Le Saviez-vous ► L’eau est-il le meilleur liquide à boire pour bien s’hydrater?


L’eau en plus d’être l’or bleu, elle est nécessaire pour le corps .. Boire de l’eau est mieux que tout autre liquide, sauf que des fois, certaines eau du robinet on des gouts indésirable .. On prétends que l’eau du robinet mit au frigo aide a enlever le gout .. En tout cas, chez moi au frigo ou pas, l’arrière gout reste .. alors qu’a La Sarre elle est très bonne … mais bon. Quoiqu’il en soit boire de l’eau est vitale pour nous
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L’eau est-il le meilleur liquide à boire pour bien s’hydrater?

 

Photo: Shutterstock

Par Lisa Marie Noël

 

L’eau comporte 0 calorie et assure le bon fonctionnement du corps humain, composé de 60 à 70 % d’eau. Elle est préférable aux boissons pour sportifs, qui contiennent souvent des sucres ajoutés, dont le sirop de maïs à haute teneur en fructose. Les femmes devraient absorber chaque jour 2,2 litres d’eau (incluant celle qui provient des jus, des fruits et des boissons chaudes), et les hommes, 3 litres.

Vous n’aimez pas le goût chloré de l’eau du robinet? Un truc: gardez-en un pichet à découvert au frigo, le chlore s’évaporera en 30 minutes. Pour lui donner du goût, plongez-y des tranches de citron ou des feuilles de menthe.

Au Québec, l’eau du robinet, réglementée, est testée plusieurs fois par jour. L’eau embouteillée est aussi testée, mais seulement avant sa mise en bouteille. La possible contamination par le plastique lors du transport et de l’entreposage n’est pas vérifiée.

De plus, ces contenants de plastique donnent des maux de tête aux gestionnaires de déchets. Selon Recyc-Québec, en 2008, il s’en est vendu plus d’un milliard dans la province. Moins de la moitié ont été recyclés.

http://www.protegez-vous.ca

De l’importance de la mère épaulard


L’épaulard femelle sont des mères très intentionnées pour ses petits et c’est peut-être le secret de leur longévité mais il reste encore beaucoup de questions qui ne demandent que des réponses
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De l’importance de la mère épaulard

 

Une orque

Les femelles peuvent vivre jusqu’à 90 ans et les mâles jusqu’à 60 ans.

La période post reproductive de l’épaulard femelle est la plus longue jamais observée dans le règne animal. Quand sa période de fertilité est définitivement terminée, elle peut continuer à vivre de 50 à 60 ans.

Des biologistes pensent avoir découvert l’avantage de cette longévité pour l’espèce.

John Ford, de Pêches et Océans Canada, et ses collègues américains affirment que la présence de maman orque augmente considérablement le taux de survie de sa progéniture à l’âge adulte, particulièrement des jeunes mâles.

En fin de compte, selon les chercheurs, la présence de femelles âgées pourrait donc permettre d’augmenter le nombre de petits que leurs fils pourront avoir.

Méthode novatrice

Pour arriver à ces conclusions, les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Science ont appliqué un modèle statistique à 36 ans de relevés démographiques dans une population d’orques.

En compilant ces données des naissances et décès, ils ont ainsi pu calculer la probabilité de survie d’un individu à n’importe quel âge.

Le saviez-vous?

La même méthode est utilisée par les compagnies d’assurance-vie dans le calcul des primes que doivent payer les individus pour leur assurance.

Le résultat montre que les rejetons d’une portée dont la mère avait une longue durée de vie avaient aussi tendance à survivre plus longtemps.

Ces résultats sont donc la preuve que les orques femelles qui cessent de se reproduire mais augmentent la survie de leur fils adulte peuvent optimiser la transmission de leurs gènes sans pour autant accroître la compétition au sein de leur groupe.

Comment la présence de la mère augmente-t-elle la vie de son fils? Les chercheurs ne disposent que de peu d’informations, mais estiment qu’elle pourrait aider à trouver de la nourriture ou encore aider en situation dangereuse.

http://www.radio-canada.ca

La goutte, une maladie plus complexe qu’il n’y paraît


La goutte une maladie qui semble avancer dans divers pays, est-ce du a la restauration rapide ? l’obésité ? Il est clair que certains sont plus prédisposés que d’autres … mais comme maladie douloureuse, ayant probablement certaines conséquences sur d’autres problèmes de santé, les scientifiques cherchent de meilleur traitement
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La goutte, une maladie plus complexe qu’il n’y paraît

 

Martine Lochouarn

INFOGRAPHIE – Elle se manifeste par des crises articulaires très douloureuses.

