Notre attitude face aux épreuves peuvent faire toute la différence
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Réaction
On ne choisit pas toujours les épreuves de la vie, mais on peut toujours choisir notre réaction!
Stéphanie Milot
Il est vrai que nous ne pouvons pas tout maitriser car des éléments ne sont pas de notre ressort, mais nous pouvons quand même en tirer quelque chose de positif .. Tout comme quand les choses vont bien pour nous, il faut en profiter et les vivre pleinement
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Nous ne pouvons pas tout maitriser
Il y a toujours des éléments ou des évènements qui nous tombent dessus, la maitrise se résume alors à donner un sens à ce qui vous arrive
Néanmoins, la vie est aussi fait de hasards heureux qui nous font rencontrer la bonne personne au bon moment où tomber pile sur un texte qui corresponds à vos questions, recevoir un appel d’un ami proche auquel vous pensiez…
Sachez accueillir ces hasards heureux comme une main que la vie vous tend
Michel Poulaert
Réflexions positives
Je n’aime pas les larmes de crocodile, car c’est dans le but de tromper .. mais pourquoi des larmes de crocodile ? Des légendes venant de très loin dans le temps est a l’origine de ces larmes …
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Larmes de crocodile
Larmes feintes destinées à émouvoir et tromper l’entourage.
L’arme du crocodile, ce sont ses énormes mâchoires qui lui permettent de happer un zébu ou un gnou et de l’entraîner dans l’eau pour l’y noyer avant de l’emmener dans son garde-manger où l’animal passé de vie à trépas pourra commencer à se décomposer avant que le crocodile n’en fasse son déjeuner.
Mais comment un animal qu’on présente comme si vorace et féroce pourrait-il avoir des sentiments de compassion au point d’en pleurer de chaudes larmes ?
Eh bien il faut aller se promener à l’Antiquité du côté de l’Egypte, sur le Nil, pour avoir la réponse.
Car cette expression qui, sous la forme actuelle, existe depuis le XVIe siècle [1], nous arrive de loin puisqu’elle est issue d’anciennes versions en grec et en latin.
Elle vient d’une légende qui disait que les crocodiles du Nil attiraient leurs proies en gémissant à fendre l’âme des naïfs qui passaient à proximité et venaient s’enquérir, un peu trop près, de ce qui pouvait provoquer de tels pleurs.
Une autre version du mythe de l’appel des sirènes, donc.
Sur Internet, pour expliquer ces ‘pleurs’, on trouve en de nombreux endroits une phrase répétée à l’identique qui dit : « leurs glandes lacrymales ont les mêmes circuits neuromoteurs que leurs glandes salivaires et gastriques » ; autrement dit, quand ils mangent, puisque leurs glandes salivaires sont activées, ils pleurent également, ce qui suffirait à justifier cette impression de compassion lorsqu’ils se mangent leur proie.
Bien que répétée, cette information est malheureusement fausse : il n’y a que chez les alligators américains (donc loin de l’Égypte) où les mâchoires sont faites de telle manière qu’elles effectuent une pression sur les glandes lacrymales.
[1] Avec l’ancienne forme du mot désignant le saurien en moyen français, à savoir ‘cocodrile’ (venu de ‘cocodrille’ en ancien français).
Une publicité fait par un humoriste très connu au Québec, qui montre malheureusement une réalité que subissent les ainés. Il y a toutes sortes de formes de maltraitances a leur égards que ce soit physique ou psychologique .. ces maltraitances sont de trop autant pour les jeunes que les vieux
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Quand on porte des lunettes ont ne se posent pas de questions, sitôt qu’on rentre en contact avec de l’eau, on les enlèvent …. Alors que ceux qui ont des lentilles de contacts devraient être vigilent …
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PHOTO RELAXNEWS
RelaxNews
Lors des baignades estivales, les spécialistes de la vue conseillent fortement d’enlever ses lentilles de contact.
L’autorité sanitaire américaine, la Food and Drug Administration (FDA), déconseille aux porteurs de lentilles tout contact avec l’eau, que ce soit celle du robinet, d’une piscine ou de la mer.
L’eau recèle de nombreux virus et microbes, dont l’Acanthamoeba, le plus dangereux de tous, pouvant se fixer aux lentilles de contact et entraîner des inflammations de la cornée. Pire, les micro-organismes présents dans l’eau peuvent entraîner une perte définitive de la vue si les symptômes ne sont pas traités à temps.
