidéo et les comportements agressifs chez les jeunes, signale le pédiatre Emmett Francoeur.

«La violence chez l’enfant peut être provoquée par un ensemble de facteurs tels que son tempérament, sa santé, son climat familial, l’historique de la famille, etc.», note le spécialiste.

Les conséquences qu’ont ces jeux sur les émotions, les pensées et la conduite dépendent surtout de la sensibilité de l’enfant, estime pour sa part la neuropsychologue Francine Lussier.

«Il y a des enfants pour qui ces jeux sont source d’excitabilité de la colère, alors que pour d’autres, c’est un exutoire, un canalisateur», énonce-t-elle.

Anika Gaudet qui, avec son conjoint, a six enfants à la maison, se préoccupe de la violence présente dans les jeux de leur adolescent de 16 ans.

«Nous ne les autorisons qu’une fois les plus jeunes au lit.»

«Exposer un enfant à de la violence alors que la structure de sa moralité n’est pas raffermie devient antipédagogique», estime l’orthopédagogue Nicole de Grandmont, spécialiste de la pédagogie du jeu.

Plutôt que de les interdire, la physicienne propose aux parents de s’intéresser aux jeux de leurs jeunes, aussi violents soient-ils.

«Si l’adulte s’implique, il pourra gérer cette violence, la mettre en contexte, mesurer son impact sur l’enfant. Les parents ont peur parce que la violence y est excessive. Mais tous les enfants ont joué aux fusils et à la guerre. C’est la diversité des jeux qui permet à l’enfant de bien se développer», poursuit la Dre Lussier.

De plus en plus employés par les thérapeutes, les jeux à vocation éducative et pédagogique apportent un renouveau intéressant, pense la neuropsychologue, pour peu que les créateurs développent des produits ludiques et captivants pour les jeunes. Lorsqu’ils sont bien élaborés, ils permettent de développer l’imagerie mentale, la mémoire, la créativité, la logique, la concentration, l’intuition.

Jeux actifs à la rescousse?

Près du tiers des jeunes Canadiens présentent un problème de surpoids. Parmi les nombreux facteurs qui peuvent expliquer cette prévalence selon l’Agence de la santé publique du Canada: les loisirs inactifs comme les jeux vidéo et la télévision. En effet, seuls 7% des enfants et jeunes satisfont aux Directives canadiennes en matière d’activité physique de 60 minutes par jour pour les 5 à 17 ans.

Une étude réalisée par Jean-Philippe Chaput, titulaire d’une chaire de recherche junior sur les saines habitudes de vie et l’obésité à l’hôpital pour enfants de l’est de l’Ontario, les enfants qui s’adonnent à des jeux vidéo ingèrent plus de calories (163 calories de plus par jour) que ceux qui n’en pratiquent pas.

«Jouer à des jeux vidéo passifs représente un stress pour le corps. La pression artérielle augmente, de même que le rythme cardiaque et le cortisol, hormone associée à une augmentation de la prise alimentaire», précise le professeur à l’Université d’Ottawa.

Sur le plan psychologique, les jeunes joueurs ont aussi une tendance à la compensation et à la récompense, a-t-il observé.

Les jeux actifs permettent de se rapprocher du niveau d’activité physique recommandé, suggère Erin O’Loughlin, principale auteure d’une étude de l’Université de Montréal publiée récemment dans Pediatrics. Celle-ci révèle que le jeu vidéo physique attire surtout les jeunes filles qui pratiquent en moyenne deux séances de 50 minutes par semaine.

«C’est encourageant, mais ce n’est pas encore suffisant», constate la chercheuse, qui voudrait voir les écoles et centres communautaires offrir des espaces de jeux vidéo actifs.

Jouer en groupe

Leur nouveau jeu en ligne les accapare à un point tel qu’ils y passent leur journée entière, sans contact avec l’extérieur, se plaignent les parents. L’époque où les jeux vidéo se jouaient en solo ou à deux sur un même écran semble en voie d’être révolue. Depuis l’arrivée des jeux en ligne multijoueurs, où les joueurs peuvent interagir avec des joueurs un peu partout sur la planète, les jeunes se donnent plutôt rendez-vous sur l’internet.

«Ces jeux contribuent à l’isolement si l’enfant pense que son réseau social se résume à celui des jeux en ligne. À l’inverse pourtant, ces jeux aident certains enfants à développer des habiletés sociales», nuance la neuropsychologue Francine Lussier.

