Découverte d’une planète avec quatre soleils, du jamais vu


Je me demande s’il fait nuit sur cette planète a 4 soleils. Et que dire de la chaleur .. malgré la distance serait-elle supportable ? C’est assez étonnant
Nuage

 

Découverte d’une planète avec quatre soleils, du jamais vu

 

PH1, une planète gazeuse géante de la même... (Photo: AP)

PH1, une planète gazeuse géante de la même taille que Neptune et représentant environ six fois celle de la Terre, tourne autour de deux étoiles.

PHOTO: AP

Agence France-Presse
Washington

Une équipe internationale d’astronomes a annoncé lundi la découverte d’une planète dont le ciel est illuminé par quatre soleils, le premier système stellaire de ce type observé jusqu’à présent.

La planète, baptisée PH1, située à près de 5000 années lumière de la Terre (une année lumière correspond à 9.461 milliards de kilomètres) est en orbite autour de deux soleils, et deux étoiles tournent autour de ces derniers.

Seulement six planètes sont connues à ce jour pour être en orbite autour de deux soleils sans autre étoile distante orbitant leur système solaire, selon ces astronomes.

Ce système planétaire circumbinaire double a été initialement découvert par deux astronomes amateurs américains, Kian Jek et Robert Gagliano, qui ont utilisé le site Planethunters.org.

Des astronomes professionnels américains et britanniques ont ensuite effectué des observations et les mesures avec les télescopes Keck situés sur le mont Mauna Kea à Hawaï.

«Les planètes circumbinaires représentent ce qu’il y a de plus extrême dans la formation planétaire», relève Meg Schwamb, un chercheur de l’université de Yale (Connecticut, nord-est), principal auteur de cette recherche présentée à la conférence annuelle de la division de planétologie de l’American Astronomical Society réunie à Reno dans le Nevada.

«La découverte de tels systèmes stellaires nous force à repenser comment ces planètes peuvent se former et évoluer dans un tel environnement», ajoute-t-il dans un communiqué.

Cette découverte a été mise en ligne sur le site arXiv.org et a été soumise pour publication dans l’Astrophysical Journal.

PH1, une planète gazeuse géante de la même taille que Neptune et représentant environ six fois celle de la Terre, tourne autour des deux premières étoiles, d’une masse respectivement de 1,5 et 0,41 fois celle de notre soleil, en 138 jours.

Les deux autres étoiles évoluent autour de ce système planétaire à une distance d’environ mille fois celle de la Terre au Soleil.

Le site Planethunters.org a été créé en 2010 pour encourager les astronomes amateurs à identifier des exoplanètes –planètes situées hors de notre système solaire– avec les données collectées par le télescope spatial américain Kepler.

Kepler, lancé en mars 2009, a pour objectif de rechercher des exoplanètes similaires à la Terre en orbite autour d’autres étoiles.

http://www.lapresse.ca/

Le Saviez-vous ► Le rire


On ne dit pas si ce sont des rires forcés mais, voilà bien une preuve que quand on vieillit on perds notre coeur d’enfants, notre vision du fantastique et de la simplicité … Mais je remarque qu’au contact d’un enfant … les rires, les sourires sont plus faciles a affichés sur le visage même en étant adulte
Nuage

 

Le rire


   
Un adulte rit en moyenne 16 fois par jour, contre 300 à 400 fois pour un enfant.

http://www.savoir-inutile.com

Un Labrador vient au monde avec un pelage vert !


Un chien verdâtre, c’est une couleur très rare, du a une affection aussi rare .. cela ne semble pas occasionné des problèmes de santé, il est seulement un vert pâle qui auprès des autres chiots la différences est plus visible
Nuage

 

Un Labrador vient au monde avec un pelage vert !

 

Hulk… Quel autre nom aurait bien pu porter ce chiot ?

Né il y a quelques jours, ce Labrador ne ressemble à aucun de ses 7 frères et sœurs. Sa particularité ? Il est couvert d’un pelage… vert !

