Un peu de poésie sur la neige … surtout qu’elle sera bientôt de retour au pays ..
Nuage
La neige
« Tu sais ce que c’est la neige ?
C’est des bouts de nuage qui tombent. »
Matthieu 4 ans
Beaucoup on aimé mais leur amour peut-être sans s’en rendre compte était fragile .. ne restant que des souvenirs lointain
Nuage
L’amour est si fragile
Quand l’amour est si fragile
Qu’il subit la confusion
De cœur en cœur, il oscille
En risquant la congestion
D’une pluie de tendreté
Débordant jusqu’au déluge
Se noie dans la vanité
Sans trouver aucun refuge
Sur les lèvres oubliées
Se dépose l’illusion
De ses rêves mystifiés
De baisers en migration
Les mains vident et impotents
Au manque du corps aimé
N’a que chagrin dégouttant
D’un esprit tant affamé
Que reste t-il de l’amour
Quand l’iris devenu terne
Efface la magie du jour
Laissant rancœur qui gouverne
Rachel Hubert (Nuage) Saïd
27 Janvier 2005
Perdre un chien après 3 ans .. qui aurait cru qu’un jour il aurait pu rentré a la maison chez ses maitres. C’est quand même fascinant de voir qu’un chien domestique a pu survivre dans l’errance .. étant habitué a être dorloté et nourrit ..
Nuage
Trois ans après la disparition de leur chien Sara, une famille reçoit un appel téléphonique d’une clinique vétérinaire. Sara est vivante et a été retrouvée. Un véritable miracle, et une joie incommensurable pour la famille Riccitti !
Trois ans auparavant, Sara, le chien croisé Border collie de la famille Riccitti, est confié à des amis le temps de leur absence. A leur retour, ces derniers avouent que le chien a disparu.
« C’était l’un des meilleurs chiens que je n’ai jamais vu » témoigne Conner Riccitti, 7 ans.
Affolée et terriblement peinée, la famille se lance à la recherche du chien disparu :
« Nous avons créé des tracts, contacté la humane society et les cliniques vétérinaires, mais on ne l’a jamais retrouvée« .
La famille garde espoir, mais les semaines passent, puis les mois, et le doute commence à s’installer : est-ce qu’un jour ils la reverront ? Une année passe, puis une autre, et l’espoir laisse place à la peine et au deuil et la vie reprend son cours laissant derrière elle Sara, la petite chienne perdue.
Sara, disparue pendant trois ans
Trois années s’écoulent et aucune nouvelle de Sara, jusqu’à un appel téléphonique cet été d’une clinique vétérinaire située dans l’Utah.
Le vétérinaire a trouvé une chienne croisé Border collie. La puce électronique de la chienne a révélé le numéro de téléphone des Riccitti, il n’y a aucun doute, c’est Sara.
La petite chienne avait été trouvée errante au pied du canyon.
Abasourdie, Kristin Riccitti est en état de choc :
« c’était tellement incroyable. J’étais en état de choc. Je n’ai même pas demandé si le chien était en bonne santé ou quoi que se soit, j’ai juste dit « laissez-moi appeler mon mari et voir comment on peut s’arranger »« .
Mais récupérer la chienne atterrie à plus de 1335 kilomètres de son domicile n’est pas chose facile. Kristin se tourne alors vers Facebook pour tenter de trouver un moyen pour faire parvenir la chienne de l’Utah à l’Oregon en organisant un relais-caravane.
Grâce à l’aide du réseau social et de ses amis, Sara retrouve sa famille dimanche 26 août après-midi.Des retrouvailles remplies d’émotions et de caresses et de sourires.
Sara dans les bras de sa famille retrouvée
Que s’est-il passé durant ces trois années d’errance pour la chienne ? Comment a-t-elle fait pour parcourir plus de 1300 kilomètres, nul ne le sait et nul ne le saura probablement jamais et ce n’est pas Sara qui le dira. Mais l’important est que tout la famille soit réunie et que la chienne soit heureuse et en excellente santé !
