Votre avenir


C’est vrai qu’il y a plusieurs facteurs qui nous amène a prendre des sentiers pour arriver a la route mais en bout de ligne, c’est nous qui acceptons ou refusons de prendre une direction plus qu’une autre
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Votre avenir

 

Votre avenir dépend de plusieurs choses, mais il dépend d’abord et avant tout de vous.

Frank Tyger

Les bonnes valeurs


Pourquoi qu’on se complique la vie, qu’on essaie d’amasser des choses matériel pour sois disant l’avenir .. alors qu’on oubli de vivre maintenant !? Le pire c’est qu’on le sait .. mais on réponds qu,il y a des priorités .. bien sur qu’il y a des priorités mais attention aux bonnes valeurs
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Les bonnes valeurs

 

L’avare qui amasse sa fortune mais néglige les valeurs les plus importantes de la vie est une figure méprisée à juste titre dans le folklore et la littérature.

Tenter de s’accrocher à l’instant est un acte tout aussi désespéré.

Appréciez plutôt la richesse de la vie à mesure qu’elle se déploie et que les expériences s’offrent à vous.

L’instant passe, la beauté s’efface ; la vie suit son cycle perpétuel de naissance, de mort et de renaissance.

Laissez les instants précieux s’imprimer dans votre esprit, sans regrets, et ne passez pas votre vie dans la chambre forte de la mémoire à chérir les richesses que vous y aurez accumulées : recherchez et accueillez les instants nouveaux au lieu de revivre les instants fanés.

Barbara Ann Kipfer

Le saviez-vous ►Laver ou ne pas laver la salade?


Laver ou non les légumes acheter a l’épicerie .. Dire que certains ne lavent pas du tout leurs légumes surtout ceux acheter a l’air libre .. ne fut que pour enlever la terre et petits insectes qui pourraient s’y loger …
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Laver ou ne pas laver la salade?

 

Photo: ShutterstockPar Lise Bergeron

 

Été et salades vont de pair. La laitue, comme tous les légumes qui poussent au ras du sol, est exposée à plusieurs sources potentielles de contamination: terre, eau, fumier mal composté, manutention, entreposage, transport et tutti quanti.

Au printemps 2012, un important rappel de laitues en sac possiblement contaminées par la listeria, une bactérie qui vit dans le sol et dans l’eau, est venu nous le rappeler.

Tous les légumes-feuilles, comme la laitue, le cresson et les épinards, vendus à l’air libre ou dans des contenants ou des sacs ouverts doivent impérativement passer sous la douchette.

Mais faut-il ou non laver la laitue et les épinards en sac qu’on achète à l’épicerie ?

Santé Canada indique sur son site Web qu’«il n’est pas nécessaire de laver de nouveau les légumes-feuilles ensachés, prêts à consommer et prélavés avant de les consommer».

Toutefois, si une mention comme «prélavé», «bien lavé» ou «lavé trois fois» n’apparaît pas sur le contenant ou le sac, même scellé, mieux vaut donner son bain à votre verdure préférée. Mais ne la faites pas tremper dans l’évier, où des bactéries pourraient migrer vers les feuilles. Un simple jet d’eau fraîche constitue encore la meilleure méthode pour nettoyer les légumes-feuilles, rappelle le ministère.

Par ailleurs, «les légumes précoupés et vendus en sac n’ont pas besoin d’être lavés, ayant déjà été transformés (lavés, pelés, etc.) avant leur mise en sac. Les mini-carottes en sac peuvent être consommées directement comme collation. À sa discrétion, le consommateur peut toujours laver ces légumes avant de les consommer», précise Stéphane Shank, porte-parole à Santé Canada. 

http://www.protegez-vous.ca

Site protégé par Unesco


Unesco veut protéger certains sites naturels et bâtiments qui ont fait l’histoire. Personnellement j’aime mieux  la protection des sites naturels quoique certains sites archéologies racontent l’histoire de l’être humain
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Site protégé par Unesco

 

Le bassin minier du Nord-Pas de Calais

© Hubert Bouvet, Région Nord-Pas de Calais, 2012

 

Le lagon sud des îles Chelbacheb est un ensemble de 445 îlots inhabités.

© Ann Kitalong / The Environment,Inc (TEI)

 

Le Parc naturel des colonnes de la Lena

© PENTA Ltd. Publishing House

 

Elvas est le plus grand système défensif de remparts à douves sèches du monde.

