Ta vie


Quoique l’on fasse de sa vie, il y aura toujours des gens qui seront avec nous, d’autres différents et enfin d’autre indifférent .. Alors mieux vaut vivre sa vie de notre mieux
Nuage

 

Ta vie

 

Tout ce que tu peux faire dans la vie, c’est etre toi-mme. Certains t’aimerons pour qui tu es. La plupart t’aimeront pour les services que tu peux leur rendre, d’autres ne t’aimeront pas.

Rita Mae Brown

Pourquoi moi ?


C’est la vie d’avoir des épreuves mais s’apitoyer sur son sort n’avancera a rien, et se croire seule que personne n’aurais vécu des choses difficiles seraient exagéré voir même effronté. Mais voir la réalité et les moyens de s’en sortir c’est d’être combattif
Nuage

 

Pourquoi moi ?

 

 

Lorsque vous pensez crouler sous les épreuves, il arrive de penser que ça n’arrive qu’à vous ou de se poser des questions du genre  »Pourquoi moi ? »

Vous n’êtes pas seul à avoir des épreuves. Personne n’en est épargné. Cessez de vous demandez  »Pourquoi ».

Concentrez-vous plutôt sur le sens à donner  à ce qui vous arrive. La signification que vous  donnez aux événements formera votre réalité.

Essayez d’utiliser votre énergie à leur donner un sens constructif. Vous poser les bonnes questions vous aidera à mieux avancer,

C’est peut-être l’occasion de changer de direction

Michel Poulaert
Réflexions Positives

Le saviez-vous ► Expression : Pousser comme un champignon


Une expression bien connu quoiqu’elle a changer juste un peu de signification avec le temps. Mais personnellement j’aime bien les champignons comestibles .. bien entendue
Nuage

 

Pousser comme un champignon 

 

Se développer, croître rapidement.

 

Pousser ‘comme’ un champignon’, ça se passe plus souvent à l’automne, dans les sous-bois profitant des couleurs magnifiques et de la douceur du fond de l’air

En effet, les véritables champignons communs, qui ne sont pas des végétaux ont la particularité, contrairement à la plupart des plantes, de pousser très rapidement, parfois du jour au lendemain, si les conditions atmosphériques (humidité, température…) sont réunies.

C’est de la comparaison avec ces poussées très rapides que l’expression est née, étant attestée dès le XVIe siècle.

Au départ, elle désignait des personnes qui devenaient rapidement riches et puissantes (un « champignon d’une nuit » désignait un nouveau riche).


Maintenant, on l’utilise pour évoquer une croissance rapide (« la ville, le quartier, l’entreprise pousse comme un champignon ») probablement suite à l’influence de l’expression anglaise « a mushroom city » (« une ville-champignon »).

http://www.expressio.fr

Il paie le dernier versement de son hypothèque en sous noirs


Pour un paiement mémorable, il est mémorable, imaginez payer un paiement a la banque en cenne noire, j’imagine la tête du cassier. Ils vont sûrement avoir un congé de production en cenne noire pour un temps au USA
Nuage

 

Il paie le dernier versement de son hypothèque en sous noirs

ASSOCIATED PRESS
MASSACHUSETTS

Un résidant du Massachusetts ayant promis de faire le dernier paiement de son hypothèque sur sa maison avec des pièces d’un cent seulement a tenu parole.

Après avoir prévenu sa banque, Thomas Daigle a réparti 62 000 cents dans deux boîtes, d’un poids total de 360 kilos, pour effectuer l’ultime paiement sur l’hypothèque de sa résidence de Milford achetée en 1977 avec sa femme, Sandra.

Il a indiqué au journal The Milford Daily News qu’il avait simplement voulu que son dernier versement, fait le 24 avril dernier, soit «mémorable».

M. Daigle avait commencé à amasser les cents dès son emménagement dans sa demeure de Milford.

L’opticien a raconté que son épouse s’esclaffait chaque fois qu’il se penchait pour ramasser un cent par terre en affirmant qu’il servirait au paiement de l’hypothèque.

M. Daigle a ajouté être heureux de s’être débarrassé de ses boîtes de sous noirs.

http://affaires.lapresse.ca

Les sirènes n’existent pas, affirment des scientifiques


S’il fallait que tout les créatures mythologiques sorties de l’imagination des êtres humains étaient vrai .. je pense que nous existerions plus depuis des lustres .. Enfin, l’émission  »Sirènes: Le corps retrouvé » a été convaincant pour certaines personnes … et je ne pense pas que c’était le but visé
Nuage

 

Les sirènes n’existent pas, affirment des scientifiques

 

La seule sirène existante tangible serait… la sirène de Copenhague.