Si l’épidémie mondiale d’obésité suscite à juste titre des inquiétudes, une autre maladie augmente en parallèle: la goutte 

«En Europe, elle touche 1 à 1,5 % de la population. Aux États-Unis, son incidence est passée entre 1990 et 2007 de 2,1 % à 3,9 % de la population, soit plus de 8 millions de sujets atteints, explique le Pr Thomas Bardin, rhumatologue (hôpital Lariboisière, Paris). La goutte progresse partout, frappant des pays jusque-là indemnes, comme la Chine, le Japon ou la Nouvelle-Zélande.»

Une progression favorisée par l’alimentation de type «fast-food», plus calorique, plus grasse, propice à l’expression de prédispositions génétiques mieux identifiées. Selon une étude récente, les Américains obèses ont 2 à 3 fois plus souvent la goutte que ceux de poids normal…

La goutte se manifeste par des crises articulaires très douloureuses, touchant surtout la base du gros orteil, parfois la cheville, le genou ou la main. Elle est provoquée par des cristaux d’urate de sodium issus de la dégradation en acide urique des purines, biomolécules majeures du métabolisme*. L’acide urique est pour l’essentiel éliminé par les reins dans les urines.

«Dans le sang, il est sous forme d’urate de sodium, peu soluble, qui tend à précipiter en formant des microcristaux s’il dépasse 60 mg/l, indique le rhumatologue. Sa solubilité baissant avec le froid, ces microcristaux se déposent plutôt aux extrémités.»

Ils se forment à la surface des cartilages et de la membrane synoviale des articulations, parfois dans les tendons ou sous la peau… Leur croissance est extrêmement lente.

Le plus souvent, l’hyperuricémie résulte d’une discrète prédisposition génétique à mal éliminer l’acide urique et d’une alimentation qui la favorise. L’hyperuricémie et les dépôts sont asymptomatiques, mais 10 à 15 % des hyperuricémiques font une crise de goutte qui, elle, est douloureuse. Plus l’hyperuricémie est ancienne et élevée, plus le sujet est âgé, et plus le risque de crise s’accroît.

Sauf exception, la goutte se déclare tardivement. Elle touche 4 à 5 fois plus souvent les hommes, surtout après 50 ans. La goutte peut aussi être secondaire à une insuffisance rénale. Chez les femmes très âgées, elle découle souvent de la prise prolongée de diurétiques contre l’hypertension. Elle atteint alors plutôt les mains. Dans cette dernière forme et dans les gouttes sévères apparaissent des tophus, des nodules parfois volumineux, remplis de cristaux d’urate, indolores mais qui peuvent léser les articulations et les os.

«Pour qu’une crise de goutte survienne, il faut qu’un événement fragilise un dépôt, libérant des cristaux dans l’articulation où ils interagissent avec des cellules immunitaires, monocytes-macrophages et polynucléaires. Une réaction inflammatoire se déclenche alors», explique le Pr Frédéric Lioté, rhumatologue (hôpital Lariboisière et Inserm U606, Paris).

L’événement déclencheur peut être un coup, une infection, une fièvre… Parfois juste un repas copieux. L’articulation devient alors rouge, chaude, douloureuse.

«L’accès est si brutal que la plupart des malades peuvent dire précisément à quel moment il s’est déclenché.»

La crise est souvent assez typique pour suggérer le diagnostic au médecin.

«Mais seule la biopsie de l’articulation qui place en évidence les cristaux permet de l’affirmer.»

Les crises de goutte peuvent également toucher la main.Application de glace

 


Les crises de goutte peuvent également toucher la main. Crédits photo : BSIP/SGO / BSIP

Certains malades ne feront qu’un accès ou deux ; pour d’autres, la maladie deviendra chronique, l’intervalle entre les crises diminuant au fil du temps.

