Le temps passent mais remplissons d’expérience et de bons souvenirs ..
Nuage
Les années
Ne comptez pas seulement les années, faites qu’elles comptent.
Ernest Meyers
Le temps passent mais remplissons d’expérience et de bons souvenirs ..
Nuage
Les années
Ne comptez pas seulement les années, faites qu’elles comptent.
Ernest Meyers
C’est une expression qu’on entends quelques fois, peut-être utilisé plus chez les européen, mais il n’est pas beaucoup utilisé dans mon entourage .. pour exprimer que c’est rien du tout
Nuage
Que dalle
Rien du tout.
Cette expression est généralement précédée de verbes comme « valoir », « ne trouver », « ne comprendre »…
Le Petit Robert nous dit qu’une dalle, ce peut être une tablette de pierre (pour le revêtement des sols), une plaque de roche lisse, une tranche de poisson (pour celui qui « a la dalle », bien sûr), une plaque de béton ou de ciment utilisée en plancher ou couverture ou une ancienne pièce de cinq francs (dont le nom venait du flamand ‘daalder’).
C’est à partir de cette dernière signification que certains ont cru voir, non pas un gros minet, mais l’origine de notre expression. Pourtant il n’en est rien, pour une très bonne raison, c’est qu’en 1835, cette pièce de cinq francs représentait environ 30 euros, ce qui n’était pas vraiment que dalle !
Le mot dalle est en fait ici une déformation du mot ‘dail’, attestée par l’ancienne version de l’expression donnée par Esnault, « que le dail », devenue ensuite « que dal ».
Il ne nous reste donc plus qu’à savoir quelle est l’origine de ce ‘dail’. Mais là nos lexicographes distingués s’entredéchirent.
Pour les uns, dont Esnault, toujours, il viendrait du lorrain ‘dailler’.
Au XVe siècle, ‘dallier’, issu de l’allemand ‘dahlen’, voulait dire ‘plaisanter’. Puis, dans les patois de l’Est, ‘dallier’, ‘daler’ ou ‘daillir’ signifiait également « raconter des fariboles ». La ‘daille’ ou le ‘dail’ étant une plaisanterie ou une blague.
Quel rapport avec ‘rien du tout’, me direz-vous ? Eh bien c’est une excellente question ! Je suis heureux de voir qu’il y en a qui suivent et s’interrogent, tout comme moi, sur le lien avec une plaisanterie.
C’est pourquoi l’explication de Duneton me convient nettement mieux : selon lui, ‘dail’ est tout simplement issu du romani, langue tsigane dans lequel ce mot veut dire ‘rien du tout’.
Être comme chien et chat, c’est bien ce que cette vidéo démontre .. gare au chat, le chien le pourchasse mais … des chats c’est futés
Nuage
Une autre preuve que les dépressions et le stress provoque des réactions chimiques dans le cerveau. On peut voir maintenant certaines conséquences de ces états dépressifs et mieux cernés peut-être des moyens pour dans une avenir rapprochés (espérons-le) de meilleurs traitements
Nuage
Crédit photo : Gracieuseté
Agence QMI
La dépression majeure et le stress chronique peuvent entraîner le rétrécissement du cerveau et mener à une détérioration des fonctions cognitives et émotionnelles, selon une étude menée par des chercheurs de l’Université Yale.
Les résultats de l’étude, publiés dimanche dans la dernière édition de la revue Nature Medicine, indiquent que l’activation d’un seul commutateur du cerveau lors de périodes de grand stress refoule l’expression de plusieurs gènes qui sont nécessaires à la formation de connexions synaptiques entre les cellules du cerveau.
«Nous voulions tester l’idée que le stress entraîne une perte des synapses du cerveau chez les humains, a expliqué l’auteur principal de l’étude, le professeur Ronald Duman. Nous démontrons dans cette étude que les circuits normalement impliqués dans les émotions, et dans les fonctions cognitives, sont perturbés quand ce seul facteur de transcription est activé.»