PHOTO AP

Agence France-Presse
Washington

Les sirènes, tout comme les zombies, n’existent probablement pas, a assuré mardi une organisation dépendant du gouvernement américain.

«Les sirènes – ces espèces mi-femmes mi-poissons – sont des créatures des mers légendaires», peut-on lire dans un communiqué en ligne du National Ocean Service (NOS), chargé des réponses aux «changements climatiques et aux risques naturels tels que les ouragans et tsunamis».

«Aucune preuve de l’existence d’humanoïde aquatique n’a été découverte», ajoute le texte.

L’organisation aurait reçu plusieurs lettres de citoyens concernant l’existence potentielle de ces créatures mythologiques peu après la diffusion en mai, sur la chaîne Animal Planet de Discovery Channel, du documentaire «Sirènes: Le corps retrouvé».

Le film «brosse un tableau très convaincant de l’existence des sirènes, de ce à quoi elles pourraient ressembler, et pourquoi elles seraient restées cachées… jusqu’à présent», indique un communiqué de Discovery Channel.

Le communiqué du National Ocean Service n’offre en échange aucune preuve pour nier l’existence de ces êtres mi-femmes mi-poissons.

Il intervient en outre un mois après que les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déclaré qu’il n’y avait pas de preuve tangible de l’existence des zombies.

«Les CDC ne sont pas au courant de l’existence d’un virus ou d’une maladie susceptible de réanimer les morts»,

avait écrit un porte-parole dans un courriel au site The Huffington Post, alors qu’une série d’attaques cannibales ont eu lieu ces derniers mois aux États-Unis, réveillant d’anciennes peurs populaires.

www.lapresse.ca

Mère de famille poignardée à mort 60 voisins n’ont rien fait


Connaissez-vous l’ignorance pluraliste ou l’effet-spectateur c’est ce qui arrive quand il y a indice de danger imminent et trop de témoins. Les gens ne réagissent pas et le pire arrive. La vidéo tant qu’a elle est réaliste et démontre bien comment les gens restent figé devant certains drame .. C’est semble t’il une réaction normale. Mais je trouve cela effrayant 

Nuage

Mère de famille poignardée à mort

60 voisins n’ont rien fait

 

Par Pierre-Olivier Zappa | TVA Nouvelles

«Un cri énorme, un cri fort, un cri très aigu». Denis Lacombe a toutentendu du drame qui s’est déroulé à quelques pas de chez lui, où une femme a été poignardée à morten présence de ses enfants.

Malgré les hurlements qui ont retenti dans le quartier au moment du crime, aucun voisin n’est intervenu pour freiner l’élan du meurtrier.

«J’ai continué mon chemin, car je ne savais pas ce qui se passait. Mais j’avais le pressentiment que quelque chose de pas normal se déroulait», confie M. Lacombe, toujours secoué par ce drame conjugal au dénouement funeste. «J’y ai repensé souvent. Même avant de me coucher hier soir», insiste-t-il.

Malgré les indices manifestes qui laissaient présager le pire, aucun des 60 voisins présents n’a contacté les autorités pour signaler la situation. Selon le psychologue Gilles Vachon, l’immobilisme du voisinage peut s’expliquer par le mécanisme de l’ignorance pluraliste (ou de «l’effet-spectateur»).

«Plus il y a d’individus qui croient être nombreux, moins le sentiment de responsabilité individuelle est grand», fait-il valoir. «Plus on est dans une grande ville où la densité de population est forte, plus le phénomène est important».

Publicité du People Opposing Women Abuse (POWA) qui dénonce la violence faite aux femmes en Afrique du Sud. Malgré les cris d’une femme en détresse dans son domicile, les voisins n’interviennent pas.

De LaSalle à Brooklyn

Étudié par la psychologie sociale depuis des décennies, le mécanisme d’ignorance pluraliste a été observé pour la première fois dans un cas similaire à la tragédie de LaSalle.

Le 13 mars 1964, Kitty Genovese est agressée sexuellement et battue à mort en pleine rue dans le quartier Brooklyn à New York. La non-intervention de plusieurs témoins sur place avait suscité une polémique nationale autour du comportement des témoins.

Le mécanisme de l’ignorance pluraliste se traduit par une diffusion de la responsabilité individuelle des intervenants

En 1968, les psychologues de l’Université Princeton, John Darley et Bibb Latané, analysent la réaction passive des témoins du meurtre de Kitty Genovese dans l’ouvrage The unresponsive bystander: Why doesn’t he help?.