C’est dans le Lancashire, en Angleterre, que cet étonnant chiot a vu le jour.

Tous les autres petits de la portée ont un pelage beige, comme leur mère Buttons. Et les propriétaires de la chienne qui a donné naissance à ces adorables bébés, Naomi et Kyle, ont eu un véritable choc lorsqu’ils ont vu Hulk, le second chiot de la portée.

Une affection rare

Inquiets, ils ont fait des recherches sur Internet et découvert que le chiot souffrait d’une affection rare se produisant lorsque la mère est exposée au cours de sa gestation à une substance appelée biliverdine et pouvant être présente dans le placenta.


Ce petit Labrador est né avec un pelage vert…

Cette substance peut avoir pour étrange effet de teindre le pelage des chiots d’une couleur verdâtre. Cette teinte est très claire, et pas forcément visible au premier coup d’oeil. Mais lorsque l’on voit Hulk au milieu de ses frères et soeurs, on ne peut que constater qu’il est unique.

Le chiot est en parfaite santé, et hormis sa surprenante couleur, il ne présente aucune autre particularité.

« Hulk est adorable et quand ses frères et sœurs se blottissent les uns contre les autres, il se met au-dessus et au milieu pour avoir le plus chaud possible« , raconte Sandra, la mère de Naomi.

Si le couple avait décidé de ne pas donner de noms aux chiots de Buttons, car les petits vont être vendus une fois sevrés, ils n’ont pas pu résister en voyant ce petit pas comme les autres. Ils l’ont tout naturellement baptisé Hulk, et se sont pris d’amour pour lui.

« Nous avons essayé de ne pas nommer les chiots car ils sont à vendre et nous ne voulons pas nous attacher à eux, mais Hulk est si mignon«  confie le couple britannique.

Un cas peu commun, mais pas unique

Ce petit chiot n’est pas le premier à être né avec cette particularité. En 2010, un petit Labrador au pelage vert avait déjà fait sensation au Brésil lorsqu’il a vu le jour. Le chiot avait lui aussi été baptisé Hulk. Mais après une dizaine de jours, il a perdu sa pigmentation verte pour devenir aussi beige que ses 8 frères et soeurs.


Tous les autres chiots sont nés avec un pelage beige

http://wamiz.com

Combien vaut la nature?


Mettre la nature en vente ..donner des droits de propriété pour protéger l’écosystème. Mettre un prix sur la nature qui en fait n’appartient a personne et appartient a tout le monde ..En fait … nous ne seront jamais propriétaire seulement des locataires .. et quel piètre locataires sommes nous !!! Non mais qu’est-ce qu’ils font dans leur conférence .. ils savent les enjeux, la situation, mais ils sont toujours a donner des solutions mais pour agir  par exemple non !!!  ils complique plus que résoudre  et cela fini par le néant … rien n’est fait ou presque
Nuage

 

Combien vaut la nature?

 

La pollinisation par les abeilles vaudrait environ 190... (PHOTO ROLAND WEIHRAUCH, AFP)

La pollinisation par les abeilles vaudrait environ 190 milliards de dollars par an.

PHOTO ROLAND WEIHRAUCH, AFP

MARIETTE LE ROUX
Agence France-Presse
Hyderabad, Inde

Agriculteurs ou consommateurs devraient-ils payer pour les services de pollinisation rendus par les abeilles ou pour la pluie en forêt tropicale? Apparemment incongrues, ces questions se posent à l’occasion de la conférence de l’ONU sur la biodiversité en Inde.

« Les services rendus n’ont pas de prix associé, ils ne sont donc pas comptabilisés », constate Neville Ash, directeur de la section biodiversité du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

Les discussions internationales menées depuis 20 ans pour endiguer l’érosion toujours plus rapide de la biodiversité peinent à se concrétiser en engagements sonnants et trébuchants pour la nature. Ces questions de gros sous sont au coeur de la conférence de Hyderabad (sud), où 160 pays sont réunis jusqu’à vendredi.

