Parole d’enfant ► La grippe A


Comme on ne sais plus comment nommer les maladies .. on utilise souvent des lettres et des chiffres … Alors la question se pose bien
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La grippe A

 

 

 

« Est-ce que les autres grippes de l’alphabet sont aussi dangereuses que la grippe A ? » »

Maëlys 5 ans

Ne me dis pas


Ce poème est triste, je sais ! Mais c’est ceux que je préfère sans pour autant être moi-même en détresse émotionnelle. C’est peut-être un moyen pour moi de rester positive le fait d’écrire des poèmes sombres .. comme couché sur papier au lieu de les vivre
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Ne me dis pas

 

 

De cette vie, ne me dis pas
Quand dois-je passer à trépas
Mais lorsque la sève du corps
Fuit sans aucun bride ni mors

Le corps à son dernier soupir
Oubli tous ses désirs fervents

Ma place demeurera vide
Parmi la foule si aride
Offrant une scène aux remords
Sur l’inanité des efforts
 
Quand la voile brisant le zéphyr
Pourquoi aller à contrevent ?

Et tu penses que mon passeport
Corrigerait en bien mon sort
Où qu’un simple séjour peut-être
Ouvrira grandes les fenêtres

Ne me dis pas d’être patient
Et puis, que vienne mon destin

Tu ne peux compter les étoiles
Sans que cette vie se dévoile
Puis le ciel s’ouvrira aux anges
Psalmodiant quelques airs étranges 

L’iris de tes yeux est méfiant 
À la lueur de ton écrin

Non, ne me parle plus des rêves 
Mon envie est que tout s’achève
Car comment renaître des cendres
Et laisser après les méandres

Va-t-en, laisse moi regretter
Avant que ma nostalgie sombre
 
J ai greloté sous mes décombre
Pour me consoler de mon ombre
Il s’est plié pour me couver
De mon fiel, il s’est abreuvé

Alors, laisse moi vivoter
Tout au fond des noires pénombres

Rachel Hubert (Nuage) Saïd
1 Décembre 2004

L’instinct médical des animaux ►Quand les animaux se soignent..


Les animaux ont leur propre pharmacie et savent par instinct quoi faire en cas de nécessité. D’où l’importance de préserver cette nature pour qu’elle puisse continuer a soigné les animaux et a nous de mieux comprendre cette flore médicinale
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L’instinct médical des animaux  ►Quand les animaux se soignent..

 

 

Afin d’accélérer l’accouchement de leur bébé dont la gestation touche à sa fin, les éléphantes d’Afrique mangent des arbustes de la famille des boraginaceae

Beaucoup d’animaux semblent savoir comment s’y prendre pour guérir leurs maux, et ce, sans avoir besoin d’un médecin ni du pharmacien. À l’état sauvage, la faune dispose des vastes ressources de la nature pour se débarasser des parasites, pour panser les plaies, pour éliminer les bactérie set pour conserver une santé robuste.

 

hippopotame dans un bain de boue

Manger de la terre se rouler dedans pour conserver la santé ?  Il semblerait que cela soit une bonne idée, car plusieurs animaux le font L’argile surtout possède des vertus qui lui permettent, entre autres, de neutraliser les bactéries pathogènes intestinales et leur toxines et de soulager les maux d’estomac ainsi que la diarrhée.

Les chimpanzés et les gorilles des montagnes consomment de l’argile pour tous ces problèmes.  Cette terre appliquée sur le corps, élimine de nombreux parasites accrochés à la peau.

Les hippopotames, quant à eux, se roulent dedans.

Pour leur part, certains éléphant se rendent à un volcan éteint, à l’ouest du Kenya, où se trouvent de grandes cavernes. Ils y grattent la pierre tendre sur les murs pour l’ingérer. C‘est que cette pierre contient du sodium (100 fois plus que dans les plantes), du potassium, du calcium, des ingrédients importants pour défendre leur organisme contre les toxines qui se trouvent souvent dans les plantes mangées par ces géants herbivores.