Certains médicaments ne font pas bon ménage avec le fruit ou le jus de pamplemousse, mais aussi les oranges. On ne sais pas exactement les raisons, mais certains effets indésirables sont observés
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Agence France-Presse
La consommation de pamplemousse «au cours d’un traitement médicamenteux» est fortement déconseillée par la revue médicale française indépendante Prescrire en raison d’interactions possibles avec des «dizaines de médicaments».
Le pamplemousse est connu depuis des années pour agir sur le métabolisme de «nombreux médicaments» avec des effets indésirables graves parfois observés, souligne cette revue dans son numéro de septembre.
Des dizaines de médicaments sont concernés par ces possibles interactions avec l’agrume.
Parmi ceux-ci: les statines contre le cholestérol, les benzodiazépines (tranquillisants), les immunodépresseurs (inhibiteur du système immunitaire) ou encore les inhibiteurs calciques, substances utilisées pour traiter des troubles cardiaques.
«La gravité des quelques observations publiées est à elle seule une bonne raison de ne pas consommer du pamplemousse, notamment du jus de pamplemousse, au cours d’un traitement médicamenteux», juge la revue dans un communiqué.
On ignore les mécanismes précis expliquant ces interactions. De nombreuses substances présentes dans le pamplemousse ont été mises en cause. D’après certaines «hypothèses», le pamplemousse provoquerait l’inhibition d’enzymes qui habituellement métabolisent les médicaments, conduisant à des risques de surdosage.
Dans d’autres cas, plus rares, on observe au contraire une diminution de la concentration de substances médicamenteuses dans le sang, ce qui nuit à l’efficacité du produit.
Les effets indésirables observés peuvent être graves: destruction musculaire (rhabdomyolyse), insuffisance rénale aiguë, tremblements invalidants, chocs hémorragiques, avec «parfois une évolution mortelle», selon la revue.
Alors que le rôle potentiellement perturbateur du pamplemousse est connu depuis des années, des travaux plus récents indiquent que d’autres jus, notamment le jus d’orange, pourraient également exposer à des effets indésirables de médicaments, selon cette revue connue pour donner des évaluations indépendantes sur les nouveaux médicaments.
Les interactions avec les aliments, lorsqu’elles existent, sont toutefois clairement indiquées dans les notices des médicaments en question. Celles-ci mentionnent les aliments à éviter et la nature du risque encouru.
En outre, il appartient au médecin et au pharmacien de mettre en garde le patient contre d’éventuelles interactions alimentaires.
Des mauvaises langues ou bien par légendes urbaines ont donné une mauvaises réputation a la gomme à mâcher .. Par contre, comme dans toute chose a mon avis … la modération en matière de machouillage de gomme est une bonne idée
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TONY ALAN ANDERS/SUPERSTOCK/SIPA
Coupe-faim ou responsable d’aérophagie… Les idées reçues concernant le chewing-gum ne manquent pas. Et alors que, selon certaines données du ministère de l’agriculture citées par Le Parisien ce mercredi, la gomme à mâcher ferait de moins en moins recette, ces idées semblent persister. Vraies ou fausses? 20 Minutes en a soumis quelques-unes à Marc Bellaiche, pédiatre gastro-entérologue au CHU Robert Debré et Jacques Denis, gastro-entérologue à l’hôpital Sud Francilien
Le chewing-gum agit comme un coupe-faim
Jacques Denis: Dans la mesure où mâcher un chewing-gum crée la sensation artificielle de manger, oui, cela peut agir comme un coupe-faim.
Marc Bellaiche: Pour ceux qui ont besoin de mastiquer pour éviter de grignoter, et dans la mesure où il s’agit de chewing-gum sans sucre, oui cela peut en effet jouer ce rôle.
Est-ce que ça fait perdre du poids?
Jacques Denis: Ce n’est pas le but. Et puis, une consommation importante de chewing-gums sans sucre peut entraîner des diarrhées. Mais cela n’aura pas d’effet sur la perte de poids.
Marc Bellaiche: Je ne connais pas d’étude allant dans ce sens… Ce qui est sûr, c’est que nous déconseillons le chewing-gum pour des enfants en surpoids. Cela pourra occasionner des ballonnements chez les enfants qui en mangent jusqu’à cinq à six en une matinée.