L’une des approches en vogue ces dernières années consiste à mettre un « prix » sur les services jusqu’ici rendus « gratuitement » par les écosystèmes. Il s’agit, selon ses promoteurs, de permettre à la biodiversité de trouver une place dans les « business plans » des entreprises ou les budgets gouvernementaux.

L’économiste indien Pavan Sukhdev, auteur d’un célèbre rapport finalisé en 2010, a largement contribué à imposer cette idée selon lui incontournable.

« Pour faire comprendre aux décideurs à quel point la biodiversité est importante, vous devez leur montrer la valeur en dollars des services fournis par les écosystèmes que leur économie est en train de perdre à cause de leur mauvaise gestion ou de la disparition de la biodiversité », explique-t-il à l’AFP.

L’une des rares tentatives pour chiffrer la valeur totale des services rendus par l’ensemble de la nature, en 1997, avait abouti au chiffre faramineux de 33 000 milliards de dollars annuels. Soit près du double du PIB mondial à cette date. L’étude avait suscité des doutes et même des moqueries.

Depuis, des études plus ciblées ont été menées, pour évaluer la valeur de la pollinisation par les abeilles (environ 190 milliards de dollars par an) ou de la protection contre les tempêtes fournie par les mangroves (jusqu’à 1000 dollars par hectare et par an).

Une nouvelle étude publiée la semaine dernière estime que 4 milliards de dollars par an sont nécessaires pour réduire le risque d’extinction de toutes les espèces menacées et 76 autres milliards pour bien gérer les sites terrestres importants pour la biodiversité.

« Des coûts très faibles par rapport aux coûts de l’inaction », assure son auteur, Donal McCarthy, économiste pour l’ONG BirdLife International.

Selon lui, cette somme ne représente que de 1 à 4 % de la valeur des services rendus par les écosystèmes perdus.

Bien que régulièrement contestée, cette approche semble de mieux en mieux acceptée.

Mais que faire de tous ces chiffres?

« L’évaluation seule n’est pas suffisante », rappelle Nathaniel Carroll, chef du programme biodiversité à Forest Trends, une organisation à but non lucratif basée à Washington qui promeut des outils de protection de la forêt basés « sur le marché ».

« Chacun devrait payer pour sa dépendance, son utilisation et ses impacts sur la biodiversité s’il souhaite que ça continue à être disponible », dit-il.

Faut-il un marché de la biodiversité à la manière de celui existant en Europe pour le carbone et visant à permettre des réductions d’émissions de CO2? Faut-il des taxes, des redevances ou des systèmes de facturation de « services »?

Pour Dominic Moran, professeur en économie de l’environnement au Rural College d’Écosse, l’instauration de droits de propriété pourrait être une solution.

« Si les ressources sont confiées à des communautés ou à des pays en particulier qui en seraient les propriétaires, ils auraient alors le droit de les facturer », estime-t-il. « Ce serait aussi une incitation à gérer durablement ces ressources sur le long terme ».

http://www.lapresse.ca

Le lion est un animal de ferme comme les autres


L’homme a toujours chassé pour subvenir a ses besoins alimentaires que les plantes ne peuvent pas nécessairement fournir, mais quand la chasse est un sport pour tuer, avoir des sensation et rapporter un trophé comme pour le lion … c’est abominable .. et pour que ce soit acceptable on joue sur les mots .. animaux sauvages se retrouvent comme animaux domestiques .. foutaise !!
Nuage

 

Le lion est un animal de ferme comme les autres

 

Le lion est un animal de ferme comme les autres

Photo: AFP

Jean Liou

Dans l’imaginaire collectif, le roi des animaux domine les parcs et réserves sud-africains. Pourtant, 60% des lions du pays vivent en cage pour être revendus à des zoos ou relâchés juste avant d’être abattus par des chasseurs de trophées.

 

Au grand dam des défenseurs de l’environnement, les exploitants expliquent que le lion est un animal de ferme comme les autres.

