Silence


Il souvent qu’on garde des rancunes, des petites choses qui nous dérangent au plus profond de nous-même, mais quand la goutte déborde que ce soit une amitié de longue date ou bien un couple qui pourtant paraissait si uni éclate et c’est la déchirure
Nuage

 

Silence

 

Je n’entends que le silence
Et le vide de l’absence
Au désert de l’abandon
Où germe que le chardon

Il n’a suffi qu’un moment
L’éclair d’un frissonnement
À l’ombre de ta froideur
Qu’apparaisse la laideur

Le temps semble s’arrêter
Que le vent pour tourmenter
Ton corps ressemble à la mort
Dans tes yeux nul réconfort

Tu veux partir
Je veux rester
Ou bien le contraire
Tu veux rester
Je veux partir
Je ne sais plus

Que reste-t-il des espoirs
Imaginés tard le soir
Qu’une sombre fumée grise
De la vie qui agonise

La page doit se retourner
Non ! Cesse de sermonner
La route ici, se découpe
Ainsi mon cœur s’entrecoupe

Récupère ta vie
Redonne-moi ma vie
Et fais-moi tes adieux
Et je quitte les lieux

Rachel Hubert (Nuage) Saïd
24 Août 2004

Le saviez-vous ► Le jeu de séduction des animaux


La séduction, pour conquérir l’âme soeur pour le temps d’accouplement ou le temps d’une vie. Chacun a sa façon de séduire mais cela viens a peu près la même chose pour l’être humain alors que les animaux, c’est selon leur espèce
Nuage

 

Le  jeu de séduction des animaux

 

 

Il y a presque autant de méthodes pour charmer l’être convoité que d’espèces dans le règne animal. L’évolution de la vie et la nécessité de la propager ont fait en sorte que les rituels, pendant les saisons des amours, se manifestent de manières étonnantes. Lors des parades nuptiales, certains animaux utilisent des  techniques qui surprennent par leur originalité, leur beauté et leur aspect parfois étrange. En voici 10 qui se démarquent

1. La danse envoûtante

Le papillon azuré aime bien prendre son temps avec sa parade nuptiale. Cet insecte a mit au point un rituel complexe. La danse du couple de papillons azurés comme au sol. En s’envolant à la verticale, le mâle et la femelle tournent autour l’un de l’autre. Ils atterrissent ensuite au même moment, côte à côte, avant de recommencer inlassablement.

2. L’inspection générale

Chez l’hirondelle, les mâles doivent démontrer qu’ils ont la forme nécessaire pour plaire. Les mâles volent semblant flotter devant le jury de ces dames qui jugent le physique candidats potentiels.

La taille du corps et la longueur des plumes de l’arrière-train du mâle sont les critères de sélection.  Certains vont se pencher aux côtes de la femelle convoitée pour montrer leur atouts d’un peu plus près. Si les becs se touchent, les chances sont élevés qu’un couple se forme.

3. Des voisins bruyants

Le rituel amoureux des hérissons ressemble beaucoup à une chicane de ménage. Le mâle tourne autour de la femelle. Il tente d’attirer son attention en reniflant, s’ébrouant sans conviction

Tout au long de ce rituel qui dure plusieurs heures, les cercles se font de  plus en plus étroits et le hérisson augmente le volume des sons qu’il émet. Si la femelle est réceptive, elle soufflera et reniflera au même rythme que lui.

4. L’âme du bâtisseur

Le petit gravelot mâle effectue une performance digne des plus grands danseurs de ballet. Il vole près du sol et tourne sans arrêt autour de la femelle à coup de battements d’ailes délibérément pour l’occasion.

Le mâle veut lui annoncer qu’il a trouvé l’endroit parfait pour un nid. Il court à l’emplacement et commence à creuser un trou, en souhaitant qu’elle vienne le rejoindre.