Certaines espèces de perroquets et d’aras en Amérique du Sud grignotent le sol ayant une haute teneur en kaolin. Avaler ce minerai leur permet de contrer l’effet des poisons qui se trouvent parfois dans les semences des fruits que mangent ces animaux colorés

Les bibittes thérapeutiques


 
milles pattes

Les singes capucins ont compris que les mille-pattes est leur ami Pour se débarrasser des parasites dans leur fourure, ils se frottent au mille-pattes. Celui-ci contient des benzoquinones, des substances chimiques qui tuent les autres insectes.

Certains termites et fourmis émettent de l’acide formique, une substance parfaite pour éliminer les poux.

Les oiseaux, les écureuils, les chats et certains primates se roulent dans des colonies de ces insectes afin de se débarrasser des parasites.

Une salade curative

Les papillons monarques utilisent des plantes médicinales pour se guérir

Pour contrôler les infestations d’acariens, de poux et de bactéries dans leur nid. les étourneaux recouvrent son sol de plantes comme les carotte sauvage, l’achillée millefeuille et l’aigremoine eupatoire. Ces dernières contiennent des substances nocives au développement  de ces minuscules parasites.

Afin d’accélérer l’accouchement de leur bébé dont la gestation touche a sa fin, les éléphantes d’Afrique mangent des arbustes de la famille des boraginaceae Les feuilles de ces plantes ont des vertus qui facilitent la mise à bas, même chez les humains

Les papillons monarques utilisent des plantes médicinales pour se guérir, eux et leur progéniture, d’une maladie provoquée par un parasite intestinal.La consommation de certaines espèces de laiteron, par exemple,  contribue à réduire l’infection parasitaire du monarque.

Le singe-araignée, dans la nature, a trouvé une plante médicinale qui dégage une forte odeur, mais dont les feuilles soulagent la peau irrité lorsqu’il se frotte à elles.

Des dattes qui nettoient

Des babouins autour de la chute Awash en Éthiophie, ont découvert que la consommation de dattes du désert les aidait  à se débarrasser d’un ver, surtout trouvé dans les escargots qui parasite leur organisme. Comme ces fruits repoussent les escargots, les babouins ont peut-être remarqué que les manger chassait le ver parasitaire de leur organisme. Et c’est le cas.

Souffler le chaud et le froid

Bien à l’abri, les animaux lèchent leur plaies pour les nettoyer, mais aussi pour utiliser les principes de l’hydrothérapie, bien connus des amateurs de spa scandinave. Leur salive refroidit la plaie, réduisant ainsi l’inflammation.

En exposant ensuite les blessure au soleil, l’animal utilise la chaleur pour dilater les tissus, favoriser la circulation du sang et les échanges cellulaires. Il contribue ainsi à la guérison de son bobo.

Les chiens et le rat musqué sont les animaux que l’on voit le plus souvent utilisé cette  technique.

Des fruits interdits

Les éléphants savent détecté la présence de fruits du marula qui ont bien fermenté au sol, parfois même à une distance de 10 km. Ils accourent sur place pour les manger, comme s’il allaient a un 5 à 7 branché. Les éléphants semblent aimer l’effet de l’alcool dans ces fruits.

Selon, les recherches., ils soulageraient leur stress, mais leur donneraient également une riche dose de calories supplémentaires lors que la nourriture se fait rare.

La santé par la diversité

Les humains auraient quelques chose à apprendre des chimpanzés qui a une résistance beaucoup plus grande aux infections qu’eux. Alors que le chimpanzé, dans la nature, mange 123 variétés de plantes en une année, même le plus végétarien des humains en consommera tout au plus de 20 à 30.

En fait, 75 % de l’approvisionnement alimentaire de l’humanité provient de seulement 12 cultures.

 

La Semaine/Tout Connaître/Grand reportage/ Paul Therrien/ Juillet 2012

Les bienfaits méconnus de l’éternuement


Atchoum !! Excusez-moi, non je ne suis pas malade !! L’éternuement pour une personne en santé aide a nettoyer la flore nasale et revigore un peu la circulation pour mieux oxygéné. Ces découvertes pourront peut-être améliorer certains traitements de ceux qui par exemple font des sinusites chroniques
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Les bienfaits méconnus de l’éternuement

 

Centers for Disease Control – digital version copyright Science Faction/© Centers for Disease Control – digital version copyright Science Faction/Science Faction/Corbis

L’éternuement permet aussi d’expulser des particules pathogènes ou toxiques.