Cette découverte pourrait permettre d’identifier les personnes à risque de développer une dépression majeure ou qui présentent une propension au stress, a ajouté le chercheur.
«Nous espérons qu’en étant en mesure d’améliorer les connexions synaptiques, que ce soit grâce à de nouvelles médications ou par la thérapie, nous pourrons développer des traitements encore plus efficaces pour combattre la dépression», a-t-il souligné.
Deux chats errants, qui se lient d’amitié l’un est le guide de l’autre … Une belle leçon de vie ! Un bénévolat félin qui a permis a un chat aveugle de vivre avec son handicap dans une maison d’accueil
Nuage
Voici une très belle histoire d’amitié entre deux chats errants. L’un était aveugle, l’autre lui servait de guide.
Grâce à son ami, le chat aveugle reprit peu à peu confiance en lui.
Un jour, au milieu de son jardin, une dame aperçu un chat errant qui se promenait. Il était nerveux, inapprochable et s’enfuyait en courant lorsqu’elle tentait de l’approcher.
Pour l’apprivoiser, la dame lui laissait de la nourriture à l’extérieur et, très méfiant, il s’assurait que la dame soit suffisamment éloignée pour venir manger.
Les mois passèrent, les saisons défilèrent et le félin devint plus amical et moins peureux. Un jour, la dame pu l’approcher suffisamment pour le prendre dans ses bras et le câliner. Mais elle remarqua qu’il avait quelque chose pas comme les autres.
La jeune femme avait remarqué qu’il arrivait régulièrement au félin de rentrer dans des chaises ou dans le barbecue lorsqu’il déambulait dans le jardin. Elle pensait alors, que c’était un vrai maladroit !
Puis, lors de sa première visite chez le vétérinaire, elle apprit que le chat était en réalité aveugle.
Après cela, il a continué à faire sa petite vie dans son jardin, essayant de ne pas trop se heurter aux objets et heureusement, sans jamais tomber dans la piscine.
Puis, un jour, un autre chat vint se rajouter au premier chat errant. Il avait le même comportement que le premier, mais la différence entre les deux était qu’il était beaucoup plus habile. Le félin se lia d’amitié avec le chat aveugle.
Il semblait avoir compris son handicap et se conduisait comme un guide pour le chat aveugle. Il se blottissait contre lui, communiquait avec lui et ils se promenaient ensemble. Quand ils marchaient tous les deux, le chat errant faisait en sorte de placer le chat aveugle entre lui et un mur et marchait très près de son compagnon. Il lui montrait également comment marcher sur les pierres autour de la piscine pour ne pas tomber dedans.
Quand il était l’heure de manger, le chat le guidait jusqu’à la gamelle et quand le chat aveugle mangeait, le chat guide attendait patiemment qu’il ait fini. Ensuite il frottait son nez contre son ami félin pour lui montrer son affection.
Un jour, le chat guide ne vint pas, il n’était nulle part aux alentours. Le chat aveugle déambulait dans le jardin l’appelant en miaulant de plus en plus fort. Il l’appelait désespérément, ses miaulements ressemblant de plus en plus à des pleurs.
La dame déposa comme à son habitude la nourriture dehors, mais le chat aveugle l’ignora. Il était triste, ne voulait plus se nourrir, et appelait son nouvel ami désespérément. Puis, à la fin de la journée, ce dernier apparu. Quand les deux compères se retrouvèrent, ils jouèrent ensemble, et de frottèrent le nez l’un contre l’autre pour montrer leur amour et leur joie de se retrouver.
Depuis, la dame raconte qu’ils ne se quittèrent plus jamais, le chat guide veillant sur son ami félin et le chat aveugle ayant une confiance absolue en son guide.
Une jolie histoire d’amitié entre deux chats errants qui ne se sont plus jamais séparés. Le chat guide continua de veiller sur son ami aveugle et le chat aveugle ne perdit jamais foi en son ami félin.
Un témoignage de Nancy Cortez.