Le pédiatre Emmett Francoeur partage cet avis: le jeu en ligne peut aider l’enfant à construire son estime de soi, à interagir. Ce type d’interactions ne doit toutefois pas remplacer la socialisation, prévient-il.

«Avec le jeu en ligne, les enfants risquent de se faire une idée erronée et artificielle de ce qu’est la vie sociale. Les communications virtuelles sont dénudées des contacts et des signaux personnels très importants dans le développement de l’enfant».

Chronomètre

Limiter le temps de jeu permet de prévenir le développement des problèmes d’ordre social, pensent les deux spécialistes. Le Dr Francoeur propose de se fier aux Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire et de limiter le temps passé devant un écran à une heure et moins par jour pour les 2 à 4 ans, et de deux heures et moins pour les 5 à 11 ans.

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De Tennis for Two à Assassin’s Creed

1958 Tennis for Two: Premier jeu vidéo sur ordinateur analogique avec un oscilloscope pour écran.

1962 Spacewar!: Premier jeu interactif sur support informatique qui sera vendu avec l’ordinateur Dec PDP-1.

1972 Pong: Jeu de tennis programmé par Al Alcorn et commercialisé en arcade.

1980 Pacman: Célèbre jeu japonais développé par Namco et vendu partout dans le monde.

1983 Mario Bros: Jeu d’arcade édité par Nintendo mettant en scène un plombier et son frère Luigi.

2004 World of Warcraft: Jeu de rôle en ligne multijoueurs développé par Blizzard Entertainment qui compte 5 millions d’utilisateurs chaque mois.

2007 Assassin’s Creed: Jeu d’action-aventure développé par Ubisoft Montréal qui bat des records de vente.

Les jeunes joueurs en chiffres

7,48 Heures passées devant les écrans par jour pour les jeunes canadiens de 10 à 16 ans.

7% Enfants et jeunes Canadiens de 6 à 19 ans qui satisfont aux directives de 60 minutes par jour d’activité physique recommandées.

46% Enfants canadiens qui profitent  de 3 heures ou moins de jeu actif par semaine

63% Temps libre après l’école et les week-ends passé à des activités sédentaires

 

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Les roux doublement exposés aux cancers de la peau


Cela reste a confirmer par d’autres études mais il semble qu’être roux dans les pays très ensoleillée soit assez risqué pour le mélanome que dans les pays nordique .. Il va de soit que les roux et rousses doivent éviter le soleil et les cabine de bronzages
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Les roux doublement exposés aux cancers de la peau

 

plainpicture/Jasmin Sander/plainpicture/Jasmin Sander

Les roux possèdent un pigment cutané, la phéomélanine, qui serait lui-même cancérigène.

Marc Mennessier

Une particularité génétique contribuerait à accroître le risque, même en l’absence de séances de bronzage.

Nouvelle alerte sur les cancers de la peau pour les personnes rousses. Une étude américaine publiée ce jeudi dans la revue Nature suggère en effet qu’elles pourraient développer un mélanome sans s’être préalablement exposées aux rayons ultraviolets (UV).

On sait depuis longtemps que le soleil ou les cabines de bronzage sont fortement déconseillés aux roux. Leur peau, dépourvue ou quasiment dépourvue d’eumélanines (pigments bruns-noirs), est en effet incapable de réparer correctement les cellules altérées par les UV. Porteurs d’une mutation récessive du gène MC1R, situé sur le chromosome 16, ils possèdent, à la place, un autre pigment cutané, la phéomélanine de couleur jaune-orangé qui les protège très mal contre les UV. En fait cette phéomélanine est un précurseur des eumélanines dont la mutation sur le gène MC1R bloque la synthèse.

Dans les pays nordiques à très faible ensoleillement, la rousseur représente un avantage du point de vue sélectif car elle permet une meilleure synthèse de la vitamine D, essentielle dans la formation du squelette ou la prévention contre le rachitisme. Mais, elle devient franchement délétère au fur et à mesure que l’on se rapproche de l’équateur. Les Australiens, qui sont pour bon nombre d’entre eux des Anglos-Saxons à la peau claire ayant récemment migré dans ce pays très ensoleillé, ont le plus fort taux de prévalence de cancers de la peau au monde.

Comme si cela ne suffisait pas, l’étude menée par l’équipe dirigée par David Fisher, du Massachusetts General Hospital de Charlestown, montre qu’en plus d’offrir une protection très insuffisante contre les UV, la phéomélanine serait elle-même… cancérigène.