© Municipality of Elvas

 

Le site fossilifère de Chengjiang en Chine

© Chengjiang Fossil

 

Le « marais » de Grand Pré et les sites archéologiques des anciens villages en Nouvelle-Ecosse au Canada

© Hubert Bouvet, Région Nord-Pas de Calais, 2012

 

Le Réseau des lacs du Kenya dans la vallée du Grand Rift

© NMK

 

Hiraizumi au Japon,  temples, jardins et sites archéologiques représentant la Terre Pure bouddhiste

© Unesco

 

Les Iles d’Ogasawara se trouvent à près de 1 000 km au sud de l’archipel nippon principal

© Unesco

 

Le paysage culturel du café de la Colombie

© Hsahjd / Unesco

 

http://www.linternaute.com

Une nouvelle espèce de parasite rebaptisée Bob Marley


Si j’avais a partager mon patronyme avec une nouvelle découverte j’aimerais mieux que ce ne soient pas quelques parasites et qui rends malades … Enfin, il faut bien donner un nom a ce parasite ..
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Une nouvelle espèce de parasite rebaptisée Bob Marley

 

Un poisson des Caraïbes infesté par le parasite Bob Marley.

PHOTO: AP

Agence France-Presse
Los Angeles

Fascinés par la découverte d’un tout petit crustacé qui parasite des poissons en mer des Caraïbes, les scientifiques américains à l’origine de cette trouvaille ont décidé de baptiser la nouvelle espèce du nom de Bob Marley.

Le minuscule crustacé récemment découvert dans les récifs coralliens de l’est des Caraïbes a été rebaptisé «gnathia marleyi» en hommage à la légende du reggae décédée en 1981.

«J’ai donné le nom de Bob Marley à cette espèce, qui est véritablement une merveille de la nature, pour montrer mon respect et mon admiration pour la musique» de la star jamaïcaine, explique le Dr Paul Sikkel, biologiste à l’Université de l’État de l’Arkansas.

 

 

Bob Marley

La créature, de la famille des isopodes gnathia, est la première nouvelle espèce découverte en mer des Caraïbes depuis plus de deux décennies, a indiqué la Fondation nationale pour la science.

Les jeunes «gnathia marleyi» ont pour technique de se cacher derrière les entrelacs de coraux, éponges et autres algues, afin de lancer des attaques surprise contre certains poissons et les parasiter. Les adultes, eux, ne se nourrissent pas, selon le Dr Sikkel.

 

«Nous pensons que les adultes subsistent durant deux ou trois semaines suivant leur dernier repas, puis meurent. Heureusement, une fois s’être reproduits», souligne-t-il.

Le corail de la mer des Caraïbes est en déclin en raison du développement de maladies.

«Nous étudions quelles peuvent être les relations entre l’état de santé du corail et les populations de gnathia», indique le chercheur.

Le fait de donner symboliquement le nom de célébrités à de nouvelles espèces découvertes n’est pas nouveau. Le président américain Barack Obama partage ainsi son patronyme avec une forme de lichen, le patron de Microsoft Bill Gates avec une fleur, et la légende du rock Elvis Presley avec une guêpe, selon la Fondation nationale pour la science.

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Un hôtel pour les ébats amoureux des chiens


Je rêve ou quoi ? Alors qu’on parle de stérilisation des animaux de compagnies voilà qu’ailleurs on offre un hôtel de luxe pour des ébats entre chiens .. Que font t’ils avec les chiots en devenir ? Et tout cet argent gaspillé, Bon j’aime les animaux mais pas dans le but de les humanisé
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Un hôtel pour les ébats amoureux des chiens

 

PHOTO: ARCHIVES AFP

Agence France-Presse
Rio de Janeiro

Au Brésil, où les 32 millions de chiens constituent la deuxième population canine au monde après celle des États-Unis, le marché des produits pour toutous est en plein essor et innove tous les jours: dernier lancement en date, un «love hôtel» pour leurs ébats amoureux.

Les entrepreneurs Fabiano et Daniela Lourdes – frère et soeur – devaient inaugurer cette semaine à Belo Horizonte, le «Animalle Mundo Pet», un immeuble de huit étages qui abritera sur un étage entier un espace pour l’amour animal, a rapporté mercredi le quotidien économique Valor.