Avec la téléréalité il est difficile pour certains de faire le pour et le contre, quoiqu’il en soit, certains ne se font pas prendre au jeu et ont eu la bonne idée d’appeler la police.
Nuage
On n’arrête pas le progrès paraît-il. Eh bien certes, les voleurs sont de plus en plus créatifs!
Les employés d’une petite pizzeria de l’Indiana, aux États-Unis, l’ont appris à leurs dépens!
Deux braqueurs, âgés de 18 et 21 ans, ont tenté de voler le contenu du tiroir-caisse en prétextant qu’ils participaient à un nouveau jeu télévisé intitulé «You just got robbed», qu’on peut traduire par «Vous venez de vous faire braquer».
Pendant qu’un des deux hommes filmait la scène à l’aide de son téléphone cellulaire, l’autre avait solidement empoigné l’un des employés du restaurant en lui disant qu’il passerait à la télé.
Les malfrats ont eu le temps de s’emparer des portefeuilles des travailleurs avant d’être arrêtés par les policiers, qui les avaient à l’œil. Les deux jeunes venaient en effet de se faire mettre à la porte d’un bar du coin, probablement à la suite d’une tentative de vol similaire!
Notre aventurier malgré les difficultés et la très grande fatigue continu son périple ( «Porté disparu 52» Condamné à manger des fourmis: Frédéric Dion en arrache dans le nord) Heureusement qu’il communique avec des gens qui pourraient lui porter assistance en cas de danger Mais il faut vraiment avoir du cran et de la volonté pour poursuivre son but
Nuage
Crédit photo : Gracieuseté
Frédéric Dion a été transporté à plus de 300km de la civilisation.
Par Nicolas Lachance | Journal de Québec
Fatigué, affamé et le visage enflé à cause des piqûres d’insectes,Frédéric Dion a décidé de se reposer pendant deux jours avant de continuer son périple solitaire.
Après avoir été déposé par un hydravion, seul, dans le Nord-du-Québec afin de retrouver par lui-même la civilisation, l’aventurier Frédéric Dion a décidé de prendre une petite pause, question de reprendre des forces.
Vendredi en fin d’après-midi, il a découvert un chalet.
«Je me suis réfugié dans le chalet parce que, pour moi, ça voulait dire de la chaleur, un sac de couchage, un lit», a dit l’homme via son téléphone satellite, qui se réjouissait de ne pas avoir à alimenter un feu toute la nuit.
«Il y avait un peu de nourriture à l’intérieur», décrit Frédéric Dion. «La majeure partie était complètement avariée, mais il y avait quand même des arachides, des peppermints et des sachets de soupe.»
Cependant, après s’être nourri convenablement, le corps de Frédéric lui a joué un mauvais tour.
«Habituellement, au repos, mes pulsations cardiaques sont à 37, mais là elles étaient à 75. C’était plus que le double», dit l’aventurier, aussi marathonien. «Je ne me sentais pas bien du tout. Je crois que mon corps m’a lancé un signal et que je devais me reposer.»
Il en a d’ailleurs profité pour se sculpter une nouvelle rame pour affronter la rivière avec prudence.
« Lorsque je pense que je pourrais avoir de l’eau par-dessus la tête en chavirant, je débarque et je contourne le rapide », assure-t-il.
Par ailleurs, un ours rôde autour du chalet depuis qu’il est arrivé.
«Je n’ai pas peur, mais j’essaie de le faire partir à l’aide d’une carabine trouvée dans le chalet.»
À l’intérieur du chalet, Frédéric a découvert une carte de la région avec un point rouge indiquant l’endroit où il se situait. Il est près, selon lui, de la communauté autochtone de Mashteuiatsh.
«Je descends présentement la rivière Péribonka», signale l’homme de 34 ans. «Je sais maintenant qu’il me reste environ 120 kilomètres avant de trouver une première route et la civilisation», estime ce dernier.
Avant de trouver ce chalet, les choses avaient mal commencé pour Frédéric.
«En cinq jours, j’ai réussi à pêcher quatre petites truites. La plus grosse faisait huit pouces et la plus petite était grosse comme un doigt», souligne M. Dion.
