Truc express ► Limiter le dépôt de calcaire dans la laveuse


Les laveuses à linge ont besoin d’entretient, mieux vaut trouver un moyen écologique pour enlever le calcaire
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Limiter le dépôt de calcaire dans la laveuse   


Pour maintenir votre laveuse en bon état, versez un litre de vinaire dans la machine et faites un programme sans mettre de linge.

La dureté de l’eau de votre région détermine la fréquence de cette opération, on recommande au moins une fois par mois.

http://www.trucsmaison.com

Bébé nage tout seul → La survie dans l’eau devrait être enseignée bien avant huit ans, croit un professeur de natation


A chaque saison estivale il y a des enfants qui meurent noyé mais cette été, il y a plus de 40 noyades au Québec et la plupart sont des enfants mort dans des piscines .. Les cours de natations pris très jeunes seraient je pense un des meilleurs moyens de préventions .. mais aussi on devrait obliger toutes personnes qui ont des piscines, peut importe s’ils ont des enfants ou non,  de mettre une haute clôture qu’un enfant seraient incapable d’ouvrir
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Bébé nage tout seul → La survie dans l’eau devrait être enseignée bien avant huit ans, croit un professeur de natation

 

Marc-Antoine, un an, apprend à sortir de la piscine lors d’un cours donné par Régent LaCoursière. D’ici quelques mois, il sera à même de survivre seul s’il tombe à l’eau accidentellement.

SARAH BÉLISLE

JOURNAL DE MONTRÉAL

Les LaCoursières enseignent la survie dans l’eau aux bébés depuis 55 ans. Initier les enfants à l’âge de huit ans comme le veut Québec, c’est trop peu trop tard selon eux.

Les noyades, notamment celles de bambins, se multiplient au Québec cet été.

Afin d’en réduire le nombre, le gouvernement rendra obligatoire le cours Nager pour survivre en troisième année du primaire.

Un effort louable qu’applaudissent Régent et Mary LaCoursière de l’École de natation Régent LaCoursière. Chez eux, les bébés s’y initient toutefois dès les premiers mois de leur vie.

« C’est une bonne chose de rendre les cours obligatoires, mais on pourrait commencer en pré-maternelle », propose l’ancien champion de natation.

« C’est mieux que rien, mais même à cinq ans, c’est déjà trop tard », ajoute son épouse et associée.

Elle souligne du même souffle que les morts des dernières semaines sont non seulement « horribles », mais aussi évitables.

Il nage à deux ans

C’est évidemment prenant pour les parents.

« On dit qu’on n’a pas le temps. Mais il faut le trouver, il faut le prendre. C’est tellement important, » lance M. LaCoursière.

La méthode fait ses preuves à l’école de natation LaCoursière, assure fièrement son propriétaire.

Les bébés peuvent participer aux cours dès six semaines d’âge. À l’aide de différents outils de flottaison, M. LaCoursière les initie à la piscine de façon progressive.

Après quelques mois, les enfants peuvent littéralement être lancés dans l’eau par le moniteur.

Ils ont alors appris à ne pas paniquer. Ils remontent à la surface. Ils se placent sur le dos. Puis, ils regagnent le bord du plan d’eau à la nage. Dès l’âge de deux ans, ils sont capables de faire une longueur de piscine ainsi.

« Primordial »

C’est le cas de Marc-Aurèle qui vient tout juste d’avoir trois ans. Pour son papa, Yves Sauriol, apprendre à se débrouiller ainsi, « c’est primordial ».

Le plus tôt est le mieux, croit-il.

Il ne s’agit pas que de surveiller les enfants quand ils sont dans l’eau, il faut aussi leur montrer à nager, plaide le père de famille.

À un an, le petit frère de Marc-Aurèle, Marc-Antoine, a besoin de flotteurs pour réussir l’exercice. Mais ses parents voient l’amélioration de semaine en semaine.

« On les a inscrits pour qu’ils puissent mieux profiter du plaisir de l’eau. C’est sûr que je ne veux pas qu’ils se noient », explique Ève, leur maman.

L’organisme SécuriJeunes Canada indique que les jeunes de moins de cinq ans sont tout spécialement à risque de se noyer.

Souvent incapables de nager, leurs poumons sont plus petits que ceux d’un adulte. Ils peuvent se noyer dans aussi peu d’eau que 2,5 centimètres d’eau.

Pas réaliste

« Si on était capable d’offrir le cours à partir de la prématernelle, ce serait effectivement une bonne chose », convient Raynald Hawkins, directeur général de la Société de sauvetage.

Mais attention, prévient-il. C’est impossible dans l’état actuel du système scolaire québécois.

Entre autres, le ratio accompagnateur – enfants devrait être beaucoup plus élevé, explique-t-il.