Les chercheurs ont fait cette surprenante découverte sur des souris transgéniques «rousses», c’est-à-dire porteuses de la fameuse mutation sur le gène MC1R, en constatant que ces rongeurs avaient une forte incidence de cancers de la peau même lorsqu’ils ne sont pas exposés aux UV. Leur proportion de mélanomes est également très supérieure à celle relevée sur des souris albinos. Ce qui amène les auteurs de la publication à conclure que la phéomélanine contribue au développement de mélanomes du fait de ses propriétés oxydatives suspectées d’endommager les cellules cutanées.

«Éviter le soleil, qu’il soit naturel ou en boîte»

 

«Il s’agit d’une voie de recherche très intéressante qui reste néanmoins à confirmer par d’autres études, en particulier chez l’homme, explique le Dr Blanchet-Bardon, dermatologue à l’hôpital Saint-Louis à Paris et organisatrice de la Journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau qui a lieu tous les ans au printemps. Cette spécialiste met toutefois en garde contre toute interprétation abusive de ce résultat. Si cette étude montre qu’il pourrait exister une seconde voie de mélanome indépendante des UV, cela n’invalide pas pour autant la protection solaire. Les personnes rousses à la peau claire doivent impérativement continuer à éviter le soleil, qu’il soit naturel ou en boîte»,avertit-elle en faisant allusion aux cabines de bronzage.

D’ailleurs, les pouvoirs publics australiens ont depuis plus de vingt ans mis en place une politique très active de prévention contre les méfaits du soleil, qui leur ont permis de faire régresser le nombre de nouveaux cas annuels de mélanomes malins, contrairement aux pays européens au sein desquels le nombre de cas s’accroît chaque année.

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Des souris et des dents


Trouver des insectes dans la nourriture ce n’est pas agréable mais envisageable alors que les autres corps étrangers telle qu’une souris morte décomposée, une dent … il  y a peut être un manque de supervision a quelque part
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Des souris et des dents

 

L’ACIA a fait des enquêtes sur une souris trouvée dans un sac de Miss Vickies et une dent trouvée dans une Dairy Milk.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

MARIE ALLARD
La Presse

(….) La mésaventure d’une résidante de Calgary devrait vous empêcher d’abuser du chocolat. Le 17 janvier, la femme a trouvé une dent cassée dans la tablette Dairy Milk qu’elle venait de croquer. Cette dent, dont on voyait la racine, n’était pas la sienne.

Jusqu’à maintenant, 842 plaintes concernant la présence de matière étrangère dans la nourriture ont été reçues par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA), en 2012. L’an dernier, 1109 plaintes à ce sujet ont été compilées.

Après avoir reçu ces plaintes, l’ACIA mène une enquête destinée à établir s’il y a présence d’un risque, «ainsi que la source et l’étendue du problème», a expliqué Guy Gravelle, porte-parole de l’ACIA. «Pour la grande majorité de ces aliments, l’ACIA peut déterminer d’où proviennent ces matières étrangères».

Dans le cas de la Dairy Milk, une analyse en laboratoire a confirmé que l’objet trouvé «semble être une dent», selon un rapport de l’ACIA obtenu par La Presse en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.

Après examen, Kraft a établi que la dent avait pu être confondue avec… une noix de cajou.

«Comme la dent est plus petite qu’un cajou, et de couleur semblable, il est possible qu’elle puisse passer à travers le processus de tri», a indiqué Kraft. Il s’agissait d’une Dairy Milk à la noix de coco grillée et aux noix de cajou.

Souris dans des croustilles et des épinards

Megan Nagle et Benjamin Stoddard, de Smiths Falls, près d’Ottawa, ont quant à eux découvert une souris dans un sac de croustilles Miss Vickie’s au sel et au vinaigre, le 3 janvier.

«En l’ouvrant, ils ont remarqué une mauvaise odeur provenant du sac, mais ont continué à manger, précise le rapport de l’ACIA. Au milieu du paquet, ils ont trouvé une souris morte.» Elle n’était pas frite.

Deux souris ont été trouvées dans des trappes, près de portes et dans un entrepôt de l’usine de Cambridge, en Ontario, où sont faites les croustilles, mais des mois auparavant.

«Toutes les mesures de lutte contre les ravageurs étaient en place au moment de la production», note l’ACIA.

L’agence fédérale n’a pas pu déterminer quel était le mode d’entrée de la souris dans les Miss Vickie’s. Joint par La Presse, Donald F. Morris, avocat du couple qui a trouvé la souris, n’a pas voulu commenter l’affaire.

Une autre souris a surpris un résidant de Whitby, en Ontario, en se trouvant dans un paquet d’épinards prélavés de marque Queen Victoria, le 14 avril.