Pour stimuler leurs amours, un miroir en forme de coeur au plafond, des coussins rouges sur le sol et une lumière tamisée décorent la chambre.

«Pour beaucoup, le chien est un enfant qui doit être bien traité», a déclaré Fabiano à Valor pour expliquer cette innovation.

Pour que son chien passe la journée dans le love hôtel, le propriétaire devra débourser 50 $.

«Dans les études de marché que nous avons faites, nous avons vu que les gens travaillent toute la journée et ne savent pas où laisser leur animal pour croiser», a expliqué Fabiano qui espère que l’expérience de Belo Horizonte, capitale de l’État de Minas Gerais, fera boule de neige dans d’autres villes du pays.

Fabiano, 26 ans, et Daniela, 28, ont investi près de deux millions de reais (un million de dollars) dans le Animmalle Mundo Pet qui a soixante employés dont des vétérinaires et des biologistes et vendra aussi des produits et accessoires de luxe comme des colliers de cristal Swarovski à 1000 $.

D’autres services seront proposés comme une académie de gymnastique ou des espaces pour que les animaux fêtent leur anniversaire «entre amis».

Les jeunes entrepreneurs tablent sur un chiffre d’affaires de plus de 300 000 $ par mois, selon Valor.

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Propriétaire de chiens Elle croule sous les contraventions


Je comprend le désarrois de cette dame, mais 12 chiens en plus de chats et d’oiseaux dans un HLM en pleine ville, m’apparait exagéré Qu’elle attendent que les chiots soient assez grands pour être confier a des familles qui s’auront en prendre soin c,est bien mais encore là il n’est pas évident de trouver des bons maitres pour des pitbulls car comme on le sait ces chiens ont besoin de soin d’exercices pour être des chiens équilibré  de plus ne pas accepté qu’il y a un règlement sur le nombre d’animaux dans un logement ,et ce a prix modique… est selon moi irresponsable envers les voisins
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Propriétaire de chiens

Elle croule sous les contraventions

 

Elle croule sous les contraventions

Crédit photo : Agence QMI

Par Karine Guillet | Agence QMI

Une citoyenne du Vieux-Saint-Jean a reçu pas moins de sept constats d’infraction de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu pour ses chiens, trop bruyants et trop nombreux.

Nathalie Livernois, qui habite dans un HLM, explique qu’elle en a pour près de 1000 $.

«Ça fait beaucoup d’argent. Je suis étudiante et je n’ai plus accès aux prêts et bourses. Avec deux enfants, ce n’est pas évident financièrement», précise cette étudiante en administration à l’UQAM.

Beaucoup de chiens

Selon le règlement de la Ville, il est interdit de posséder plus de deux chiens par logement en milieu urbain. Le règlement stipule aussi que les propriétaires d’une chienne qui donne naissance à des chiots ont 90 jours pour se débarrasser des rejetons. 

Douze pitbulls… et plus

Les démêlés de cette résidante de la rue Saint-Charles avec le Service d’urbanisme de Saint-Jean ont commencé au mois de mars. Deux des trois chiens de Mme Livernois, des pitbulls pur sang, ont donné naissance à douze chiots, dont les jappements incommodent les voisins.

Mme Livernois a reçu plusieurs constats d’infraction, dont le prix varie entre 50$ et 150$, pour nuisance à cause de l’aboiement des chiens. Elle a reçu également un constat parce qu’elle possédait trois chiens adultes.

«L’huissier n’en revenait pas. Il arrivait à coup de deux ou trois tickets», se souvient-elle.

(Crédit photo: Agence QMI)

Pour se conformer au règlement, Mme Livernois a dû se défaire d’un de ses trois chiens adultes. Il ne lui reste aujourd’hui que deux chiens et un chiot, en plus des chats et des oiseaux qu’elle héberge également. Elle soutient qu’elle ne pouvait pas se départir de ses chiennes plus tôt, étant donné qu’elles allaitaient encore les poupons.

Elle compte contester les six constats pour nuisance, puisque les chiots n’étaient pas encore âgés de trois mois.

«Le dernier chiot est parti alors qu’il ne me restait que deux jours pour m’en départir. J’ai pris mon temps pour m’assurer que mes chiens étaient bien. C’est ma responsabilité de leur trouver une bonne place», souligne-t-elle.