La meilleure des préventions reste de rendre les piscines inaccessibles sauf lorsqu’il y a une surveillance de tous les instants, conclut-il.

http://www.journaldemontreal.com

La police d’Ottawa sonne l’alarme sur une nouvelle escroquerie téléphonique


Un supposé  policier, un numéro de téléphone plausible donne une arnaque par téléphone pour soutirer de l’argent via internet. Une belle confusion pour permettre a des gens a se faire avoir .. Mais pourtant ce n’est pas la façon de faire des policiers
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La police d’Ottawa sonne l’alarme sur une nouvelle escroquerie téléphonique

 

La police d’Ottawa est la recherche de malfaiteurs à l’origine d’une nouvelle arnaque téléphonique. Les fraudeurs disent être des policiers et exigent que les résidents paient une amende par transfert électronique.

En cas de refus, ils menacent d’envoyer des policiers au domicile des personnes afin de prélever l’argent. Les fraudeurs utilisent un numéro de téléphone qui commence par 1-911 pour rendre l’appel plausible.

La police d’Ottawa informe la population qu’il s’agit d’un faux numéro vraisemblablement créé via Internet.

Elle ajoute qu’il s’agit d’une escroquerie et que les résidents ne doivent en aucun cas envoyer de l’argent.

La police recommande aux résidents de raccrocher et d’appeler le Centre antifraude du Canada.

 

Centre antifraude du Canada
1-888-495-8501

http://actualites.ca.msn.com

SCHIZOPHRÉNIE, QUELS SONT LES SIGNES?


La schizophrénie est une maladie qui fait probablement peur a bien des gens .. Aujourd’hui, cette maladie est mieux comprise et permet a de meilleurs traitement, mais si on peu enlever quelques tabous, ces personnes pourraient peut-être mieux gérer leur maladie.
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SCHIZOPHRÉNIE, QUELS SONT LES SIGNES?

 

Schizophrénie, quels sont les signes?

La schizophrénie est une maladie mentale dans laquelle l’esprit fonctionne de manière inhabituelle.

C’est une maladie qui fait souvent peur et pourtant, on la connaît de mieux en mieux.

On soigne aussi de mieux en mieux la schizophrénie.

Schizophrénie, quels sont les signes typiques?

Les deux signes de schizophrénie sont:

  • les hallucinations
  • les idées délirantes.
Les hallucinations de la schizophrénie, c’est quoi exactement?

 

Les hallucinations sont des perceptions de choses qui n’existent pas dans la réalité extérieure.

Les hallucinations les plus fréquentes sont auditives et consistent souvent à entendre des voix, plus généralement agressives, menaçantes, hurlantes…

Il peut aussi exister:

  • des hallucinations visuelles,
  • des hallucinations olfactives ou gustatives (odeur ou goût désagréable dans la bouche),
  • des hallucinations tactiles (très désagréables comme la sensation d’asticots grouillants sous la peau, des brûlures…).

Notons que ces hallucinations ne sont pas imaginaires. Les personnes qui disent entendre des voix les entendent vraiment…

Les idées délirantes de la schizophrénie, c’est quoi?

Les idées délirantes des personnes souffrant de schizophrénie apparaissent le plus souvent liées aux hallucinations.

La personne qui entend des voix, par exemple, cherche une explication. Car il est difficile de subir sans chercher à comprendre. Tout le monde lui dit « mais non, il n’y a personne qui parle ». Et pourtant, elle entend cette voix.

Alors, elle peut se dire « des extra-terrestres ont trouvé une manière de communiquer directement avec moi en parlant dans ma tête ». Ou bien « on envoie des ondes dans mon cerveau… », ou encore « j’ai un micro microscopique dans la tête », « Dieu est en train de communiquer avec moi », etc.

Ces idées que nous qualifions de délirantes sont pour la personne l’explication la plus plausible qu’elle ait pu trouver.

De nombreuses personnes ont des hallucinations ou idées délirantes sans être schizophrènes
  • On considère que 5 à 25% des gens ont déjà connu des hallucinations.

  • Croire que l’on vous parle au moment où vous allez vous endormir, entendre la voix d’une personne aimée venant de décéder…
  • Et 25% des gens au moins ont des idées ne reposant sur aucune réalité, que l’on pourrait qualifier de délirantes.

  • Il suffit de penser aux personnes qui croient à l’astrologie, aux théories du complot, ou qui imaginent que quelqu’un leur veut du mal.

Cependant, une personne schizophrène diffère par l’importance des hallucinations et idées délirantes qui envahissent sa vie.

Schizophrénie, quels traitements?

Il existe bien sûr des traitements médicaux bien plus efficaces qu’autrefois et mieux tolérés. Mais un travail psychologique est aussi essentiel.

Il consiste à écouter ce que vivent ces personnes (leurs hallucinations), à ne pas nier ces hallucinations, mais au contraire, à accepter qu’elles existent. Cela aide déjà nettement plus une personne malade que de s’entendre dire « mais non, tu es folle… »

À partir de là, on peut lui expliquer que c’est un souci de câblage dans son cerveau ou un problème chimique qui entraîne ces hallucinations.

Comme on lui donne une explication scientifique, elle ne va plus avoir besoin de chercher des explications délirantes. Et elle restera bien mieux ancrée dans la réalité.

Sa maladie la coupera nettement moins du monde.