«Il faut distinguer le traitement de la crise, qui vise à réduire la douleur, mais ne prévient pas les accès ultérieurs, du traitement de fond de la goutte, destiné à faire disparaître les dépôts en ramenant l’uricémie à la normale, souligne le Pr Pascal Richette (hôpital Lariboisière, Paris). Médicament de référence de la crise d’arthrite goutteuse, la colchicine est d’un usage délicat. Les anti-inflammatoires et les corticoïdes peuvent aussi être utilisés, sauf contre-indications.» Le repos articulaire, l’application de glace soulagent également.

En cas de goutte sévère (atteinte rénale, osseuse, tophus) ou d’accès répétés, un traitement de fond au long cours s’impose pour normaliser l’uricémie.

«Il repose surtout sur l’allopurinol, à utiliser avec précaution, et depuis peu sur un nouveau médicament, le fébuxostat.»

Le traitement repose aussi beaucoup sur la restriction d’aliments favorisant l’hyperuricémie (protéines animales, bière, sodas sucrés…).

Outre ces nouveaux soins, la recherche a aussi apporté une meilleure compréhension de la goutte, maladie inflammatoire intriquée avec le syndrome métabolique, avec le diabète, et qu’on soupçonne depuis peu d’être par elle-même un facteur de risque cardio-vasculaire. Son traitement évoluera donc certainement beaucoup dans les prochaines années vers une prise en charge plus globale des malades.

* Les purines sont un constituant majeur de l’ADN, et aussi de l’ATP, la molécule majeure des échanges d’énergie dans la cellule.

http://sante.lefigaro.fr

Bulles, caviar… et botox


Des soirée Botox, organisées dans des lieux hors des cliniques et hôpitaux ce qui m’a le plus interpelée c’est la réponse d’une des femmes .. «C’est une belle soirée de filles, alors on dirait que ça a moins d’implications» Je trouve cela très inquiétant ce genre de rencontre .. de promouvoir un acte médical dans des soirées mondaines .. La beauté une industrie payante qui ne veut pas que des femmes vieillissent normalement…
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Bulles, caviar… et botox

 

Il y a quelque 55 800 injections de... (Photo: Olivier PontBriand, La Presse)

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Il y a quelque 55 800 injections de Botox réalisées au Canada en 2010, selon la Société internationale de chirurgie plastique et esthétique.

PHOTO: OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE

GABRIELLE DUCHAINE
La Presse

Après les réunions Tupperware, voici les soirées Botox. Le concept, directement importé des chic boulevards de Beverly Hills, gagne en popularité au Québec. Spas et centres de beauté sont de plus en plus nombreux chez nous à organiser des rencontres au cours desquelles les injections hors de prix sont administrées entre une bouchée et un verre dans une ambiance de fête. Des médecins se rendent jusque dans des soirées privées avec leurs seringues. Regard sur cette pratique aussi glamour que contestée.

Jeudi soir. Au quatrième et dernier étage du luxueux Medispa Victoria Park, à Westmount, une quinzaine de femmes dans la trentaine et dans la quarantaine, perchées sur des talons hauts et moulées dans des jupes cigarettes, échangent les plus récents potins. Dans une lumière tamisée, des serveurs en chemise blanche portent en silence des plateaux remplis de verres de vin et de bouchées de toutes sortes: caviar d’aubergine, mini brochettes de tomates, olives et feta, pâtés ou légumes marinés.

Une jeune employée invite les clientes à passer dans un salon chaleureux où des chaises ont été disposées en demi-cercle de manière à faire face à un écran. Elle présente le Dr Andreas Nikolis, plasticien et professeur au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), qui entre sous les applaudissements. Le médecin se lance dans une courte présentation. Qu’est-ce qu’un visage parfait? Quels sont les effets du vieillissement? Comment fonctionnent le Botox et les autres substances injectables? Qu’arrive-t-il lorsqu’on en abuse?

Une jeune femme au visage lisse comme la peau d’une pêche lève la main.

«À quel âge faut-il commencer?»

«Bonne question, répond le plasticien. Ça dépend de chaque personne. À partir du moment où vous avez un défaut qui vous agace, on peut discuter de la meilleure manière de le corriger.»

Sandra Filopoulos, 32 ans, est ici pour ça.

«Je ne suis pas une adepte de la chirurgie plastique et de tous les trucs esthétiques du genre, mais ce soir, c’est différent. Il y a un élément social. On discute, on rigole, on passe du bon temps et, en même temps, on reçoit un traitement.»