À l’encontre de l’intuition première, les deux chercheurs concluent alors que la probabilité de secourir une personne en danger est plus élevée lorsque le témoin est seul.

Selon M. Vachon, le mécanisme de l’ignorance pluraliste se traduit par une diffusion de la responsabilité individuelle des intervenants, qui brouille leur perception de la réalité.

En cela, la tragédie de Brooklyn en 1964 présente plusieurs similitudes avec le drame qui secoue l’arrondissement LaSalle aujourd’hui. Le psychologue soutien qu’il serait injuste de condamner les voisins de la victime pour leur inaction face à la situation d’urgence. Il en appelle néanmoins à la vigilance et à la solidarité lorsque l’on suspecte une situation de danger.

http://tvanouvelles.ca

Une sculpture à 919 000 $ Le futur CUSM souhaite installer deux œuvres d’art au coût de 1,6 million $


J’ai rien contre les oeuvre d’art, mais que ce soit le gouvernement qui donne des subventions aux artistes au lieu de dons personnels je trouve cela très frustrant Surtout pour un édifice public dont un hôpital .. imaginez comment d’aide aux recherches, aux études ou même des appareils pour des traitements ou diagnostiques ..qui ces derniers ne sont pas donné ..
Nuage

 

Une sculpture à 919 000 $

Le futur CUSM souhaite installer deux œuvres d’art au coût de 1,6 million $

 

HÉLOÏSE ARCHAMBAULT
JOURNAL DE MONTRÉAL,

 

Le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) va dépenser 1,6 million $ pour deux sculptures dans le cadre du projet de construction d’un nouvel hôpital.

Une première œuvre au coût de 919 000 $ sera installée à l’extérieur près de l’entrée principale. L’autre sculpture aérienne de 690 000 $ sera disposée à l’intérieur de l’institut de recherche, dans la partie supérieure de l’atrium. Au total, quatre millions $ seront investis en projets artistiques au futur CUSM dont le budget de construction est de 1,2 milliard $.

Ces œuvres d’art s’inscrivent dans le cadre de la politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments, du ministère de la Culture du Québec. Celle-ci prévoit un budget de 1 % dédié à l’art lors d’une construction.

En avril dernier, un concours a été lancé aux artistes qui souhaitent soumettre des propositions. Dans le cas de la sculpture extérieure, voici ce qu’on pouvait lire dans un communiqué diffusé en avril dernier.

« En synergie avec son environnement, l’œuvre devra susciter un fort sentiment d’accueil, de fierté et d’humanité ».

 Les sept artistes finalistes retenus par l’hôpital ont tous reçu un montant de 11 500 $ pour élaborer leur proposition. Francine Larivée, une des sept finalistes, n’a jamais travaillé avec un budget aussi important.

« C’est intéressant parce que c’est un projet imposant, mais on a les moyens financiers, dit-elle. Très souvent, on finit par travailler pour 3 $ de l’heure avec les budgets qu’on a. »

Cette dernière souligne que les artistes finalistes sont conviés à une rencontre sur le futur site de la cour Glen, aujourd’hui.

« On sera accompagnés de représentants de l’hôpital, d’ingénieurs et d’un représentant du ministère de la Culture », ajoute-t-elle.

Une œuvre lumineuse

Dans le cas de la seconde œuvre située à l’intérieur, on a fait appel à cinq artistes qui ont formulé des propositions à partir de ces indications faites par l’établissement :

« Fragmentée ou d’une seule pièce, l’œuvre pourra tirer profit de la lumière naturelle provenant de lanterneaux disposés au niveau de la toiture », peut-on lire dans la description du concours du CUSM.

Les cinq artistes finalistes ont reçu 10 000 $ pour soumettre une proposition. L’ouverture du nouveau CUSM, construit au coût de 1,2 milliard $, est prévue pour 2015.


  • Hier, le Journal révélait que la sculpture installée en 2011 devant l’hôpital Charles-LeMoyne, au coût de 200 000 $, doit déjà être restaurée. Elle a été abîmée lors de grands vents.

«C’est une façon d’aider nos artistes. Plutôt que de donner des subventions, on leur permet de gagner leur vie en créant des oeuvres. Nos artistes ont besoin d’encouragements. Quoi de mieux que de voir leur art exposé dans des édifices publics, des hôpitaux, des CLSC. Ça fait partie de notre stratégie globale d’encourager les artistes. »

— Le ministre Yves Bolduc a mentionné qu’il n’était pas dans les plans du gouvernement de cesser cette pratique.