Par Yves Miserey

L’expiration brutale réactive les cellules nasales qui purifient l’air inhalé.

Des picotements fusent subitement dans tout le haut du nez «Atchoum!» Rien à faire, ça va recommencer. «Aaaaatchoum!» Mais pourquoi diable éternue-t-on lorsque l’on n’est pas malade? Selon des chercheurs de l’université de Pennsylvanie (États-Unis), cette explosion irrépressible ne permet pas seulement de chasser les particules et autres pathogènes qui peuvent encombrer le conduit nasal. Elle a une autre fonction, jusqu’alors insoupçonnée. En provoquant une surpression à l’intérieur des poumons jusqu’au nez, l’expiration brutale d’air redynamise le système de circulation du mucus chargé de piéger les poussières et de les éliminer (The FASEB Journal, août 2012).

Quand votre ordinateur commence à ramer, vous l’éteignez. Quand vous le redémarrez, il marche mieux. L’éternuement est un peu le Crtl Alt Suppr du système respiratoire, il relance la machine, résume Noam Cohen qui a piloté les expériences de laboratoire conduites par son équipe. C’est une fonction de secours et de maintenance du système respiratoire.

Dans des conditions normales, l’air inhalé est purifié avant d’arriver dans les alvéoles, là où s’effectuent les échanges gazeux (oxygène contre gaz carbonique).

Les poils du nez ont un rôle très secondaire, ils ne retiennent que les grosses poussières. Le nettoyage de fond est assuré par deux types de cellules qui tapissent les parois de toute la tuyauterie en amont: nez, trachée et bronches. D’abord, les cellules épithéliales qui produisent les sécrétions visqueuses (le mucus). Elles piègent les poussières et empêchent le dessèchement des parois. Ensuite, les cellules ciliées qui font glisser le mucus chargé d’impuretés comme un tapis roulant vers la bouche ou les narines. Chacune de ces cellules compte une centaine de poils microscopiques équipés à leur extrémité de crochets. Soumis à des battements fréquents, les cils agrippent le mucus et le font remonter vers la sortie en se détendant comme des fouets. En hiver, e mécanisme est ralenti par le froid, ce qui favorise les rhumes.

«Une piste thérapeutique»

 

L’éternuement se produit quand le système de purification commence à dysfonctionner. Les chercheurs l’ont découvert en cultivant en laboratoire des cellules ciliées prélevées dans le nez de souris et d’humains.

«L’opération n’est pas douloureuse et la culture est facile», précise Christelle Coraux, spécialiste de l’épithélium respiratoire à l’Inserm (Reims).

En soumettant ces cellules aux mêmes conditions de pression que celles provoquées lors d’un éternuement (énergie et durée), ils ont constaté une augmentation de la fréquence des battements. Cette dernière est activée par la production de plusieurs molécules spécifiques que les chercheurs américains ont retrouvées dans des concentrations élevées chez des personnes venant juste d’éternuer. Finalement, si certaines personnes éternuent souvent, c’est parce que leurs éternuements ne sont pas efficaces.

«Mettre des gouttes de ces molécules dans le nez pourrait constituer une piste thérapeutique», concluent Noam Cohen et son équipe.

«Les éternuements allergiques relèvent d’un autre processus, souligne de son côté Christelle Coraux. Et pour les pathologies plus lourdes, la piste des cellules souches épithéliales est la plus sérieuse».


De bonnes bactéries contre la sinusite chronique

 

La sinusite chronique est une pathologie très invalidante. Caractérisée par une inflammation des sinus pendant plus de douze semaines, elle entraîne une grande fatigue et peut conduire à la dépression. Les traitements actuels comprennent des anti-inflammatoires et des antibiotiques. Des chercheurs de l’université de San Francisco tablent sur une autre stratégie thérapeutique.

