Un environnement sain pour un sommeil de qualité


Pour ma gouverne et la votre .. pour ce qu’est un bruit  blanc Le son produit lors de l’effet de « neige » sur un téléviseur déréglé est un bon exemple de bruit blanc. Moi c’est mon éventail qui ronronne qui atténue les bruits extérieur …
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Un environnement sain pour un sommeil de qualité

 

Photo Fotolia

Des suggestions de la National Sleep Foundation pour un environnement propice au sommeil.

Le sommeil est un facteur très important pour la santé de l’être humain, mais encore faut-il qu’il soit de qualité. Pour y parvenir, plusieurs moyens peuvent être pris, mais selon nlm.nih.gov, qui reprend des suggestions de la National Sleep Foundation, tout commence par un environnement propice.

Pour y arriver, il faudrait d’abord s’attaquer aux bruits. On suggère d’utiliser des bouchons protecteurs pour dormir. Il est également possible de se procurer un appareil qui projette ce qu’on appelle un « bruit blanc », qui contre les autres sons ambiants.

Garder la chambre à coucher à une température fraîche est aussi conseillée. Avoir trop chaud nuit au sommeil, et il faut donc éviter les pyjamas trop lourds si l’on a tendance à créer beaucoup de chaleur lorsqu’on dort.

Le lit est bien sûr l’élément central lorsqu’on aborde la question du sommeil, et les experts affirment que celui-ci doit être assez grand, par rapport à vos dimensions. Vous devriez également ressentir un grand confort lorsque vous touchez le matelas. Dans le cas contraire, il est préférable de le changer. Il en va de même pour les oreillers et les couvertures.

En terminant, si votre partenaire de sommeil ronfle ou bouge beaucoup durant la nuit, on suggère de parler du problème au lieu de l’éviter. Il en va de la santé des deux personnes impliquées.

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Un enfant de la DPJ créé par procréation assistée


La réponse de l’hopital  «Notre rôle n’est pas de déterminer si un patient est apte ou non à subir un traitement de fertilité»,est une irresponsabilité et une incompétence du psychologue … Il est alarmant que certains médecins ce foutent totalement de l’avenir d’un bébé avec de tel problèmes de la mère
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Un enfant de la DPJ créé par procréation assistée

 

Une femme au passé violent et torturé a été inséminée en janvier 2011 grâce à un don de sperme. Au cours des années précédentes, elle avait déjà fait des démarches – vaines – dans deux cliniques privées pour avoir accès à un don de sperme, puisque son conjoint était infertile.

PHOTO: REUTERS

GABRIELLE DUCHAINE
La Presse

Des médecins du Centre de reproduction McGill ont créé un véritable «enfant de la DPJ», l’an dernier, en inséminant une patiente même si elle souffrait de troubles mentaux, était victime de violence conjugale et avait des antécédents judiciaires. Deux cliniques de fertilité l’avaient d’ailleurs déjà refusée. Dès l’accouchement, le nouveau-né a été enlevé à sa mère. Il ne retournera vraisemblablement jamais dans sa famille.

En janvier 2011, la femme de 37 ans, au passé violent et torturé, s’est présentée à la clinique de fertilité du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Elle voulait un bébé à tout prix. Au cours des années précédentes, elle avait déjà fait des démarches – vaines – dans deux cliniques privées pour avoir accès à un don de sperme, puisque son conjoint était infertile. La troisième tentative, auprès de l’hôpital, a fonctionné.

«Notre rôle n’est pas de déterminer si un patient est apte ou non à subir un traitement de fertilité», a fait savoir l’hôpital dans une déclaration écrite.

L’institution a catégoriquement refusé de commenter ce cas précis.

La patiente, dont nous ne pouvons révéler l’identité pour protéger celle de son enfant, est bien connue des milieux policiers pour des histoires de vol, d’actes violents, de conflits avec les voisins et de violence conjugale. Elle a reçu à l’adolescence un diagnostic de dépression majeure et de troubles obsessionnels compulsifs. Elle souffre d’anxiété et de désorganisation. Son conjoint, de 28 ans son aîné, est atteint de déficience intellectuelle et d’un début de démence. Il est agressif, physiquement et verbalement. Incapable de s’occuper lui-même de ses affaires, il est sous la responsabilité du Curateur public.