Pour nager en toute sécurité, les lunettes de piscine sont donc vivement conseillées. Si les lentilles entraient en contact avec l’eau malgré les lunettes, ce qui est souvent le cas, il faut les retirer, les laver et les désinfecter dès que possible, explique le site spécialisé All About Vision.
Pour les nageurs aguerris, il existe des lunettes de vue pour piscine, qui éviteront les problèmes liés aux lentilles de contact. Ceux qui n’ont pas les moyens d’investir dans ce type de lunettes peuvent opter pour des lentilles de contact jetables pour faire quelques longueurs, à retirer et à mettre à la poubelle après la baignade, conseille All About Vision.
De l’eau en Afrique et même beaucoup d’eau, mais elle est difficile d’y accéder, et pour réussir cela couterait vraiment cher .. Ce qui me choque la dedans c’est de voir les extravagances dans divers pays .. que ce soit de créer un parc Jurassique avec l’espoir de voir un jour des animaux de la préhistoire revivre .. Dubaï avec ses expositions de richesses extrême .. faire une réplique exacte et navigable du Titanic .. Et même les Jeux Olympique qui serait louable si on s’attardait qu’aux rencontre sportive, mais tout l’argent pour avoir le plus beaux stades et tout le trala la .. cela m’apparait grotesque quand il suffirait un peu plus d’eau pour permettre aux pays en voie de développement d’être plus productif et autonome
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L’Afrique ne manquerait pas d’eau potable pour sa population, selon ce que rapporte le Courrier international.
PHOTO ARCHIVES REUTERS
Le continent dispose d’importantes ressources en eau. Il manque en revanche les infrastructures de distribution et d’assainissement qui permettraient aux populations d’accéder à l’eau potable.
Décryptage de ce paradoxe, en cartes.
Sans son sous-sol, le continent africain recèle 660 000 kilomètres cubes de réserves d’eau. Cette ressource est cent fois supérieure à la quantité d’eau en surface. Et pourtant, 330 millions d’Africains, soit 40 % de la population, n’ont pas accès à l’eau potable, rappelle le quotidien espagnol El País
Selon des chiffres de la Banque africaine de développement, il faudrait que l’Afrique consacre l’équivalent de 11,5 milliards d’euros par an pour créer ou renforcer des infrastructures de distribution et d’assainissement. Et si l’eau existe, certaines nappes sont enfouies en profondeur, rendant délicat et coûteux tout projet de creusement.
Le graphique ci-dessous montre ainsi que d’énormes nappes dans les zones sahariennes se situent à une profondeur de plus de 50 mètres. Il s’agit notamment d’eaux « fossiles » très anciennes (des millions d’années), mais qui ne se renouvellent pas.
L’accès à l’eau potable devient d’autant plus aigu que les populations urbaines augmentent rapidement. Le pourcentage de citadins devrait passer de 44 à 57 % entre 2010 et 2040, selon l’Association africaine de l’eau. Mais de fortes inégalités subsistent entre les principales métropoles dans l’approvisionnement en eau des habitants [voir graphique]. Alors que Le Caire (17,6 millions d’habitants) a un taux d’approvisionnement de 95 %, une ville comme Lagos (capitale économique du Nigeria) dont la population se situe entre 15 et 17 millions d’habitants fournit l’eau à moins de 65 % de ses citoyens.
L’ONU a inscrit dans son programme, intitulé Objectifs pour le millénaire, l’accès à l’eau potable à 80 % de la population mondiale.
Quand je pense que certains ne croient pas aux changements climatiques, cet été que ce soit en pluie torrentiels, vent violents, inondations, chaleurs extrême nous pouvons dire que cette années nous y avons vraiment gouter et cela s’est fait ressentir depuis quelques années déjà .. Je ne pense pas que nous pouvons renverser ces changements mais surement que nous pouvons la minimiser pour l’avenir
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Photo : AFP/David McNew
Le type de vagues de chaleur sans fin qui ont frappé les États-Unis et d’autres parties du monde au cours des dernières années est si exceptionnel qu’il ne peut s’agir que de réchauffement climatique provoqué par l’homme, affirme une nouvelle étude statistique réalisée par l’un des principaux chercheurs du gouvernement américain.