Article publié par Dr Catherine Solano le 21/05/2012

Sources : Jean-Louis Monestès, « La schizophrénie, mieux comprendre la maladie, mieux aider la personne », Editions Odile Jacob.

http://www.e-sante.be

Crue mortelle en Russie: deuil national et limogeages


Que ce soit a cause d’une défaillance technologie ou semble t’il une seulement une catastrophe naturelle, il aurait pu avoir moins de mort si le système d’alarme aurait retenti dans la nuit .. La Russie est en deuil d’un manquement qui semble évident
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Crue mortelle en Russie: deuil national et limogeages

 

Des proches d’un secouriste ayant perdu la vie en venant en aide aux victimes de la crue mortelle qui a frappé le sud-ouest de la Russie assistent à son enterrement, dans un cimetière de Krymsk, le 9 juillet.

PHOTO: MIKHAIL MORDASOV, AFP

Mikhaïl Mordassov
Agence France-Presse
Moscou

Deux responsables du district de Krymsk ont été limogés, alors que les sauveteurs continuaient lundi de déblayer les décombres de la petite ville du sud-ouest de la Russie où une violente crue a fait 171 morts, et dont les habitants sont en colère contre les autorités malgré le deuil national décrété par Vladimir Poutine.

Compte tenu du mauvais fonctionnement du système d’alerte de la population et des conséquences de cette catastrophe, « j’estime que le chef du district et le maire (de Krymsk) doivent être relevés de leurs fonctions dès aujourd’hui », a déclaré le gouverneur de la région de Krasnodar Alexandre Tkatchev dans un communiqué.

Plus de 25 000 personnes ont perdu tout ou une partie de leurs biens dans ce bourg et ses environs de l’arrière-pays de la Riviera russe de la mer Noire, après les pluies torrentielles survenues dans la nuit de vendredi à samedi, qui ont touché également la station balnéaire de Gelendjik et le port voisin de Novorossisk.

Près de 3000 secouristes et spécialistes du ministère russe des Situations d’urgence participaient aux opérations de secours dans la zone sinistrée et encore inondée par endroits à la suite de cette « tragédie sans précédent », selon les mots du gouverneur de la région de Krasnodar, Alexandre Tkatchev.

Les inhumations ont commencé avec une vingtaine de cérémonies funèbres à Krymsk lundi, en cette journée de deuil national décrétée par le président Vladimir Poutine à la mémoire des victimes de la catastrophe, mais aussi de celle de 14 pèlerins orthodoxes Russes tués dans un accident d’autobus en Ukraine samedi.

Les drapeaux étaient en berne au-dessus du Kremlin et d’autres bâtiments publics. Les chaînes de télévision nationales ont retiré de leurs programmes les émissions de divertissements et les publicités.

Le premier ministre russe, Dmitri Medvedev, a annulé une rencontre prévue à Sotchi sur les jeux Olympiques d’hiver de 2014 dans cette ville balnéaire située également dans la région de Krasnodar, pour présider une réunion consacrée à la catastrophe.

Les autorités russes ont réaffirmé lundi que les fortes crues avaient été provoquées par des pluies diluviennes, écartant le facteur technologique.

Certains habitants continuent d’affirmer que la catastrophe a été causée par un lâcher d’eau de la retenue artificielle de Neberjdaevskoe, située en amont de Krymsk, et beaucoup reprochent aux autorités de ne pas les avoir alertés.

Le ministre des Situations d’urgence, Vladimir Poutchkov, a estimé lundi que le système d’alerte n’avait pas fonctionné correctement, évoquant des « erreurs », selon l’agence Ria Novosti.

Fait rare dans le pays, journaux pro-gouvernementaux et d’opposition sont unanimes pour blâmer les autorités locales.

« La tragédie de Krymsk (…) est la démonstration parfaite de ce à quoi peuvent mener la négligence et la vie au petit bonheur la chance », écrit le quotidien pro-Kremlin Izvestia.

Le journal économique Vedomosti souligne que les autorités étaient bien conscientes des risques d’inondations dans la région, d’autant qu’elle avait déjà été victime de crues en 2002 qui avaient fait environ 200 morts.

La catastrophe « montre la même défaillance des autorités à défendre la population des catastrophes naturelles qu’à la défendre des bandits », juge le quotidien, condamnant « l’incompétence et l’irresponsabilité » des responsables politiques.

« Pourquoi autant de morts? » titre de son côté le quotidien pro-gouvernement Komsomolskaïa Pravda, tandis que le journal populaire Moskovski Komsomolets assène : « On aurait pu prévoir et éviter la catastrophe à Krymsk ».

« Encore plus effrayant : les habitants de n’importe quelle autre grande ou petite ville, de n’importe quelle région « à problème » du pays pourraient vivre une situation analogue », poursuit-il.

« Et il ne sert à rien d’attendre de l’aide du pouvoir, du moins dans les premières heures après les catastrophes naturelles », dit-il.

Dans une interview à Izvestia lundi, le gouverneur de la région de Kranodar a décrit la crue comme « une énorme surprise. C’est une catastrophe équivalente à un tremblement de terre (…), que peut-on faire? L’homme ne peut ici rien faire, il n’a aucune possibilité », a déclaré M. Tkatchev.

http://www.lapresse.ca