Au lieu de cibler et d’éliminer les bactéries à l’origine de l’infection, ils envisagent d’intervenir sur la flore nasale des personnes atteintes  de sinusite chronique en introduisant  de bonnes bactéries. En effet, grâce aux nouvelles techniques d’analyses d’ADN,  ils ont découvert en abondance, sur les parois nasales des personnes saines,  des bactéries produisant de l’acide lactique (Lactobacillus sakei). À l’inverse, la flore nasale bactérienne de toutes  les personnes atteintes de sinusite chronique s’est révélée très pauvre.  Les lactobacilles y sont presque inexistants. Une bactérie appartenant au genre Corynebacterium est en revanche largement dominante.  Cette dernière, peut-être à l’origine  de la sinusite selon les chercheurs, ne se trouve quasiment pas dans le nez des personnes saines car elle est inhibée par les lactobacilles… La manipulation des communautés microbiennes constitue une piste thérapeutique sérieuse pour un autre organe clé des humains: l’intestin.

http://sante.lefigaro.fr

Un nouveau type de dinosaure découvert en France


Un autre fossile inconnu a été découvert depuis quelques années mais annoncé que maintenant .. Ce nouveau venu un herbivore viens s’ajouter a cette riche famille des animaux de la préhistoire ..
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Un nouveau type de dinosaure découvert en France

 

Des paléontologues nettoient les restes fossilisés du nouveau type de dinosaure, baptisé Atsinganosaurus velauciensis.

PHOTO: AFP

Agence France-Presse
MARSEILLE

Des paléontologues ont découvert un nouveau type de dinosaure, vieux de 75 millions d’années, au cours de fouilles entamées en 2002 dans les collines de la commune de Velaux, près d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône, sud-est de la France), a-t-on appris cette semaine auprès de la municipalité.

Sur ce site de 300 mètres carrés, propriété du conseil général, au potentiel mis à jour en 1993, les chercheurs ont réalisé trois opérations -en 2002, 2009 et 2012- en toute discrétion afin d’empêcher d’éventuels pillages.

Baptisée «Atsinganosaurus velauciensis» (dinosaure tzigane) du fait de ses affinités avec ses cousins de Roumanie, cette nouvelle espèce fait partie de la famille des titanosaures, dont trois autres genres avaient jusqu’ici été recensés en Europe.

«Nous avons retrouvé plus de 70% du squelette de l’animal, mais pas le crâne malheureusement. Nous allons pouvoir en réaliser une reconstitution fidèle», souligne Géraldine Garcia, de l’université de Poitiers (centre-ouest), qui a effectué les recherches en collaboration avec l’Institut royal des sciences naturelles de Bruxelles.

Selon les premiers éléments, cet herbivore, aux petites dents en forme de cylindre, mesurait 12 mètres de long pour une constitution «gracile».

Sur le même site, de nombreux autres fossiles ont été découverts, tous datant de la période du Crétacé supérieur, il y a 75 millions d’années, juste avant l’extinction des dinosaures. Parmi lesquels un crâne de crocodile, des carapaces et plastrons de tortues, ainsi que des ossements d’autres dinosaures (Ankylosaure, Rhabdodon, etc.).

«Ces carcasses enchevêtrées les unes aux autres ont été transportées à faible courant, d’où leur état de conservation assez exceptionnel», précise Mme Garcia.

Les ossements seront analysés à Poitiers et Bruxelles avant d’être confiés au musée appartenant à la ville de Velaux.

http://www.lapresse.ca

Non aux produits fabriqués par les enfants!


C’est inadmissible que des enfants soient sur le marché du travail au lieu de vivre leur vie d’enfant .. Inadmissible que nous profitons de ce travail qui est souvent dans des conditions pitoyables . Mais comment faire pour ne pas encourager cette situation quand il n’est inscrit nullement qui a fait les articles vendus .. Peut-être que les entreprises ne devraient pas se fournir au près de ces compagnies qui utilisent des enfants ..
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Non aux produits fabriqués par les enfants!

 

Non aux produits fabriqués par les enfants!

Dans certains pays, des enfants sont forcés à travailler dans un environnement sale et dangereux.|Photo: AFP/Archives

Les consommateurs canadiens sont plus enclins à débourser davantage d’argent pour un produit s’ils ont l’assurance qu’il n’a pas été fabriqué par un enfant, révèle un sondage Ipsos Reid commandé par Vision Mondiale.