L’étude menée par un homme souvent présenté comme le « père du réchauffement planétaire » affirme que la possibilité que de telles températures surviennent entre les années 1950 et les années 1980 était plus faible qu’une sur 300. Désormais, les probabilités sont plutôt d’une sur 10, selon le rapport du chercheur de la NASA James Hansen. Ce dernier soutient que ce qui arrive n’est pas aléatoire ou normal d’un point de vue statistique, mais que c’est uniquement le résultat des changements climatiques.
Lors d’une entrevue accordée à l’Associated Press, il a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une théorie scientifique, mais plutôt de l’expérience d’un fait scientifique.
M. Hansen est un scientifique du Goddard Institute for Space Studies de la NASA, à New York, et un professeur à l’Université Columbia. Il est également un activiste qui réclame depuis des années que le gouvernement agisse pour réduire les quantités de gaz à effet de serre. Bien que son étude ait été publiée samedi dans le journal Proceedings of the National Academy of Science, elle ne va probablement pas réussir à faire changer d’avis les derniers « climatosceptiques ».
Les pires effets du réchauffement climatique
En s’éloignant de la majorité des recherches sur le climat, l’étude de M. Hansen – basée sur les statistiques, et non pas sur les modèles climatiques courants – attribue trois récentes vagues de chaleur au réchauffement climatique. Dans cette liste, on retrouve la sécheresse qui a touché le Texas et l’Oklahoma l’an dernier ; les vagues de chaleur frappant la Russie et le Moyen-Orient en 2010, faisant des milliers de morts ; ainsi que la vague de chaleur européenne de 2003 qui a tué plusieurs dizaines de milliers de personnes, particulièrement des personnes âgées en France.
L’analyse a été écrite avant l’actuelle sécheresse et les températures record qui ont été enregistrées dans la majeure partie des États-Unis cette année, mais M. Hansen croit qu’il s’agit là aussi d’un autre exemple des pires effets du réchauffement climatique.
L’accroissement des probabilités de chaleurs extrêmes, de sécheresses et de très fortes pluies dans certaines régions est à ce point énorme que les chercheurs devraient arrêter de se disputer, affirme M. Hansen.
« Cela se produit assez souvent, dans une région assez importante, pour que les gens constatent d’eux-mêmes que cela survient pour vrai », a-t-il dit.
Les scientifiques ont généralement affirmé qu’il est impossible de déterminer si des événements uniques sont causés par le réchauffement climatique, en raison de l’influence variable de la météo. Cette position a toutefois été modifiée au cours des derniers mois, alors que d’autres études ont également conclu que des changements climatiques se produisent devant nos yeux.
« Nous gaspillons un temps précieux »
M. Hansen espère que sa nouvelle étude poussera les gens préoccupés par les changements climatiques à exiger que leurs gouvernements agissent. Dans une lettre d’opinion publiée vendredi dans la version en ligne du Washington Post, il indique qu’il est encore temps d’agir et d’éviter un climat qui s’aggrave.
« Mais nous gaspillons un temps précieux », a-t-il écrit.
La science de l’étude de M. Hansen est excellente et « réécrit la question », a déclaré Andrew Weaver, un climatologue de l’Université de Victoria, en Colombie-Britannique, membre de l’équipe internationale de chercheurs sur les changements climatiques couronnés du prix Nobel.
« Plutôt que de dire « Est-ce causé par les changements climatiques? », vous pouvez dire « Quelles sont les probabilités que cela se soit produit en l’absence de réchauffement planétaire? ». C’est si improbable que cela doit être lié au réchauffement climatique », a déclaré M. Weaver.
Depuis des années, les scientifiques utilisent des modèles informatiques complexes faisant appel à des combinaisons de facteurs divers pour constater si un événement météorologique aurait pu se produire sans que le réchauffement climatique en soit la cause. Environ 25 aspects différents des changements climatiques ont été officiellement attribués à des émissions de gaz à effet de serre provoquées par les humaines dans des dizaines d’études précédentes. Ces aspects sont cependant souvent vastes et vagues, comme l’augmentation des vagues de chaleur dans certaines régions et des fortes pluies dans d’autres.
Une autre étude devant être publiée prochainement par Kevin Trenberth, analyste climatique en chef du National Center for Atmospheric Research, relie la vague de chaleur survenue en 2010 en Russie au réchauffement climatique en s’attardant aux conditions météo sous-jacentes qui ont provoqué cette vague de chaleur. Il a qualifié d’important l’article de M. Hensen, puisqu’il aide à faire connaître le problème.