La jeune femme, mince, athlétique, le teint hâlé, déteste le pli qui se creuse entre ses sourcils lorsqu’elle les fronce. Ce soir, le médecin va y remédier pendant que ses amies papotent et se font maquiller, masser ou vernir les ongles en attendant leur tour.

Des soirées comme celle-ci, qu’on jurerait tout droit tirées d’une émission de télévision, il s’en organise de plus en plus au Québec. Si leurs détracteurs les accusent de banaliser le recours aux traitements esthétiques – des médecins refusent catégoriquement d’y participer -, leurs défenseurs les voient comme le nec plus ultra de l’industrie.

«C’est inspiré de ce qui se fait déjà dans certains milieux branchés d’Europe et des États-Unis», explique la propriétaire du Barbibelle Spa de Gatineau, Véronique Doray.

Le concept est simple. Des femmes (et parfois quelques hommes), amies ou collègues, se réunissent dans un spa, un centre de beauté ou même à la maison. Elles font venir un traiteur, peut-être un DJ, un massothérapeute ou une esthéticienne et, évidemment, un médecin. Après une courte séance d’information, elles reçoivent tour à tour des injections de Botox (qui coûtent entre 200 et 500 $) ou d’un produit de remplissage dans une atmosphère de 5 à 7. Des femmes d’affaires organisent même ces activités pour leurs clientes, tout comme les hommes amènent leurs clients au hockey.

La clientèle attirée par le côté glamour de la chose est étonnamment variée.

 «J’ai vu ça pour la première fois dans une émission de téléréalité, raconte Nicole*, 46 ans, propriétaire d’un salon de coiffure. Les filles buvaient des martinis et se faisaient botoxer en même temps. Ça avait l’air tellement amusant que j’ai voulu faire comme elles.»

C’était il y a un an et demi. Depuis, elle a organisé une demi-douzaine de soirées privées avec ses amies, ses clientes ou ses employées, parfois dans un spa, parfois à son salon.

«Il faut s’enlever de la tête l’image de la personne plus âgée, riche, qui tente par tous les moyens de garder une allure jeune, dit Mme Dorais, qui offre des soirées Botox, bulles et sushis.

«C’est madame Tout-le-Monde qui y participe. Les clientes sont en moyenne dans la quarantaine et proviennent de tous les milieux. Nous avons des infirmières, des policières et des femmes de carrière.»

Au Medispa Victoria, on reçoit des femmes dont l’âge varie de la vingtaine à la soixantaine. Pour la plupart, elles n’ont jamais reçu de Botox. Ces soirées sont leur première incursion dans le monde des produits injectables.

«Je n’aurais jamais osé prendre rendez-vous avec un médecin pour ça», raconte Sasha*, infirmière de 34 ans qui attend de discuter avec le médecin, un verre de vin rouge dans une main, un croûton tartiné dans l’autre.

«Mais quand mon amie m’a parlé de la soirée, je me suis dit que c’était l’occasion parfaite de comprendre comment ça fonctionne. J’étais curieuse.»

À côté d’elle, Christine*, 43 ans, hoche la tête en signe d’approbation. Pour elle aussi, c’est la première fois.

«C’est une belle soirée de filles, alors on dirait que ça a moins d’implications», dit-elle.

Ce soir, plusieurs participantes se contentent d’une consultation – totalement gratuite – avec le médecin. Dans d’autres événements, toutes les clientes reçoivent tour à tour des injections.

 Des médecins vont jusqu’à l’exiger «pour prévoir le bon nombre de seringues», ou «pour que ça vaille la peine de se déplacer».

«Chez nous, tout dépend de ce que les clientes veulent. On leur organise une soirée sur mesure selon leurs demandes. On peut tout faire. On ferme le spa juste pour leur groupe», explique la directrice du marketing de l’établissement, Kim Marx.

Seul bémol: comme dans plusieurs centres, celles qui reçoivent des injections doivent attendre la fin de l’intervention avant de consommer de l’alcool.

 «Il y a plusieurs raisons pour lesquelles on ne permet pas d’alcool, mais c’est notamment pour que la cliente fasse un choix éclairé, dit le Dr Nikolis. On ne voudrait pas qu’elles se réveillent demain et se disent: mais qu’est-ce que j’ai fait?»