C’est d’ailleurs ce même organisme qui s’est opposé au processus d’insémination lors de la première tentative dans une clinique privée, «en raison de l’état physique et mental de son conjoint», explique un jugement de la Cour du Québec, qui a statué en mai dernier sur l’incapacité de la mère à s’occuper de son bébé et qui raconte son histoire dans les moindres détails.

Loin de se laisser démonter, la femme s’est tournée vers une deuxième clinique, où elle a faussement affirmé être célibataire. On lui a répondu que, dans cet établissement, l’enfant à naître devait avoir un père reconnu. C’est alors qu’elle s’est adressée à la clinique de reproduction du CUSM, où elle a fait semblant que son mari était mort.

Comme le veut la règle, elle aurait rencontré un psychologue pour une évaluation psychopédagogique.

«Le but de cette consultation n’est pas de présélectionner les patients pour déterminer s’ils vont faire de bons parents, précise le CUSM. Toutefois, des risques potentiels, comme l’abus d’alcool ou d’autres drogues, des psychopathologies, sont évalués, ce qui peut entraîner notre retrait du dossier ou le report du traitement.»

Cette fois, le psychologue ne s’est pas opposé à l’insémination, qui a eu lieu en janvier grâce à un don de sperme.

Dès le mois de mai, le médecin traitant a constaté que la future maman ne pourrait pas prendre soin de son enfant. Elle manquait de jugement, disait-il. On lui a fait voir un psychiatre. La Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) est intervenue dès la naissance, en octobre. Le poupon a été transféré aux soins intensifs à cause de complications durant l’accouchement. Lorsque sa mère allait le voir, elle était brusque avec lui et ne savait pas comment s’y prendre. Il lui arrivait de l’emmailloter beaucoup trop serré et par-dessus la tête, où même d’enlever les électrodes installées sur son corps.

Dès sa sortie de l’hôpital, l’enfant a été placé en famille d’accueil, où il vit toujours, près d’un an plus tard. Les coordonnées de la famille sont tenues secrètes par ordre de la cour, parce que la mère est parfois «agressive ou insistante» envers les intervenants qui lui viennent en aide. Elle conserve tout de même des droits de visite, lors desquels elle a besoin de surveillance constante, parce qu’elle manipule l’enfant avec tant de maladresse qu’on craint qu’elle le fasse tomber, selon ce qu’a indiqué la DPJ au tribunal. Le bébé évite les contacts visuels avec sa mère et pleure «intensivement» lorsqu’elle le touche. Malgré les conseils des intervenants, elle ne s’améliore pas. De plus, toujours selon les observations de la DPJ, elle souffre de problèmes de santé mentale (un nouveau diagnostic de trouble de personnalité avec traits limites s’est récemment ajouté à son dossier), elle a plusieurs antécédents judiciaires et vit une instabilité conjugale.

Selon la cour, les chances de l’enfant de retourner un jour vivre avec sa mère sont «sombres».

– Avec la collaboration de Philippe Teisceira-Lessard

http://www.lapresse.ca

Messieurs, pour vivre vieux vivons castrés


Pour de la science .. je pense plus que c’est un exemple de blabla étant donné qu’il est difficile de trouver des volontaires pour savoir si oui ou non les hommes castrés vivent plus longtemps et ce même si c’était aisé a prouver … quel homme serait prêt a être castré volontairement .. pour vivre plus longtemps..
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Messieurs, pour vivre vieux vivons castrés

 

Janlou Chaput, Futura-Sciences
 

Les eunuques de l’Empire coréen vivaient entre 14 et 19 années de plus que leurs contemporains évoluant dans les mêmes conditions, laissant sous-entendre que la castration augmente nettement l’espérance de vie. La testostérone est-elle responsable ?