Il a donc décidé d’installer des collets pour attraper des bêtes, mais au petit matin, tout avait été arraché.
«Je me suis fait voler ma proie soit par un loup, un ours ou un carcajou», croit-il.
Il est par contre très impressionné par l’endurance du corps humain.
On se lève, on vaque a nos occupations de la journée et puis en espaces de quelques minutes tout ce que nous avons est détruit .. par un séisme .. Des gens ont tout perdus même leur maison .. j’espère que les sinistré auront l’aide pour recommencer a nouveau
Nuage
Zeinab (au centre) a perdu son frère et sa soeur dans le double séisme qui a secoué le nord-ouest de l’Iran le 11 août 2012. Photo : AFP/ATTA KENARE
Le double séisme qui a secoué le nord-ouest de l’Iran samedi a fait 306 morts, en majorité des femmes et des enfants, ainsi que 3037 blessés, a annoncé lundi la ministre iranienne de la Santé, Marzieh Vahid Dastjerdi.
Parmi les corps transportés dans les morgues des hôpitaux de la région, il y avait « 219 femmes et enfants et 49 hommes », soit un total de 268, a-t-elle précisé devant les parlementaires iraniens.
Les médias locaux avaient rapporté dimanche que certains cadavres avaient été enterrés sur place sans être envoyés dans les morgues de la région, ce qui expliquerait ce nouveau bilan revu à la hausse.
Deux séismes d’une magnitude de 6,4 et 6,3 dont les épicentres se trouvaient respectivement à Ahar et Varzeghan, à une soixantaine de kilomètres de Tabriz et à quelque 10 km sous terre, ont frappé la région samedi en environ 10 minutes d’intervalle.
Ces secousses telluriques ont été suivies de nombreuses répliques qui ont totalement détruit une soixantaine de villages près des villes de Tabriz, Ardébil, Ahar, Varzeghan, Mehraban et Heris, dans le nord-ouest de l’Iran.
« La plupart des victimes ont perdu la vie aux premiers moments du séisme, car de nombreuses maisons de la région sont en terre et, avec le poids des plafonds, les victimes n’ont eu aucune chance », a expliqué le responsable de la cellule de crise du ministère de l’Intérieur, Hossein Ghadami.
Un Iranien se tient au milieu de sa maison dévastée par le séisme du 11 août, près de Varzeghan, dans le nord-ouest du pays. Photo : AFP/ATTA KENARE
« Notre priorité était de rechercher les survivants […]. Dimanche à 6 h du matin, nous avons eu l’assurance qu’il n’y avait plus de corps et de survivants sous les décombres », a-t-il indiqué, ajoutant que « 115 villages ont été endommagés de 40 % à 60 % » et que « 4500 et 5000 maisons » avaient été touchées.
Hossein Ghadami a souligné que « chaque famille va recevoir 20 millions de rials (1000$) d’aide sans contrepartie et un prêt à faible taux de 120 millions rials (6000 $) pour reconstruire les maisons ».
En attendant que soit entamée cette reconstruction, le président du Croissant-Rouge iranien, Abdolhossein Faghih, a annoncé avoir distribué « 8700 tentes, 11 900 couvertures », de la nourriture et de l’eau dans les zones sinistrées pour plus de 16 000 sans-abri.
Plusieurs pays étrangers, notamment la Turquie, Singapour, Taïwan, les États-Unis, la Suisse et l’Allemagne, ont proposé leur aide à l’Iran.
« Mais parce que nous disposions de suffisamment d’hommes et de moyens, nous n’avions pas besoin d’aide étrangère. Nous les avons remerciés pour leur offre », a dit Abdolhossein Faghih.
Situé sur plusieurs failles sismiques, l’Iran a connu de nombreux tremblements de terre dévastateurs, dont le plus meurtrier remonte au 26 décembre 2003 dans la ville de Bam, dans le sud du pays. Quelque 31 000 personnes avaient perdu la vie, soit le quart de la population de la localité.