L’enquête d’opinions indique qu’environ sept personnes sur dix sont prêtes à dépenser quelque 16 % de plus pour un produit exempt de toute implication d’une main-d’œuvre enfantine.

Toutefois, le sondage indique que 40% des répondants ignorent que, dans certains pays, des enfants sont forcés à travailler dans un environnement sale et dangereux, et dans des conditions dégradantes.

«Nous savons que la demande pour des biens bon marché alimente l’horrible crime qu’est l’exploitation des enfants. Au moment où je prépare la rentrée scolaire pour mes enfants et que je jongle avec leurs besoins, j’ai une pensée pour les enfants dans les autres pays», a relaté Cheryl Hotchkiss, de Vision Mondiale.

Le sondage révèle aussi que plus de 90% des Canadiens se disent prêts à encourager les entreprises qui garantissent que les produits n’ont pas été fabriqués par des enfants exploités.

Vision Mondiale estime que 126 millions d’enfants dans le monde travaillent dans des conditions dangereuses. Le sondage a été mené du 30 juillet au 3 août auprès de 1047 Canadiens.

http://fr.canoe.ca

«Ne pas ouvrir avant 2012» Un mystérieux paquet révèle son contenu


Un colis mystérieux qui devait être ouverte qu’aujourd’hui .. un colis provenant du siècle dernier. Secret dévoilée ? Trésor ? Ce qui est surprenant c’est que le voeu de ce monsieur d’attendre 100 ans a été exaucé a la lettre …
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«Ne pas ouvrir avant 2012» Un mystérieux paquet révèle son contenu

TVA Nouvelles

Crédit photo : gracieuseté, Verdens Gang

Scellé il y a près de 100 ans et précieusement conservé depuis dans un musée de la petite ville d’Otta en Norvège, un mystérieux colis a finalement été ouvert vendredi, rapporte le quotidien français le Nouvel Observateur.

Sur le paquet, on pouvait lire la mention «26 août 1912, ne pas ouvrir avant 2012, signé Johan Nygaard». Jauni par le temps et pesant un peu plus de 3 kg, le colis a été conservé précieusement au musée d’Otta, à 300 km au nord d’Oslo.

Survivant à deux guerres mondiales, égaré pendant des travaux, puis retrouvé, le paquet aura traversé le 20e siècle, sans jamais avoir été ouvert, respectant la mention figurant sur son emballage. Pendant 100 ans, le contenu du paquet est resté un mystère.


(Crédit photo: gracieuseté, Verdens Gang)

Dans une salle pleine à craquer, le fameux colis a finalement été ouvert: une lettre, deux étoffes ressemblant à un drapeau et une bannière, de nombreuses coupures de presse d’époque et plusieurs carnets de notes.

Pas de fabuleux trésors ni de mystérieux secrets, toutefois, de quoi amuser les conservateurs du musée pour les prochaines semaines à venir.

 

http://tvanouvelles.ca

MARIÉE | NOYADE Emportée par sa robe mouillée


Une mort bien triste, une noyade qui n’aurait pas du arriver mais qui aurait penser qu’une robe de mariée pouvait entrainer a une noyage a cause du poids de l’eau qui s’imbibe dans la robe ? Elle qui voulait un souvenir inoubliable mais laissera une famille, un mari dévasté
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MARIÉE | NOYADE Emportée par sa robe mouillée

 

Maria Pantazopoulos a perdu la vie malgré les efforts pour la sauver

 

Crédit photo : Courtoisie

Maria Pantazopoulos est morte noyée à Rawdon.

« Je n’en peux plus, c’est trop lourd. » Vêtue de sa robe de mariée gorgée d’eau, Maria Pantazopoulos a ­prononcé ces derniers mots avant de lâcher son sauveteur.

Ces mots, elle les a adressés vendredi à l’un de ceux qui ont tenté en vain de lui porter secours dans les eaux de la rivière Ouareau, à ­Rawdon : Louis Pagakis.

« Maria a dit : Louis, je n’en peux plus, c’est trop lourd, et elle a lâché Louis. Lui, il a replongé, mais il ne pouvait plus la trouver dans l’eau », rapporte Anouk Benzacar, la conjointe du photographe et ami de la victime.