Le chewing-gum est responsable d’aérophagie
Marc Bellaiche: Oui, mâcher du chewing-gum peut entraîner des douleurs abdominales et causer des ballonnements. C’est donc un élément favorisant l’aérophagie.
Jacques Denis: En mâchant du chewing-gum, l’estomac ne fabrique pas de gaz, mais on peut avaler de l’air en mastiquant. Donc oui, cela me semble possible.
Il ne faut pas les avaler
Jacques Denis: Autrefois, on disait que ça allait coller les boyaux… Mais je ne crois pas que le fait de les avaler soit très grave, non.
Marc Bellaiche: En avaler un ou deux, pour les enfants, ce n’est pas trop grave… Mais si c’est plus, il peut se former un conglomérat de chewing-gum. Une sorte de corps étranger qui se crée dans le tube digestif, comme un Bezoard J’ai déjà eu le cas deux fois et c’est assez sportif à extraire.
Le chewing-gum sans sucre, c’est bon pour les dents
Marc Bellaiche: Non, je ne pense pas. En revanche, ceux enrichis au fluor peuvent avoir un effet bénéfique pour les enfants.
Jacques Denis : Je ne pense pas que ce soit mauvais pour les dents. Notamment grâce à l’effet de salivation et donc de lavage que cela produit.
Il favorise les ulcères
Marc Bellaiche: Non ça ne les favorise pas.
Jacques Denis: Non, pas du tout… 90% des ulcères sont liés à une bactérie dans l’estomac.
Marc Bellaiche: Alors là, ça m’intéresserait beaucoup d’avoir des infos là-dessus. Mais j’avoue ne pas avoir tellement d’éléments sur ce sujet…
Mathieu Gruel
Pourraient-on dans un avenir rapprocher avoir des résultats fiables via un téléphone intelligent grâce a une application pour certaines maladies graves tel que le Sida. Imaginez la possibilité que cela pourrait offrir dans les pays les plus pauvres et ou le VIH sévit en grand nombres ..
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Représentation du virus qui s’attaque à une cellule lymphocyte T4 Photo : Getty
Des chercheurs sud-africains et sud-coréens travaillent sur un projet de téléphone intelligent capable d’effectuer des tests du sida. Il pourrait se révéler particulièrement utile dans les zones rurales d’Afrique, les plus touchées par la pandémie, et souvent les plus éloignées des laboratoires.
L’équipe a développé un microscope et une application qui photographiera puis analysera des échantillons sanguins. Le téléphone pourra ainsi diagnostiquer le sida et même évaluer l’état du système immunitaire des patients.
Cette innovation, baptisée Smartscope, est composée d’un minuscule microscope mesurant à peine 1 millimètre couplé à une source lumineuse qui se fixent par-dessus de la camera du mobile. Il suffit ensuite de positionner devant le microscope une plaque standard avec un échantillon de sang. L’application photographie alors l’échantillon avant d’en analyser les cellules.
« La fonction essentielle du Smartcope est de déterminer le nombre de CD4 pour faire le diagnostic », a précisé Jung Kyung Kim, professeur en ingénierie biomédicale à l’Université Kookmin en Corée du Sud.
L’application sera ainsi capable de mesurer sur le champ le taux des cellules CD4 – les cellules blanches – qui permet de déterminer si le traitement antiviral doit commencer ou pas.
L’équipe espère que des essais cliniques pourront démarrer dès l’an prochain, a indiqué le chercheur sud-coréen. Cette nouvelle technologie permettrait d’offrir un test du sida aux populations isolées d’Afrique du Sud et du Swaziland, où les centres de santé sont souvent dépourvus de moyens pour diagnostiquer la maladie.
Près de six millions de Sud-Africains sont porteurs du virus VIH, soit 12 % de la population. Au Swaziland, un quart des adultes sont malades du Sida.
« Dans le monde de la médecine, la technologie mobile n’est pas un gadget. Elle devient un élément essentiel pour l’accessibilité » aux soins, a déclaré le professeur Jannie Hugo, qui dirige le département de médecine de la famille à l’Université de Pretoria, partenaire de cette étude.