Elle ajoute qu’il est important d’attendre que les chiens ne soient plus bébés avant de les donner, pour s’assurer que les futurs propriétaires aiment toujours leur protégé à quatre pattes une fois adulte.

Un règlement «absurde»

Mme Livernois déplore que la Ville restreigne le nombre de chiens.

«C’est complètement absurde, lance-t-elle. Il y en a qui ne sont pas responsables, mais quand on s’occupe bien des chiens, je ne vois pas où est le problème. Mes animaux ne sont pas maltraités.»

Du côté de la Ville de Saint-Jean, on confirme que des interventions ont eu lieu, mais que le dossier est clos depuis quelques semaines.

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Des marins disparus en 1942 recherchés dans le Saint-Laurent


Lors de fouilles archéologique dans les fonds marins, une découverte d’un avion USA des forces armées américaines fait rappel au passé houleux que fut la deuxième guerre mondiale
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Des marins disparus en 1942 recherchés dans le Saint-Laurent

 

Un hydravion Catalina

WIKIPEDIA

Agence France-Presse
Montréal

Des plongeurs de la marine américaine s’apprêtaient mercredi à fouiller l’épave d’un hydravion de l’US Air Force qui s’est abîmé dans les eaux du fleuve Saint-Laurent en 1942 avec cinq marins américains à bord, ont annoncé les autorités canadiennes.

Des archéologues canadiens des fonds marins avaient découvert par hasard en 2009 l’épave de l’hydravion Catalina de l’US Air Force lors d’une mission de routine, à environ deux kilomètres des côtes du village de Longue-Pointe-de-Mingan (Québec), sur la rive nord du Saint-Laurent.

La mission des 50 militaires envoyés au Québec sera d’effectuer «des fouilles sous-marines dans le but de retrouver les dépouilles des victimes ainsi que leurs effets personnels», indique un communiqué de Parcs Canada.

L’hydravion avait sombré le 2 novembre 1942 en tentant de décoller par une forte houle près de ce qui est devenu la Réserve du parc national de l’Archipel-de-Mingan, dans le golfe du Saint-Laurent.

Les 9 membres d’équipage qui étaient à bord le jour du naufrage, étaient tous basés à Presqu’Ile (Maine). Ils étaient venus prêter main-forte à l’aérodrome de Longue-Pointe-de-Mingan, à un millier de kilomètres au nord de Montréal. Quatre des marins avaient réussi à s’extirper de l’hydravion qui commençait à se remplir d’eau et avaient été secourus par des pêcheurs locaux. Les cinq autres ont péri coincés dans l’habitacle de l’appareil qui s’est enfoncé dans les eaux glacées du fleuve.

«Cet événement est très important parce qu’il témoigne de la collaboration entre le Canada et les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale et, plus particulièrement, du pont aérien qui avait été établi entre l’Amérique du Nord et l’Europe», a déclaré le sénateur canadien Michel Rivard dans un communiqué.

En 1941 et 1942, les États-Unis ont construit plusieurs aéroports dans l’est du Canada pour servir d’étapes à l’acheminement d’avions et de munitions aux Alliés en Europe (la «Crimson route»). Le détachement qui a péri dans le Saint-Laurent était chargé de construire ces aérodromes.

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Plus de pédophiles, mais une traque plus intensive


On dirait qu’il y a des pédophiles partout. Est-ce qu’ils sont plus qu’avant ? L’être d’Internet donne t’il un outil pour les cyberprédateurs pour échanger avec d,autres semblables des photos de victimes mineurs ? Peut-On en venir a bout ?
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Plus de pédophiles, mais une traque plus intensive

 

ILLUSTRATION: LA PRESSE

 

Anabelle Nicoud
La Presse

Plus de signalements, plus d’accusations. Au cours des dernières années, le phénomène des cyberprédateurs sexuels et des consommateurs de pornographie juvénile, loin de s’essouffler, a pris de l’ampleur, démontrent des chiffres compilés entre 2009 et 2011 par le Centre national de coordination contre l’exploitation des enfants de la GRC (CNCEE), que La Presse a obtenus.

> En graphique: La chasse aux pédophiles, cliquer sur l’image pour agrandir

Des pédophiles cachés derrière les écrans d’ordinateurs et de téléphones intelligents? L’image est toujours d’actualité. Pire: au cours des dernières années, la pornographie juvénile se fait de plus en plus violente.