Plus chaud que prévu
Le conseiller scientifique de la Maison-Blanche John Holdren a salué les conclusions du rapport de M. Hensen par voie de communiqué. Il a cependant également indiqué qu’il était vrai que les chercheurs étaient incapables de blâmer le réchauffement climatique dans le cas d’un seul événement :
« Ces travaux, qui ont permis d’établir que les étés extrêmement chauds sont 10 fois plus fréquents qu’ils ne l’étaient, viennent renforcer plusieurs autres preuves démontrant que le réchauffement climatique existe et qu’il est nuisible. »
Dans une étude datant de 1988 et qui a fait école, M. Hansen prédisait que si les émissions de gaz à effet de serre se poursuivaient, ce qu’elles ont fait, la capitale américaine vivrait environ neuf jours par année sous une température de 32 degrés Celsius ou plus. Jusqu’à maintenant en 2012, avec encore approximativement quatre semaines d’été, la ville a plutôt vécu 23 journées de chaleur accablante.
M. Hansen croit désormais avoir sous-estimé à quel point la situation pourrait empirer. Et bien qu’il espère que sa nouvelle étude poussera des gens à passer à l’action, par exemple en votant une taxe sur la consommation des combustibles fossiles – qui émettent du dioxyde de carbone, l’un des principaux gaz à effet de serre -, d’autres ne sont pas aussi optimistes.
Associated Press
Toute la fin de semaine sur le web, ils ont parler que le robot Curiosity était en approche de la planète Mars. Surement que ceux qui y ont travailler de près ou de loin ont passé des moments qui ont sans doute parus une éternité un stress énorme. Ce fut une réussite … fêté avec une bonne barre de chocolat Mars
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Les membres de la mission de contrôle ont explosé de joie à l’annonce de l’atterrissage du robot, au terme d’une descente de sept minutes extrêmement délicate, qui semble s’être déroulée exactement selon le plan prévu.
PHOTO: AP
Romain RAYNALDY
Agence France-Presse
PASADENA
Le robot Curiosity s’est posé lundi avec succès sur Mars, un exploit et un soulagement pour la Nasa, qui n’avait jamais envoyé un robot aussi perfectionné sur une autre planète, ouvrant ainsi une nouvelle ère d’exploration de la planète rouge.
Le robot s’est posé à 05H32 GMT lundi (01H32, heure de Montréal). «Le contact (avec le sol) est confirmé», a annoncé un membre de la mission de contrôle, au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de Pasadena (Californie), à l’est de Los Angeles.
Les membres de la mission de contrôle ont explosé de joie à l’annonce de l’atterrissage du robot, au terme d’une descente de sept minutes extrêmement délicate, qui semble s’être déroulée exactement selon le plan prévu.
Le président américain Barack Obama a immédiatement salué dans un communiqué l’atterrissage de Curiosity,
«le plus perfectionné des laboratoires mobiles à se poser sur une autre planète», comme «un exploit technologique sans précédent qui restera comme un jalon de fierté nationale à l’avenir».
Les États-Unis ont «fait l’histoire» avec cet exploit, a-t-il ajouté.
Peu avant O5H30 GMT (22H30 dimanche soir en Californie), la mission de contrôle avait annoncé avoir reçu un premier signal du robot, juste avant son entrée dans l’atmosphère de la planète rouge, avant de confirmer qu’il avait déployé correctement son parachute –deux signes extrêmement encourageants.
Juste après l’atterrissage du robot, entre les rires et les applaudissements, un des responsables de la mission a distribué des barres chocolatées Mars à ses équipes, dont les membres s’embrassaient et se félicitaient les uns les autres.
L’une des premières images transmises par le robot Curiosity.
PHOTO: NASA
Le soulagement a été suivi d’une seconde explosion de joie lorsque le robot a envoyé une première photo d’une de ses roues posée dans le cratère de Gale, puis une seconde immédiatement après, d’une étonnante clarté, de son ombre portée sur la terre martienne, juste après son atterrissage.
Charles Bolden, l’administrateur de la Nasa a estimé que c’était «un grand jour pour la nation (américaine), un grand jour pour tous nos partenaires qui ont (du matériel) sur Curiosity et un grand jour pour le peuple américain».
Le conseiller scientifique du président Obama, John Holdren, interrogé sur par le canal de TV interne de la Nasa, a affirmé pour sa part que l’arrivée de Curiosity sur Mars –une mission d’un coût de 2,5 milliards de dollars– constituait «un énorme pas en avant dans l’exploration des planètes».