Les études sur l’espérance de vie des hommes castrés sont délicates, puisque fort heureusement ce sont des pratiques devenues très peu courantes. Alors pour étudier l’impact de l’absence de testostérone sur l’espérance de vie des mâles, il faut recourir aux données du passé : castrats, malades mentaux stérilisés ou eunuques. Après avoir été démontré chez l’animal, des indices importants laissent penser que la castration permet aux hommes de vivre plus longtemps.

Le contexte : la testostérone, un tueur précoce ?

Quel est le secret de la longévité des femmes ? Celles-ci vivent quelques années de plus que les hommes et diverses réponses ont été avancées pour expliquer ce phénomène. Pour l’étudier, les scientifiques se sont penchés sur ce qui différencie les deux sexes : certaines hormones, à savoir les taux de testostérone et d’œstrogènes.

Cette première est notamment accusée d’affaiblir le système immunitaire ou de favoriser les comportements à risques alors que la seconde diminuerait les risques de maladies cardiovasculaires. Pour vérifier l’impact réel, à l’échelle d’une vie, d’un déficit en testostérone, on peut le tester chez l’animal. Quelques exemples prouvent son rôle dans le raccourcissement de la durée de l’existence, d’ailleurs. Mais chez l’Homme, c’est un peu plus compliqué. Hors de question de castrer un volontaire juste pour le bien de la science. Alors les scientifiques se sont penchés sur les eunuques et castrats du passé.

Sur un très faible échantillon de ces derniers, rien n’a été observé. Des chercheurs coréens de l’Inha University se sont intéressés aux autres, ces hommes castrés qui gardaient le harem des empereurs coréens sous la dynastie Chosun. Et ils vivaient nettement plus longtemps que leurs contemporains ayant les mêmes conditions de vie, comme le révèle leur travail publié dans Current Biology.

 

Ce graphique, tiré de l’article scientifique, montre l’espérance de vie moyenne pour les eunuques (Eunuch) en comparaison avec trois grandes familles de l’époque (Mok, Shin et Seo). L’écart semble net et sans bavure. © Min et al., Current Biology
L’étude : des eunuques à la longue vie

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces eunuques avaient droit de se marier et d’avoir des enfants. Bien évidemment, ce n’était pas les leurs au sens biologique du terme, et les garçons qu’ils adoptaient se devaient eux-aussi d’être émasculés. De ce fait, il existe un arbre généalogique de ces eunuques de l’époque impériale, de la même façon qu’il en existe un pour les empereurs et leurs proches.

Les données de naissance et de mort de tous les individus n’ont pas pu être précisément relevées. Sur les 385 eunuques, les informations étaient fiables pour 51 d’entre eux. Ceux-ci ont été comparés à trois familles contemporaines, ayant vécu comme eux entre 1741 et 1816 : mêmes conditions de vie et même accès aux palais.

L’espérance de vie moyenne des eunuques atteignait 70 ans, contre 50,9 à 55,6 pour les trois familles. Soit une différence de 14 à 19 ans ! Plus fort encore : trois des gardes castrés avaient atteint voire dépassé l’âge vénérable de 100 ans (100, 101 et 109 ans), tandis qu’il n’y en a eu qu’un seul sur les 2.589 membres des trois familles.

Cette dernière donnée est à mettre en parallèle avec les statistiques actuelles concernant la proportion de centenaires dans les populations. En tête de ce classement actuellement, le Japon en connaît un seul pour 3.500 habitants. Même si les effectifs sont petits, les eunuques coréens des XVIIIe et XIXe siècles font 130 fois mieux !

L’œil extérieur : quelles conclusions ?

Est-ce l’étude de référence permettant de conclure que la castration favorise l’espérance de vie ? Probablement pas, car à elle seule elle ne peut faire office de vérité générale. Cependant, elle tend à montrer que les observations chez l’animal pourraient être extrapolées à l’espèce humaine, et dans des proportions bien plus importantes. Des volontaires pour sacrifier ses bourses pour allonger sa durée de vie

http://www.futura-sciences.com