5. L’embarras du choix

La baleine prête à se reproduire est rapidement suivi par un petit groupe de mâles. Ceux-ci se défient les uns les autres, provoquant des conflits parfois violents. Ils font des démonstrations de leurs atouts physiques à la femelle, jusqu’au moment, jusqu’au moment où elle est prête à se choisir un partenaire. Le processus peut prendre des jours.

Une fois la sélection effectuée, le mâle et la femelle passent de beaux moments. nageant gracieusement, empruntant des mouvements chorégraphiques et se démontrant mutuellement leur amour.

6. Une relation amour-haine

Durant la saison d’accouplements, le lézard des sables mâle prend une vive couleur verte.  La femelle est attirée par ce changement d’apparence et s’approche de lui. Elle se cambre en une posture bizarre,  montant sur ses pattes arrière pour séduire son compagnon avec une danse.

Or, dès que l’intimité est bien engagée. La femelle semble éprouver des regrets et veut se déprendre de l’étreinte du mâle. Celui-ci est souvent obligé de la maintenir en place en la mordant.

7. Un géant au coeur tendre

Les rituels amoureux de l’éléphant sont paisibles et affectueux. Le mâle entourera la femelle d’attentions soutenues pour la séduire. Pendant des semaines, il lui fera des offrandes de nourriture, l’arrosera légèrement d’eau fraîche, etc.

Son intention est de démontrer à quel point il est gentil et sympathique. Si elle l’aime bien, ils auront des tête-à-tête, se caressant ainsi le visage avec leur trompe, plaçant même celle-ci dans la gueule de l’un et de l’autre

8. Le coeur au ventre

Les demoiselles sont de la famille des libellules. Et comme ces dernières, les mâles et les femelles vont demeurer longtemps en contact intime avant de s’accoupler, ils vont se prendre, se secouer, se mordre, se percer… le tout effectuant des acrobaties aériennes. Mais avant ce rituel amoureux pour le moins gymnastique, la femelle doit être certaine que le mâle est désirable et surtout .. de la bonne espèce. Le candidat va donc voler devant elle, battantes ailes à une fréquence très élevée, lui montrant son abdomen pour l’inspection.

9. Les longues étreintes

Contrairement aux autres créatures, les couleuvres n’ont pas de rituel quand au processus de sélection de leur partenaire pour la reproduction

Lors de la saison des amours, les mâles approchent n’importe quelle autre couleuvre qu’ils rencontrent. Ils utilisent leur longue langue fourchue pour détecter les phéromones de chacune afin de déterminer le sexe, l’espèce  et si le moment est bon pour l’intimité.

Si tous ces critères sont remplis, la couleuvre enlacera sa partenaire et ne la lâchera pas.  Le couple s’enroulera et s’entortillera ainsi durant de longues heures, semblant ne former qu’une seule entité.

10. Le sens de l’humour

Le mâle de la grenouille rieuse sait comment chanter pour attirer sa douce. Il gonfle ses sacs vocaux, qui forment de petites bulles sous sa gorge et produit un croassements et de ricanements nasillards distincts et retentissants qui s’entendent de très  loin. La femelle répond a cette appel et vient le rejoindre.

Geste qu’elle risque de regretter, car il arrive que plusieurs mâles montent sur la même campagne au même moment, tombant maladroitement par manque de place

La Semaine/Tout Connaître/Grand reportage/ Paul Therrien/ Juillet 2012

Comment mourir écolo?


Les funérailles sont un commerces florissants et pour attirer une clientèle, ils usent de stratégie pour séduire leurs futurs clients. Avoir un enterrement écolo, je suis pour a 100 % mais je suis contre qu’on jouent avec les sentiments, des peines des gens pour faire plus d’argent
Nuage

 

Comment mourir écolo?

 

Les cercueils écologiques en carton de la société AB crémation, à Nîmes.