«Les choses qu’on voit ici sont épouvantables, dit Bob Resch, officier responsable des opérations du CNCEE. Les sévices sur les enfants sont beaucoup plus violents, explicites, visuels et audio.»

Créé en 2004 par le gouvernement fédéral pour contrer l’exploitation sexuelle des enfants au Canada, le CNCEE travaille en collaboration avec les corps de police canadiens, mais aussi internationaux, comme Interpol ou Europol.

Au cours des trois dernières années, le CNCEE a reçu un nombre grandissant de plaintes, de signalements et de demandes d’aide, en grande majorité pour des sites web comportant de la pornographie juvénile et des infractions liées à la pornographie juvénile.

En 2009, le CNCEE en recensait plus de 3000. Un an plus tard, ce sont plus de 4974 plaintes et signalements qui ont été déposés au CNCEE et 3491 pour les trois premiers trimestres de l’année 2011.

Ces signalements peuvent provenir de différents corps de police internationaux et nationaux, mais aussi du site cyberaide.ca

Les corps de police prennent en effet les menaces et l’exploitation dont les enfants sont victimes très au sérieux. Au Québec, province où le CNCEE confie le plus d’enquêtes au Canada après l’Ontario, la Sûreté du Québec a ainsi annoncé au printemps l’ajout d’une vingtaine de policiers à son escouade spécialisée dans la recherche de cyberpédophiles et le démantèlement de réseaux pédophiles.

De plus en plus d’accusations

Au cours de la dernière décennie, une nette tendance à la hausse du nombre de personnes accusées de pornographie juvénile et de leurre s’est dessinée au Canada.

En 2003, moins de 200 personnes ont été accusées d’infractions de pornographie juvénile dans tout le pays. Sept ans plus tard, elles ont été un peu plus de 500 à répondre à des accusations de ce type.

Les accusations de leurre ont elles aussi grimpé au cours des dernières années. Moins de 10 personnes ont été visées, en 2003, par ce type d’accusation. En 2010, ils étaient près d’une centaine.

«On sait que la pédophilie n’est pas un phénomène nouveau. Le problème, avec l’internet, c’est que le criminel a un certain sentiment d’anonymat et de distance. Ils ont l’impression qu’ils ne se feront pas attraper», observe Marc-André Léger, chargé de cours à l’Université de Sherbrooke et spécialiste de la sécurité informatique.

«La cyberdépendance et les problèmes liés au cybersexe sont de plus en plus importants: ça ne va pas en diminuant. Mais d’un autre côté, on attrape de plus en plus de [prédateurs] grâce aux outils de sensibilisation et de dénonciation. Les enquêtes débouchent sur des arrestations», poursuit M. Léger.

Le nombre grandissant de signalements comme de mises en accusation témoigne aussi d’une sensibilité accrue du public et des policiers à l’égard de la production et de la consommation de pornographie juvénile virtuelle.

On peut penser notamment au succès, aux États-Unis, de l’émission de télé To Catch a Predatoret, au Québec, aux récents reportages de l’émission J.E., de TVA.

«Ce qui change, c’est qu’on peut identifier ce qui se partage aujourd’hui sur les ordinateurs. Avant, il n’y avait pas de façon de partager des photos pornographiques. Aujourd’hui, on a des méthodes de communication plus efficaces que par le passé», souligne M. Resch.

La supervision parentale, meilleur outil de lutte

Depuis la fin des années 90, l’organisation à but non lucratif Enfant-Retour a donné des ateliers de prévention à plus de 150 000 enfants du Grand Montréal. Mais selon Pina Arcamone, directrice générale, aucun outil ne remplace la supervision parentale.

«Il faut prendre le temps de connaître nos jeunes, de voir quels sites ils fréquentent», explique-t-elle.

C’est aussi aux parents qu’Enfant-Retour offre des ateliers de formation pour les tenir à jour sur les dernières évolutions technologiques. «Avant, on pouvait mettre l’ordinateur de famille dans une salle accessible. Mais maintenant, les jeunes peuvent se brancher partout, grâce à leur téléphone. Il faut alors s’assurer que l’enfant va appliquer les mêmes règles de sécurité.»

– Avec la collaboration de William Leclerc

http://www.lapresse.ca