«Personne n’avait fait quelque chose comme cela. Nous sommes de fait le seul pays à avoir fait atterrir (des robots) sur une autre planète», a-t-il ajouté.
Curiosity –si tout continue à se passer comme prévu– s’ajoute en effet à la liste des missions martiennes américaines réussies, après Viking 1 et 2 (1976), Pathfinder (1997) Mars Exploration Rovers (2004) ou Phoenix (2008).
Débordants de joie, les employés ayant travaillé sur la mission, vêtus de polos bleus avec la date du 5 août brodée sur le coeur, ont fait irruption dans la salle où les responsables de la mission allaient tenir leur première conférence de presse, en brandissant des petits drapeaux américains, semant une joyeuse pagaille pendant plusieurs minutes.
Adam Seltnzer, responsable de la phase de l’atterrissage, est apparu en larmes et a remercié «les polos bleus» :
«Je serai satisfait si cela reste comme la meilleure chose que j’ai faite dans ma vie», a-t-il dit lors d’une conférence de presse aux accents résolument patriotiques.
La tâche qui attend maintenant ce robot de 900 kg, de la taille d’une voiture et à la vague allure de cyclope –avec le large objectif de l’une de ses 17 caméras monté sur un mât à deux mètres du sol– est colossale.
Alimenté par un générateur nucléaire, il tentera de découvrir si l’environnement martien a pu être propice au développement de la vie.
«Curiosity va étudier les roches» qui l’entourent, a expliqué à l’AFP le Dr Randii (bien Randii) Wessen, ingénieur sur la mission.
«Il pourra les évaluer de loin, avec son laser, il pourra aussi prendre des roches et étudier leur composition, et nous avons une foreuse qui pourra creuser dans la roche et l’apporter dans le laboratoire de bord» du robot, a-t-il poursuivi.
«C’est vraiment un pas-de-géant dans l’éventail de possibilités qu’on a pu avoir à ce jour sur Mars. C’est énorme», a-t-il ajouté.
Avant de prendre la route, Curiosity va néanmoins vérifier avec ses concepteurs terriens que tous ses appareils sont en ordre de marche –un processus qui prendra plusieurs jours, voire semaines.
Une étude en marche pour mieux connaitre les enjeux des besoins des personnes âgées au Canada. Espérons que cette recherche va permettre a de meilleurs soins et un milieu mieux adaptés pour rester autonome plus longtemps
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Plus de 160 chercheurs de partout au pays lancent la plus vaste étude sur le vieillissement jamais réalisée au Canada.
À Ottawa, 3000 personnes seront suivies par une équipe médicale pendant les 20 prochaines années. Les résultats devraient permettre d’améliorer la qualité de vie des aînés.
D’ici 20 ans, le nombre de personnes âgées aura doublé à Ottawa, pour atteindre 3,7 millions, selon Statistiques Canada. Ce vieillissement de la population motive le lancement d’une large étude pancanadienne.
En tout, 50 000 Canadiens se prêteront à une série de tests sanguins, moteurs, visuels et psychologiques pendant 20 ans. L’étude devrait permettre de mieux comprendre le processus du vieillissement.
Raymond Middlestead vit dans une résidence pour personnes âgées de Gatineau, il s’inquiète pour la sécurité de certains résidents qui, selon lui, requièrent des soins trop spécialisés pour un centre de personnes autonomes et semi-autonomes.
Il affirme que les centres adaptés manquent de place, une situation qui risque de s’aggraver avec l’arrivée d’un plus grand nombre d’aînés.
Améliorer la qualité de vie des aînés
Selon une chercheuse d’Ottawa qui participe à l’étude, les résultats vont permettre de faire des recommandations afin d’améliorer la santé des aînés.
Vanessa Taler estime que « si on peut prédire qui va développer une démence, on peut commencer tout de suite les traitements et améliorer beaucoup la qualité de vie de cette personne. »
La présidente régionale de l’Association des retraités de l’éducation et des autres services publics du Québec, Nicole Morin-Laplante, croit que cette étude doit être une priorité.
Nicole Morin-Laplante espère que l’étude mènera à la création de plus de logements adaptés aux personnes âgées et à l’amélioration des soins à domicile pour favoriser leur autonomie.
D’après le reportage de Geneviève Garon