Les cercueils écologiques en carton de la société AB crémation, à Nîmes. STEVENS FREDERIC/SIPA

SOCIETE – Crémations vertes ou cimetières forestiers, les funérailles aussi peuvent être écolos…

 

Après avoir passé sa vie à réduire son empreinte environnementale, la dernière volonté d’un écolo sera sans doute de partir sans laisser de traces. Pour répondre à une demande croissante, les cimetières et les pompes funèbres rivalisent d’imagination pour proposer des obsèques vertes. Petit tour d’horizon des méthodes écolos pour que le dernier souffle ne soit pas aussi celui de la planète.

Bien choisir son cercueil

Le choix du cercueil est crucial pour réussir son enterrement écolo: en bois trop massif, il mettra trop longtemps à brûler dans le crématorium, et s’il n’est pas issu de forêts gérées durablement, il contribuera à réduire le couvert forestier de la planète. De plus en plus d’entreprises de pompes funèbres proposent des cercueils en bois certifié, mais certaines vont plus loin en éliminant les solvants et les colles qui peuvent polluer les sols.

La société française AB Crémation propose des cercueils en cellulose, amidon de maïs et de pomme de terre, capitonné en lin. Un petit décor, cœur en bois, épi de blé ou bâton de cannelle rend le tout un peu moins austère. Sinon, on peut aussi choisir un des très jolis modèles fleuris: Amaryllis, Fleur de pavot ou Papillon, il y en a pour tous les goûts. Pour 350 euros environ (426 $), les cercueils en carton sont biodégradables mais sont aussi écologiquement intéressants si l’on envisage une crémation: ils ne mettent qu’environ 45 minutes à brûler, contre deux heures en moyenne pour un cercueil en bois.

De la poussière à la poussière

Avant d’être recueillies dans une petite urne en carton toute simple, les cendres des défunts consomment de l’énergie. Pour ne pas la perdre, la ville de Redditch, près de Birmingham  en Angleterre, envisage de chauffer le nouveau complexe sportif grâce à la chaleur émise par le crématorium voisin. Ce qui n’empêche pas l’émission d’oxyde d’azote ou de monoxyde de carbone…

Pour éviter de polluer l’atmosphère en se transformant en poussière, une technique appelée «resomation» développée en Ecosse et en plein essor aux Etats-Unis, propose de dissoudre le corps humain dans de l’eau alcaline. Après un bain de trois heures dans une eau à environ 150°C, il ne reste plus qu’une poudre blanche et on a économisé en moyenne 85% d’énergie par rapport à une crémation traditionnelle.

Autre solution: la promession, une technique développée en Suède qui consiste à plonger le corps dans de l’azote liquide, à le refroidir à -196°C puis, une fois devenu friable, à le placer sur une table vibrante pour le réduire en petites particules.

Une dernière demeure au vert

Le choix de l’endroit où déposer son urne ou son cercueil est important. En Australie,un parc pour «enterrement naturel» a été aménagé pour les habitants de Sydney: pas de pierre tombale ni de plaque commémorative mais des cercueils en pin ou osier non traité où reposent des défunts habillés de vêtements biodégradables et équipés d’une puce reliée à un GPS pour que les familles puissent localiser l’endroit où déposer leur gerbe.

En Allemagne, c’est au cœur d’une forêt que les urnes biodégradables peuvent être déposées: dans le Friedwald près de Sarrebruck on peut louer un arbre ou partager une sépulture avec d’autres amoureux décédés de la nature. Les urnes deviennent compost et font grandir les arbres, qui portent de discrètes pancartes indiquant le nom de ceux qui reposent sous leurs racines.

Et pour ceux qui préfèrent finir en mer, une entreprise de pompes funèbres américaine propose de transformer les morts en récifs marins: le concept, baptisé «Eternal reefs» (récifs éternels), consiste à mélanger les cendres à du ciment pour former un bloc qui servira d’habitat aux mollusques, crustacés et poissons. Les vers ne seront pas jaloux: avec tous les produits chimiques que nous respirons ou consommons, les cadavres ne sont plus un mets de choix pour les asticots.