«J’ai mangé des épinards provenant d’un contenant dans lequel il y avait une souris morte, en décomposition», s’est-il plaint à l’ACIA.

Produits par Ippolito Fruit and Produce, de Burlington, en Ontario, ces épinards passent notamment sous un détecteur de métal et un système de triage optique.

«Il semble que cela soit un événement isolé», indique l’agence fédérale.

Mauvais matin

À Havelock, en Ontario, une femme s’est arrêtée dans un Tim Hortons pour acheter un sandwich Timatin, le matin du 1er décembre.

«Pendant que je le mangeais, je me suis étouffée, puis j’ai craché un morceau blanc qui semble être du plastique dur», a-t-elle raconté à l’ACIA.

Cette pièce de plastique, longue de 2 cm, était peut-être dans la galette d’oeuf du Timatin, produite par l’entreprise Global Egg/Egg Solutions, puis elle a été livrée surgelée chez Tim Hortons.

Au cours des six mois précédents, Global Egg a reçu 10 plaintes, dont 3 liées à la présence de plastique ou de métal dans des galettes d’oeufs. Néanmoins, l’ACIA n’a pas pu déterminer l’origine de cette matière étrangère.

«Le but de ces enquêtes est de s’assurer que si un aliment pose un risque aux consommateurs, il soit enlevé des étagères le plus vite possible», a dit M. Gravelle.

– Avec la collaboration de William Leclerc

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Un chien et un chat abandonnés élus animaux de l’année


Des animaux qui ont été délaissé dans des conditions horribles, les laissant a un triste sort, mais le destin en a décidé autrement .. Un chien qui peut encore jouir de belles années et un chat que son handicaps devient un modèle d’endurance pour d’autres
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Un chien et un chat abandonnés élus animaux de l’année

 

 

La Société américaine pour la prévention de la cruauté envers les animaux (The American Society for the Prevention of Cruelty to Animals) vient d’élire ses héros de l’année.

Parmi eux, un chat paralysé et une petite chienne abandonnée dont nous vous avons raconté la belle histoire il y a quelques semaines.

La seconde chance de Fiona

Fiona, âgée de 11 ans, a été découverte près d’un tas de déchets à Los Angeles.

Recueillie par un couple de bénévoles travaillant pour l’association Hope for Paws, la petite chienne a émue des milliers d’internautes qui se sont mobilisés pour financer l’opération dont elle avait besoin pour recouvrer la vue. En seulement 4 jours, quelque 4000 dollars, soit un peu plus de 3000 euros, ont été récoltés.

La métamorphose de Fiona est aussi impressionnante que son histoire est belle. Aujourd’hui en pleine forme, elle coule des jours heureux auprès de sa nouvelle famille.

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La petite chienne Fiona était dans un bien triste état quand elle a été découverte

chien abandonné sauvé sauvetage

© Eldad Hagar

© Eldad Hagar

© Eldad Hagar

© Eldad Hagar

 

Scooter, un chat pas comme les autres

La vie n’a pas été tendre non plus avec Scooter. Désigné chat de l’année par l’association américaine de protection des animaux, ce matou a lui aussi été trouvé dans la rue.

Le pauvre animal a perdu l’usage de ses pattes arrières et ne pouvait donc se mouvoir qu’avec beaucoup de difficultés.

Le petit chat noir et blanc a alors été transporté dans un hôpital vétérinaire, en Pennsylvanie. Et tous les visiteurs de la clinique se sont pris d’amour pour lui. Des dizaines de personnes se sont réunies pour récolter des fonds, et offrir au chat un appareil à roulettes fait sur mesure, grâce auquel il peut aujourd’hui se déplacer.


Paralysé, le chat Scooter peut désormais se déplacer

Le courage de Scooter est devenu une grande source d’inspiration pour les personnes auxquelles il rend visite chaque semaine.

Le chat apporte en effet une aide et un soutien très particuliers aux patients d’une maison de retraite ainsi qu’à ceux d’un centre de réhabilitation accueillant des personnes ayant une mobilité réduite suite à de graves blessures ou des accidents vasculaires cérébraux.

http://wamiz.com

New York Après l’ouragan Sandy, les rats vont-ils envahir la ville?


New-York, reconnu pour sa population de rat, enfin, faut dire que les film d’horreur n’ont pas aidé a cette renommée .. Maintenant que l’ouragan Sandy est passé qu’arrive t’il a ces rats ..?? Vont-ils se reproduire plus après avoir perdus plusieurs congénères probablement noyés .. ? En tout cas, avec tout la nourriture insalubre a l’homme … ils vont se gaver … un paradis de rat sur terre
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New York

Après l’ouragan Sandy, les rats vont-ils envahir la ville?