Un prototype différent de téléphone intelligent a été expérimenté aux États-Unis, mais les tests devaient être envoyés sur un ordinateur pour être analysés.
C’est important de parler avec l’enfant de la cyberintimidation et de parler des conséquences mais ce qui me turlupine c’est que nous sommes guère mieux .. En ce temps des élections qu’est ce que nous faisons ..sur Facebook ou ailleurs … des images choquantes, des propos grotesques si ce n’est pas de la cyberintimidation, je ne sais pas ce que c’est … ???? et ce n’est pas juste avec les personnages politiques mais aussi avec ceux qui font les nouvelles et que nous n’aimons pas … Alors sommes nous un exemple a suivre ?
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MAUDE CHAUVIN
Par Mylène Tremblay,
16 h 30. La Commission scolaire de la Rivière-du-Nord reçoit un coup de fil alarmant. Alertée par le Service de police de la Ville de Montréal, qui surveille les réseaux sociaux, la police de Saint-Jérôme l’informe d’un complot. Sur sa page Facebook, un de ses élèves propose à ses 839 visiteurs d’inscrire le nom des profs qui méritent la mort – et de quelle manière! Date d’exécution : le 13 octobre. Nous sommes le 12! L’instigateur, qui étudie à l’École secondaire des Hauts-Sommets, est arrêté sur-le-champ. Tous les représentants de l’école sont convoqués d’urgence. Bilan : 25 jeunes des Hauts-Sommets écopent de trois jours de suspension pour être devenus « ami », avoir émis un commentaire (bonhomme sourire compris), ou simplement cliqué sur « J’aime ». Leurs parents doivent participer à une formation sur la cyberintimidation. Et pour être réadmis, les jeunes doivent participer avec leurs parents.
Courriels et textos menaçants, photos, commentaires embarrassants postés sur les réseaux sociaux… tout message virtuel qui a pour but de ridiculiser des camarades de classe porte ce nom.
« La cyberintimidation, c’est de l’intimidation sur la place publique par des gens trop innocents pour se rendre compte que tout le monde les voit », commente Marc St-Pierre, directeur général adjoint à Commission scolaire de la Rivière-du-Nord.
Et ses ravages sont plus désastreux encore. En un clic, 200 personnes sont incitées à croire qu’une telle est « une conne »… « L’information » voyage de façon exponentielle et suit la victime jusque dans le confort de sa chambre à coucher.
Le phénomène est si récent que les écoles peinent à suivre. Doivent-elles interdire les cellulaires, iPod et cie? Bloquer l’accès aux réseaux sociaux? Comment baliser les comportements sur Internet et quelles stratégies d’intervention adopter?
« Ces questions nous prennent de court, Sophie Bourque, conseillère pédagogique à la Commission scolaire de Montréal. Le milieu scolaire commence tout juste à apprivoiser les nouvelles technologies. »
D’un côté, il y a les jeunes branchés qui baignent dedans depuis leur première dent, de l’autre, les adultes déconnectés. Les premiers communiquent par la voie des réseaux sociaux, les seconds les perçoivent comme un danger lancinant.
Si ces réseaux s’avèrent un formidable outil de reconnaissance qui brise l’isolement, beaucoup d’éducation reste à faire. À commencer par expliquer aux jeunes que Facebook n’est pas un espace privé. On ne peut pas y dire n’importe quoi !
« Les jeunes ont une responsabilité, au même titre que lorsqu’ils sont dans la rue, avance Marc St-Pierre. Et si la cyberintimidation survient à la maison et que ses impacts se font sentir à l’école, bien sûr qu’on doit s’en occuper! »
En plus d’apprendre aux jeunes les habiletés sociales, on aurait intérêt à développer chez eux l’empathie, une éthique personnelle et à faire appel à leurs valeurs, insiste Sophie Bourque.
« Il faut les amener à se demander : “Ce que j’écris risque-t-il de nuire à quelqu’un ou de le blesser? Est-ce que ça contrevient aux lois?” »
Sans l’appui des parents, l’école ne pourra pas vaincre le fléau. Un conseil : négocier le temps passé en ligne. Surveiller ce qui se passe, justement, dans le confort de la chambre à coucher…