Audrey Chauvet

http://www.20minutes.fr

Les sept poignées de main à éviter


Se donner une poignée de main fait partie des rituel lors d’un accord, d’une rencontre, de faire connaissance. Chacun a sa façon !! Mais une poignée de main peut révélé l’énergie que vous dégagé
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Les sept poignées de main à éviter

 

Poignée de main© iStockphoto.com

Une poignée de main pour faire bonne impression!

Par Virginie Bassène , coach d’affaires pour travailleuses autonomes , Montréal, Québec

Rien de telle qu’une poignée de main franche pour faire bonne impression. Voici les sept poignées de main à éviter pour ne pas rater son entrée.

 

À moins de vivre en ermite, nous rencontrons quotidiennement des gens que nous saluons en leur serrant la main. Un usage qui exige l’utilisation de la main droite. Pourquoi la main droite? Parce que dans des temps anciens, les hommes se saluaient de la main droite pour montrer qu’ils n’avaient pas d’armes. Ils auraient pu en avoir une dans la main gauche, bien évidemment, mais la plupart des gens étant droitiers, c’était un risque calculé à prendre.

S’il est utile d’avoir une bonne poignée de main, il est intéressant de connaître les sept poignées de main à éviter:

1) Le broyeur

La personne en face de vous, vous sert la main tellement fort, qu’elle vous fait mal à la main. Elle veut vous intimider et vous montrer qu’elle a du pouvoir.

2) Le poisson mort

Ces poignées de main sont assez désagréables. Vous avez littéralement l’impression de serrer un poisson mort. De plus, ces poignées de main font apparaître les personnes qui les donnent passives et sans énergie.

3) La main moite

Lorsque vous avez fini de serrer la main de cette personne, vous n’avez qu’une envie c’est de vous essuyer les mains. Il est important de noter qu’une personne ayant les mains moites  peut-être nerveuse ou bien avoir une condition médicale.

4) La pompe à eau

Votre main voyage de bas en haut dans la main de la personne en face de vous. Cette personne veut là encore, s’imposer à vous.

5) La politicienne

Votre interlocuteur vous sert la main de façon cordiale et met sa main gauche sur votre avant-bras ou votre épaule. Lors des campagnes électorales, c’est un geste que l’on voit très souvent. C’est une poignée que l’on peut donner lorsqu’on est sincère ou que l’on connait bien la personne à qui on la donne.

6) La pince de homard

Votre vis-à-vis vous donnera une poignée de main en utilisant ses doigts et son pouce de façon à ce que sa main ressemble à une pince. Ce peut-être quelqu’un qui a peur de se lier et/ou qui manque de confiance en elle

7) Le bras de fer

Au lieu d’une poignée de main, vous avez l’impression de faire un bras de fer avec la personne en face de vous. Cette dernière fait en sorte que sa main soit sur le dessus, de façon à vous prouver sa supériorité.

La poignée de main franche

 

Qu’est-ce qui fait une bonne poignée de main? Une bonne poignée de main doit être franche. Les deux paumes de mains de chaque individu doivent se toucher, pas seulement le bout des doigts. Et il est important de regarder la personne droit dans les yeux.

La poignée de main devrait durer environ trois secondes. Si vous vous demandez qui doit tendre la main en premier, n’hésitez pas et prenez l’initiative, que vous soyez un homme ou une femme.

http://www.servicevie.com

N’oubliez plus jamais vos mots de passe : une méthode simple


Il est fortement conseillée de changer de mots de passe au moins tous les 3 mois, a cause des hackers qui ne cherchent  qu’a pirater des comptes .. mais voilà, a force de changement, la mémoire peut-être défaillante alors a moins d’avoir un  KeePass, ou encore un logiciel comme logiciel Dashlane il faut des trucs pour s’en rappeler
Nuage

 

N’oubliez plus jamais vos mots de passe : une méthode simple

Article rédigé Jean Riviere, voyageur à plein temps qui vit de ses sites web depuis 2003, et auteur du guide Travaillez en Slip »[1]

cles2 Noubliez plus jamais vos mots de passe : une méthode simple

Si vous oubliez régulièrement vos mots de passe, ou pire, si vous utilisez un mot de passe identique sur tous les sites que vous utilisez, alors la méthode qui suit va vous aider.