Était-elle trop fatiguée pour continuer de se battre ou ne voulait-elle pas entraîner son ami dans mort, on ne le saura jamais.

Fortement ébranlé par le drame et ne voulant pas s’approprier la tragédie, M. Pagakis a confié à sa conjointe le soin de répondre aux questions des médias hier.

Nouvellement mariée, Mme Pantazopoulos souhaitait garder des clichés hors de l’ordinaire de sa robe en ­l’absence de son nouvel époux. Pour ce faire, elle a retenu les services de M. Pagakis.

La jeune épouse posait drapée de sa robe dans à peine quelques centimètres d’eau ­vendredi à Rawdon lorsque la journée a viré au drame.

Des photos en flottant

« À un certain moment, elle lui a dit : Je veux que tu prennes quelques photos de moi en flottant », explique Mme Benzacar.

La jeune femme s’est étendue dans l’eau très peu ­profonde, non loin de la berge.

Mais son visage s’est rapidement assombri, relate Mme Benzacar. La robe s’imbibait d’eau. Elle entraînait Mme Pantazopoulos vers le fond.

M. Pakagis est allé à l’eau pour l’aider, croyant simplement qu’elle avait de la ­difficulté à se relever.

Mais voilà que Mme Pantazopoulos avait ­dérivé légèrement. Juste assez pour être désormais à un endroit où elle ne touchait plus le fond. La panique s’est emparée d’elle alors que M. Pagakis venait à son secours.

« Elle criait, elle le tenait (M. Pagakis) ­autour du cou. Elle l’a griffé. Elle essayait à tout prix de rester à la surface, raconte Mme Benzacar.

Il a essayé de nager avec elle, mais elle le faisait couler. Elle était trop lourde. Il ne pouvait plus respirer.

« Encore quelques secondes et il aurait pu se noyer », laisse-t-elle tomber.

C’est alors qu’elle a lâché prise.

M. Pagakis a continuer à la chercher ­désespérément.

Un passant est venu lui prêter main forte. C’était peine perdue. Mme Pantazopoulos avait disparu dans les eaux.

Geste héroïque

« La plupart du temps, les gens n’entrent pas dans l’eau. Ils ont peur de se noyer eux aussi. C’est vraiment héroïque ce que Louis a fait », affirme-t-elle.

« Il a tout fait ce qu’il pouvait. C’est vraiment juste un accident », assure Mme Benzacar.

« Les photographes, les passants et nous, tout le monde a tout tenté ici (Rawdon), mais en vain. On est super attristé de ça. On a donné notre 100 %», acquiesce Jean-Michel Masse, de la Sûreté du Québec.

Arrivé sur place peu après, il a pris la ­relève de M. Pagakis.

Elle a coulé à pic

« On sort cette fille-là, il n’est pas question qu’on parte d’ici sans elle. »

C’est ce que M. Masse a dit à sa coéquipière lorsqu’ils sont arrivés sur les lieux. Il a retiré son uniforme, puis sauté à l’eau. D’autres agents l’ont suivi.

« On avait peur pour nos vies. Les roches étaient glissantes et coupantes et on ne savait pas s’il y avait un courant de fond qui allait nous emporter sur les roches », lance-t-il.

M. Masse a ratissé le plan d’eau pendant près de deux heures. Rien à faire, lui et ses collègues ne parvenaient pas à la localiser, à leur grand désarroi.

C’est que Mme Pantazopoulos avait coulé à pic dans la partie la plus profonde du plan d’eau. La robe imbibée aurait pesé plus d’une centaine de livres.

« Toute une enclume ça, précise M. Masse. Et on ne pouvait pas nager jusque dans le fond », regrette-t-il.

C’est finalement un plongeur qui a récupéré le corps inanimé de la nouvelle épouse.

« Les gens qui viennent en aide sont aussi des êtres humains. On oublie ça parfois. On voudrait remercier ceux qui ont essayé de la sauver », insiste Leeza Pouhoulidis, une amie de la famille Pantazopoulos.

http://www.journaldemontreal.com