«On ne remet pas en question le 1% pour faire la promotion de nos artistes au Québec, notre parti n’a aucun problème avec ça, maintenant, ce n’est pas aux contribuables québécois de débourser des sous additionnels pour remettre l’œuvre d’art comme elle était au début. On ose croire que les assurances peuvent être une porte de sortie pour l’hôpital. »

— François Bonnardel,
député de Shefford CAQ

DESCRIPTIONS DES ŒUVRES RECHERCHÉES

«Une sculpture monumentale dont les qualités, tant conceptuelles que plastiques et esthétiques, lui conféreront un caractère identitaire et signalétique. »

«L’artiste devra notamment prendre en compte l’esprit de recherche, de découverte et d’innovation qui anime les usagers du lieu et la notion de synergie qui caractérise leur travail. »

SOURCE : CUSM

http://www.journaldemontreal.com/

Une pomme génétiquement modifiée sème la controverse


C’est décevant de voir comme consommateur notre avis ne ne compte pas beaucoup quand il est question de l’OMG. Avec ces cultures qui par la polonisation va venir empiété sur les cultures naturelles, nous aurons dans un avenir proche,  selon moi, de biens mauvaises surprises
Nuage

 

Une pomme génétiquement modifiée sème la controverse

 

Ce fruit OGM a été développé par l’entreprise canadienne Okanagan Specialty Fruits, de Colombie-Britannique.

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

Pierre Saint-Arnaud
La Presse Canadienne
Montréal

Les producteurs de pommes du Québec et ceux de Colombie-Britannique demandent à Santé Canada de ne pas autoriser la culture de la pomme «Arctic», une variété génétiquement modifiée pour ne pas brunir lorsqu’elle est coupée.

Ce fruit OGM a été développé par l’entreprise canadienne Okanagan Specialty Fruits, de Colombie-Britannique.

La Fédération des producteurs de pommes du Québec et la BC Fruit Growers’ Association estiment que l’introduction d’une telle culture menace la production de pommes naturelles, puisqu’il est impossible d’en contrôler la pollinisation par les insectes butineurs, qui ne peuvent être confinés dans un espace donné.

Cette préoccupation face aux croisements involontaires est d’ailleurs bien documentée, soutient le directeur général de la Fédération des producteurs de pommes du Québec, Daniel Ruel.

«Monsanto a poursuivi des producteurs dans des pays africains parce que les abeilles ou les insectes butineurs ont emporté du pollen des plantes transgéniques dans des plantes naturelles, et ils ont découvert qu’avec le temps, dans les plantes naturelles, il commençait à y avoir des éléments transgéniques, raconte-t-il. Monsanto leur reprochait d’utiliser leur produit mais les producteurs n’avaient jamais planté ce produit.»

De plus, il dit ne pas voir la nécessité d’introduire un tel produit sur le marché.

«La Fédération est contre l’arrivée de cette nouvelle variété transgénique tant et aussi longtemps que ça ne démontre pas de valeur ajoutée, et qu’on n’a pas une façon de l’identifier et de s’assurer que le consommateur comprenne bien ce qu’est un aliment OGM, poursuit M. Ruel. Nous croyons que nos variétés obtenues par croisement naturel satisfont le marché dans le secteur des pommes.»

Il précise qu’une autre menace se situe du côté de la perception. Dans l’éventualité où une pomme transgénique se retrouverait sur le marché, la Fédération dit craindre que les gens ne réduisent leur consommation de pommes de crainte d’en acheter une variété génétiquement modifiée qui ne serait pas identifiée.

En marge de leurs représentations auprès des instances gouvernementales – notamment l’Agence canadienne d’inspection des aliments, qui relève de Santé Canada -, les syndicats de producteurs du Québec et de Colombie-Britannique ont rendu public cette semaine les résultats d’un sondage qu’ils ont commandé et qui suggère une forte réticence de la part des consommateurs de voir apparaître de tels fruits sur le marché.

Selon l’enquête, réalisée par Léger Marketing, 69 pour cent des répondants se sont prononcés contre l’approbation de la pomme Arctic par le gouvernement fédéral.

Par ailleurs, trois répondants sur quatre croient qu’Ottawa n’a pas donné suffisamment d’information sur les aliments génétiquement modifiés pour que les consommateurs puissent prendre une décision éclairée.

Et 91 pour cent des répondants estiment que le gouvernement canadien doit rendre obligatoire l’étiquetage des aliments génétiquement modifiés.

Le sondage a été réalisé en ligne entre le 26 et le 29 juin 2012 auprès de 1501 Canadiens de plus de 18 ans.

http://www.lapresse.ca