Il est possible d’utiliser un mot de passe unique pour chacun des services auxquels vous êtes inscrit, et de s’en souvenir. Même si vous en avez 300 ou 500.

Il s’agit simplement de créer votre propre système mnémotechnique de construction de mots de passe. Et je vais vous montrer comment.

La plupart des gens utilisent un mot de passe similaire pour tous les services qu’ils utilisent. C’est aussi sûr que de donner une copie des clés de son appartement à chaque personne qui nous rend visite.

L’autre solution consiste à utiliser des mots de passe uniques, et à se reposer sur un système de stockage pour s’en souvenir : fichier texte, application comme 1password… En plus de perdre du temps à chaque fois qu’ils se connectent à un site, les internautes qui utilisent cette méthode courent toujours le risque perdre leur base de données de mots de passe.

La troisième solution résout tous ces problèmes : il s’agit de créer votre propre système mnémotechnique pour générer des mots de passe uniques. Vous ne les oublierez plus jamais, même si vous en avez 500.

Voici comment procéder :

1. Commencez par définir un mot de passe de base complexe, qui ne correspond à aucun mot du dictionnaire :

La meilleure solution pour s’en souvenir, c’est d’utiliser un texte que vous connaissez par coeur, et d’utiliser la première lettre de chaque phrase.


Prenez les paroles d’une chanson, par exemple :

« Je vous parle d’un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître… »

Récupérez la première lettre de chaque mot, et conservez les chiffres au format numérique :

jvpd1tqlmd2anppc

2. Modifiez ce mot de passe de base en fonction du site que vous utilisez :

Par exemple, vous pouvez décider de placer la dernière lettre du nom du site à la fin du mot de passe, et la première au début :

Pour vous connecter à Amazon, vous placez la lettre « n » au début de votre mot de passe, et la lettre « a » à la fin :

njvpd1tqlmd2anppca

Vous pourriez aussi choisir d’utiliser la lettre qui suit la première, dans l’alphabet (« a » devient « b » et « n » devient « o ») :

ojvpd1tqlmd2anppcb

Enfin, vous pourriez placer les caractères qui changent selon le nom du site au milieu de votre mot de passe… ou trouver une variation complètement différente.

L’idée, c’est de suivre un système simple, et de s’y tenir.

Vous pouvez aller encore plus loin en utilisant un modèle de création de mots de passe différent pour chaque thématique de services : travail, personnel, finances…

Pourquoi ne pas utiliser, par exemple, les paroles d’une chanson liée à chacune de ses thématiques ? Vous seriez certain de toujours vous souvenir de votre mot de passe de base.

[1] Jean Riviere est auteur et formateur en webmarketing. Il vit de ses sites web depuis 2003 et voyage à temps plein : sa vie et son bureau tiennent dans une valise de 20 kg.
Il aide les internautes à transformer leur passion en activité et à vivre de leur site web :
cliquez ici pour télécharger son guide « Travaillez en Slip ».

http://www.presse-citron.net/

QUELS SONT LES VRAIS RISQUES DE LA CLIMATISATION?


Nous avons connus plusieurs semaines de grande chaleur et en France c’est a leur tour d’avoir chaud .. A chaque année, je me promet d’avoir un climatiseur mais j’hésite a cause des inconvénients …
Nuage

 

QUELS SONT LES VRAIS RISQUES DE LA CLIMATISATION?