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AILLEURS DANS LE MONDE

Un scandale au Maroc

Le 2 juin, une soirée Botox présentée comme la première du genre en Afrique a fait scandale au Maroc. La soirée, organisée par un citoyen français dans un hôtel luxueux de Marrakech et qui a réuni plus de 400 personnes, s’est attiré les foudres de la communauté médicale. Le président de la Société marocaine de chirurgie esthétique a déclaré à des médias locaux que la soirée était illégale parce que, bien que deux médecins y aient participé, elle avait eu lieu dans un endroit qui n’est pas approprié à la pratique médicale.

«Un hôtel n’est pas un lieu destiné à des actes médicaux et ne dispose pas d’équipements spécialisés. Ces injections peuvent occasionner de graves problèmes ou d’énormes malaises», a-t-il dit.

Des plaintes officielles ont été formulées au Conseil national des médecins (l’équivalent de notre Collège des médecins) et au ministère de la Santé. Loin d’être intimidé, l’organisateur envisagerait une seconde soirée à Casablanca.

À domicile chez les Brits

À Londres, la soirée Botox est devenue une véritable tendance dans ce qu’on appelle là-bas la «génération cosmétique». Les médecins sont nombreux à se rendre à domicile avec leurs seringues et leurs lampes d’appoint pour administrer à la chaîne les coûteuses injections environ 200£ (300$) chacune. Une entreprise organise même des soirées Botox comme on organise des mariages.

«Nous servons les femmes et les hommes, que ce soit à la maison ou dans n’importe autre quel lieu plaisant et relaxant. Nous voyageons partout au pays», annonce Beautique Botox Parties sur son site web.

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LE BOTOX EN CHIFFRES

55 800 Le nombre estimé d’injections de Botox réalisées au Canada en 2010, selon la Société internationale de chirurgie plastique et esthétique.

1% La proportion de patients qui ont recours au Botox et ont éprouvé des désagréments mineurs, selon des chiffres publiés dans le Journal de l’Association médicale canadienne.

15 Le rang du Canada dans la liste des pays où l’on pratique le plus grand nombre d’interventions selon la Société internationale de chirurgie plastique et esthétique.

Combien ça coûte Le prix d’une soirée Botox varie selon l’organisateur et le concept choisi. Généralement, les femmes ne payent que pour les injections, les à-côtés étant offerts par le spa ou le centre de beauté. Certains exigent une somme symbolique de quelques dizaines de dollars payé à l’avance pour s’assurer que toutes les personnes inscrites à la soirée s’y présentent vraiment. Les médecins qui se déplacent à domicile ne facturent souvent aussi que les injections (200 à 500$).

* Noms fictifs

http://www.lapresse.ca

États-Unis Des squelettes vendus aux enchères


Vendre aux enchères des squelettes humains m.apparait un peu étrange surtout qu’ils ne savent pas vraiment qui ils sont … Généralement, les squelettes trouvés font partis des collections du genre musée ou avec l’accord du défunt a son vivant sont laissé a la science .. mais là quoi penser !!
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États-Unis ► Des squelettes vendus aux enchères

 

Des squelettes vendus aux enchères

Crédit photo : capture d’écran CNN

TVA Nouvelles d’après CNN

Vous pouvez trouver beaucoup de choses intéressantes dans une vente aux enchères, même des restes humains.

Une maison de vente aux enchères a mis à l’encan deux squelettes humains, un homme et une femme, en Pennsylvanie, aux États-Unis.


(Crédit photo: capture d’écran, CNN)

Selon l’équipe de Tom’s Hall, il est très rare d’avoir ne serait-ce qu’un seul squelette en si bon état. Alors deux, il y avait de quoi attirer les curieux.

Toutefois, on sait très peu de choses sur les ossements qui auraient une centaine d’années.

«Ils nous ont été offerts par un homme qui collectionne toutes sortes de choses étranges. Il les avait achetés il y a plusieurs années dans une enchère à New York. Avant, les squelettes faisaient partie de la collection d’un entrepreneur funèbre», explique Tom Hall, l’un des encanteurs.

Au final, le squelette de la femme a été vendu pour 950$ et celui de l’homme pour 900$.

http://tvanouvelles.ca