«Le principe d’élever des animaux sauvages à des fins d’exploitation économique est une pratique internationalement admise», souligne Pieter Potgieter, président de l’association sud-africaine des éleveurs de prédateurs.

«Le problème, c’est qu’on a fait du lion le roi des animaux. Walt Disney, avec son « Roi Lion », a créé cette image! Un lion a une personnalité comme un être humain, il parle à ses enfants… Mais un lion n’est ni supérieur, ni inférieur aux autres espèces.»

Alors qu’il y a environ 3000 lions sauvages en Afrique du Sud, leurs congénères en captivité sont plus de 5.000, élevés dans plusieurs dizaines d’exploitations.

«Les fermiers sont peu enclins à donner les chiffres exacts», reconnaît M. Potgieter.

Ce qui n’aide pas à lever le côté un peu sulfureux de l’activité. Et s’ils accueillent volontiers les touristes, les éleveurs de fauves n’aiment pas parler aux journalistes.

Dans la savane du centre du pays, la ferme de Bona Bona, près de Wolmarransstad, est un bon exemple.

A quelques centaines de mètres d’un lodge fort prisé pour les mariages, de vastes enclos y abritent neuf lions placides (et trois tigres du Bengale!), qui étaient encore trois fois plus nombreux jusqu’à la vente aux enchères annuelle de l’exploitation, en juin.

Les félins sont nourris le dimanche matin, en public, moyennant un droit d’entrée de 80 rands (7 euros). Et les petits servent à l’occasion de mascottes aux visiteurs du lodge, comme l’équipe d’Espagne de football, basée à proximité, lors de la Coupe du monde de football de 2010.

Jouer avec des lionceaux

De nombreuses attractions touristiques sud-africaines proposent d’ailleurs de jouer avec des lionceaux, pour environ 300 rands (27 euros), voire de leur donner le biberon.

«Les lionceaux sont loués par les éleveurs à des complexes éco-touristiques pour être caressés par des touristes», accuse Chris Mercer, qui dirige une campagne contre la chasse.

«Ce qui est intrinsèquement cruel, c’est que les petits sont spécifiquement retirés de leur mère à la naissance afin qu’ils puissent être utilisés comme des jouets et pour augmenter le rythme de reproduction, sans parler des méthodes employées pour s’assurer qu’ils sont dociles avec les touristes», ajoute Paul Hart, qui gère un refuge dans la région du Cap.

Et contrairement à ce qu’on dit parfois aux visiteurs, ils ne seront jamais libérés dans la nature.

«Ces lionceaux sont des animaux d’élevage qui resteront en cage jusqu’à ce qu’ils soient assez vieux pour être chassés», soupire Chris Mercer.

Selon des détracteurs, certains lions seraient aussi spécialement élevés pour leurs os, qui sont envoyés en Asie pour finir dans des philtres d’amour. Ce que démentent les éleveurs, qui assurent que seuls les fauves morts naturellement ou victimes des chasseurs sont concernés par ce commerce en plein essor.

Si l’on ne chasse pas à Bona Bona, près de 10% des lions d’élevage sud-africains sont abattus tous les ans par des amateurs de trophées.

Ceux-ci sont prêts à payer environ 22 000 dollars par mâle, et presque autant en frais annexes (organisation, logement, taxidermie…). Tirer une lionne est bien moins cher: 4000 dollars.

Les pratiques font débat: dans la province du Nord-Ouest, la plus riche en fermes à fauves, les lions ne sont souvent relâchés, affamés, que quatre jours avant le jour de la chasse, dans un espace inconnu où ils n’auront que peu de chance d’échapper à leurs poursuivants.

«En France, ils élèvent des millions de faisans, et ils les relâchent le samedi matin quand la chasse commence. Le principe est le même», justifie le représentant des éleveurs Pieter Potgieter, lui-même grand chasseur.