 

La climatisation, adulée lors des grosses chaleurs, est également accusée de méfaits sur la santé: nez qui coule, allergies et autres maladies respiratoires, maux de tête, champignons ou encore légionellose. Qu’en est-il et peut-on continuer à apprécier la fraîcheur ventilée qui sort de nos climatiseurs?

La climatisation est responsable d’infections respiratoires plus ou moins graves

 

La climatisation est liée à certaines pathologies, des plus bénignes comme le nez qui coule, aux plus graves comme la légionellose.
Les premières sont généralement dues aux grandes variations de températures entre l’extérieur et l’endroit climatisé, ce qui peut entraîner des infections respiratoires. Mais l’air est également plus sec, ce qui peut provoquer des irritations oculaires et particulièrement chez les personnes qui portent des lentilles.

Plus gênant encore est l’aggravation des allergies car l’air recyclé tend à concentrer les allergènes.

La climatisation est aussi accusée de provoquer le syndrome des bâtiments malsains ou « sick building syndrome ». Il s’agit d’un ensemble de symptômes très divers (ORL, respiratoires, oculaires, cutanés, sensoriels, neuropsychiques…), qui disparaissent dès que la personne quitte le bâtiment en question.

Mais bien plus grave est le risque de pénétration d’agents infectieux dans le système de climatisation et particulièrement la bactérie responsable de la légionellose. Celle-ci prolifère facilement à l’intérieur des conduits des tours réfrigérantes fonctionnant à l’eau. La diffusion est alors particulièrement rapide et large, provoquant des infections pulmonaires, voire une insuffisance respiratoire et une pneumopathie chez les sujets les plus fragiles.

L’entretien des installations offre une climatisation sans danger

 

Mais le point de départ des effets néfastes sur la santé est le mauvais entretien des installations. Une facon simple et efficace de se prémunir des infections respiratoires, des plus bénignes aux plus sévères, est de respecter une maintenance rigoureuse des installations, des filtres et autres (surveillance, entretien et désinfection par un professionnel). Il est également nécessaire de vérifier régulièrement l’absence d’eau stagnante dans le système. De cette façon, les risques de contamination sont écartés. Si cette recommandation vaut pour tous les établissements de santé et autres institutions, elle s’applique aussi aux particuliers. Toute climatisation possède un mode d’emploi sur lequel figurent les recommandations d’entretien. Il faut en prendre connaissance et les respecter.

Pas trop froid, pas trop fort!

 

Un autre risque de la climatisation est le choc thermique. Les grandes variations de températures (supérieures à 10°C) sont susceptibles de provoquer une perte de connaissance, voire un arrêt respiratoire. Avant d’en arriver là, mieux vaut être raisonnable et régler judicieusement la température demandée afin qu’il n’y ait pas un écart supérieur à 8°C entre l’extérieur et la pièce climatisée.

Dans un local et particulièrement en voiture, on peut être tenté de régler la climatisation sur une température très basse afin de profiter plus rapidement de la fraîcheur diffusée ou de pouvoir garder une fenêtre ouverte. Ce genre de comportement est fortement déconseillé pour notre environnement. En effet, la consommation d’énergie électrique d’un climatiseur est très importante.


En conclusion, les climatiseurs ne sont pas en cause. C’est leur entretien souvent défectueux qui peut les rendre dangereux pour la santé…

Mis à jour par Marion Garteiser, journaliste santé le 18/07/2011
Créé initialement par Isabelle Eustache, adapté par C. De Kock, journaliste santé le 01/08/2006
Sources : Agence française de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), juin 2006.

http://www.e-sante.be

Peut-on détruire un astéroïde menaçant ?


Je présume que beaucoup ont vue Armageddon qui des foreurs de pétroles ont pu sauver la terre grâce a la bombe atomique …  Voila que ce film a été a l’étude en science pour vérifier si cela serait un scénario applicable au ca ou .. que la terre serait menacée …
Nuage

 

Peut-on détruire un astéroïde menaçant ?