 

New York - Après l'ouragan Sandy, les rats vont-ils envahir la ville?

Un employé du Metropolitan Transportation Authority (MTA) installe des pompes à eau, New York.

Photo Reuters

Agence France-Presse

NEW YORK – Si on en croit une légende urbaine tenace, il y aurait à New York autant de rats que d’habitants, soit près de huit millions: après Sandy, vont-ils sortir en masse des tunnels et du métro inondés ou périr noyés?

Certains new-yorkais évoquent une «ratpocalypse»: la vision dantesque de millions de rongeurs surgissant de leurs trous pour prendre possession de la ville. D’autres imaginent avec un mélange de délice et de répulsion les mêmes hôtes indésirables noyés par les crues qui ont inondé le sud de Manhattan, flottant le ventre en l’air sur l’eau saumâtre.

En fait, personne ne sait précisément combien de rats New York abrite dans ses entrailles. Pour Rick Ostfeld, spécialiste des pathologies liées à l’environnement à l’Institut Cary pour l’étude de l’écosystème, il est tout aussi vain d’essayer de prédire l’effet de l’ouragan sur cette population.

«Les rats ont tendance à s’installer dans les parties très basses des villes qui sont les plus exposées aux inondations. Donc un certain nombre de rats seront tués, noyés», explique-t-il à l’AFP. «Mais je pense qu’ils seront relativement peu nombreux: le rat nage très bien et peut trouver refuge en hauteur».

Les rongeurs chassés par Sandy de leur territoire «pourraient représenter une menace pour nous dans des quartiers de la ville où ils n’avaient pas l’habitude de proliférer», prévient-il, soulignant que le rat transmet plusieurs maladies, dont la leptospirose et la salmonellose.

Les rats survivants vont chercher de nouvelles cachettes. Ils vont devoir s’adapter à un nouvel environnement et rétablir un certain ordre social.

«Mais une fois ces structures sociales rétablies, ils vont recommencer à se reproduire», souligne M. Ostfeld. Et si l’ouragan leur amène une nourriture supplémentaire, «leur population pourrait augmenter».

Ratpocalypse

 

Pour Bora Zivkovic, biologiste et journaliste à la revue Scientific American, «les rats, particulièrement les jeunes, qui se trouvaient dans les zones les plus vite envahies par les eaux ou n’avaient pas d’échappatoire facile, ont dû se noyer».

 

Par contre, ceux qui ont gagné la surface vont se goinfrer.

Avec des réfrigérateurs à l’arrêt faute d’électricité, les New-Yorkais «vont jeter beaucoup plus de nourriture, à toutes les heures du jour et de la nuit », explique Bora Zivkovic. Je suppose aussi que le ramassage des poubelles sera moins efficace pendant un moment, donc il y aura plein de nourriture disponible dans les sacs poubelles et sur les trottoirs».

Mais la vie ne sera pas facile pour les nouveaux arrivants: ils «vont se heurter à la population locale qui défendra son territoire. Ces affrontements détermineront qui seront les rats dominants, qui restera et qui devra aller s’installer ailleurs».

Bora Zivkovic se veut rassurant: la «ratpocalypse» n’est pas pour demain. La plupart des rats vont essayer de rentrer chez eux quand les eaux baisseront. Ils sont farouchement attachés à leur territoire et à leur groupe et même déplacés très loin ils peuvent retrouver leur chemin».

Et si la reprise des accouplements frénétiques entre rongeurs devrait ramener rapidement la population à son niveau d’avant l’ouragan, il n’y a pas de raison de croire que celle-ci va augmenter.

Sam Miller, un des responsables du département de la santé de la municipalité de New York, se veut lui aussi optimiste.

«Nous n’avons pas constaté d’augmentation du nombre de rats en surface à la suite de l’ouragan Sandy», dit-il. « Nous pensons que l’inondation pourrait en fait faire diminuer la population totale de rats« , estime-t-il.

Robert Corrigan, un spécialiste des rats installé dans l’Indiana, rappelle que dans des circonstances similaires, comme après l’ouragan Katrina de 2005, «on n’a pas constaté de flambées épidémiques».

«Il n’y a pas de raison de croire qu’il en sera autrement avec Sandy. Mais ça ne veut pas dire que les responsables de la santé à New York doivent baisser la garde», ajoute-t-il.

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