«Que vous tuiez un boeuf, un mouton ou un cochon, ou que vous tuiez un lion, c’est exactement la même chose, c’est un animal!»

http://fr.canoe.ca

Felix Baumgartner : il a beaucoup souffert en franchissant le mur du son


Je pense que les limites humaines ont été atteints … nous appartenons a la terre et nous ne pouvons pas en sortir sans la technologie. Maintenant que reste t’il a cet homme comme défi .. Celui la était immense a franchir
Nuage

Felix Baumgartner : il a beaucoup souffert en franchissant le mur du son

 

Franchir le mur du son en chute libre en sautant à 39 km de la Terre n’est pas une partie de plaisir. Felix Baumgartner a déjà fait part de la violence de sa descente dans les médias.

Des millions de personnes dans le monde l’ont vu en direct sauter de sa cellule dans la stratosphère, puis ont entendu sa respiration s’accélérer. L’aventurier autrichien Felix Baumgartner a réussi ce dimanche le pari de sauter à plus de 39 000 m de la Terre et à franchir le mur du son en chute libre. Une première. Ses 4 minutes et 20 secondes de chute lui ont permis de battre plusieurs autres records : celui de l’altitude la plus haute atteinte d’un vol habité en ballon et celui du saut le plus haut en chute libre. Elles lui ont aussi infligé quelques sueurs froides. Car malgré sa combinaison pressurisée, Felix Baumgartner a raconté avoir énormément souffert pendant sa descente. Une souffrance qui transparaissait clairement dans la vidéo de la chute libre diffusée en direct sur Internet. On y entendait l’Autrichien respirer de plus en plus vite et communiquer avec sa base avec beaucoup de peine.

Certains silences et brouillages dans la communication ont aussi pu faire craindre le pire aux organisateurs de la mission et aux millions de curieux qui ont suivi l’événement. Après avoir déployé son parachute à 1 900 m du sol et avoir posé le pied sur Terre, Felix Baumgartner a finalement expliqué que sa chute « a été très difficile, beaucoup plus difficile que nous ne le pensions ». La vitesse atteinte (environ 1 300 km/heures) a bien failli lui faire perdre connaissance.

« La sortie a été parfaite, mais ensuite j’ai commencé à être très secoué », a-t-il expliqué peu après son atterrissage.

Dans la vidéo, on voit en effet son corps partir en vrille, ce que les experts de la mission voulaient éviter.

« Je me disais que j’allais réussir à contrôler la chute, mais quand j’ai pris de la vitesse, c’est devenu vraiment violent, et pendant quelques secondes j’ai cru que j’allais perdre conscience »,poursuit-il.

« Heureusement, j’ai réussi à stopper ça ».

Dans l’Equipe ce matin, Baumgartner donne d’autres détails sur ce qu’il a vécu à ce moment précis :

« Je tournais de façon si violente que je me suis demandé si j’allais m’en sortir. Je n’ai pas eu peur de mourir mais j’ai failli m’évanouir. J’allais ouvrir le parachute de secours, mais je savais que dans ce cas, il n’y aurait pas de record ».

Au moment de franchir le mur du son, le corps humain est aussi mené à rude épreuve.

« J’ai senti que j’allais plus vite que le son. J’ai senti l’air qui s’accumulait et j’ai franchi le mur »,explique Baumgartner, qui reconnaissait tout de même ne pas savoir précisément quand le seuil (1 224 km/heures environ) a été franchi

« Je n’ai pas senti le bang supersonique. Je crois que ça se produit derrière vous ».

Une certaine forme de peur a aussi saisi l’aventurier avant de sauter.

« Parfois il faut monter très haut pour comprendre à quel point on est petit« ,avait-il lancé en direct avant de s’élancer dans le vide.

« Quand on se tient là, au sommet du monde, on devient si humble… La seule chose que l’on souhaite, c’est de revenir en vie« ,a-t-il répété quelques minutes après son arrivée.

EN VIDEO – Des extraits du saut en chute libre de Felix Baumgartner

http://www.linternaute.com