 

La plus grosse bombe atomique jamais construite serait 10 milliards de fois trop faible pour inquiéter un astéroïde.
La plus grosse bombe atomique jamais construite serait 10 milliards de fois trop faible pour inquiéter un astéroïde. Crédits photo : Anonymous/ASSOCIATED PRESS

Des étudiants anglais en physique se sont penchés sur la crédibilité scientifique du scénario du film Armageddon. Bien du chemin reste à effectuer pour qu’il devienne réalité.

Qui a dit que la science était affaire de gens ennuyeux? Alors qu’ils se dirigent vers une thèse de physique, trois étudiants anglais ont mis à mal cet adage répandu. Leur sujet d’étude? Le film Armageddon, sorti en 1998.

Ce blockbuster américain met en scène Bruce Willis, qui sauve l’humanité. N’écoutant que son courage, il se sacrifie pour faire exploser un astéroïde tueur sur le point d’entrer en collision avec notre planète bleue. Scénario scientifiquement plausible? Absolument pas selon ces trois étudiants en physique de l’université de Leicester. Dans l’histoire du film, un astéroïde est repéré en approche de la Terre, de la taille du Texas (soit une sphère de 1.000 km de diamètre). Celui-ci avance à une vitesse de 36.000 km/h. Pour éviter la catastrophe, des astronautes sont envoyés poser une charge nucléaire sur le «caillou» stellaire. En explosant, la charge crée deux blocs qui vont diverger et passer de chaque côté de la Terre en évitant l’impact.

Les étudiants ont repris ces données, et calculé l’énergie atomique nécessaire pour le succès de l’opération. Les résultats sont sans appel, même avec les incertitudes, la plus grosse bombe atomique jamais construite, une russe au doux nom de «Gros Ivan» testée en 1961, est 10 milliards de fois trop faible! Pour que la déviation de trajectoire soit suffisante, l’explosion devrait avoir lieu à environ 13 milliards de kilomètres, au lieu des 100.000 du film. Pour situer, cette distance correspond à peu près à la distance parcourue par les satellites Voyager 1 et 2, lancés il y a plus de trente ans… Or les astéroïdes sont des corps célestes très peu lumineux, donc difficiles à détecter dans l’espace. Même avec le télescope spatial Hubble, la tâche semble ardue. Non seulement nous n’avons pas la technologie pour faire exploser l’astéroïde, mais en plus il faudrait pouvoir le détecter bien plus tôt que prévu.

Sommes-nous tous condamnés pour autant?

 

Un détail du film attire l’attention: la taille de l’objet envisagé dans le film est gigantesque: pour exemple, les missions actuelles menées par la Nasa essaient de repérer les astéroïdes de plus de 100 m de diamètre. En fait plus de 500.000 objets connus circulent dans le système solaire grâce au projet NEAT (Near-Earth Asteroid Tracking), et 1.000 km de diamètre correspond à la limite de taille que les scientifiques se donnent pour différencier un astéroïde d’une planète. Toutefois, même un astéroïde d’une centaine de mètres pourrait ravager une ville ou provoquer un raz de marée.

Si la destruction pure et simple paraît difficilement réalisable, d’autres méthodes sont envisagées à l’heure actuelle. À la suite de l’annonce en 2004 de la menace d’Apophis, un astéroïde de 270 m qui avait une chance sur 5.500 de percuter la Terre en 2036 (mais le risque a été écarté depuis), la plus probable consiste à utiliser des «propulseurs» qui seraient attachés à l’astéroïde pour le faire dévier de sa trajectoire.

Plus aléatoire, l’utilisation d’un laser surpuissant pour faire «imploser» l’astéroïde pendant sa course, à l’instar des avions de ligne équipés de laser pour détruire d’éventuels missiles. Les scientifiques ne manquent pas d’imagination, même si aucun système n’existe actuellement. Encore faut-il parvenir jusqu’à lui suffisamment tôt pour installer le petit matériel et réussir à se poser à sa surface.

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